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La Gestionnaire – Chapitre 1




— 0- PROLOGUE

Bonjour,

Je me présente: je m’appelle Jérôme, j’ai 35 ans. Je mesure 1,85 m pour 75 kg. Je suis brun aux yeux verts. Je suis célibataire, non pas parce que je ne trouve pas de femmes à mon goût mais parce que j’en trouve trop. Aucune à ce jour n’a pu me garder. Je pratique régulièrement le sport : jogging, surf… Je travaille comme ingénieur technico-commercial dans l’informatique. Je suis amené à rencontrer un grand nombre de personnes pour des raisons professionnelles. Mais parfois, les rencontres tournent à d’autres types de relations… Mais toutes sont basées sur des faits réels. Seuls, les noms et les lieux ont été changés.

1- LA RENCONTRE

Récemment, je suis appelé par le commercial de la région

Ouest. Une université lui demandait des explications trop techniques pour qu’il puisse répondre. Je prends donc rendez-vous. Je serais reçu par Mme G…

Le jour du rendez-vous arrive. A 10 h précises, je frappe à la porte du secrétariat de l’université. Une gentille secrétaire, qui a depuis longtemps oublié d’être séduisante me reçoit. Je lui indique mon rendez-vous. Elle va prévenir Mme G… et me demande de patienter dans un petit salon. J’attends en lisant une revue qui a au moins six mois d’existence. Venant du couloir, un claquement énergique de talons attire mon oreille. Quelle femme peut-elle venir avec une telle vigueur ? A mon avis, elle est grande et fine.

J’adore jouer aux devinettes. Une jeune femme, environ 35 ans, de taille moyenne et gironde avance vers moi : Des cheveux châtain clair retombant sur ses épaules, des yeux bleu marine, une poitrine arrogante cachée dans un pull noir en cashmere, une jupe longue noire cachant ses jambes…

— M. Lamire ?

— Oui ! Mme G…

— Oui ! Venez dans mon bureau !

Et la voilà partie dans le couloir sur un rythme toujours aussi soutenu. Diable, une fonctionnaire énergique et volontaire…

Je la suis, ou plus exactement je la rattrape à grandes enjambées. Je suis du regard le mouvement de balancier de ses hanches. Assez attirant !! Mais revenons aux choses sérieuses…

Elle m’invite à m’asseoir dans un fauteuil en face de son bureau. Elle fait le tour et s’installe dans son fauteuil…

— Alors, M. Lamire, avez-vous fait bon voyage jusqu’à notre bonne ville ?

— Oui, très bon.

Bien nous passons directement au vif du sujet. Expliquez-moi le fonctionnement de votre logiciel ainsi que toutes ses astuces. J’avoue que je ne lui trouve pas autant d’avantages que votre commercial me le promet.

Je rentre dans les explications purement techniques qui deviendraient rapidement "barbantes" si je les développais ici et ne vous passionneraient pas du tout…

Pour plus de simplicité, je mets en fonctionnement mon micro portable et commence à expliquer les avantages du fameux logiciel.

Mme G… me pose beaucoup de questions pertinentes. De ma place, il m’est difficile de manuvrer les touches du clavier.

— M. Lamire, venez à côté de moi cela sera plus simple pour nous deux.

Devant cette facilité, je déplace ma chaise pour m’installer à côté d’elle. Aussitôt, elle s’appuie contre moi. Je sens sa poitrine ferme se poser sur mon bras. Pour ne pas me gêner dans les manipulations, elle pose son bras sur le dossier de mon siège. Elle se tourne légèrement vers moi. Je dois taper des instructions sur le clavier. A cet instant,

Mme G… se penche et se cambre. En regardant le clavier, je ne peux qu’admirer la magnifique vallée dévoilée par le décolleté de son pull. Elle doit porter un soutien-gorge pigeonnant, car une grande partie de ses seins est visible. Je continue mes explications. Je fais le mort. Me fait-elle du rentre-dedans ou bien ces contacts sont-ils accidentels ?? Les contacts viennent et reviennent régulièrement. Quelques minutes plus tard, sa cuisse vient toucher la mienne.

Je sens la chaleur à travers mon pantalon. Sans rien laisser paraître, j’écarte ma cuisse, rompant ainsi l’agréable contact. Instantanément, la cuisse revient au contact. Je regarde Mme G… Elle se tourne vers moi et me dit:

— Le contact ne vous plaît pas ??

— Non bien au contraire, mais je ne sais pas s’il est involontaire ou non…

— Il est parfaitement volontaire…

— Il est aussi très agréable, Mme G…

— Mon prénom est Charlotte.

— Il n’y a pas que le contact qui soit agréable, Charlotte…

— Ah bon, qui a-t-il agréable d’autres ????

— Un ravissant décolleté…

— Cela vous plaît

— Mon prénom est Jérôme…

— Il est 12 h 30 et nous pourrions peut-être aller déjeuner ?

— OK !!

— Je connais une petite pizzeria super sympa et très tranquille…

— En avant pour la pizza…

Nous quittons la faculté ensemble. Sur le parking, je lui propose de l’emmener avec mon véhicule.

Elle accepte. Je la conduis jusqu’à ma voiture. Elle est ébahie. Mon Audi TT gris métal la fascine. Je lui ouvre la porte. Elle s’assoit. En ramenant ses jambes dans l’habitacle, elle me laisse admirer un très joli point de vue. La jupe noire est très large. Elle glisse très haut sur les cuisses rondes. Je peux constater que Charlotte porte des bas. Son regard a suivi le mien.

— Vous avez les yeux baladeurs, Jérôme…

— Ils ne regardent que ce que l’on veut bien leur montrer… et ce fut très agréable, mais malheureusement beaucoup trop court…

Je ferme la porte avant qu’elle ne me réponde. Je fais le tour de la voiture et je m’installe dans l’étroit baquet. Je la regarde avec un sourire sur les lèvres. Elle se penche sur moi et me passe la main sur la joue. Me tenant par le cou, elle dépose ses lèvres sur ma bouche. Sa langue pointue s’insinue à travers mes lèvres à la recherche de ma langue. C’est un fougueux baiser qui nous laisse tous les eux un peu essoufflés.

— J’en avais envie depuis que je t’ai vu dans le salon.

— Je ne pensais pas avoir été aussi charmeur…

— Embrasse-moi encore…

Difficile de rester de marbre quand une jeune femme vous demande ce genre d’ordre. Je me penche sur elle et l’embrasse doucement, avec beaucoup de tendresse. Ma main gauche ne reste pas immobile. Elle part à la découverte, sous le trois-quarts beige de Charlotte.

Le premier contact est celui de son pull au niveau de la taille. Le pull est très doux. La main part plus bas et rencontre le bord des côtes. Immédiatement, la main remonte. Elle rencontre la chair nue, douce et chaude. Charlotte se laisse toucher. Mais dès que la main remonte plus haut, le bras la bloque.

— Non, pas plus haut, pas ici…

— Tu as réellement faim ?…

— Non pas vraiment…

— Où veux-tu aller ?

— On va chez moi… si tu veux…

— OK, guide-moi

Nous sortons du parking. Elle me guide à travers la circulation dense du déjeuner. Rapidement nous sortons de la ville. La banlieue est très jolie. Quelques kilomètres plus loin, elle me guide pour entrer dans une propriété. Un portail automatique barre le passage.

De son sac, elle sort la télécommande et le passage se libère. J’entre dans la propriété. Elle m’explique:

— Mon mari m’a quitté pour une jeunette de 20 ans. Mais il a été bon joueur, il m’a laissé la maison.

— Splendide… la maison…

Le portail du garage s’ouvre automatiquement. Merveille de la technologie. J’arrête le moteur. Charlotte descend et m’attend à l’arrière du véhicule. Elle me saute littéralement dans les bras. Un nouveau baiser nous unit. Son manteau laisse un passage à mes deux mains très avides de contact charnel. Aussitôt le pull est remonté. Les mains rencontrent de nouveau la peau douce et chaude. Elles remontent le long du torse, sans rencontrer aucune résistance. Puis une barrière de dentelle bloque l’ascension. Charlotte ne reste pas sans rien faire. Son bassin est collé contre le mien. Mon sexe a pris des dimensions honorables. Charlotte les trouve à son goût. Ses hanches viennent heurter mon bassin. Elles recherchent le contact de mon sexe, bloqué dans mon slip. Mes mains escaladent les deux collines jumelles blotties dans une dentelle. Sous cette parure mes doigts sentent les pointes de ses seins dardées. Ne me retenant plus, mes doigts accrochent le fragile rempart et tirent vers le haut. Les bonnets libèrent les deux sphères. Aussitôt mes mains s’en emparent. Je les caresse, les masse, tout en pressant entre l’index et le pouce les bouts turgescents. Son baiser devient de plus en plus fougueux. Elle me mange les lèvres. Sa langue explore ma bouche, n’hésitant pas une seconde d’écraser ma langue contre mon palais. J’arrive enfin à me libérer de l’emprise de ses lèvres. Elle aspire un grand bol d’air. Je me baisse. Ma bouche arrive au niveau de ses seins. Ils sont magnifiques, ronds, tendus. Ils ne tombent absolument pas. Leurs pointes grumeleuses dardent comme deux fraises. Pressant encore plus entre mes mains les deux globes, elles se gorgent encore plus de sang. Je saisis l’une d’elles entre mes dents et du bout de ma langue je la caresse. Charlotte me prend la tête entre ses mains et la presse contre ses seins. Je lui aspire la pointe, toujours en agaçant le bout. Charlotte jette sa tête en arrière. Elle feule comme une chatte en chaleur.

— Hum… c’est bon…

— Tu aimes ??

— Oui continue…

Je me décide à la faire sortir de ses gonds. Je rapproche les bouts de ses seins l’un contre l’autre. Je prends le deuxième bout dans ma bouche. Je les tète simultanément. Charlotte parle sans cesse.

Elle me demandant de ne pas m’arrêter. Je n’en ai nulle envie. Maintenant j’ai réussi à coincer derrière mes dents les deux petites boules. Ainsi, je ralentis le passage du sang et elles deviennent plus sensibles. Mais j’ai aussi les mains libres. Elles descendent le long du corps souple de la femme. Elles épousent la courbe des hanches, glissent sur les cuisses charnues. Pinçant le tissu, je remonte lentement la jupe. Je plisse le tissu dans ma main jusqu’à ce que le bas du vêtement arrive au niveau de mes mains. Lâchant la jupe, elles entrent en contact avec la parure des jambes. Des bas tendus sur une jambe au galbe parfait, rien de tel pour accentuer ma bandaison… Mon sexe est devenu douloureux d’être trop serré dans mon slip. Mes mains repartent à la découverte de Charlotte. Surprise !! Elle porte aussi un porte-jarretelles… Quel plaisir de sensualité de toucher la bande de peau libre juste au-dessus de la partie plus large du bas. Je profite de cette partie la plus douce de la cuisse. Ma main s’insinue entre les deux cuisses. La peau est de plus en plus douce, là en dessous du sexe. L’autre main part à la découverte des arrières de Charlotte.

Nouvelle surprise ! Elle porte un string. Ma main court sur la peau tendue de la fesse. Charlotte s’appuie contre la porte de l’escalier qui mène à l’étage. Elle lève la jambe pour me permettre d’explorer sa partie intime. Elle est là, le manteau sur les coudes, le pull relevé sous le menton avec le soutien-gorge. La jupe relevée jusqu’à la taille. Je saisis le lien qui passe entre ses fesses et je tire d’un coup sec. Un craquement sinistre se fait entendre. La bande a cédé entre les fesses. Je tire sur le triangle qui cache le pubis. Charlotte n’a pas perdu son temps. Elle s’acharne sur la boucle de ma ceinture. Elle s’attaque ensuite à mon pantalon. Elle a découvert la fermeture éclair. Le zip sonore déchire l’air. Elle tire sur l’élastique de la ceinture de mon slip. Sa main force le passage et se saisit de cette chose dont elle a une très grande envie.

D’elle-même, elle me tire par la bite vers elle. Elle se met sur la pointe du pied et place sa cuisse droite sur ma hanche. Elle me guide en elle. Le mufle de mon sexe trouve rapidement la fente humide cachée derrière une fine forêt de poils. Les deux lèvres sont là, poisseuses de mouille. Charlotte pousse le bassin en avant. Moi aussi de mon côté je pousse en avant. J’entre dans une grotte chaude et humide, douce et accueillante. Charlotte crie:

— Baise-moi ! C’est trop bon !

Difficile de refuser une telle invite pour un mâle normalement constitué. Je commence à pilonner le sexe féminin de ma matraque. Charlotte apprécie de se faire ramoner la chatte debout contre une porte. Mais, malgré sa demande, je n’aime pas massacrer une femme dès le début de la pénétration. Il faut habituer le sexe à la pénétration d’un sexe masculin. Je me retire doucement et je place mon gland juste à l’entrée de sa grotte. Là, bien en place, je commence un très lent va-et-vient. Charlotte me saisit par les cheveux et tire ma tête en arrière. Elle cherche sa respiration. Sa bouche est grande ouverte. Elle bloque sa respiration, toute au plaisir que je lui procure.

— Viens ! Laisse-toi aller ! Je prends la pilule !

— Attends encore un peu… Profite de l’instant présent…

Je sens son sexe se contracter sur le mien. Son vagin est une main qui me presse la verge. Elle me mange encore une fois la bouche.

Je ne peux plus me retenir. Je sens les spasmes de l’éjaculation arriver. Charlotte aussi. Elle s’accroche à mon cou et place son autre cuisse sur ma hanche. Je la porte sur ma queue. Je la cloue littéralement sur la porte. Elle écarte encore plus les cuisses pour favoriser encore plus mon intromission. Je bute au fond de son sexe. Elle crie des insanités:

— Tu es un salaud… tu me baises bien à fond… vas-y décharge ta purée…

J’éjacule au fond d’elle. Je la plaque contre le battant de la porte. Mon sexe est énorme et bute comme son utérus.

Quelques instants plus tard nous reprenons nos esprits.

Ses cheveux sont collés sur son front et sa coiffure a été malmenée.

— Merci Jérôme… J’en avais très envie !!! Je me suis conduite comme une chienne… que vas-tu penser de moi ??

— Je vais penser que tu es une femme qui n’a pas fait l’amour depuis longtemps…

— Ça c’est vrai, presque un an…

— Ceci explique cela…

— Que veux-tu dire ?

— Tu étais en manque et le premier qui est passé a été le bon…

— Salaud ! Ton regard m’a fait chavirer dès que je l’ai croisé. Mais je pense que cela t’a plu de baiser une salope…

— Très juste !!

— Vite on va manger, car je t’ai amené ici pour manger, je te le rappelle…

Nous nous séparons. Elle met sa main en coquille entre ses cuisses.

— Je vais en mettre partout, avec la dose que tu m’as mise…

— Ah bon, tu n’es pas étanche…

— Tu es un vrai salaud, mais j’aime.

Arrivés en haut de l’escalier, elle nous conduit à la salle de bains. Elle se débarrasse de sa jupe et des restes de son string et fait couler de l’eau tiède. Prenant un gant de toilette et du savon liquide, elle nettoie doucement et avec précaution mon sexe. Une fois propre, elle le prend en bouche et m’administre une savante fellation. Appuyé sur le meuble, je profite de la caresse. Mon sexe reprend des dimensions honorables.

— Ton "mickey" est un gourmand… plus il en a plus il en veut…

Et elle me laisse en plan la queue à l’équerre. Elle se lave en me regardant et en riant.

— Reprends des forces pour le café des pauvres…

Elle enfile un peignoir court de soie noire. Elle ne porte que ses bas et son porte-jarretelles. Elle me prête un peignoir de son ex.

Un peu trop petit dans tous les sens, sauf pour la taille.

— Mon ex avait du ventre !!!

Nous rions et nous dirigeons vers la cuisine. J’en profite pour la tenir par la taille et j’apprécie la rondeur de ses hanches et de ses fesses. Elle aime.

Nous expédions rapidement le repas avec une pizza et un fruit. Nous débarrassons la table. Charlotte pose les couverts dans l’évier en passant par-dessus le comptoir de sa cuisine américaine. Elle se dresse sur la pointe de ses pieds et se penche en avant. Irrésistible !! Sa croupe tend le peignoir. Je ne résiste pas. Je me colle contre son dos. Ma bite est dressée au garde à vous. Surprise quelques secondes, Charlotte cambre son cul. Les mains posées sur ses hanches, je sens son désir. Ses fesses s’ouvrent. Elle jette sa tête en arrière sur le côté pour m’embrasser. Je réponds à cette invite. Mes mains relèvent la soie noire. Magnifique découverte !! Le cul est là rond, tenu vers ma queue tenue. Il est blanc encadré par les jarretelles, les bas et le peignoir relevé.

— Prends-moi comme ça !!

Difficile de refuser un tel ordre…

Ma bite pointe son gland à l’orée de la grotte intime.

Elle est déjà ruisselante de cyprine. A peine appuyé sur l’entrée, il est littéralement aspiré par le sexe féminin. Je l’empale. Je la pénètre lentement jusqu’à sentir le fond de son sexe. Elle se donne encore plus. Elle se penche encore. Ses mains se cramponnent au guichet. Elle est à l’équerre.

— Baise-moi… vas-y… bourre-moi…

Je la pilonne par de grands va-et-vient lents et puissants. Soudain elle crie. Elle hurle son plaisir. Je la sens perdre toute retenue. Elle glisse. Si je n’ai pas le réflexe de passer mon bras sous son ventre, elle serait déjà affalée à quatre pattes sur le carrelage. Je la pose doucement. Je suis toujours en elle. Elle sanglote. Je sors d’elle. Je la retourne et l’embrasse tendrement au coin des lèvres.

La laissant reprendre ses esprits je vais me laver.

Elle arrive. Les larmes ont fait couler le maquillage.

— Je suis horrible… c’était trop bon… il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé de jouir autant…

— Tu me flattes…

— C’est vrai… il y a trop longtemps que je n’avais pas connu la petite mort…

Nous nous lavons car l’heure avance et il est temps de repartir vers le travail. Sur le chemin nous échangeons nos adresses mail et nos téléphones portables. Je la laisse devant l’entrée du bâtiment où se trouve son bureau. Elle me fait promettre de l’appeler rapidement.

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