Les vacances quils avaient passées ensemble avaient sans doute été les plus chaudes de toutes leur existence et, ni les uns ni les autres, navaient envie de mettre un frein à la sexualité débridée quils avaient connu tous les six. Cest pourquoi, en rentrant de Vendée, les Beaudard et les Grossein prirent la décision de rassembler leurs deux maisons en une seule en faisant faire plusieurs ouvertures permettant de réunir certaines pièces comme les deux salons, les deux cuisines et les deux salles de bain, ainsi que les couloir de létage. Le projet final ne conservait plus quun seul escalier, lautre étant transformé en puits de lumière et un seul WC, lautre devenant un débarras. Bien sûr, cela ne pouvait pas se faire tout de suite car il fallait trouver les entreprises adéquates et au mois daoût la plus part sont en congés annuels.

En attendant, de pouvoir mettre en route le projet, chacun resta chez soi, à lexception de Lilian qui restait attaché au plaisir de Jade et qui sinstalla donc chez le Grossein. Les vacances étant belle et bien finies pour tout le monde, tout le monde reprit son travail. Même Jade et Lilian sétaient trouvés des jobs détudiant. La jeune fille avait été pistonnée par son père pour travailler dans le service darchives dune importante société dans laquelle Charles intervenait comme consultant. Quand à Lilian, il faisait le caissier dans un supermarché voisin. Le soir, ils se retrouvaient soit chez les Beaudard soit chez les Grossein pour dîner et passer ensemble la soirée. Au moment de se coucher, les couples parentaux restaient le plus souvent dans leur forme légitime (Charles avec Bénédicte et Jean avec Martine) mais, il arrivait aussi quils fassent des échanges de partenaires. Dune manière générale, Martine passaient au moins une nuit par semaine avec Bénédicte et une autre avec Charles. Seuls les enfants ne participaient pas à ce joyeux mélange, Jade ne voulant pas se séparer de son jouet pour la nuit.

Quand le réveil sonna, ce premier lundi daoût, Lilian eut bien de la peine à ouvrir les yeux. Il était sept heures du matin et seule Jade avait vraiment besoin de se lever si tôt. Elle était un peu stressée à lidée daffronter sa première journée de travail.

Allez, Lilian, réveille-toi ! Dit Jade en le secouant. Il est sept heures, faut que je me lève.

Mmm, mais pourquoi ? Je ne commence quà dix heures, moi

Oui mais jai besoin de toi. Sinon, je ne serais jamais prête à temps pour mon métro et je serais en retard au boulot. Bouge toi un peu, jai envie de faire pipi.

Coutumier des désirs de Jade quil servait aveuglément, Lilian se plaça sur le dos, la tête au milieu du lit et ouvrit la bouche. Sa jeune compagne saccroupit au dessus de son visage, écarta de deux doigts les lèvres de son sexe et libéra sa vessie en fermant les yeux de plaisir. Tout en pissant, elle continua à parler à son chéri.

Pendant que je prends ma douche et que je mhabille, je veux que tu me prépares mon petit-déjeuner.

Lilian ne pouvait pas répondre, trop occupé à boire la miction qui lui remplissait la bouche. Une fois que Jade se fut relevée et rendue dans la salle de bain, Lilian se précipita vers la cuisine pour lui préparer du thé et des tartines grillées. Il pressa également des oranges et fit cuire deux ufs sur le plat. Il avait envie de pisser mais il nen avait pas encore demandé lautorisation à Jade.

Mmm, ça sent bon, cest pour moi tout ça ? Fit la jeune femme en arrivant toute pimpante dans la cuisine. Tes vraiment un amour.

Merci, ma Chérie, mais tu sais que je fais toujours ce que tu me demandes.

Oui, je sais, tu es un esclave très obéissant, jai beaucoup de chance. Tu peux manger avec moi, sil te plait, il y en a trop pour moi. Un seul uf me suffit.

Oui, cétait prévu mais

Mais ?

Et bien, avant, jaimerai aller faire pipi, si tu my autorises.

Pipi ? Tu nas quà faire dans la carafe deau ; elle est vide et ça te fera ta boisson parce que là, jai tout juste assez de thé.

Ne fais pas cette tête, mon Doudou, je sens que ça va me mettre en forme de te voir tremper tes tartines dans un bon bol de pisse. Je suis sûre que je vais en mouiller ma culotte.

Je suis tout à tes ordres, mon Amour, tu le sais. Répondit Lilian en introduisant son gland dans le goulot de la carafe.

Tu ne mas pas dit si je te plaisais comme ça ? Tu me trouves comment ?

Tu es très belle, je ne savais pas que tu avais une jupe tailleur si élégante, et puis avec tes chaussures à talons et tes bas tu fais vraiment plus femme.

Pourquoi ? Je ne fais pas femme, dhabitude ?

Je nai pas dis ça, seulement là je ne sais pas ça fait classe. Tu es comment dire comme une femme daffaire mais sans faire vieille, tu vois ? Tu risques dexciter ton patron, fais-moi confiance.

Jespère bien, et pas que lui, si jen juge par ta bite Branle-toi !

Co comment ?

Je tai demandé de te branler, tu sais faire, non ? Moi, cest pas que jnen ai pas envie, mais Si je te suce, je vais devoir remettre du rouge-à-lèvres et si tu me sautes, je risque dêtre en retard.

Mmm, oui je suis sûr que tu vas te faire sauter par un de tes nouveaux collègues, dit Lilian en se masturbant debout face à Jade, ou peut-être même ton patron Mmm

Cest probable, papa ma dit que cétait un client important. Il ma demandé de bien me tenir, dêtre dévouée et zélée. Je lui ai promis dêtre toujours souriante et très ouverte

Tes une cochonne ton job, en fait, cest à quatre pattes dans les archives Aaah, cest ça ?

Cest bien possible mais en vrai, jnen sais rien. On nma rien dit sur mon travail exact et je nai encore jamais rencontré le patron. Maman ma dit quil était charmant, alors même si je dois passer un mois sous son bureau, tant que je suis payé, ça me va.

Oooh tu tu vas me faire pousser les cornes alors ? Aaaah Ah oui, putain

Ça texcite, hein ? Oui, branle toi bien, je sens que tu y es presque Tu jouiras sur ta tartine. Oui, y a des chances pour que je te fasse vraiment cocu ces temps ci.

Aaaah Oh, putain ! Oh oui Aaaaah

Et ben mon cochon ! Tavais les couilles bien pleines, on dirait. Bon, je file. A ce soir ! Dit elle en lembrassant amoureusement. Et lave toi bien les dents et la bouche, tas une haleine de fennec !

Jade partie, Lilian se trouva un peu ridicule devant son bol et sa tartine mais sa soumission à sa compagne étant sans limite, il fit comme sil sagissait de thé et de confiture.

Jade arriva avec quelques minutes davance à lentreprise de Monsieur Jacques Labitte. Elle se présenta à laccueil où une hôtesse standardiste était déjà active. Cétait une jeune femme brune et frisée, de taille moyenne, bien proportionnée avec une poitrine avenante. Elle portait un tailleur dont la veste était ornée du logo de lentreprise. A sa boutonnière elle avait un badge indiquant ses noms et prénoms ainsi que sa fonction. Son chemisier blanc était ouvert sur trois boutons et laissait apparaître le haut de sa poitrine et de son soutien-gorge pigeonnant. Jade ne put sempêcher de la trouver sexy et élégante.

Bonjour Mademoiselle, vous désirez ?

Euh, bonjour Madame, je suis Jade Grossein ; jai rendez-vous avec Monsieur Labitte.

Oui, il ma prévenue. Il vous attend, répondit la jeune femme en souriant, suivez-moi, je vous accompagne.

Merci, je vous suis, Madame.

Oh, pas de Madame entre nous, dabord je ne suis pas mariée et ensuite je ne suis quune simple standardiste. Si nous devons être collègues, appelez moi Fatiha.

Daccord Fatiha, moi cest Jade.

Je sais, vous vous êtes déjà présentée en arrivant, répondit Fatiha en riant gentiment.

Cet échange avait détendu Jade et cest avec un certain plaisir quelle suivit la jeune maghrébine quelle trouvait plus belle à chaque pas. Quelques instant plus tard, la standardiste frappa à la porte du bureau du directeur et, après avoir reçu lautorisation douvrir, y introduisit Jade. Jacques Labitte attendait assis derrière son bureau, cétait un homme mûre de cinquante-sept ans, grand et costaud. Il avait des cheveux bruns légèrement avec les tempes légèrement grisonnantes, des yeux noirs profonds. Très élégant, il paraissait fort et puissant et semblait doté dune autorité naturelle immédiatement perceptible.

Monsieur Labitte, voici mademoiselle Grossein que vous attendiez.

Ponctuelle. Cest un bon point. Merci, Mademoiselle Latouff, vous pouvez retournez à votre poste.

Asseyez-vous, Mademoiselle Grossein, javoue que jai accepté de vous embaucher pour un mois sans savoir trop bien à quoi jallais vous occuper.

Oh, je croyais que vous aviez besoin de quelquun aux archives ou quelque chose comme ça

Voyez-vous, en août, nous tournons avec des effectifs plus restreints et toute lactivité est ralentie. Nous avons très peu de commandes et peu de besoins, larchivage nest sans doute pas une priorité, alors sachez que cest plus par amitié envers votre père que jai accepté de vous prendre. Mais rassurez-vous, nous trouverons bien à vous occuper.

Vous men voyez très honoré, Monsieur, je ferai tout ce que vous voulez.

Tout ce que je veux ? Cest un peu risqué, vous ne trouvez pas ? Surtout quand cest prononcé par une jeune femme aussi séduisante que vous.

Vous Excusez-moi, répondit Jade en rougissant. Je

On ne vous a jamais dit que vous ressemblez à votre maman ?

Oh, heu si, des fois

Jaime beaucoup Bénédicte, elle est toujours très attentionnée et généreuse. Dit-il en repensant à quelques chaudes soirées passées avec les parents de la jeune fille. Mais revenons à vous ; accepteriez-vous de répondre à quelques questions ?

Oui, bien sûr.

Avez vous un petit ami ?

Pardon ?…

Je vous demande sil y a un garçon ou un homme dans votre vie. Avez-vous un petit ami ?

Oui Monsieur, jai un petit ami

Vous laimez ?

Oui, beaucoup Répondit Jade en rougissant.

Et lui ? Il vous aime ?

Oui, on est très amoureux et complémentaires aussi.

Il vous fait jouir ?

Et bien ? Mes questions vous dérangent, on dirait.

Oui Non ! Enfin, cest que je ne mattendais pas à ce type de questions.

Cest vrai, cest un peu déstabilisant. Alors, commençons par des questions moins indiscrètes. Comment sappelle votre petit ami ?

Lilian, Monsieur

Lilian, parfait Alors est-ce que Lilian vous fait jouir ?

Oui, Monsieur, Lilian me fait jouir, il enfin, il est très endurant.

Cest très bien, Mademoiselle, je vois que vous êtes capable de répondre franchement. Souhaitez-vous continuer ?

Cest vous qui décidez, Monsieur, je ne me permettrais pas de refuser quoi que ce soit ; jai promis à Papa dêtre toujours souriante, motivée, ouverte, dévouée et zélée et vous mavez fait comprendre que cet emploi était une générosité de votre part. Je ne voudrais pas vous décevoir. Je suis à votre service.

Tu as conscience de la provocation de tes propos ? Tu te rends compte que ça pourrait minciter à te demander de faire des choses peu convenables ?

Je le sais, Monsieur, jen ai conscience.

Voudrais-tu retirer ton chemisier et ta jupe que je vois ce que tu portes en dessous ?

Sans un mot, Jade se leva et retira les vêtements que Jacques lui demanda dôter. Elle ne portait plus que ses chaussures à talon, ses dim-up, un string en dentelle blanche et le soutien-gorge assorti qui contenait mal sa lourde poitrine. Jacques la trouva encore plus désirable. Il lui demanda de sagenouiller à côté de lui et, quand elle fut en position, il se leva et en écartant les pans de son veston et se tourna vers elle. Jade avait sous les yeux le pantalon déformé de son directeur. Elle navait pas besoin de recevoir dordre, elle savait ce quil attendait. Tout doucement, elle défit la ceinture, dégrafa le pantalon et plongea sa main dans son slip pour en extraire une large bite déjà bien raide quelle pompa aussitôt. Elle devait faire des efforts pour y arriver car, si Lilian tenait jusque là le record de ce quelle avait connu, il était maintenant détrôné. Elle avait beau faire tout ce quelle pouvait, elle nen rentrait pas la moitié. Un sourire de carnassier illumina le visage de Jacques qui posa ses mains derrière la tête de sa nouvelle recrue pour laccompagner dans son travail. Sans aucun scrupule, il lui força la gorge pour senfoncer plus loin. Il allait et venait dans la bouche et à chaque coup progressait plus profondément dans le gosier de la jeune fille et ce nest pas sans satisfaction quil réussit enfin à lui faire avaler complètement son gourdin. Jade subissait, les larmes aux yeux, mais ne faisait rien pour len empêcher de violer sa bouche.

Jade avait espéré goûter rapidement de nouvelles bites au cours de cette première journée de travail, mais elle navait pas imaginé que ça ce passerait aussi vite. Jacques, quand à lui, avait seulement misé sur la ressemblance qui existait entre la mère et la fille en pariant sur le fait quelles étaient aussi salopes lune que lautre. Le fait quelle lui propose de faire tout ce quil voulait avait été un signe favorable. Sil avait tendance à jouir dun « droit de cuissage » avec certaines de ses employées, il navait pas pour habitude dêtre aussi direct lors dun entretien. En cas déchec, il avait prévu de dédommager la jeune fille en lui payant son mois de travail et sétait même préparé à présenter ses plus plates excuses à Charles et Bénédicte. Il ignorait complètement que depuis le mois précédent, Jade faisait régulièrement lamour avec eux et avec leurs amis Jean et Martine et quil ne tarderait pas à la croiser de nouveau avec Lilian dans des soirées libertines.

Jacques prenait son pied dans la gorge de Jade mais rapidement il eut envie dautre chose. Il la fit se relever et se pencher sur son bureau. Dans cette position, la jeune fille lui présentait son cul et sa vulve à peine masquée par son string détrempé. Jacques lui retira ce dernier rempart ; agenouillé derrière elle, il ne put sempêcher de goûter à son abricot imberbe et gonflé de désir. Jade avait écarté les jambes pour lui faciliter laccès et sa langue agile parcourait sa fente du clitoris au périnée et prolongeait même sa route jusquà son petit anus rose et plissé. Cet étalage de chair fraiche lexcitait au plus haut point ; il avait limpression que sa bite avait doublé de volume. Il se délecta encore un peu de ce jus de jeune chatte, arrachant au passage quelques gémissements de plaisir à la demoiselle quil lutinait, puis il se redressa et lembrocha. Sa verge tendue à en craquer se fraya son chemin entre les lèvres vaginales et vint remplir intégralement la chatte de Jade qui en cria de surprise. Jacques avait besoin de se déchaîner, il lui défonçait la chatte à grands coups de bite. Son gland épais butait à chaque enfoncée contre le col de lutérus. Jade était partagée entre douleur et plaisir mais peu à peu son vagin prit les dimensions du pénis qui la perforait et la douleur sestompa au profit du plaisir. Ses orgasmes étaient bruyants, elle sagrippait au bureau, froissait les papiers qui sy trouvait et hurlait de plaisir. Jacques la ramonait sans ménagement ; il avait besoin de libérer sa tension. A chaque aller-retour il voyait son anus souvrir, il y appuya un pouce qui senfonça sans peine, aspiré par ses mouvements et en sentant son pénis en action, il éjacula dans un râle puissant au fond de la chatte de Jade.

Il était 19h30, le supermarché fermait ses portes et Lilian faisait sa caisse. Il naurait jamais cru que ce boulot, pourtant minablement payé, pouvait être si éprouvant. Il ne comptait plus le nombre de clients mécontents, râleurs et insatisfaits qui avaient passé leurs nerfs sur lui en passant à sa caisse. Alors que sa chef lui avait dit que pour un premier jour il sen était bien sorti, plus de la moitié des gens quil avait croisé lui avaient reproché sa lenteur et son manque de connaissance des prix quand un article ne passait pas, à commencer par ses deux collègues des caisses voisines. Il était lessivé et ça pouvait se lire sur sa mine quand il arriva à la maison. Jade, Bénédicte, Charles et ses parents prenaient lapéritif en lattendant. Ils étaient tous nus et paraissaient détendus. Lilian signala son arrivée et esquissa un sourire fatigué en retirant ses vêtements.

Et bien, mon Chéri, ten fais une tête ! Lui dit Jade en le voyant arriver. Quest-ce qui tarrive ?

Pff, rien, chuis mort crevé, voilà tout. Jnaurais jamais cru que cétait un taf aussi épuisant.

Tu devrais aller te prendre une douche avant de passer à table, mon Trésor, lui dit sa mère. Jai préparé des lasagnes comme tu aimes.

Ouai, tas raison je reviens dans 5 minutes.

Jean, tas vu sa tête ?! Interrogea Martine dès que son fils eut disparu dans la salle de bain. Si cest comme ça le premier jour, quest-ce que ce sera à la fin du mois ?

Que veux tu que je te dise ? Les enfants ont voulu travailler et bien voilà ! Lilian découvre ce que cest que dêtre prolétaire. Ça ne peut pas lui faire de mal. Caissière, cest un travail à la chaine, cest dur, fatigant et mal payé mais cest un travail. Les jobs détudiant, cest vite vu ! Fast-food ou supermarché, il ny a pas beaucoup dalternatives.

Tu aurais quand même pu laider à trouver quelque chose de mieux, non ? Regarde Jade, Charles la pistonnée dans une boite et elle rentre épanouie !

Tu sais, Martine, cest sans doute pas la même chose Dit Jade en rougissant.

Oh, tu sais ma petite, je connais Jacques, moi aussi ! Et je me doute que ton épanouissement nest pas lié à ta charge de travail, à moins que Mais il faut bien reconnaître que quand on a des enfants intellectuels, on les mets pas comme ça aux manivelles sans les avoir préparé à ce qui les attendaient.

Et toi ? Tu pouvais rien faire pour lui ? Pourquoi moi ? Reprit Jean énervé.

Parce que moi, je bosse dans une petite étude notariale qui nembauche personne en remplacement pendant les vacances ! Mais toi ! Il me semble quand même que tu diriges un atelier darchitecte, non ? Tas des contacts avec de grosses entreprises, des mairies et ce que je sais encore taurais pu lui trouver un job de bureau ! Non ?!

Eh, te fâches pas, Chérie, la plupart des boites avec lesquelles je bosse sont fermées en août ou tournent au ralenti. La majorité de mes collaborateurs sont en vacances, il y a peu dappel doffre parce que cest aussi les vacances des collectivités territoriales alors jen profite pour superviser les projets en cours, classer des dossiers, ranger les paperasses et répondre à quelques appelles doffres internationales. En bref, je clos lannée et je prépare la suivante. Cest tout.

Et vous êtes combien pour faire ça ?

Et bien dhabitude, on est trois mais cette année, on est deux. Et alors ?

Et alors ?! Fit Martine vraiment fâchée. Et alors ?! Non mais tu te rends compte de ce que tu dis ! Tu aurais pu employer Lilian et tu ne las pas fait ! Putain, Jean, cest quoi de payer un smic à ton gamin pour faire du tri et de lordre dans ton étude, tu peux me dire ?!

Martine, Chérie, le problème ce nest pas ça

Cest quoi alors ?! Cest quoi le problème ?!

Cest son cul, jny résiste pas Sil bosse avec moi, je ne vais voir que son cul

Oui, aujourdhui, mais quand il cherchait, tu ne lavais encore jamais baisé son cul, alors pourquoi tu ne lui as pas proposé de venir travailler pour toi ? Et sinon, au club de foot ?

Mais, il ny a rien au club en août, ça reprend à la rentrée, tu le sais bien. Même si sétait avant, je naurais pas pu tenir de voir son cul toute la journée Tu sais depuis combien de temps jen rêve.

Et bien, rêve ou pas, si ce job doit lépuiser à ce point, je veux et jexige que tu lembauches. Cest clair ?

Jai le choix ?

Non ! Non, tu ne las pas.

Jade et ses parents avaient assistés sans voix à la scène de ménage. La jeune fille réfléchissait ; avec Lilian, ils avaient projeté de partir un mois en Guadeloupe en septembre parce que cétait la saison la moins cher et que leur rentrée nétait quen octobre. Au départ, ça devait être un voyage en amis mais depuis le mois de juillet, cétait devenu comme un voyage de noces et cest pour soffrir ce rêve quils travaillaient tous les deux. Leur budget était serré mais ils savaient quavec deux salaires minimum, ils nauraient pas de souci. Ils pourraient rembourser le prix des billets à leurs parents et se loger sur place. Ils avaient déjà réservé une location en Grande-Terre qui rentrait dans leur budget. Par contre, ils savaient que pour la bouffe, il ne leur resterait presque rien et que tout plaisir du type location de voiture ou restaurant leur serait interdit. Par contre, depuis que son patron lavait baisée, elle était montée en grade et le poste fantôme dont il avait parlé à son père sétait transformé en autre chose dont elle avait décidé de parler à table. Le seul point important était que ce poste allait lui rapporter plus de deux fois le smic et que pour pouvoir louer une voiture, ils auraient besoin du salaire, même minimum, de Lilian. Si sont père lembauchait, peut-être le payerait il mieux quun grand groupe de la distribution. Elle lespérait sincèrement et se dit que ce serait sans doute possible si elle était solidaire avec Martine.

Tu sais, Jean, je préfère avoir un homme qui rentre le soir à en ayant plein le cul de sêtre fait enculé physiquement quun homme qui rentre épuisé pour sêtre fait pompé la moelle par un système dexploiteurs. Expliqua Jade. Je ne sais pas si tu me suis.

Si, je comprends bien, répliqua Jean, tu te ranges du côté de Martine, cest ça ?

Oui, cest ça ! Jai pas envie davoir une lavette le soir au plumard et si se boulot doit le détruire alors, je préfèrerait quil en fasse un autre ! Moi, Papa ne pouvait pas membaucher, il est tout seul dans sa boite et il na besoin de personne. Mais toi ? Vous êtes combien dans ton cabinet darchitectes ? Quatre, cinq ?

Sept, répondit Jean penaud. Cest vrai que jaurais pu lemployer même à un peu plus du smic. Mais aujourdhui, cest plus dur

Pourquoi ? Demanda Charles. Parce que tu as peur de ne pas décoller de son cul ?

De quel cul vous parlez ? Demanda Lilian en revenant de sa douche.

Du tien mon amour, lui répondit Jade avec tendresse. Viens membrasser, Chéri, jai tant besoin de toi.

Moi aussi, mon amour, si tu savais

Bon ! Fit Martine, vous aurez toute la nuit pour vous câliner mais maintenant, on passe à table.

A table Lilian expliqua ce quil avait fait de ça journée de travail, ça ne lui prit pas trop de temps vu le caractère répétitif de son activité. Il expliqua aussi que son emploi du temps était à géométrie variable et quil lui était donné le lundi pour une période de sept jours jusquau lundi suivant. Pour la semaine qui venait, il naurait pas tant dheures que ça en semaine car lessentiel de ses heures étaient concentrées sur le vendredi soir, le samedi et le dimanche matin. Cette nouvelle mit Jade en colère.

Quoi ?! Tu vas faire du 8 heures-20 heures samedi et te retaper encore 4 heures dimanche matin ?! Mais cest dégueulasse ! Ils nont pas le droit.

Sil le font cest quils ont le droit, Chérie, répondit Lilian penaud. De toute façon jnai pas le choix.

Non mais, tu vois ça, Jean ? Interrogea Martine partageant la colère de Jade. Il na que des horaires à la con et il perd ses week-ends Et toi tu ne dis rien ?!

Quest-ce que tu veux que je te dise Cest comme ça.

Jean, fit Charles, tu as reconnu tout à lheure que tu pourrais avoir besoin dune aide à ton étude, alors pourquoi tu fais tant de chichis ? Quest-ce quon en a à foutre que tu passes la moitié de tes journées à lenculer au travail. Pense un peu aux petits, bon sang !

La belle affaire, répondit Jean, pendant un mois Lilian va aller bosser le soir de 18 à 20 heures et le samedi et le dimanche matin. Cest pas la mort, bon sang ! OK, ils se verront moins et il sera peut-être un peu fatigué en rentrant mais à leur âge on a de la ressource et ils se rattraperont en Guadeloupe !

Jean, tes vraiment impossible ! Sécria Bénédicte. Depuis le temps quon se connaît, je naurais jamais cru ça de toi ! Cest pas le cul de Lilian le problème, cest toi !

Ça y est, tout le monde est contre moi Oui, Béné, cest moi le problème. Si Lilian bosse avec moi je ne pourrais pas mempêcher de vouloir son cul

Et alors, puisquon ta dit que tout le monde sen fout !

Oui mais il y a Rémi Couille, mon collègue, faut que je lui en parle et puis Je ne sais pas trop. Imaginez quil se rende compte que je baise avec mon fils.

Parce que tu vas nous faire croire que tu nas jamais rien fait avec tes collaborateurs ? Demanda Martine qui connaissait la réponse. Tu te moques de moi ?

Euh, Maman, interrompit Lilian, excuse-moi mais pourquoi cette conversation ? Papa mavait déjà dit nom en mai quand je lui avait demandé sil y avait du travail pour moi à létude.

Cette question innocente porta le coup de grâce aux défenses de Jean. Il comprit que sil nobéissait pas à la demande de son épouse et de leurs amis, il risquait de passer définitivement pour un imbécile jaloux et égoïste. Et cétait bien de ça dont il sagissait car il connaissait parfaitement les goûts de Rémi et il savait que le cul de Lilian allait lui plaire

Bon, vous avez gagné. Je mexcuse Lilian car ton aide pourrait nous être précieuse en ce moment, avec Rémi on a trop de choses à faire et ta présence serait vraiment utile. Si jai refusé depuis le début, cest par jalousie.

Comment ça ? Par jalousie, fit Lilian incrédule.

Et bien, tant que je navais pas encore profité de ton cul, et Dieu sait sil mexcitait déjà, je navais aucune envie de voir un de mes collaborateurs en profiter et maintenant que jen profite à ma guise, jai jai limpression que tu mappartiens. Cest de la jalousie.

Pourquoi ? Parce que tu crois que Rémi voudra menculer ?

Cest sûr, tu vas lui plaire, tes tout à fait son genre. Excusez-moi, je sais que je naurais jamais dû réagir comme ça. Dès demain, tu viens avec moi et tu envoies ta démission au supermarché. Ça te va ?

Si ça me va ? Tu rigoles ! Cest génial, tu veux dire. Répondit Lilian en se précipitant pour embrasser son père.

Mais attention, faudra quand même bosser, tu sais.

Tout ce que tu voudras ! Ce sera de toute façon moins pénible que la caisse.

Et tu seras mieux payé, cest sûr. Je ne peut pas encore te dire combien car je dois voir ça avec Rémi demain matin mais ce sera au moins une fois et demi ton salaire de caissière.

Bon ! Et bien voilà ! Dit Martine satisfaite. Quand on parle ouvertement des problèmes, on trouve toujours une solution.

Et toi, ma Chérie, demanda Lilian à Jade, tu ne nous a pas raconté ta journée ; cétait bien ?

Cétait super ! Bien au delà de mes espérances, en fait.

Jade raconta en détail son arrivée et son premier contact avec Jacques Labitte, son directeur. Lilian écoutait médusé dentendre avec quelle rapidité sa chérie avait offert ses appâts à cet homme au sexe apparemment si gros. Elle insistait bien pour dire quelle navait jamais rien connu de si énorme et quelle avait tellement joui quelle ne sétait pas rendu compte quelle froissait et mordait tous les papiers à sa portée sur le bureau.

Quand il a joui, on est resté là quelques instants qui mont paru des heures. Javais du mal à reprendre mes esprits et à réaliser ce que je venais de faire. Finalement, cest lui qui ma sortie de ma rêverie en me disant : « Et bien ma petite Jade, je crois que vous allez faire une employée modèle. Regarder ce document que vous avez pratiquement déchiré, lisez-le ». Alors jai déchiffonné les feuilles et jai commencé à lire. Javais toujours sa bitte amollissante dans la chatte et ça me provoquait détranges sensations. En fait, il sagissait de mon contrat de travail sur lequel il était précisé que jaurais la fonction de stagiaire archiviste et quand jen suis arrivé là, il ma demandé darrêter. « Ce contrat nest plus bon, dans létat où il est, il doit être intégralement retapé. » A-t-il dit, avant de me demander de lui passer le téléphone qui se trouvait à ma portée. Il a ajouté quil ne souhaitait pas que je bouge tant quil ne my autoriserait pas. Je lui ai donné le téléphone et il a appelé une secrétaire qui a débarqué dans le bureau dans les secondes qui ont suivies. Je crois que je ne me suis jamais sentie aussi male. Jétait affalée sur le bureau, à moitié à poil, le cul en lair et lui refermait son froc. Il a annoncé à la fille qui était entrée que jallais travailler avec elle au secrétariat. Elle ne paraissait absolument pas choquée par la situation et semblait plutôt ravie de ne plus être toute seule au secrétariat. Cétait très bizarre.

A mon avis, elle doit déjà avoir été baisée par ton directeur, fit Lilian amusé. Cest sûr.

Oui, cest le cas, reprit Jade, donc Jacques nous a présentée lune à lautre, jai eu lautorisation de me relever et de remettre ma jupe et mon chemisier mais il a gardé ma culotte. Alice, ma collègue ma attendue pour me conduire dans le bureau voisin de celui de Jacques ou est rassemblé le secrétariat et mon premier travail a été de retaper mon contrat. Jétais toute heureuse, surtout que Alice est très sympa. Elle ma appris un code de lentreprise rigolo et assez simple qui est le suivant : les femmes qui acceptent de satisfaire les désirs sexuel du patron on le droit de lappeler « Monsieur Labitte » ou « Jacques » dans lintimité et les autres doivent employer « Monsieur le Directeur ». Il parait que celle que je remplace est proche de la retraite et lappelle « Monsieur le Directeur » alors que Alice et Déborah que je rencontrerais dans quinze jours, tout comme Fatiha lappelle « Monsieur Labitte ». Cest marrant, non ?

Oui, enfin avec ce genre de distinction, tout le monde sait dans la boite que tu couche avec le patron. Remarqua Lilian. Cest pas très discret.

Oui, cest ça quest drôle ; quelque part cest un honneur de pouvoir employer son nom et en même temps ça a un petit côté humiliant. Je trouve ça amusant.

Je reconnais bien là Jacques, déclara Bénédicte, ça ne métonne pas de lui. Tu savais ça, Chéri ?

Bien sûr que je savais. Quest-ce que tu crois ? Répondit Charles, Jacques est un de mes plus gros clients, nous nous voyons très régulièrement.

Et tu nas pas hésité à envoyer ta fille dans le repère du loup

Jacques naurait pas agit comme ça sil navait pas eut la certitude que Jade répondrait favorablement. Je ne crois pas que toutes les stagiaires ou secrétaires intérimaires quil emploie en cours dannée ont droit au même traitement.

Je sais bien, mon Chéri, je te taquine. Jacques est assez expérimenter pour voir quand une femme est disposée à se coucher devant lui, et je sais bien que Jade a dû partir au travail avec ce désir. Je me trompe ma Chérie ?

Non, Maman, cest vrai. Jen ai rêvé toute la nuit et ce matin jai fait faire des trucs à Lilian qui mont bien excitée. Pas vrai mon petit cocu damour ?

Si, ma Chérie, cest vrai, et tu sais, après ton départ, je me suis régalé de mes tartines et de mon « thé ». Je me suis même resservi un deuxième bol pour finir la carafe.

Parce que tu mets ton thé dans une carafe, toi ? Demanda Martine à son fils.

Non, je lui ai demandé de pisser dedans et de sen servir de boisson, expliqua Jade. Et comme il était très excité et que moi jétais prête à partir, je lui ai demandé de se satisfaire tout seul et déjaculer sur ses tartines beurrées Et cétait bon mon cochon damour.

Oui, ma Chérie, mais cest surtout de tavoir obéi à la lettre même après ton départ qui était bon je crois.

Ce soir là, Lilian ne participa pas aux ébats familiaux de début de soirée et laissa Jade au bon soin de leurs parents. Il était trop fatigué pour ça et monta se coucher. Quand Jade entra dans la chambre elle le trouva endormi, elle souleva les draps et se blottit contre lui amoureusement.

Le lendemain matin, Jade et Lilian avait de bonnes raisons pour se réveiller à la même heure. Lilian bandait comme un taureau, il avait rêvé toute la nuit des exploits de Jade avec son patron et il se masturba pendant quelle se soulageait sur lui et dans sa bouche. Il prirent leur douche ensemble, shabillèrent ensemble et préparèrent leur petit déjeuner à deux et sans fantaisies lubriques. Ils se sentaient joyeux, amoureux et surtout très heureux mais ne se faisaient aucune illusion sur les activités quils auraient lun et lautre au travail.

Jean et son fils arrivèrent ensemble à létude située dans les étages dun immeuble de bureaux. Cest la première fois que Lilian rentre dans les locaux de « Beaudard et Coll. Architectes associés ». Il y a plusieurs bureaux, tous séparés par des cloisons vitrées, une salle de réunion, un coin café et repas, un secrétariat, une salle darchive et des toilettes séparés hommes et femmes. La déco est soignée, et de grands cadres exposent divers projets réalisés ou non.

En entrant, il aperçurent Rémi qui était déjà là et qui semblait perplexe et très absorbé par un document quil venait dimprimer.

Salut Rémi, je te présente mon fils Lilian. Il cherchait du travail pour cet été et comme celui quil avait dégoté nétait pas super, je lui ai proposé de venir nous filler un coup de main, moyennant rémunération, bien sûr.

Ça va de soit, répondit lhomme en levant à peine le nez de son papier, et ça tombe plutôt bien en fait Bonjour Lilian.

Bonjour Monsieur, dit Lilian qui ne savait trop comment se comporter.

Tu npeux pas imaginer à quel point tu tombes à pic ! Jean, il y a un problème avec le projet de Francfort.

Grave ? On est rejeté ? Je croyais que ce truc était acté et que nous avions remporté lappel doffre. Damien était formel !

Non, cnest pas grave, cest juste quils expliquent quon aurait négligé certains points du cahier des charges et nous demandent des plans corrigés avant la fin du mois. Or, Damien est en vacances à lautre bout de la planète, injoignable et que ni toi ni moi navons travaillé sur ce projet.

Pas de panique, Rémi, jai tous les mots de passe de toutes les machines, alors on va utiliser le bureau de Damien et on va se mettre à la tâche tous les deux. Lilian, tu sais répondre au téléphone ?

Bien sûr, Papa, pourquoi ?

Parce que tu vas prendre tes quartiers au secrétariat. Si ça sonne, tu fais le standard, je vais te montrer comment transférer les appels. Tu trieras le courrier et commencera à regarder dans les bureaux, il y a des bannettes avec écrit « à archiver ». En fait cest toujours un peu mélangé et il faut répartir le contenu par projet et par date. Tu trouveras ici des pochettes et là des boites darchives, mais ça on verra après pour larchivage. Pour lheure, prend dabord tes quartiers et fait bien attention aux classements de Géraldine, elle est très méticuleuse. Ne met pas trop de désordre dans ses affaires. Ça va aller ?

Euh, oui, Chef, répondit Lilian. Je crois que je devrais men sortir.

Bon, on va sy mettre, on sera dans le bureau juste en face du tien. En cas de pépin fais nous signe, daccord ?

Ten fais pas, Papa, je crois que je vais y arriver. Jen profiterai aussi pour arroser les plantes car jai limpression quil y a du laissé allé.

Et si tu peux nous préparer un café, je crois que ton père et moi on va en avoir besoin.

Lilian était occupé à ses diverses tâches de tri et ne prêtait pas attention aux regards des deux hommes qui lobservaient au travers des baies vitrées. Ça faisait près de deux heures quils travaillaient et ils avaient sans doute besoin de se changer les idées.

Tu sais, Jean, je ne devrais pas dire ça parce que cest ton fils, mais il est vachement mignon, avoua Rémi.

Oh, ne tinquiète pas, cest un avis que je partage, il a beaucoup pris de sa mère et ça lui donne une petite gueule dange toute mimi

Arrête, cest ton fils, mais cest vrai quil est craquant et bien musclé en plus, ce qui ne gâche rien.

Cest un passionné de surf alors il a les bras qui vont avec mais le plus beau est caché ; le plus beau cest son cul enfin moi cest ce que je préfère, il est divin, rebondit comme il faut et surtout aussi serré quaccueillant. Il nest pas nécessaire de forcer beaucoup pour sy enfoncer jusquà la garde, crois moi.

Quoi ? Mais quest-ce que tu racontes, Jean, cest ton fils ! Tu ne vas pas me dire que tu Jean ? Tu ne baises pas avec ton fils quand même ?!

Si, depuis cet été et pour être franc presque tous les jours Avoua Jean en se disant quil fallait bien que Rémi lapprenne dune manière ou dune autre.

Tu déconnes, je nte crois pas

Puisque je te le dis, tu veux lui demander ? Je suis sûr et certain quil naura aucun mal à te le confirmer. Ce sont des rapports consentis, tu sais, personne na forcé lautre. Ça cest fait comme ça, cest tout.

Putain, Jean, mais tu te rends compte ?! Bon, tu me dis que cest consenti, OK, mais si ta femme lapprenait, par exemple, tas pas peur du scandale et des conséquences ?

Mais ma femme le sait, je peux même te dire quelle nous encourage sans problème sur cette voie et de toute façon elle, ce quelle préfère cest ce quil a devant si tu vois ce que je veux dire.

Tu veux dire que elle aussi elle avec Lilian ? Ah bien, daccord, quelle famille, enfin je ne vais pas juger, je serais mal placer puisque je fais lamour avec mon frère depuis ladolescence, même si maintenant quil est marié, cest plus difficile mais bon Alors Lilian a un cul accueillant, cest ce que tu disais ?

Oui, très accueillant et il suce très bien aussi, il adore ça. Quand il voit une bite il devient insatiable ; une vraie salope. Rien que dy penser, jen bande. Précisa Jean en caressant la bosse quil avait au devant de son pantalon.

Putain, tes pas le seul, tas vu quand il se penche pour prendre un truc dans le bas de larmoir Mmm, cest vrai quil me fait vraiment craquer ton gamin.

Attends, je lappelle. Dit Jean en appelant le standard. Lilian, tu peux venir nous rejoindre, Rémi et moi nous aurions besoin de tes services… Non, cnest pas compliqué, on a juste besoin de se vider les couilles Oui si tu veux, ah ! Ferme la porte dentrée de létude au passage, on nattend personne mais on ne sait jamais.

Tes direct, toi, remarqua Rémi surpris alors que Jean raccrochait.

Et bien quoi ? Je ne vais pas tourner autour du pot, non ? En plus regarde, ça lui permet de se préparer.

Lilian retirait ses vêtements quil posa convenablement sur le dossier de sa chaise puis il sortit de son bureau, ferma les verrous de la porte dentrée et se dirigea vers le bureau où Rémi et son père travaillaient. Il avait attendu ce moment depuis le début de la matinée et plus exactement depuis quil avait vu Rémi. Il ne savait pas pourquoi mais il le trouvait craquant avec ses cheveux roux et ses yeux verts. Bien plus jeune que son père, Rémi avait la trentaine dannée, guère plus, et devait, à en juger par sa silhouette, pratiquer un sport. Le désir quil ressentait de se soumettre à leurs besoins sétait accru lorsquil sétait rendu compte que Rémi le déshabillait du regard. Sil avait été une fille il en aurait sans doute mouillé sa culotte, mais là, il sentait simplement un désir intense de sentir enfin une verge investir ses entrailles.

Quand il entra dans la pièce, le rouquin finissait de retirer ses habits et affichait déjà une certaine excitation. Il avait la peau très claire et de nombreuses tâches de rousseur constellaient ses bras et son visage, il avait un torse velu et un pubis fourni dou sélevait une verge bien blanche, assez longue, mais pas trop épaisse qui lui faisait penser à une belle asperge. Sans se poser plus de question il sagenouilla aux pieds de Rémi, prit son sexe en main et le regarda dans les yeux.

Je suis tout à votre service, Messieurs, Dit Lilian en fixant les iris verts, et je ferais tout mon possible pour vous satisfaire.

Oooh, mon salop, dit Rémi comme le gamin commençait à le sucer. Taimes le sucre dorge, on dirait. Mmm cest trop bon. Oh ouai, comme ça, prend tout Ouèèèè ! Mmm, jadore

Tu noublieras pas ton vieux père, mon chaton, fit Jean en se positionnant à côté de son collègue.

Tinquiète, Papa, tu sais comme jaime ta bite, répondit Lilian avant de changer de sexe.

La bouche de Lilian allait dune verge à lautre et celle qui nétait pas plantée au fond de sa gorge avait droit à une douce masturbation. Pendant quil les suçait, Jean et Rémi sembrassaient et se caressaient les tétons. Lilian surveillait ; il nétait pas question quils partent trop vite. Il voulait les sentir lun et lautre jouir dans son cul. Finalement, les deux hommes devaient penser la même chose car ils le firent se relever et Jean vint lui lécher le cul pendant que Rémi lui roulait de pèles baveuses. La langue qui lui fouillait lanus faisait encore grimper son désir dêtre pris, il se décolla de létreinte du rouquin et se mit en position, à plat ventre sur le bureau et le cul bien relevé pour inviter ses deux partenaires à le prendre aussitôt. Jean qui conservait un fond de jalousie et qui était le mieux placé, lencula aussitôt. Sa verge neut aucune difficulté à transpercer son anus. Lilian était aux anges et encourageait son père tandis que Rémi regardait la scène incrédule. Cette relation incestueuse homosexuelle lexcitait et la facilité avec laquelle ce petit trou du cul qui paraissait si serré avait aspiré la bite de Jean le sidérait. Jean sactiva rapidement, il ramonait le cul de son fils à grand coup de reins et les deux semblaient apprécier. Quand il sentit que son excitation montait trop vite, il se dégagea et laissa sa place à Rémi qui en fut ravi. Le passage était bien ouvert et lui non plus néprouva aucune difficulté pour enculer le garçon. Son étonnement fut encore plus grand quand il sentit au combien le conduit était pourtant étroit et chaud. Jean regardait en évitant de se toucher et il réalisa que, finalement ça ne le gênait pas de voir Rémi sodomiser son fils. Au contraire, Lilian sétait mis à gémir un peu plus fort et prenait son pied. En bon père de famille, il en était heureux. Comme Jean, Rémi évita datteindre le point de non retour. Il ne voulait pas être le premier à éjaculer, aussi rendit il la place à Jean.

Les deux hommes se relayèrent trois fois dans son cul. A chaque fois, la tension montait dun cran et leur sodomie saccompagna de claques appuyées sur le postérieur de Lilian dont les fesses bronzées se teintèrent de rouge. Plus ça le chauffait et plus il en redemandait, plus il jouissait. Son sexe laissait échapper un long filet de liquide séminal qui sécoulait jusquau sol. Lilian jouissait du cul et les suppliait de jouir en lui. Son père qui le fourrageait comme un soudard se laissa porter jusquà lextase et remplit, dans un long râle, les entrailles de son fils. Il retira sa queue et laissa la place bien graissée à Rémi qui linvestit pour un dernier round. Le rouquin se cramponnait à ses hanches, accélérait son rythme et quand il annonça quil allait jouir, Jean effleura la queue de Lilian qui explosa de bonheur.

Les trois hommes mirent quelques instants pour reprendre leurs esprits, ils se serrèrent et sembrassèrent affectueusement. Lilian était radieux et Rémi le trouva encore plus beau. Le rouquin souffla et sourit de toutes ses dents pour exprimer à quel point il était heureux.

Quel pied ! Sécria enfin Rémi, si on mavait dit ce matin que jallais faire un trio avec un père et son fils, je ne laurai pas cru. Voilà qui rattrape grandement ce début de journée mal commencé. Lilian tes formidable.

Merci, cest gentil, mais je nai pas fait grand-chose, vous savez. Et puis, vous aussi, vous êtes formidables.

Merci, mon chaton, dit Jean. Je propose quon se prenne cinq minutes de pause pour prendre un café et nous remettre de nos émotions et on sy remet. Il faudrait bien quon arrive à mettre la main sur le dossier du pré-projet. Jai comme limpression quils essayent de nous la jouer à lenvers.

On perd notre temps, ce ne serait pas la première fois que Damien oublie des trucs dans ses projets, rappelle toi limmeuble de douze étages où il avait oublié les cages dascenseur.

Oui, cest vrai Mais là, je ne sais pas pourquoi, depuis le début je le tanne pour être sur quil noublie rien et je me rappelle avoir fait le point avec lui en avril. Que lui zappe un truc, on est habitué, mais moi ?! Franchement ça métonnerait.

Euh, excusez moi, jai ranger tout un tas de paperasses dans un dossier intitulé Francfort qui trainait au secrétariat. Peut-être y a-t-il ce que vous cherchez Jai croisé les détails de lappel à concours, les dessins préliminaires, et tout un tas dinformations techniques sur ce qui était attendu.

Putain ! Bien sûr que jsuis con ! Sécria Jean.

Tas raison, on aurait dû y penser plus tôt ! On est vraiment des burnes ! Lilian tu veux bien nous apporter ces documents.

Tout de suite ! il y a même un disque de sauvegarde apparemment ; je vous amène tout.

Jean et Rémi nen revinrent pas, ils avaient passé des heures à fouiller dans tous les recoins de lordinateur de Damien, dans toutes ses paperasses et il navaient pas pensé que le projet étant normalement validé il était déjà en voie darchivage. En étudiant les documents en leur possession, ils découvrirent que le cahier des charges avait effectivement été modifié et que les « oublis » nétaient pas de leur fait mais de la responsabilité du client. Ils décidèrent de faire une réponse rapide mais là encore ils avaient un problème : ni lun ni lautre ne maitrisait suffisamment lallemand pour pouvoir entamer une négociation par téléphone ou adresser un courrier de réponse. Par contre, Lilian en était capable. Il vouait une véritable passion pour cette langue quil avait choisie dès la sixième à cause dun groupe de rock éphém%

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