Un jour nous étions à proximité d’un groupe de garçons qui ne nous avait pas remarqués et l’un d’eux pour compléter toutes les allusions déclara aux autres :

— Moi je suis certain que pour qu’elle change à ce point, Aline a du se faire déboucher la tuyauterie.

Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit qu’Aline répliqua avec le langage direct qui était le sien parmi notre petit groupe :

— Personne n’a eu besoin de me déboucher la tuyauterie, elle a toujours été en parfaite état de marche, j’ai seulement demandé à olivier ici présent de me retirer la bande de garantie. Mais si tu veux qu’il te débouche le pot d’échappement, fais moi signe, je te le présenterai, et pour que la classe puisse en profiter pleinement, je prendrai des photos. Tu viens mon chéri, ceux-là deviennent de plus en plus cons.

A partir de ce jour là, plus personne ne fit de remarque nous concernant. Aline et moi participions à pratiquement toutes les soirées de notre groupe et nous avions des relations avec tous les membres. C’était notre hygiène sexuelle, mais nous nous retrouvions Aline et moi pour les vrais moments d’émotion et d’intimité. Un jour, je lui posai la question qui me tourmentait depuis le début de notre relation.

— Il y a une chose que je n’arrive pas encore à comprendre : pourquoi avoir adopté au lycée cette tenue qui est si loin de ta véritable nature.

— C’est sur les conseils de ma mère. Elle ne voulait pas que les garçons s’intéressent à moi uniquement pour le sexe. Nous avons donc imaginé cette tenue qui a été efficace. Maman est ma confidente, elle m’a souvent dit qu’elle avait eu une vis sexuelle très active jusqu’au décès de mon père. Depuis, elle a des aventures ponctuelles pour se faire plaisir, mais de liaison durable, elle tient à son indépendance. Je lui raconte tout, et elle a été heureuse des premières soirées que j’ai passées avec le groupe.

— Comment tu lui as tout raconté ?

— Bien sur, et avec les détails. Elle est ma conseillère es sexe. Pour la première soirée, je n’ai pas été trop surprise, car lorsque je lui ai dit que vous m’aviez invitée, elle m’a raconté qu’il lui était arrivé à peu près la même chose, à la différence que pour elle, elle n’était plus vierge. C’est pour cela que j’ai aussi bien réagi.

J’étais abasourdi, mais beaucoup de filles pouvaient l’envier.

Un autre jour, en sortant des cours, elle me demanda de l’accompagner chez l’esthéticienne avec laquelle elle avait pris rendez-vous. Nous sommes arrivés à l’heure prévue, et elle dit à Aline de s’installer dans un petit salon, qu’elle arrivait dans quelques minutes, le temps de finir avec une autre cliente. Elle s’allongea sur la table et attendit que l’esthéticienne revienne. Quant elle revint dans le salon elle demanda :

— Mademoiselle vous avez pris rendez-vous pour une épilation électrique permanente, mais vous n’avez pas précisé si c’est pour la moustache les bras ou les jambes, je déconseille pour les aisselles, car cela gêne pour éliminer la transpiration.

— C’est pour le pubis. J’ai pris l’habitude de demander à mon ami de me raser, mais ce n’est pas agréable quand cela repousse, et il faut recommencer régulièrement. Alors comme cela nous serons débarrassés définitivement. Tu n’es pas contre, Olivier chéri.

Je lui confirmai mon accord, bien que je sois surpris de sa démarche. Je lui fis remarquer qu’il ne faudrait pas qu’elle regrette si nous nous séparions. Elle écarta cette dernière hypothèse. L’esthéticienne commença son travail, mais dit qu’il faudrait plusieurs séances pour finir tout le pubis, et qu’il ne faudrait plus le raser, pour que les poils soient bien apparents.

Aline se mit en position en l’opération commença. elle dura un bon quart d’heure avant que la praticienne déclare :

— Il faut arrêter pour aujourd’hui. Nous ne pouvons pas en faire de trop à cause de l’irritation produite. Monsieur si vous désirez voir le résultat partiel, approchez-vous.

Je me suis approché et je pus admirer le petit minou d’Aline mais je dois avouer que ne vis par la différence entre ce qui venait d’être épilé définitivement et ce qui avait été rasé auparavant. L’esthéticienne attrapa alors un pot de pommade et en prit une noisette sur le bout du doigt. Elle massa alors la zone sur laquelle elle venait de travailler et nous dit :

— Il faudra vous remettre de la pommade ce soir au coucher et demain matin, après vous pourrez vous en passer. Le plus pratique ce serait que monsieur vous le fasse, mais si vous dormez seule, je suis certaine que vous y arriverez quand même. On se revoit dans deux jours pour la suite. Si cela vous chauffe de trop on reculera le rendez-vous, mais le mieux est de terminer rapidement dès que l’on a commencé.

Aline rabattit sa jupe, se leva et après avoir réglé cette première séance, nous sortimes. L’épilation complète demanda un peu plus d’une semaine durant lesquelles nous ne sommes pas allés à nos soirées. Après quelques mois, nos amis nous firent remarquer qu’Aline était la seule du groupe a avoir toujours le sexe parfaitement lisse. En effet, depuis la soirée romaine certaines avaient laissé repousser leur toison et d’autres se rasaient ou se faisaient raser régulièrement. Mais de toutes, Aline était la seule à être toujours nette. Juliette et les autres lui demandant comment elle faisait, elle leur raconta tous les détails de son épilation en ajoutant :

— Maintenant, je n’ai plus à m’inquiéter je sais que je suis toujours lisse. Comme cela Olivier n’a pas besoin de me raser au moment de sortir. Et même lorsque j’ai mes règles, ma toilette est plus aisée.

Comme une de nos amies lui demandait si elle ne le regretterait pas si je la quittais et que ses prochaines rencontres préféraient les chattes bien poilues, elle lui cloua le bec et déclarant :

— Mon sexe est à moi. Pour l’instant nous sommes très bien Olivier et moi. si par la suite je change de partenaire et qu’il n’aime pas, comme je ne pourrai pas m’en replanter, soit il s’adaptera, soit il partira en j’en choisirai un autre. J’ai fait cela pour faire plaisir à Olivier et pour l’instant nous sommes heureux.

La fin de l’année scolaire approchait, et nous décidames d’organiser notre dernière soirée avant les vacances scolaires. D’un commun accord, nous décidames que pour une fois il n’y aurait pas de thème et que chacun viendrait dans la tenue qu’il jugerait bien. Aline me demanda que contrairement à notre habitude, nous arrivions les derniers à cette soirée. J’acceptai ses conditions. En arrivant chez Juliette, Aline me demanda d’aller seul au salon et qu’elle me rejoindrai dans quelques instants. J’ai donc rejoint nos amis qui attendaient que tout le monde soit réuni. Moins de cinq minutes plus tard, la porte s’ouvrit et nous avons vu Aline arriver complètement nue, sauf ses bas. Nous fumes surpris, mais elle nous déclara :

— J’avais une envie folle de me retrouver la première nue devant vous comme il y a quelques mois. Ce soir je suis à vous tous, sauf Olivier qui peut que j’adore. Mon chéri, je t’interdis de me toucher de toute la soirée, sauf si je t’en prie fortement. Par contre, je tiens que tous mes ébats aient lieu dans ce salon qui est pour moi le symbole de mon éclosion à la vie.

Elle se mêla immédiatement à toute la bande, discutant ou dansant comme si elle était vêtue. L’idée qu’elle était disponible émoustillait garçons et filles, car tous avaient déjà eu l’occasion de connaître intimement son corps. Je vis que rapidement elle s’était installée dans un coin du salon, offrant son corps splendide à l’ensemble du groupe.

Juliette s’approcha de moi. Elle était nue elle aussi. Elle se blottit contre moi et plaqua ses seins contre ma poitrine. Elle me demanda de me déshabiller, ce que je fis bien volontiers. Nous avons commencé à danser sur le slow qui passait. Elle faisait aller ses hanches de droite à gauche, elle faisait rouler mon sexe entre nos ventres. Sentant que je ne pourrais plus me retenir très longtemps, je lui dis :

— Si tu continue, je ne vais pas tarder à exploser

— Cela te rappellera la première fois qu’Aline est venue parmi nous. C’est comme cela qu’elle t’a fait jouir la première fois et je me souviens que tu avais aimé. Aujourd’hui je te veux à moi. Alors jouis sur nos ventres.

Je me retins, mais Juliette me pressait de plus en plus fort, je sentais ses durcis contre mon torse. Ses mouvements de balancement de gauche à droite me rendaient fous. elle était démoniaque. Tout en dansant, elle me tourna pour que je voie Aline. Celle-ci faisait une fellation à l’un de nos amis pendant qu’une des filles lui léchait son sexe bien lisse. Elle était très excitée et je la voyais mouiller abondamment, son miel s’écoulait sur le menton de notre amie. Chacun essayait de profiter d’Aline, estimant avoir été frustré depuis son entrée dans notre cercle. tout à coup le sexe qu’elle tenait fermement dans sa bouche se raidit encore plus et à ses mouvements désordonnés, je compris que le garçon se déversait dans la bouche qui le suçait. Aline avala toute la semence et je la vis jouir un maximum. C’est à ce moment là que moi aussi, je me libérai en longs jets onctueux qui restèrent emprisonnés entre mon ventre et celui de Juliette. Celle-ci continua ses mouvements qui étalèrent mon sperme qui devint collant.

La soirée fut très chaude et je vis notamment Aline satisfaire tous nos amis présents, soit avec la bouche, soit avec les mains ou encore dans son sexe qui était particulièrement accueillant. Pour ma part, Juliette m’avait pris plusieurs fois dans sa chatte et dans son petit trou arrière. Vers le petit matin, je reprenais quelques forces et je voyais Aline sur notre ami Alain. Le sexe d’Alain était profondément fiché dans sa chatte et elle faisait une fellation à un autre de nos amis. Juliette, elle s’ébattait dans un autre coin, Aline lui demanda de venir à côté d’elle et lui murmura quelques mots à l’oreille. Juliette vint alors vers moi et me dit :

— Olivier chéri, Aline te réclame. Elle vient de me passer les consignes et demande que tu te laisses guider par moi.

J’acquiessai et suivis Juliette vers le petit groupe dont Aline était le centre. Elle avait toujours la verge d’Alain profondément ancrée en elle qui faisait des aller et retour. Elle lançait son pubis à l’assaut du phallus. Quand nous sommes arrivés Juliette et moi près du groupe, Juliette retira le sexe d’Alain du vagin d’Aline en disant :

— Notre amie désire qu’Olivier s’occupe un peu d’elle.

Juliette guida ma bouche vers le sexe béant d’Aline et je commençais un baiser intime des plus doux. Puis ma bouche se dirigea vers son anus, mes doigts venant s’activer dans l’antre de ma maîtresse. J’avais le sexe d’Alain tout prêt de ma bouche et j’eus subitement envie de le sucer. Mais je me rappelle que pour l’instant j’étais aux ordres d’Aline et je décide de remettre à plus tard mes pulsions. Je pose mes lèvres sur le petit oeillet d’Aline et commence une feuille de rose. Je ifs pénétrer ma langue à l’orée de son cul et pus apprécier son parfum entêtant. Mes doigts n’avaient pas quitté son sexe que je sentais vibrer et se contracter frénétiquement. Mes doigts s’activaient en elle. Juliette me demanda :

— Maintenant masse lui bien l’anus avec tes doigts, prépare la bien elle t’attend.

Je compris alors ce qu’Aline désirait : m’offrir son second pucelage qu’elle m’avait toujours refusé. Je commence alors un lent massage de son oeillet avec mes doigts tout mouillés de son miel intime. Je place mon index sur l’entrée de son anus et applique une lente pression,. mon doigt amplement lubrifié au sexe de mon amie entra en n’éprouvant pratiquement aucune résistance. Je commence un lent va-et-vient, l’enfonçant complètement. Je sentais Aline se contracter sur mon doigt et se détendre progressivement. Dès qu’elle fut bien relâchée, je remplace mon index par mon majeur plus gros. A nouveau elle apprécia et pour me le faire comprendre, c’est elle qui avança ses fesses à la peau si douce vers ma main. J’introduisais alors les deux doigts, dilatant toujours un peu plus son mignon petit cul. Elle se contractait sur mes doigts, j’étais aux anges, et en profite pour lui introduire un troisième doigt toujours par le même canal. Sa petite porte était maintenant bien ouverte. Juliette prit mon sexe dans une main et le masturba légèrement pour lui redonner toute sa vigueur. Elle retira ma main des fesses d’Aline et présenta ma verge triomphante à l’entrée de ses entrailles. Je craignais une résistance d’Aline, mais je fus surpris de la pénétrer sans difficulté. Je pousse d’un lent mouvement continu jusqu’à ce que mon ventre soit au contact de ses fesses. Elle se redressa légèrement et se retournant légèrement pour me sourire me dit pour que tout le monde entende :

— Merci mon chéri, je suis heureuse. Maintenant, commence les mouvements que tu connais si bien. Je te veux au plus profond de moi.

J’ai immédiatement recommencé d’aller et venir dans son joli petit cul. Elle était bien serrée, et son anus se contractait sur ma verge. Juliette passa sa main sous moi et je compris qu’elle guidait alors le sexe d’Alain vers le vagin de mon amante. Je sentis le sexe dur de mon ami à travers la fine paroi séparant les deux orifices. Nous étions tous les deux dans Aline qui jouissait en prononçant des mots inarticulés. Je fis un effort pour bien me synchroniser avec Alain. Nous nous enfoncions en même temps et nous ressortions ensemble. Que c’était doux. Alain accéléra et je sentis son sexe s’immobiliser, Aline se raidit et je compris qu’Alain se déversait en elle. Elle s’est littéralement effondrée sur lui, mais je continuais mes mouvements en elle. Son anus se serrait convulsivement sur mon bâton d’amour. J’accélérai encore mes va-et-vient en elle. Elle criait son plaisir. Alors brusquement je m’enfonce jusqu’à la garde et je lâchai au moins une dizaine de jets de ma semence crémeuse dans ses entrailles. Elle s’effondra complètement en émettant de doux gémissements de satisfaction. Je restai en elle, mais au bout de quelques minutes, elle rejeta mon sexe ramolli. Je vis alors son anus se refermer progressivement en laissant s’écouler mon sperme mêlé de matière fécale. Il nous fallut à tous un certain temps pour nous remettre de cette expérience, mais je compris qu’entre Aline et moi, il y avait autre chose que le sexe.

Nous avons passé la nuit chez Juliette et nous avons dormi jusqu’à midi. Je fus surpris de constater au réveil que Juliette partageait notre lit, blottie contre Aline. Elles se caressaient en me regardant. Ce fut Juliette qui prit la parole pour nous dire :

— Vous faites un couple merveilleux. Pour vous les sexe n’a pas de limite, et l’un comme l’autre vous partagez tout. Mais quand vous faites l’amour soit ensemble soit avec les autres, on sent que vous êtes en harmonie. Je suis fière que vous vous soyez rencontrés chez moi, même si je regrette qu’Olivier me fasse moins l’amour maintenant que vous vous connaissez. Mais ce qui ce qui me fait plaisir c’est que vous êtes beaux quand vous baisez ensemble.

Elle se serra plus fort contre Aline et lui caressa ses petits seins qui commençaient à pointer. Aline se tourna vers notre amie, et elle se plaqua contre elle. Leurs seins se frottaient, durs comme du marbre. instantanément, mon sexe prit une forme et un volume impressionnant. Elles s’embrassaient à pleine bouche, je voyais leurs langues se mêler, leurs mains parcouraient leurs corps. Aline écarta ses jambes et je pus admirer une nouvelle fois son sexe que je savais si doux. Juliette vint serrer sa cuise sur la vulve d’Aline qui en gloussa de plaisir. Cette dernière fit de même avec notre amie et elles se donnèrent un plaisir mutuel dont j’étais écarté. Je les voyais jouir sous mes yeux. Une perle d’excitation apparut bientôt à l’extrémité de ma verge, et j’eus le désir de me donner du plaisir solitaire devant tant de beauté. Je pris délicatement mon sexe dans ma main et commençai de faire des aller et retour lentement pour profiter de cette jouissance qui n’allait pas tarder. Juliette voyant que je commençais à me masturber dit :

— Olivier, n’oublie que tu es chez moi. Alors je t’interdis de te branler. Nous allons Aline et moi te donner du plaisir, mais avant nous devons penser à nous. Une séance entre filles n’est pas pour me déplaire. Tu sais bien que l’homosexualité est bien plus répandue chez nous que chez les garçons. Toutes les filles ont leur première expérience entre elles. N’est-ce pas Aline chérie.

— Tu as parfaitement raison. Moi, c’est ma mère qui m’a fait découvrir les plaisirs sexuels. Elle me prodiguait toutes les caresses que l’on peut se faire à deux. La seule chose qu’elle m’a toujours refusé, c’est la pénétration aussi bien vaginale qu’anale. Elle n’a accepté de me pénétrer le sexe que depuis qu’Olivier m’a dépucelée. Elle va être contente de pouvoir maintenant m’introduire en même temps devant et derrière.

— Alors, Olivier, tu peux regarder, mais pour le moment, tu n’as pas le droit de toucher, et si tu recommences à te caresser, je devrai t’attacher.

Mes deux amies reprirent donc leurs petits jeux saphiques. Elles ne paraissaient pas s’occuper de moi. Je me faisais tout petit à côté d’elles. J’avais de la peine pour ne pas me masturber, mais je tenais à leur montrer que j’étais capable de respecter nos accords quelles que soient les conditions. Toutefois, j’étais tellement excité que je ne pus pas me retenir indéfiniment, et, sans me toucher, je me mis à jouir, de longs jets de liquide crémeux qui s’abattirent sur les corps nus de Juliette et d’Aline. Juliette me dit :

— Parfait, comme cela maintenant tu vas pouvoir tenir la distance. Pour bien t’exciter, nous allons faire un 69. Aline chérie tu viens sur moi, et nous allons nous placer pour qu’Olivier soit derrière toi et voit bien ta petite chatte, je pourrai également vérifier qu’il ne se branle pas. On ne sait jamais avec les mâles, ils risquent toujours de ne pas respecter leurs engagements. Je vais te bouffer le minou. A nous deux ma chérie.

Je vis Juliette et Aline s’installer et je pouvais admirer le sexe bien ouvert de ma maîtresse ainsi que son oeillet froncé juste au-dessus. Juliette plaça immédiatement sa bouche sur les lèvres intimes d’Aline et aspira toutes ses sécrétions. Je supposai qu’Alice lui prodiguait la même caresse de l’autre côté, mais je ne pouvais le voir. Juliette lui mordilla les lèvres puis le clitoris. Je vis sa langue s’introduire entre ses lèvres pour en tirer le doux miel intime. Elle revint mordiller le clitoris en introduisant un puis deux doigts dans le vagin. Aline émettait de petits gémissements de plaisir. Je la voyais mouiller abondamment. J’étais terriblement excité par le spectacle de ces deux bacchantes qui ne se contrôlaient plus. Juliette continuait ses caresses, et maintenant sa langue s’attaquait à l’anus d’Aline. Elle avait roulé sa langue qui formait une pointe et l’enfonçais dans son petit trou du cul. Elle réussit à la faire entrer presque entièrement, et maintenait ses lèvres collées à ses fesses tandis que ses doigts s’activaient dans le vagin d’Aline. Cette caresses me parut durer une éternité. Juliette retira sa langue de l’anus d’Aline et la remplaça par son index qui, tout mouillé des sécrétions intimes s’enfonça sans difficulté. Elle le faisait tourner lentement. Je voyais le sphincter d’Aline se contracter en suivant le rythme de sa jouissance. Juliette enfonçait son doigt alternativement dans le sexe puis dans l’anus d’Aline. Ainsi elle transférait un maximum de cyprine, facilitant le glissement de son doigt. Quand elle jugea que le petit oeillet d’Aline était bien lubrifié, elle fit pénétrer un deuxième doigt.

J’étais subjugué par le spectacle que me donnaient ces deux filles toutes deux à la recherche de leur jouissance ainsi que de celle de leur partenaire. Elles se donnait un plaisir qu’elles ne prenaient pas la peine de dissimuler. Elles s’inondaient mutuellement. Tout à coup, sans prononcer une parole, Juliette me fit signe de me mettre en position derrière Aline. Elle commença à caresser ma verge qui bien que déjà bien tendue durcit encore. Sa bouche quitta quelques instants le sexe d’Aline pour s’occuper du mien et bien le mouiller. Elle le prit alors dans sa main et le positionna sur l’anus d’Aline. Elle me maintint dans cette position, puis me prenant les testicules dans sa main, elle les avança vers ma maîtresse pour me faire comprendre qu’il était temps de m’introduire. Je suis entré facilement dans le petit cul d’Aline et continuai mon mouvement jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses. J’étais en elle et j’étais bien. Juliette avait pris l’un de mes testicules dans sa bouche et me l’aspirait. Elle me massait également mon anus qui se contractait de bonheur. J’étais aux anges. Je commençai mes mouvements de va-et-vient. Je sentais Aline se contracter et je comprenais qu’elle jouissait. Elle suçait Juliette qui de son côté lui suçait également le sexe en lui caressant les seins et en même temps, je la sodomisais. Ce petit manège dura assez longtemps, et mon sexe continuait d’aller et venir dans Aline qui lançait ses fesses vers mon ventre à chaque pénétration. Je pris ses seins à pleine main et lui triturai les mamelons. Je les pinçai fortement et les sentis durcir encore. Mon sexe s’activait en elle. Juliette me suçait généreusement et parfais plaquait sa bouche sur le sexe d’Aline qui se mit à crier :

— Ah mes salauds vous me faites jouir. Olivier chéri, que c’est bon, continue, encules moi. Juliette, mets tes doigts dans ma chatte. Je sens ma mouille sur mes cuisses. Baisez moi bien tous les deux. Je crois que je vais mourir, mais c’est trop bon. Olivier, plus vite, plus profond.

Je ne pouvais aller plus profond, mon ventre butait sur ses fesses. Puis brusquement, elle lança ses fesses encore plus fort vers moi, et son anus se contracta, elle jouissait abondamment, Juliette ne pouvait plus avaler. C’est alors que je lâchai enfin ma semence en jets brûlants au milieu de ses entrailles. J’avais l’impression que mon éjaculation ne finirait jamais. Plus d’une dizaine de jets puissants envahirent Aline. Puis elle s’écroula sur notre amie, inconsciente secouée de soubresauts qui en disaient long sur le bonheur qu’elle venait de vivre.

Juliette ne bougeait pas bien que frustrée par notre jouissance à Aline et moi. Dans les derniers instants, Aline avait négligé le sexe de notre ami, se concentrant sur sa propre jouissance. Juliette continuait à le lécher les couilles et les prenait dans sa bouche. Cette caresse n’empêcha pas ma verge de ramollir progressivement et finir par sortir de l’antre sacrée d’Aline. Juliette la prit alors complètement dans sa bouche et mit un point d’honneur de la nettoyer des traces qui indiquaient clairement ce que vous venions de faire. Je vis mon sperme mêlé de traces brunes s’écouler de l’anus d’Aline. Aussitôt, Juliette m’écarta et avala la totalité de ce qui s’échappa avant que l’oeillet d’Aline se referme définitivement.

Nous nous sommes alors blottis tous les trois et mîmes plusieurs minutes pour reprendre complètement nos esprits. Juliette nous sortit de notre torpeur en nous disant :

— Mes amis, je crois que cette conclusion à notre année scolaire est parfaitement réussie. Nous formons un trio qui s’entend parfaitement. Quand je pense Aline au vilain tour qua nous t’avons joué, j’en ai encore honte. Mais cela nous a permis de mieux nous connaître. J’espère que l’année prochaine vous viendrez encore, bien que je pense que vous préférez le plus souvent une intimité à deux.

Aline se blottit contre Juliette et lui répondit :

— Pour moi, il n’y a pas de question : l’année prochaine je compte être encore de nos soirées. Par contre, voilà ce que j’ai décidé d’imposer à Olivier : pendant les vacances, j’impose que nous ne voyions pas une seule fois. Je te demande de faire l’amour avec qui tu rencontreras. Moi je ferai de même, car je veux élargir mes expériences. A la rentrée, nous ferons le point et si nous avons toujours la même envie de bonheur ensemble, il faudra prendre les décisions qui s’imposent. C’est un ordre mon chéri, mais je crois qu’au point où nous en sommes rendus, cette épreuve est nécessaire. Juliette, ne t’inquiète pas, si je ne me mets pas avec olivier, je serai l’une des plus assidues de nos soirées, et si nous nous mettons ensemble, nous aurons toute la semaine à nous et les samedi soir pour vous.

J’étais abasourdi des derniers propos d’Aline. Je m’en réjouissais car je ne savais pas comment lui demander de nous mettre ensemble. je lui répondis quand même.

— Tu sais très bien que c’est avec toi que je suis le mieux, et nos exploits de ce matin le confirment. J’accepte les exigences, et je ne vais pas me gêner pour baiser le plus possible. Mais toi aussi il faut le faire pour que ce soit équitable. Quant à l’année prochaine, je suis entièrement d’accord avec toi.

Juliette nous prit tous les deux dans ses bras et nous embrassa. elle conclut cette matinée en nous disant :

— Cela crève les yeux que vous êtes faits l’un pour l’autre. Je l’ai su dès le premier jour quand Aline est venue. Il ne m’a suffit de voir comment Olivier s’est précipité vers toi pour te prendre pour danser et voir comment tu as fait jouir Olivier sur ton ventre presque immédiatement pour comprendre. A cette époque, j’envisageais de me mettre avec Olivier, mais il était évident que je ne devais plus y penser. Je vous adore tous les deux et j’ai énormément de plaisir à faire l’amour avec vous. Maintenant il est tard, et il va falloir se séparer après une bonne douche

C’est ainsi que se termina notre année scolaire. Ce dimanche je reconduisis Aline chez sa mère, et en la déposant devant sa maison, je crus percevoir un léger mouvement de rideau indiquant que sa mère attendait son retour. Pour quelles raisons ???

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