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Moi la salope de mon neveu – Chapitre 1




Mon frère, Jean, mon ainé de 17 ans, me gardait pendant que mes parents étaient allés dans le sud pour des vacances. Je navais quun peu plus de 6 ½ ans quand je vis ma belle-sur, Susie, et mon frère qui pleuraient. Ils venaient dapprendre lécrasement de lavion que mes parents avaient pris pour revenir de voyage. Jamais je neus aussi peur. Javais peur de me retrouver seule dans un orphelinat ou dans une famille daccueil. Mais ma belle-sur me rassura en disant que désormais je vivrais chez elle avec mon frère. Ce nétait pas très grand, un 4 ½, 2 chambres, un salon et une cuisine. Ma belle-sur était enceinte de 3 mois et mon frère qui avait parti une compagnie qui prospérait bien allait bientôt construire sa maison.

Nous venions à peine de déménager dans notre nouvelle demeure que ma belle-sur accoucha dun merveilleux garçon. Susie était fantastique avec moi, comme maman de remplacement je ne pouvais trouver mieux. Je la regardais faire avec mon neveu, Éric. Jaimais particulièrement les moments de toilette. Jignore pourquoi, javais déjà vu dautre bébé avec leur pénis, le pénis de mon neveu avait un drôle deffet sur moi, une forme de plaisir que jéprouvais. Ce plaisir faisait battre mon cur plus vite, avec une bizarre sensation dans le ventre. Cest pourquoi, il nétait pas question de rater lheure du bain dÉric. Javais 12 ans quand on me confia la responsabilité dÉric la première fois, Susie et Jean avait une soirée. Le souper terminé, ils partirent donc à leur soirée, me laissant le soin du bain dÉric. Jallais en profiter, après laissé mon neveu jouer une dizaine de minutes, je me mis à le laver. Je mattardai longuement à ce pénis qui me donnait tant de plaisir. Je sortis Éric, lessuya, et me mis à lembrasser partout. Il aimait ça, il riait. Jembrassai ses petites fesses, son pénis pendant plusieurs minutes. Jétais folle de joie. Ensuite ce fut le coucher et après quil fut endormi, jallai dans ma chambre.

Depuis environ un an, jétais selon Susie, une grande fille, javais des menstruations. Mes seins avaient commencé à se former. Javais depuis quelques semaines découvert la masturbation. Je me masturbai ce soir là à multiples reprises. Navais-je pas pris dans mes mains ce pénis, ne lavais-je pas embrassé. Jeus droit à ce privilège quelques fois. Mais à partir de 6 ½ ans, Éric désira prendre son bain seul, ce qui fut exaucé par Susie. En silence, jétais frustrée au début, mais jacceptai les jours suivant de ne plus voir le pénis de mon neveu. La compagnie de mon frère avait beaucoup prospéré. Nous déménageâmes dans une somptueuse et luxueuse maison. De plus, jeus droit au collège privé.

De mes 13 à 16 ans, jeus beaucoup de discussions avec Susie sur lamour et la sexualité. Comme mère et belle-sur, elle mexpliqua beaucoup de choses. Sur les pénis en érection des hommes, elle me montra des revues. Elle osa même sous le secret le plus strict me montrer une photo polaroid du pénis de mon frère. Elle le disait elle-même quelle était chanceuse davoir un homme si bien pourvu. A partir de 16 ans, jeus de nombreuses expériences avec des hommes, mais même si certains étaient bien pourvus, ils narrivaient pas à celui de Jean. Javais 23 ans quand en me dirigeant vers ma chambre, je vis Éric, par sa porte mal fermée, se masturber. Lui aussi était bien pourvu. Jen parlai secrètement avec ma belle-sur. Elle me rappela quà cet âge là, 16 ans, les garçons sont en érection juste parce quils ont espérer voir une petite culotte, ils nont rien vu et pouf. Cette nuit là, je navais que la vue de ce pénis dans la tête. Jai du me masturber plusieurs fois afin de pouvoir mendormir et cela devait durer 4-5 jours. Mon regard sur mon neveu avait changé. Je ne le voyais plus comme un enfant mais comme un homme, un petit homme mais un homme. De plus, je remarquai quil me regardait parfois dune façon bizarre.

Environ 6 mois plus tard, au repas du soir, jessayai de convaincre de nouveau mon frère de lachat dune automobile pour moi. La réponse fut de nouveau négative. Mon neveu dans la soirée me dit : « Tu ty prends mal. Moi, je naurais aucun mal à te faire acheter une auto par papa.». « Ton père est devenu riche parce quil a bien géré son affaire. Il a souffert de la pauvreté et il fait attention maintenant à son argent. Mais si tu crois pouvoir le faire, fais-le!» lui répondis-je. « Quest-ce que jy gagnerais? » me répliqua-t-il. « Tout ce que ta tante peut toffrir, mais je ne suis pas riche. » lui dis-je. « Oh! Ce que je veux ne coûte rien, seulement un effort » me répondit-il. Ma curiosité fut piquée au vif. Je désirais savoir à quel effort je devrai me soumettre. Après avoir juré de ne pas me mettre en colère, de ne pas en parler à qui que ce soit, il me dit : « Je veux te voir faire un striptease intégrale. Ensuite tu prends les poses que je te demande. Et enfin, on fait lamour. ». Je fus surprise, presque paniquée et lui expliquai que ça ne se faisait pas, que je comprenais quun garçon de 13 ans pouvait avoir des fantasmes sur sa jeune tante. Cette nuit là, je ne dormis pas. Les désirs de mon neveu mexcitaient tellement. Je revoyais ce pénis aperçu à la sauvette. Je me masturbai toute la nuit. Mais je ne pouvais accéder à ses désirs et aux miens. Ne trahirais-je pas mon frère et ma belle-sur?

Trois jours plus tard, nous dinions tous ensemble quand mon neveu posa une question à sa mère : « Maman, cest quoi un sugardaddy? ». Susie répondit : « Pourquoi tu veux savoir cela? ». Éric répliqua en hésitant dune voix inquiète : « Ben, il y a des fois que ma tante prends lauto de papa, un cabriolet Mercédès, et jentends dire les gens quelle a un sugardaddy ». Eh paf! Mon neveu avait frappé dans lorgueil de ses parents. Je vis Jean et Susie se regarder et finalement mon frère regardant sa montre dit : « Tout le monde se dépêche, on va acheter une voiture ce soir. ». Il na suffit quune petite phrase à mon neveu. Il me fit un clin dil. Jeus mon auto quelques jours plus tard, mais javais le goût de faire plaisir à mon neveu. Un strip, ce nest pas si grave. Prendre des poses non plu. Quil caresse mes seins, mes fesses, ma chatte cela jhésitais mais ce nest quand même pas une relation sexuelle et à quelque part jen avais envie. Pendant des jours jy pensai. Susie et Jean devait partir pour une semaine dans une douzaine de jours, ce serait le moment idéal pour faire plaisir à mon charmant neveu.

Quand jeus 18 ans, la majorité au Canada, je désirais faire un striptease dans un concours amateur. Javais suivi une dizaine dheures de cours, et acheté un ensemble fait spécialement pour cela. Mais quand je me rendis pour minscrire, javais reculé. Plusieurs de mes copines lavaient fait, mais moi, il me manquait du courage. Jessayais secrètement mon ensemble. Il me faisait parfaitement. Quand jétais seule, je me pratiquais dans le sous-sol avec une musique de circonstance. Puis arriva le jour du départ de Susie et Jean. Revenu de laéroport, jallai me mettre en tenu. Après le repas du soir, javais pris quelques verres de vin pour me donner du courage, jamenai mon neveu dans le salon, le fit assoir et partit la musique. Vous auriez du voir les yeux de mon neveu, quand il me vit baisser la fermeture de ma robe, la laisser tomber. La bouche grande ouverte quand je lui dévoilai mes seins et mapprochai pour quil les touche. Il ne resta que ma petite culotte. Je linvitai à me lenlever avec sa bouche. Je le voyais en érection dans ses jeans. Puis, je lui demandai les poses que je devais prendre, je les pris toute, amusée de le voir me regarder sous tous les angles. Enfin je massis sur lui, le laissant me caresser, membrasser sur tout le corps. Soudain, sa bouche sarrêta sur mon clitoris, sa langue me rendit folle, je jutais comme un robinet. Jétais couchée sur le canapé, les jambes bien ouvertes, lui à genoux me léchant comme aucun homme ne lavait fait. Je gémis de nombreuses fois puis je sentis sa bouche remonté sur mon ventre, mes seins eurent droit à de nouvelles caresses et pointaient totalement leur fierté. Cest alors que je maperçue que mon neveu avait baissé ses jeans et son slip. Je sentais son membre sur le haut de ma cuisse. Il prit position et vlan je sentis son gland dans mes lèvres. Mon neveu me pénétrait. Javais limpression dêtre vierge devant la circonférence de son pénis. Je navais pas prévu cela mais cétait tellement bon que je le laissai faire. Après 5 minutes de va et vient, je sentis quelque chose de nouveau dans mes plaisirs. De plus, je sentis mon vagin se contracter. Je lignorais, jallais avoir mon premier vrai orgasme. Ah que cétait bon. Au bout dun autre 5 minutes, un nouvel orgasme et soudain, un doux liquide chaud envahissait mon vagin. Mon neveu venait déjaculer. Il posa ses lèvres sur les miennes, sortit sa langue et pendant quil recommença les va et vient nous nous embrassâmes pendant de longues minutes. Un nouvel orgasme me fit interrompre ce baiser. Il fut suivi presque toute suite dun autre et dun autre. Enfin, une nouvelle éjaculation, et cette fois le merveilleux membre de mon neveu se ramollit. Jallai recueillir avec ma langue tout jus, tout sperme qui pouvaient avoir sur son pénis. Je lui enlevai son t-shirt et me mit à le caresser sur tout son corps. Pendant 20 minutes, son corps fut mien. Ses épaules, son torse, ses tétines, ses cuisses, ses fesses. Enfin, je me décidai à lui faire une fellation. Ce ne prit que quelques secondes, son membre était de nouveau prêt à attaquer. Je me mis à genoux et plaçai son gland entre mes lèvres et débuta une nouvelle série de va et vient. Cest là que jai réalisé la longueur. A chaque coup, je le sentais toucher la fin de mon vagin. Cétait une douleur bienfaisante. Jai du avoir 3 autres orgasmes. Nouvelle éjaculation, heureusement, car javais besoin dun répit. Mon neveu me caressa de sa langue mon anus. Il prit un doigt et samusa, je ny portais pas vraiment attention. Je récupérais de mon dernier orgasme. Soudain, je sentis une douleur, cétait comme une grosse crotte dure qui narrive pas à passer. Je réalisai quil menculait. Je voulus me dégager, mais je sentis la ferme intention de mon neveu. Je le laissai faire, poussant de petit cri de temps en temps. Enfin, je sentis quil lavait tout mis. Javais limpression que mon anus allait déchirer tellement cétait étiré, cela faisait mal. Il commença de légers va et vient qui amplifia au début la douleur mais fit place à des plaisirs qui métaient inconnus. Pendant plus de 30 minutes, il menculait comme une pute, une salope. Je sentis un liquide chaud, il se retira, membrassa et me dit : « Tu es merveilleuse ». Puis, il mit ma tête sur son torse et sendormit. Bizarrement, je faisais le lien quand enfant je ressentais du plaisir juste à la vue de son pénis. Je comprenais que cétait parce quil métait destiné. Lui, qui navait pas encore tout à fait ses 14 ans, mavait fait sentir pleinement femme, et pour le faire, il avait fait de moi sa pute, sa salope, et un immense désir de devenir pour lui une super pute, une super salope menveloppait. Je le réveillai, lamena dans mon lit et tout en le caressant me colla à lui. Pendant toute la durée du voyage de ses parents, nous fîmes lamour de façon orgiaque.

Javais 2 excellentes amies. Lune mavait déjà confié son désir faire lamour avec moi. Elle navait jamais rencontré mon neveu. Après maintes discussions, elle accepta de le faire avec moi et un petit cochon que javais rencontré. Je lui avais dit quil était jeune et fougueux, quil la rendrait probablement folle. Comme cadeau pour ses 17 ans, mon neveu eut droit à toute une journée de deux belles femmes, putes et salopes. Mon amie resta figée quand elle vit lengin de mon neveu. Elle comprit lors de sa première pénétration qui lui donna des orgasmes pourquoi il me rendait folle. Quand Éric avait besoin de se reposer pour refaire les forces de son engin, nous lui fîmes des spectacles de femmes, trempant leur langue dans le vagin de lautre, récupérant le plus possible le sperme dont il nous avait fait cadeau. Enfin, après mavoir enculé, ma copine se plaça pour me lécher la chatte. Cest épouvantable comme cest bon. Bien quhésitante, jamais son petit trou avait servi, elle se laissa enculer par mon neveu. Elle découvrit ses sensations difficiles à décrire. Je me plaçai et lui léchai à mon tour sa chatte. Plus elle avait de sensations, plus elle en voulait. Jignore pourquoi, mais jappréciais chaque instant que mon neveu pilonnait le cul de ma copine. Cest quand il termina, et que je vis le trou laissé par son engin que je réalisai ce quil faisait au mien. Jen étais que plus fier. Toute bonne chose ayant une fin, ma copine me fit promettre de nouveaux samedis à 3 et avec lui bien sûr. Pendant près de 6 mois, à toutes les 2-3 semaines, on se rencontra pour notre orgie. Je ne le faisais pas pour elle, mais pour mon jeune chérubin. Puis, il se lassa delle, il en voulait dautres, dautres culs, dautres seins, dautres chattes, dautres bouches. Étant très jolie, mon tableau de chasse fut impressionnant.

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