Histoires de sexe noir Histoires porno

Elle avait 17 ans – Chapitre 2




Et voila, mes parents sont allés se mettre au lit. Pour dormir ? Je doute que ce soit vraiment dans leur attention. Papy revient encore un peu rouge, autant de honte que de gêne. Il me regardait d’un air désolé et je me suis sentie… Abattue. Pourquoi se désole t-il ce fût si bon ses caresses, sa main, sa bouche. J’en frémis encore. Il attrapa sa veste qu’il enfila.

" Vu qu’ils sont rentrés, je vais te laisser.. Et s’il te plait.. Oublie ce qui vient de se passer. Je n’aurais jamais dû ! "

" Mais.. papy ! "

" Il n’y a pas de mais qui tienne ! File au lit et oublie ! "

Il se dirigea vers la porte, la mais sur la poignée qu’il baissait. Furieuse, envieuse je vient jusqu’à lui et me collant à son dos, je me frottait contre lui, ma main se plaquant sur son membre que je sentais encore dur.

" Ines, ça suffis ! "

Mais je n’écoutais pas, je voulais que mon papy me déflore, me prenne. Me fait découvrir l’amour. J’ouvris son pantalon et glissa ma main dans l’ouverture. Je l’entendît pousser un râle, posant sa main a plat sur la porte. Plongeant ma main dans son boxer, je me mise à le caresser juste la base, n’ayant, dans cette position, la possibilité de faire plus.

" Ines.. "

Un murmure qui me convainc de lâcher prise, mais pour me glisser entre lui et la porte. Je m’accroupis, fini d’ouvrir son pantalon pour en faire sortir son membre. C’était pas le premier que je voyais, mais bien le premier d’aussi prêt. Il été beau. Une belle grosseur, des ridules qui chatouillaient ma paume lorsque je le prenait en main pour caresser lentement. Je n’avais jamais fait de fellation, mais ce n’est pas si compliqué quand on y pense. La prendre en bouche, aller et venir longuement. Ce que je fis. Ma première queue, ma première pipe fût pour mon grand père. Le gland chaud glissant sur ma langue et lentement faire aller et venir ma bouche le long de cette hampe. Je l’entendis gémir, se détendre tandis que sa queue se tendit d’autant plus. Il posa sa main sur mon crâne, l’autre restant sur la porte. Il me caressa les cheveux, la nuque. Les râles furent de plus en plus fort au fur et à mesure que je prenait de la longueur en bouche. Ça me plaisait de lui faire plaisir.

" Ines.. Mmh, ta bouche. "

J’avais relevé les yeux vers lui, je le vis les yeux clos, la lèvre mordillée. Qu’il est beau mon papy quand sur ses traits j’y vois le plaisir que je lui procure. De plus en plus gourmande, j’accentuais ma fellation. Je le senti faire pression sur mon crâne, me forçant à en prendre davantage en bouche. J’ai cru étouffer, mais lui, poussa un nouveau gémissement plus fort et me relâcha. Je repris mon air et de moi même revenais à la prendre au fond de ma bouche, le plus loin possible. J’ai senti mon coeur remonter dans la poitrine, un flot de salive envahir ma bouche, mais lui, lui il aimait.

" Ca suffis, Ines.. relève toi et tourne toi. "

Je lui obéis. Vais-je enfin me faire dépuceler ? Je senti ses mains sur mes hanches, relevant mon fin débardeur jusqu’en haut de mes seins. Il effleura mes tétons tout durci avant de les pincer légèrement. Quelques caresses sur ma poitrine et ses paumes effleura ma peau jusqu’à attraper mon short qu’il me baissa jusqu’au genoux. Il me fit reculer ensuite le bassin, afin que je cambre à son vouloir mes fesses. Je n’ai pas vu, mais entendu qu’il crachait dans sa main pour venir ensuite me frotter ma petite chatte déjà humide, mais remonter entre mes fesses pour me titiller l’anus. Je ne m’inquiète pas.. Il va tout de même pas .. ?

" Ma ptite Ines.. Tu as un si joli cul.. "

Panique total ! Je me plaque contre la porte tandis qu’il commençait à presser son gland contre mon anus tout serré.

" Papy, non ! Ca va faire mal… "

" Du calme, ma chérie.. Je ne ferais pas mal. Je serais doux, et si tu as trop mal. J’arrête. "

Longuement j’avais hésité.. Mais j’avais tellement envie de lui faire plaisir et de le sentir m’envahir que jacceptai de tendre mes fesses. A nouveau, il me lubrifia le trou avec sa salive et cette fois commença par me le percer en entrant peu a peu son index.

C’est une sensation bizarre, mais pas totalement désagréable, mais le plus gros reste à venir, me dis je. Peu à peu et en prenant son temps, Papy fini par me mettre tout son doigts dans mon cul. Ca tire un peu, mais c’est gérable alors je ne dis rien. Il le retire, mouille ses doigts et recommence avec deux doigts en même temps. Il me prépare, il est doux avec moi. Je commençait à sentir cette envie dans le fond du ventre, l’envie qu’il me prenne par là, qu’il me saute, qu’il me sodomise. J’ondulais lentement des hanches et il se mit à sourire. Sa bouche atteint le creux de mon épaule, il m’embrassa la peau puis retira ses doigts pour presser son gland contre mon anus préparé. Il poussa en moi, mais mon trou refusa de le recevoir, alors il me cambra encore et recommença. Je fini par sentir son gland me percer et je poussa un soupir de plaisir. Lentement, il entra sa longueur et ce fût là que la douleur empoigna mon ventre, ça tire, c’est terrible, mais je serrais les dents ! Il ne bougea plus, comme ci il l’avait senti. Il laissa quelques secondes passer, le temps que mon orifice s’habitue et poussa encore pour finir par me rentrer dedans. Encore une fois, il cessa de bouger, m’embrassa et glissa main sur ma chatte humide pour me caresser pour me détendre. Et je me détendis. Il me caressa si bien que je ne tardais à jouir de ses doigts. Ma première jouissance autre que par mes doigts !! Je ne l’avais pas vraiment senti avant mais il avait commencé à me sodomiser, lentement. Il posa ses mains sur mes hanches et accéléra le rythme, je senti ses couilles me taper sur la chatte, et j’aimais ça. Je gémissais de plus en plus fort, si bien qu’il du étouffer mes plaintes avec sa main pour ne pas alerter mes parents.

" Mmh, ma puce, c’que c’est bon ! "

De plus en plus fort, je me senti bientôt plaquée contre la porte, sa queue me remplissant le cul, me labourant, me remuant. C’est tellement bon ! Tellement fort ! Cette bite est si bonne en moi. Papy se crispa soudainement, je senti ses ongles lacérer ma chaire des hanches et il se vida dans mes fesses en poussant un râle de plaisir. Après quelques minutes où chaque mouvement fût un rappel au plaisirs, il posa son front contre mon crâne et soupira..

Ma première sodomie avec Papy… Mais pas la dernière !

Related posts

Ludivine & Annabelle, notre première fois – Chapitre 3

historiesexe

Moi et mes cousines – Chapitre 2

historiesexe

Aventures érotiques à Toulouse – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .