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Je n'avais pas prévu de voir ça ! – Chapitre 8




J’étais vraiment gêné, dans tous les sens du terme… Je ne savais pas comment aborder le problème avec ma sur qui semblait plus préoccupée de savoir où était exactement la mère "supérieure" et comment nous allions sortir de la salle de bain… que de mon cas personnel. Elle collait son oreille contre la porte et tentait de deviner si la route de repli jusqu’à nos chambres respectives était libre. Enfin… jusqu’à la sienne tout du moins, car je n’existais manifestement plus pour elle !

Elle était gentille et je l’aimais bien, Julie… seulement, il fallait quand même qu’elle se soucie de sa brosse Babyliss qu’elle m’avait laissée enchâssée dans l’anus !

"Julie… C’est important… tu…

— Chut ! Ta gueule… maman va nous entendre !

— Mais j’ai… tu…

— Tu vas la fermer, bordel… Florent !

— Qu’est-ce qu’il y a, Florent… ce n’était pas bon ?! Tu n’as pas pris ton plaisir ?!

Léa, qui finissait de se laver et de se rincer, s’était tournée vers moi et me caressa la joue de façon très sensuelle. Au moins, la belle métisse avait un cur, contrairement à l’autre dragon qui me servait de sur… mais je n’osai lui parler de la brosse car j’avais peur que cela brise la magie du fabuleux moment que nous venions de vivre.

— Euh !… Et ben… euh… non… ce n’est…

— Tu n’as pas aimé me faire l’amour ?

— Euh… non… en… enfin, si !…

— Tu en veux encore… c’est ça, mon petit cochon, hein ?!… C’est vrai que tu as été particulièrement rapide tout à l’heure pour tout lâcher !

— Hein ?… Quoi ?…

— Ben oui, moi aussi, j’aurais aimé que ça dure plus longtemps, de sentir ta grosse queue bien dure s’activer pendant de longues minutes dans mon petit sexe tout serré et offert à ta virilité… avant que tu n’éjacules et qu’elle reprenne la consistance d’une nouille trop cuite.

— Hein ! D’une nouille trop cuite ?!…

Ma grande sur, qui avait manifestement écouté notre échange, se retourna et m’acheva littéralement d’une réplique cinglante dont elle-seule avait le secret…

— Ben oui, ce qu’essaye de te dire Léa, c’est que tu nous l’as joué éjaculateur précoce !

Éjaculateur précoce !?! L’insulte suprême, la "number one", celle qui te détruit complètement une réputation de séducteur sans rédemption possible et ne te laisse plus que le choix de faire profès perpétuel en religion… d’autant plus si c’est une gonzesse qui t’envoie ça à la gueule ! Devant les copains de lycée… et là, il ne te reste plus qu’à déménager, changer de ville pour aller à l’autre bout de la France et changer de nom…

Et pourtant, pour toutes les autres insultes, j’avais des parades, des réponses mûrement réfléchies par d’autres et ayant traversé des générations d’hommes et d’adolescents… testées maintes et maintes fois dans des cours de lycée, devant des entrées d’immeubles ou dans des boites de nuit… et qui revenaient tel un boomerang à la figure de l’insulteur.

A "fils de pute", il suffisait de répondre "qu’au moins, ma mère m’avait appris à me servir de ma bite, à moi", puis de renvoyer à la face de son interlocuteur un "pauvre puceau" ou encore un "toi, tu n’es qu’un résidu de fond de capote".

A "puceau", le très classique "c’est justement ce que me disait ta copine en parlant de toi quand je l’ai baisée l’autre jour"… avec bien sûr la possibilité de remplacer "copine" par "mère" ou "sur" suivant la personne en face et les circonstances !

A "pédé" ou "enculé", un "c’était donc toi le trou du cul que j’ai enfilé l’autre soir dans le noir" ou un "je me demandais justement qui était la face de pets qui me chatouillait l’anus", sans parler de l’indémodable "petite bite", en rajoutant un "ce n’est sûrement pas toi qui risque de me procurer du plaisir avec l’asticot que tu as entre les jambes".

Quant au fameux "petite bite", notre bon vieux système métrique me permettait de me targuer d’avoir été correctement pourvu par la génétique et, surtout, d’éviter d’être catalogué dans cette humiliante catégorie ! Ben oui, comme tout mâle qui se respecte, j’avais déjà pris le mètre à couture de la mère pour mesurer l’objet dans tous les sens, après m’être branlé devant une vidéo de cul… et pouvais donc m’enorgueillir d’un flatteur "15 centimètres" bien large, que je rallongeai de deux trois petits centimètres pour passer dans la catégorie "très bien membré"… A priori, le risque était faible que la tromperie soit mise à jour, car une femme se promenait rarement avec un mètre ruban dans la poche quand il s’agissait de baiser et qu’à lil, il était facile d’abuser son monde !

Mais là, éjaculateur précoce… l’imparable insulte pour un homme, celle qui vous claque la gueule telle une sentence de tribunal venant de vous condamner à la perpétuité. J’étais d’un seul coup complètement anéanti, effondré… avec une furieuse envie de chialer, puis de mourir ! Comment pouvaient-elles me cataloguer de la sorte alors que j’étais plutôt satisfait de moi pour une première ?

Je ressentis un besoin impérieux de me retrouver seul et fonçai donc vers la porte pour fuir dans ma chambre…

— Attends, Florent ! Ta sur ne voulait pas te blesser en disant ça ! Ne pars pas comme ça !

— Non ! Flo !…

J’ouvris la porte et… en face de moi, droite comme un "i" comme si elle avait un manche de balai dans le cul, le regard inquisiteur et glacial, ma mère. Enfin… notre mère… puisque Julie intervint de suite pour essayer de sauver ce qui pouvait encore l’être…

— Maman, je vais tout t’expliquer !

— Non, ne dis rien, ma chérie… ça ne sert à rien d’essayer de protéger ton pervers de frère. J’ai bien tout compris ! Il a encore réussi à rentrer dans la salle de bain pendant que tu prenais ta douche pour te voir toute nue et se masturber dans tes sous-vêtements ! Je ne sais vraiment pas ce que nous allons faire de toi, Florent !? Tu es irrécupérable !

— …

— Mais, maman… ce n’est pas ce que tu crois !…

— Julie, c’est inutile de vouloir une fois de plus… mais c’est qui cette noire dans ma salle de bain ?! Doux Jésus Marie… qu’a-t-il encore fait comme ignominie ?!

— Maman… écoute-moi, s’il te plait !

— Et en plus ils sont nus !… Mais… Florent !?… Qu’est-ce que tu caches derrière toi ? Retourne-toi, s’il te plait ! Dépêche-toi !

Je ne savais plus quoi faire, pris d’un seul coup d’un sentiment de panique incontrôlable, ce d’autant plus que je sentis ma queue reprendre de la vigueur et se redresser fièrement… au moment où je réalisai que c’était la brosse à cheveux de ma sur que ma mère avait sans doute aperçue dépasser de mes fesses. Je tentai de cacher mon intimité avec mes mains et reculai devant l’insistance de ma génitrice…

— Oh… mon dieu ! Florent… vous êtes devenu complètement fou ! Ma brosse Babyliss… Vous perdez la raison !

— De toute façon, ce n’est pas la tienne… c’est celle de Julie !

Elle me colla une grande gifle sur la joue…

— Et en plus, il me répond, l’odieux personnage !

Puis se tournant vers le couloir…

— Jean-Édouard, arrêtez de jouer votre comédie grotesque et venez tout de suite ! Il y a votre fils qui est complètement dérangé et qui se balade tout nu avec une brosse à cheveux enfilée entre ses fesses. Et puis il y a une négresse pas tout à fait noire, elle aussi toute nue, dans notre maison !?

— Madame…

— Vous, je ne vous ai pas adressé la parole ! Jean-Édouard… venez vite !

Je me retournai pour regarder la pauvre Léa qui ne savais plus où se mettre, encore toute mouillée et debout sur le pas de la douche. Elle était vraiment trop belle, trop bandante… comme ça, semblant de nouveau un peu perdue face à la situation. Je me fis la réflexion que si je lui portais secours, peut-être arriverai-je à la sauter encore une fois d’ici ce soir, pour lui prouver que je n’étais pas un éjaculateur précoce. Je pris donc mon courage à deux mains et…

— Tu n’as pas le droit de… aie !!!

Ma mère me gifla de nouveau violemment la joue, me coupant net dans mon élan de justicier. Je me recalai donc tout penaud dans un coin de la salle de bain, ma brosse toujours enchâssée dans le fion et n’osant plus rien rajouter. Manifestement, il était écrit que je ne profiterais pas sereinement de mon tout nouveau statut d’homme, tout semblant se dérouler pour que je sois humilié !

Cette journée, que je pensais comme étant la plus belle de ma vie il y a encore quelques minutes en arrière… redevenait une journée de merde. Et puis surtout, la mère "supérieure" n’allait pas lâcher si facilement le morceau, tel un pit-bull sur un mollet de facteur, avec manifestement ma pauvre personne comme principale victime de son acharnement.

Mais bon, j’allais comme à chaque fois faire le dos rond et laisser passer l’orage. De toute façon et c’était sans doute ma chance… avec ses convictions religieuses intégristes, elle n’oserait jamais me foutre à la porte de la maison car cela devait forcément être un péché capital, avec un aller simple pour l’enfer.

Je m’apprêtais donc à m’esquiver quand…

— Florent, tu prends tes clics et tes clacs, ainsi que ta nouvelle copine… et tu quittes la maison ! Tu ne fais plus partie de notre famille !

— …

La salope… la salope !… Comment pouvait-elle me faire ça, à moi, son propre fils ?! La putain de salope… ce n’était pas possible, pas légal !?! Moi, Florent PIOSSENGER… elle n’avait pas le droit de me foutre dehors !

Pour autant, je ne mouftai pas un mot, comme déjà résigné à accepter mon triste sort, des larmes noyant mes yeux…

— Non, maman ! Flo reste ici… Ce n’est pas lui mais moi qui suis responsable de tout ça et qui dois partir de la maison… Tu vois, cet après-midi, je me suis faite sauter comme une petite pute par deux vieux vicelards dans le tram, devant tout le monde… puis, ensuite, j’ai sucé mon frère et tout avalé son foutre ! Et là, c’est encore moi qui voulais me faire baiser par tous les trous par Florent et Léa !…

— Mais… ma petite chérie ! Oh mon dieu ! Ce n’est pas possible… vous délirez… Florent et la négresse vous ont ensorcelée !… Jean-Édouard !?!

— Maman ! Tu m’écoutes… j’aime me faire baiser, sentir de grosses queues bien dures me défoncer par tous les trous en même temps, puis me faire asperger de sperme chaud et tout lécher ensuite… tu entends !?… Non, je ne crois pas que tu sois capable de nous entendre, avec ta vision totalement rigoriste et intransigeante de la société, dans laquelle même le pape FRANÇOIS est un dépravé… Il faut que tu atterrisses, que tu réalises que nous sommes en 2015 et non pas au moyen-âge, à l’époque de l’inquisition… Tu sais quoi, maman, même le père SVERPRE est plus évolué que toi !? D’ailleurs l’autre jour, après l’avoir chauffé grave en confesse, il m’a enculée sur sa chaire, puis je lui ai offert une putain de fellation… qu’il a dû se croire au paradis avant l’heure !

— …

Je n’avais jamais vu ma mère comme ça, blanche tel un cadavre plusieurs jours après le décès. Elle ne disait plus rien et restait immobile, débout à l’entrée de la salle de bain.

Quant à moi, toujours avec ma brosse dans le fion, je ne savais pas si tout ce que disait la frangine était vrai… mais peu importe ! J’étais content qu’elle vienne à mon secours et dise tout ça à notre génitrice… et puis surtout, j’étais complètement excité par ses propos, bandant de nouveau comme un taureau en rut…

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