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Ma mère et moi – Chapitre 1




-Oui je t’admirais pendant ton sommeil!

-Tu es vraiment bien réveillé?

-Ben ouais pourquoi?

Soudain, je vois ma mère plier ses jambes sous le drap et se dandiner de droite à gauche et se relevant un peu, puis brandis sa petite culotte qu’elle laisse tomber au sol :

-Viens mon chéri, viens!

Sans plus attendre je me relève sur un coude glisse mes jambes entre les siennes puis pose mon autre main à plat sur le lit pour m’équilibrer et sans perdre de temps je m’insinue, mon sexe tendu au maximum, dans son ventre déjà préparé et tapissé de douceur. Maman sans ciller d’un poil passe ses deux bras sous les miens et de ses mains en descendant vers mes fesses m’écrase sur son ventre. Un bref moment de folie s’empare de nous.

-Ne vas pas trop vite, fais doucement mon chéri!

Maman arrive à se détendre et ferme ses yeux. Je pense qu’après ce réveil un peu brusque et inattendu, elle se ressaisit et profite pleinement de cet instant. Elle gît étendue sur le dos, immobile, les jambes bien ouvertes et reprends une respiration moins désordonnée. Je sexe lentement, méthodiquement en asseyant de communiquer ma passion.

-Tu seras gentil de ne pas me faire crier, comme hier!

-Je n’y suis pour rien, maman, c’est bien toi qui as décidé de crier?

-Non, quand tu as vu que je commençais à perdre pieds; tu as fais exprès de continuer de plus belle au lieu de ralentir ta cadence!

-C’était le hasard!

-Lorsque je te le demanderai; essaies de diminuer ton ardeur, s’il te plait!

Maman retourne à sa torpeur un sourire béat sur son visage pendant qu’elle est bercée de mes mouvements. Avec délicatesse elle me caresse le visage toujours avec ce regard plein de tendresse. Je passe alors mon bras sous son cou et la maintiens par les épaules. Maman relève un peu sa nuque pour ôter sa pince à cheveux remettre en place les cheveux que certainement j’ai mis en désordre. J’allège mon corps sur ma mère et j’exerce une pression sur ses épaules en remontant en même temps le plus haut possible dans son ventre. Ma mère est contrainte, bloquée, immobilisée totalement; seul un petit mouvement de bassin est encore possible de sa part. Excité par ma tromperie, j’accélère mes va-et-vient dont maman commence à percevoir les effets assez vite. Ma pénétration porte ses fruits:

-Lâche-moi un peu, çà me fait trop de sensations

Je décide de ne pas répondre et je continue mon sexage avec encore plus de vigueur.

A mon tour, prenant entre mes mains son visage, je commence quelques baisers aux coins de ses lèvres, puis sur sa bouche .Maman détourne sa tête pour respirer plus normalement, je reprends…mon intention est de l’embrasser au moment où elle jouira.

-Soit gentil, ne m’oblige pas à crier!

-Cà ne fait rien maman, laisse faire, çà te fait du bien!!

Toujours bien maitrisée, maman essaie de s’échapper de mon étreinte. Mais je la maintiens encore plus fortement et m’écrasant davantage sur son endroit réactif en gigotant en tous sens sur son sexe.

-Laisse-moi chéri! Arrête-toi un peu!

-Non, prends ton plaisir!

Ma mère tente désespérément de me dégager d’elle pour freiner mes ardeurs, mais ma détermination est telle; je dois la faire hurler, elle est trop belle quand elle jouit. Elle essaie de se contenir, mais se met à trembler, convulsée. Elle essaie à nouveau de se dégager en me repoussant. Je vois par la déformation de son visage qu’elle lutte pour rester silencieuse. Respiration bloquée, ses deux mains sur sa bouche, elle tente une dernière fois de résister au plaisir; puis y cède en criant dans mes oreilles tout le plaisir qu’elle voulait ignorer.

Je suis content d’avoir désobéis à maman et je souhaite que l’on ait entendu son orgasme à tout l’étage; C’est ma petite fierté à moi d’avoir fait jouir ma mère si bruyamment.

.

A partir de ce moment, il est impératif que je me reprenne. Sans sortir, je reste planté dans son ventre. Par intermittences je redonne quelques coups pour maintenir ma forme et je me calme. Mon souhait est de rester le plus longtemps emprisonné dans son sexe. Maman, détendue, se laisse bercer. Je crois que mon jeu est de durer suffisamment pour bien sentir maman sous mon ventre. Au bout d’un long moment de légers frottements sur elle, conscient que j’abuse peut-être ; je demande à ma mère.

-Tu tiens le coup maman, tu dois trouver le temps long mais je suis tellement bien sur toi que je n’ai pas envie de m’enlever.

-Cà va mon chéri Cà va très bien! Moi aussi je suis bien! Si tu aimes faire comme çà …! Je te laisse faire!

Je change plusieurs fois de positions pour ne pas avoir de regrets. A chaque fois maman participe Je voudrais user maman jusqu’au bout, mais je commence à faiblir.

.

J’ai la gorge séchée par ma respiration et mon effort pour avoir maintenu maman pendant tout notre accouplement. Les bras tendus je regarde ma mère, ma victime volontaire. Tout en continuant de la sexer, j’admire ses seins rythmés de mes secousses dans son ventre. En me penchant davantage sur elle, j’arrive à les embrasser. Maman semble extenuée et respire avec difficulté pour reprendre son souffle, sa poitrine se gonfle et se dégonfle. Au bout de quelques secondes elle trouve la force de me sourire. Je laisse maman s’apaiser et je reprends mes allée et venues dans son sexe pour me faire du bien. Presque immédiatement maman inspire ma jouissance et je m’abandonne à son ventre. Par de petites giclées je me répands dans maman. Mon plaisir est immense de pouvoir couler dans son ventre.

-Tu es content de toi? Tu m’as fais crier, hein? Ne sors pas encore!! Tu peux m’aider, je n’arrive pas à prendre mon slip? Il doit être par ici, par terre!

-Oui bien sûr…! Tiens…, le voila!

Maman s’étant emparée de sa lingerie ; la glisse entre nous.

-Vas ’y tu peux te retirer maintenant!

-Quel réveil tu m’as fais, mon garçon!! Je prends la salle de bains si tu veux bien!

Maman me tend mon gant de toilette et s’enferme. Quant à moi, je reprends aussi mon souffle après ces moments agités.

En sortant de la salle de bain.

-Désolée pour hier soir! J’ai pris un sérieux coup de pompe et heureusement que nous sommes redescendus prendre un café. Je devais être fatiguée, mais cela ne m’as pas empêché de bien dormir!

-Je t’ai laissé beaucoup de sperme?

-Pas mal oui, et j’ai bien senti la chaleur de ton liquide séminal injecté dans mon ventre. Ce n’est pas parti d’un seul coup?

-Non, en trois quatre fois je pense, peut-être plus je ne sais pas? Et pourquoi çà ma fait çà? Je ne sais pas ….?

-Je pensais revenir à midi pour prendre nos bagages, mais çà risque de faire tard si nous devons rendre la chambre avant midi? Si tu penses que je pourrai me changer chez toi?

-Bien facilement, çà nous bousculera moins.

-Je ne peux pas trop m’attarder, j’ai encore de la route à faire!

-Nous descendons les bagages maintenant ou nos revenons les chercher?

-Nous allons aller déjeuner, ce réveil m’a donné faim!

-Pourquoi tu me regardes comme çà maman, avec ce petit sourire?

-Excuse moi je pensais…! … Je pense à toi…! Je regardais ton visage quand tu étais couché sur moi, je te sentais bouger avec une détermination farouche, tu t’accrochais à moi comme si tu avais peur que je m’échappe, je voyais ton visage devenir livide, j’étais heureuse de recevoir tes coups, et je ne saurais pas t’expliquer pourquoi, mais lorsque tu à pris du plaisir, j’ai eu une immense la joie à te sentir couler dans mon ventre.

Maman ferme la porte à clé et je m’efface devant un couple de personnes déjà d’un âge.

Je vois la vieille, toiser maman et la regarder avec dédain, des pieds à la tête. Choquée elle détourne son regard. La scène n’a pas échappé à maman!

-Eh oui! Madame et en plus, c’était avec mon fils!!

Une fois le couple embarqué dans l’ascenseur:

-Pourquoi tu lui as dis çà maman?

-Je ne sais pas, c’est sorti spontanément tout seul, comme çà…!! Je pense que j’ai du être bruyante quand même, non?

-Mais visiblement çà n’a pas inspiré son mari, sinon elle n’aurait pas fait cette gueule!

-Pourtant je t’avais bien recommandé de ne pas me faire trop crier!

-Ecoute, maman, trop tard, çà t’a fait du bien et moi j’ai beaucoup aimé t’entendre!

Une fois le déjeuné prit nous remontons chercher nos sacs de voyage.

-Merde il y a des traces de ce que nous avons fait, dit maman. Il faut que j’attenue çà!

-Donne-moi ce papier, maman, je vais m’en occuper!

-Alors, maman, nous le prenons ce bateau?

-Oui, bien sûr çà me fait envie!

Après avoir abandonné la voiture dans un parking en sous sol nous traversons l’immense place. Nous marchons presque enlacés, maman me donnant le bras et reposant parfois sa tête sur mon épaule. Nous nous dirigeons vers une statue équestre que ma mère veut

voir de plus près .Au moment précis où elle repose sa tête contre moi; je lui vole un baiser

-Tu es fou on va nous voir!

-Et alors, personne ne sait?

-D’accord mais on voit bien que je suis un peu plus âgée que toi!

-C’est normal tu es née avant moi! Si tu as envie d’un petit jeune; moi je trouve çà très agréable dis-je en lui souriant!

-C’est encore loin, ce bateau?

Soudainement et violemment maman m’agrippe le bras, s’arrête au milieu de la place en portant ses mains sous son ventre en grimaçant, en proie à de violentes douleurs, Paniqué j’entoure, de mes bras, ma mère.

-Cà te fait très mal?

-Non, pas trop, mais c’est bizarre…!

-Tu ressens quoi au juste tu veux des secours?

-Je crois qu’il bouge déjà!

Une demie seconde de panique s’écoule pour moi et je vois maman écroulée de rire me tapant plusieurs fois mon épaule, en croisant et décroisant ses jambes.

-Si tu avais vu ta tête mon chéri!

-Tout le monde te regarde, maman, et puis ce n’est vraiment pas drôle!

-Arrête de me faire rire je crois que je vais faire pipi dans ma culotte!

-Cà y est il est fini ce fou-rire?

-Mon pauvre chéri, me dit maman en m’embrassant, tu étais vraiment trop marrant!

Une fois calmée nous nous dirigeons vers le quai où le bateau attend. Maman prend les billets et nous embarquons. Nous allons nous asseoir au fond et nous admirons la ville, défiler sous nos yeux.

Nous flânons encore, maman désir prendre une boisson et pour ce faire elle cherche un endroit près de l’eau.

-Nous n’avons pas trop le choix ; ici c’est bien, nous voyons les bateaux et l’eau! Nous pourrons passer par d’autres rues pour aller au parking?

-Tu sais que les boutiques sont fermées certaines même ont le rideau baissé et d’autres ont viré leur expo pour ne pas attirer les convoitises!

-Malgré çà il en resta beaucoup à voir.

-Tu penses que tu dois reprendre la route?

-Hélas, je sais …!

Nous passons à l’accueil pour les clés et nous arrivons au bas de l’immeuble qui m’héberge.

-Pour repartir je prends le même chemin!?

-Non pas du tout! Tu vas là-bas, ainsi tu contournes le campus; Et au bout, aux feux, tu tourne à droite ; tu seras sur le boulevard qui va t’emmener direct sur l’autoroute.

-Tu m’attends je vais prendre mes affaires pour me changer!

-Je vais poser tout çà vers l’ascenseur et je reviens!

-J’ai pris un short et un débardeur pour faire la route, je serai plus à l’aise!

Arrivés devant la porte, j’ouvre et fait entrer maman. Elle fait une inspection des lieux et se tournant vers moi, me dit:

-Ce n’est pas bien grand ici? Dit-elle en faisant sa petite inspection.

-Ne me sape pas le moral maman!

-Je peux ouvrir?

-Oui! Là, c’est ma vaisselle!

-Tu n’en as pas beaucoup?

-Normal; la place non plus!

-Je vais me changer, et après je serai obligée de te laisser!

Maman ferme la salle d’eau puis le rouvre aussitôt ; hilare, pliée en deux en se tenant à l’encadrement de la porte.

-Je repense à tout à l’heure, j’ai trop aimé ta tête!

-Ce n’était pas très spirituel?

-Non mais trop marrant!

-Ce n’est pas sympa de te foutre de moi! Tu te rends compte si quelqu’un devenait, un jour, le père de son frère?

-Vraiment tu étais trop beau dans ton désarroi!

Maman toujours dans sa blague douteuse rit à en pleurer et commente le visage que j’avais en se moquant ouvertement de moi.

-Je ne trouve pas çà vraiment subtil, maman!

-Normal et pourtant tu devrais savoir: La subtilité féminine est un endroit où la main de l’homme n’a jamais su y mettre les pieds.

Maman n’a pas le temps de voir arriver l’attaque, je la saisie par le poignet et l’entraine vers mon petit lit. Etonnée elle en perd sa joie et inquiète, à cet instant, elle réalise ce qui pourrait se passer. Je la pousse, elle tombe assise, et je la couche pour me jeter à cheval sur elle. A ce moment je lui prodigue des chatouilles et profitant de la confusion mes mains vont de partout. Elle m’implore d’arrêter, mais je continue de plus belle. Elle rouspète en me disputant et m’intime l’ordre de stopper. Je marque un temps de repos et fouille sous sa robe pour la caresser. Je la fait tourner sur le côté et baisse sa fermeture en faisant glisser ses brides pour descendre la robe sous son soutien-gorge. Je reprends mes chatouilles en touchant et pelotant tous azimuts. Maman se débat pour parer mes agressions en gesticulant dans tous les sens. Ses jambes fouettent le lit, elle les plie, elle les allonge, les tourne dans le but de me déséquilibrer.

-Chéri… Laurent…assez!

Je me calme donc et je retrousse sa robe le plus haut possible pour atteindre son entrejambe, puis parviens à toucher son intimité que je masse fébrilement, les mains bien à plat sur son triangle. J’attaque à nouveau et maman recommence à se défendre.

-Tu te souviens lorsque j’ai été attaqué par vous toutes? …Voila ma vengeance, plus le coup de ta blague.

Je dégage ses bras de la robe et descends jusqu’à sa taille. J’essaie de remonte sa robe, mais maman ne coopère pas trop, je la chatouille à nouveau pour qu’en remuant elle se débatte suffisamment afin de la trousser complètement petit à petit. La remettant à nouveau sur le côté je dégrafe son soutien qui ne tient pas longtemps à sa place grâce aux mouvements désordonnés de maman. Je m’affaire sur sa poitrine. Une fois que ses seins sont bien caressés; je me consacre à son slip que je fais glisser pas étape en tournant un doigt autour de sa taille. Lorsqu’il est ramassé à mi cuisses je fais une pose en embrassant ses poils.

-Je crains les chatouilles me dit maman!

-Je sais ce que cela fait; moi aussi!!

Nous sommes essoufflés tous les deux, je m’allonge sur ma mère en tentant d’écarter ses jambes, mais sa petite culotte gêne.

-Cà me fait mal! Dit maman, enlève toi! Tu vas bien finir par me la déchirer!

Je m’assieds au bord du lit et maman se lève pour remettre de l’ordre dans ses vêtements. Elle remonte sa petite culotte qui l’entrave un peu, tire sur sa robe pour la remettre d’aplomb en la faisant descendre, puis pose son soutient sur sa poitrine et passant ses mains dans son dos, l’agrafe. Passant alors un doigt entre ses seins et ses dentelles, remet le confort. Ensuite elle remonte sa robe en passant ses bras dans les brides et me fait fermer sa glissière dans le dos.

A ce moment je déboutonne mon pantalon, et le laisse tomber au sol après avoir ouvert ma braguette.

Maman surprise me regarde faire. Je baisse mon caleçon et fais bondir mon membre au dessus de mon élastique afin qu’elle comprenne à quoi je pense. A voir l’expression de son visage, je sais que ma mère réalise où je veux en venir.

Je m’approche d’elle et commence à l’effeuiller à nouveau. Une fois nue, je lui montre le lit. Résignée elle s’y couche et reste sur le dos.

Je suis assis au bord du lit en admirant ma mère, elle est belle au-delà de tout entendement.

-Pourquoi tu me regardes comme çà?

-Euh?…comme çà! …je te trouve jolie!

Maman allongée prend mon oreiller et le pose sur le sien. Ainsi, semi allongée, sa poitrine presque provocante, elle se détend de tout son long.

-Dis maman, quand j’étais petit, tu nous donnais le sein ou le biberon?

-Je vous ai allaité tous les trois! Pourquoi?

-Je trouve que c’est dommage de ne pas se rappeler çà!

-C’est normal! Mais pourquoi tu me demandes çà?

-Quand je vois ta poitrine, je regrette de n’avoir pas su apprécié ce moment!

-Quoique tu aies essayé quelques fois de tricher! Je me souviens lorsque Patricia était petite tu as voulu prendre des tétées, mais elle n’était pas d’accord! Elle n’était pourtant pas grande, mais elle manifestait, il me semble, son désaccord en secouant ses pieds et en essayant de te chasser de sa petite main. Pour elle tu étais un intrus ou un voleur…!

-Cà fait quoi pour une femme qu’un bébé suce son sein?

-Il ne suce pas, il mange tout simplement! Pour une mère c’est tout à fait naturel!

-Et maintenant si on essayait de te téter?

-Tu sais, un bébé est intéressé par le contenu! Alors que toi, je pense; c’est le contenant qui t’intéresse maintenant et pas ce qu’il y a dedans?

-Et on sait encore faire, quand on est grand?

-Pourquoi tu voudrais essayer?

-Ouais si tu veux, j’aimerais bien!

Maman ouvre ses doigts en " V " ; son index et son majeur autour de son aréole et appuie sur son sein pour en faire saillir la pointe. De sa main derrière mon cou elle me tire à elle sur un sein.

-… On fait comme çà; maman?

-Non! Pas tout à fait!

-Alors comment?

-Il ne faut pas aspirer, il faut téter, tout simplement!

-Je crois avoir compris!

-… Voilà c’est mieux…! Continue comme çà, mon chéri! C’est très bien! C’est bon! …Très agréable!

-Et quand on fait çà, le lait doit sortir s’il en reste?

-Mais non mon chéri, une mère a du lait après son accouchement et allaite son bébé tant qu’il tète, mais maintenant c’est fini! Mais cela ne fait rien, viens celui-là va être jaloux!

Et puis tu sais …un bébé ne se sert pas de sa langue en la tournant autour du téton, il ne pense qu’à boire; pas à autre chose!

Maman en m’attirant sur son autre sein, ferme ses yeux et se laisse bercer par ma tétée.

-Tu veux faire quoi?

-Tu peux glisser pour te mettre à plat sur le lit?

-Tu veux maintenant? …Attends, j’enlève les oreillers!

Maman se retrouve allongée, offrant d’un seul coup tous ses charmes, pas impudique mais sans fausse pudeur.

-Est-ce que çà fait longtemps que tu me considères comme une future proie?

-Pas comme une proie, mais plutôt comme une offrande de ta part! Depuis ce fameux soir où j’ai compris que je te trouvais superbement belle et désirable! Et j’étais jaloux de papa!

-Il n’y avait pourtant plus de raison!

-Je ne le savais pas que tu ne voulais plus te laisser faire!

Je baisse juste ce qu’il faut de lingerie pour voir un peu de sa pilosité. Maman commence à respirer de manière plus rapide. Je caresse ses poils dans le sens donné par la nature.

Je m’amuse à les faire dépasser pardessus l’élastique de son slip.

-Enlève-le si tu veux!!

-Non pas encore, Pas tout de suite, il faut que je le mérite, il faut que je devienne fou de ton ventre, maman! J’aime trop toucher cette partie en mettant mes mains bien à plat et je ne peux pas m’en empêcher; tellement c’est doux!

-Ce n’est pas moi, c’est la soie qui te laisse cette impression!

-Ho non! Ce que je sens dessous c’est bien à toi? Mais c’est vrai qu’il est tellement doux ce textile que l’on sent bien ce qu’il cache dessous. Ce tissu, je le trouve érotique. J’aime toujours enlever la lingerie, même si je connais déjà ce qu’il y à dessous!

Maman en me regardant me sourit et tire légèrement des poils sur les côtés de sa lingerie et les dispose en ordre.

-J’en ai pas mal qui dépassent ; je n’ai pas pensé à prendre un rendez-vous pour me faire épiler!

-J’aime bien les poils mais des fois quand on rentre, quelques uns viennent avec nous, çà incommode, et puis çà tire un peu!

-Parce que tu te presse trop!

J’enjambe le corps de ma mère et me pose sur elle en l’embrassant de son cou à sa poitrine où je m’attarde sous ses seins et en dessous du nombril je glisse vers les creux de l’aine .Sa brune touffe caresse mes joues. Mais je n’ose pas aller plus loin avec ma bouche. Pourtant j’aurais aimé pouvoir écarter ses cuisses devant mon visage pour laper son tout petit champignon. Partant de son ventre je remonte le long de son corps.(molose)

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