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Je remplace ma collègue Sophie – Chapitre 5




Salut c’est votre folle de lycra

Je suis donc Franck, je travaillais dans un cabinet d’assurance. A l’instant où je vous écris, je suis habillé en femme glissé sous une housse de couette en satin et mon patron est en train de m’y rejoindre. En compagnie de ma femme Marie, je venais de passer une soirée sympa chez mon patron et sa femme Muriel. Pendant que ma collègue Sophie était partie en vacances, je m’étais retrouvé à la remplacer, dans tous les sens du terme ; surtout auprès de mon patron, Gilles. Voilà comment, en très peu de temps, mon patron avait fait de moi sa maîtresse en me travestissant petit à petit. Sa femme Muriel se chargeait de ma féminisation, et à ma grande surprise ma femme était complice, le pire c’est que les trois comparses se chargeaient de tenir au courant ma collègue Sophie sur l’évolution des événements. J’allais passer ma nuit dans le rôle d’une femelle pour mon patron, et manifestement il avait l’air très excité à me voir ainsi vêtu et surtout offert. De son côté ma femme était partie avec Muriel, mon petit doigt me dit, qu’elles aussi, allaient faire des folies de leur corps. J’étais un peu jaloux de ma femme, car sa future partenaire, bien que plus âgée que moi, me plaisait aussi.

Pour l’instant, la femme que j’étais pour une nuit était en train de sentir son patron se glisser contre elle. Avant de me retrouver, il avait pris sa douche, mais manifestement il avait fait attention à ne pas se nettoyer mon sexe, car il avait bien projet de me confier cette mission. Je le savais très doux avec moi, comme s’il prenait soin d’une femme, cela en était gênant pour ma masculinité. Il a dû se contorsionner pour réussir à se retrouver collé contre moi dans la housse de couette. À cette occasion je me suis retrouvé nez à nez avec son ventre musclé et velu, mais aussi son sexe m’effleurant le visage. Une fois installé, il s’est immédiatement collé contre moi, ça y est, j’étais à lui pour la nuit. Finalement c’était très agréable que de se sentir convoité, que de se sentir envisagé, que de se sentir désiré, moi Franck j’étais la proie d’un amateur de femmes. Je ne sais pas si c’est le fait que ma femme soit complice de la chose, mais j’avais la sensation d’être heureux de pouvoir donner du plaisir à mon patron.

À sentir la raideur du sexe de mon patron au niveau de l’entrejambe, il n’y avait pas de doute il me désirait, j’étais vraiment flatté de le mettre dans cet état. Il était maintenant en train de m’embrasser, je ne sais pas si un jour je m’y ferai, mais cela me faisait tout drôle d’embrasser un homme ; même s’il y mettait beaucoup de douceur. Je me laissais aller et lui rendais ce baiser, pendant que ses mains caressaient mon corps tout féminin. Je me sentais vraiment à sa merci, tant il était plus grand et plus fort que moi, il dirigeait les opérations et finalement c’était très agréable de se sentir guidé. Il n’avait qu’une main de libre, car de l’autre il se tenait, mais en profitait quand même pour me caresser le corps, la poitrine, mais aussi des flans que je découvrais très sensibles. Pendant que j’admirais sa poitrine musclée, il me caressait la mienne et m’excitait mes tétons réceptifs, là aussi, leur sensibilité me faisait réaliser qu’il y avait un côté féminin en moi.

Je trouve que Gilles était très délicat avec ses préliminaires à mon égard, maintenant nos deux sexes étaient en contact l’un avec l’autre juste séparés par de fines couches de tissu. Rapidement dans la housse de couette nous nous sommes mis à avoir chaud et à légèrement transpirer. J’adorais cette odeur d’homme en chaleur qui émanait de Gilles, de sa main libre, il avait maintenant réussi à relever l’avant de ma robe, de telle façon à ce que nos deux sexes soient en contact direct. La moiteur de nos deux corps faisait que nos deux sexes s’agrippaient, et je donnais des coups de reins pour me masturber sur son pieu. Je ne sais pas ce que penserait de moi Marie, si elle ne voyait à ce point offert à mon patron, en même temps elle savait que je l’avais déjà sucé à plusieurs reprises et qu’il m’avait déjà fécondé. Maintenant, le sexe de Gilles s’était glissé entre mes jambes, et c’est lui qui donnait des coups de reins de désir de me prendre de nouveau.

Gilles continuait à m’embrasser, il avait une façon de le faire, qui laissait supposer que je lui appartenais totalement. Je n’osais imaginer qu’il ait de tels rapports avec ma collègue Sophie quand elle était là, si c’était le cas, ils devaient être sacrément complices, d’où une entente parfaite au boulot. Je devais donc en conclure qu’avec un tel traitement, nous allions rapidement être sur la même fréquence avec mon patron au boulot. Maintenant il se remettait à me parler au féminin, je ne sais pas pourquoi, cela m’excitait énormément.

— Tu vas devenir ma petite femme soumise et offerte.

— Je vais pouvoir te faire tout ce que ma femme ne veut pas que je lui fasse.

— Je ne pensais pas que tu serais si rapidement obéissante et soumise à tous mes désirs.

— Ton corps est vraiment ravissant, une fois épilé, j’aimerais qu’il reste ainsi entretenu.

— Je sens que nous allons prendre beaucoup de plaisir tous les deux.

À écouter mon étalon, je pouvais en déduire que cela n’allait pas durer que le temps de l’absence de ma collègue Sophie.

Maintenant à travers ma robe, il me pinçait de nouveau les tétons, j’appréciais cette sensibilité de plus en plus féminine à cet endroit-là. Il me faisait tellement de bien que je donnais à nouveau des coups de reins mais surtout, je poussais de petits cris, bien évidemment fort peu masculins. Avec mes bras je le plaquais contre moi, j’aimais vraiment sentir la force de cet homme, sa puissance et en même temps la douceur avec laquelle il pouvait me prodiguer ses caresses. Le volume de son sexe était croissant de désir, il n’y a pas de doute l’endroit où il se promenait en était la cause. Maintenant sa main droite, toujours à prendre des initiatives, était en train de me caresser entre mes deux fesses. C’est ma femme Marie, qui m’avait fait découvrir la sensibilité de cet endroit, maintenant, j’ondulais du corps mais surtout des fesses de plaisir, mais surtout avec le désir qu’il aille plus loin à cet endroit. En fait avec le recul, j’avais l’impression que Marie m’avait préparé ou plutôt prédisposé à rencontrer un homme comme Gilles.

Il est venu, avec cette fameuse main, récupérer de la salive pour m’en enduire mon entre fesses. Avec ce lubrifiant naturel, ses caresses étaient maintenant divines. Compte tenu du fait que mon issue de secours avait déjà été visitée par mon étalon, mon anneau rectal était déjà distendu, mais surtout beaucoup plus sensible. De nouveau j’avais envie de me faire prendre, de me faire pénétrer, de me faire saillir, de me faire féconder par mon patron.

— Gilles j’ai envie de vous, de nouveau.

Je ne sais pas ce qui venait de me prendre de lui dire ça, cela venait tout droit de mon intérieur. Je n’ai pas eu besoin de répéter, mine de rien il y avait de la place dans cette housse de couette, car très rapidement et avec grande aisance, il a manuvré pour se retrouver dans mon dos. L’opération s’est effectuée en quelques secondes mais il avait trouvé le temps de soulever l’arrière de ma robe et de positionner son sexe dans le sens inverse où il était quelques instants auparavant.

Il recommençait à donner des coups de reins entre mes jambes, quand il était au fond de mon entrejambe, je sentais la pointe de son sexe taper contre mes boules épilées. Il n’a pas eu besoin de ses mains pour positionner son sexe à l’entrée de mon fondement, quand je l’ai senti poser ses mains sur mes hanches, j’ai su qu’une nouvelle fois j’allais me faire prendre, une fois de plus à la place de sa femme. Ça y était, mon petit trou était en train de céder à la pression du sexe de Gilles, il était en train de s’introduire en moi comme il l’avait déjà fait à plusieurs reprises. Au début j’étais assez contrarié de subir un tel sort de la part de mon patron, maintenant à mon grand étonnement je commençais à y prendre goût. Je ne sais pas si c’était le fait d’être habillé en femme ou traité comme telle, qui me plaisait le plus, mais le rôle que m’imposait Gilles me convenait à merveille. Paradoxalement j’adorais mon rôle de mâle avec ma femme, Muriel me plaisait énormément et Sophie m’excitait franchement.

Je l’entendais souffler très fort dans mon cou, ses expirations étaient chaudes et je me sentais vraiment à lui, bon à lui donner du plaisir. Maintenant il commençait à aller et venir en moi, à chaque fois qu’il s’enfonçait, je sentais la pression de ses mains sur mes hanches. Ils avaient maintenant acquis un rythme régulier, et je veillais qu’à chaque fois qu’il rentre dans ma cachette, je contracte mes muscles pour qu’il sente au mieux l’étroitesse de mon fourreau intime. En plus de lui donner du plaisir, j’en prenais aussi car à chaque fois qu’il rentrait ou sortait, le frottement de son sexe sur mes parois intimes me faisait un bien fou. Il me chuchotait des choses très coquines à l’oreille, qui m’excitaient encore plus, maintenant, je n’avais que du plaisir à me faire prendre par mon patron. Cette nuit dans le lit de mon patron je me sentais femme, sa femme et je faisais tout pour lui faire savoir. Je lui caressais sa cuisse velue qui m’était accessible, cela faisait un sacré contraste avec mes cuisses totalement épilées et de toute façon, à peu de chose près imberbe.

Il m’a facilement besogné ainsi pendant une demi-heure, je sentais que régulièrement il se retenait pour ne pas me balancer sa semence. Je reculais mes fesses à chacun de ses mouvements, pour en ressentir plus de sensations. Le traitement qu’il m’a infligé me faisait un bien fou, mon érection était monstrueuse, il n’y a pas à dire Gilles, voulait que nous prenions tous les deux notre plaisir cette nuit. Tant son sexe était devenu le gros, je n’avais même plus besoin de contracter mon anus pour que l’on se fasse du bien. Ça y était, ses derniers coups de reins étaient en train de me faire éjaculer, mon étalon était en train de me faire jouir. Seul son sexe qui me ramonait tout en profondeur, en était la cause, les insanités qu’il me chuchotait à l’oreille y avaient sans doute aussi contribué.

— Ça y est ma belle tu viens de jouir.

— Désormais à chaque fois que tu me verras, tu penseras à ta jouissance et qui sait aux prochaines à venir.

— Dans ta tête, dès aujourd’hui, tu deviens ma femelle.

Tout ce qu’il était en train de me dire, il me le disait au féminin discrètement à l’oreille. Il continuait à me limer car je savais qu’il allait, lui aussi, bientôt me balancer la purée au plus profond de moi. Ça y est il était en train de me féconder, son sexe avait encore gonflé au point d’en solliciter l’élasticité de mon anneau. Finalement c’était très agréable que de se faire prendre par-derrière, j’étais désormais le complément de sa femme.

Tout ce que cette dernière lui refuserait, c’est moi qui allais l’assumer, fellation, sodomie, touché rectal, je savais maintenant à quoi m’en tenir. Manifestement Gilles avait un gros appétit sexuel, et il allait falloir que j’en satisfasse une partie au boulot. Pendant que mon patron finissait de se vider en moi, j’imaginais parfaitement ce que Sophie devait endurer quand elle disparaissait une heure ou deux pendant les heures de boulot. Manifestement, vu l’engouement qu’elle avait à partir avec son patron, cela n’avait pas l’air de trop lui déplaire.

Signe d’épuisement, je pense, Gilles avait cessé ses va-et-vient dans mes entrailles. Moi qui avais pris grand goût à ses allées et venues, c’est moi qui maintenant donnais des coups de fesses en arrière pour le sentir encore coulisser quelques instants. Gilles avait l’air épuisé par ce qu’il venait de me faire vivre, bien que son sexe ait ramolli, il restait quand même de belle taille, mais surtout immobilisé en moins.

— Bonne nuit ma chérie.

C’est sur ces mots, que mon patron s’est endormi emboîté dans mon boyau, c’était une garantie en même temps, pour que sa semence ne se répande pas dans la housse de couette. C’est habillé en femme, dans le rôle d’une femme, que je me suis endormi dans les bras d’un homme qui me désirait et qui venait de me combler. Je me suis endormi au rythme de la respiration de Gilles, qui au fur et à mesure, réduisait son rythme respiratoire après l’effort. Je venais de m’endormir, après avoir rempli mon rôle de femme annexe de mon patron.

À ma grande surprise, au réveil, mon étalon reproducteur était toujours derrière moi, emboîté en moi. Je ne pouvais pas bouger sans le réveiller, tant il me tenait encore enlacé sur moi, il dormait encore mais vu la position, j’étais encore sa femelle. J’ai préféré rester immobile, avec ses mains sur mon corps, toujours vêtu d’une tenue féminine. Raison je me fis de me rendormir, malgré les odeurs de sexe masculin qui émanaient de sous les draps. Gilles avait une main bloquée par mon corps, sur laquelle j’étais allongée, par contre l’autre était agrippée sur mon sexe.

— Coucou ma chérie soumise.

— J’espère que tu as bien dormi.

C’est sur ces mots gentils, mais qui me catégorisaient bien, que Gilles s’est réveillé et m’a chuchoté à l’oreille. Immédiatement son sexe qui n’avait pas quitté ma cavité s’est remis à prendre du volume et surtout sa main libre a recommencé à caresser mon corps d’une façon très efficace. Il n’y a pas à dire j’avais bien dormi et j’étais bien reposé, le réveil assez chaud que me proposait Gilles, m’imposait de vite réaliser que j’étais toujours sa femelle, dans son lit.

Il ne m’a fallu que quelques minutes pour retrouver mon érection de la veille, la gaule que j’avais trahissait sans équivoque, le bien qu’il me faisait déjà. Je me suis laissé faire un bon bout de temps, je subissais pour mon plus grand plaisir. Il n’y a pas à dire Muriel n’aimait pas se faire sodomiser ni le sucer, mais son mari était aussi d’une grande douceur et il aurait fallu être bête pour passer à côté de cela. Au bout d’une bonne heure des caresses de sa part, et de soumission de la mienne, Gilles a pris l’initiative que nous devions aller manger. C’est donc toujours habillé en femme et perché sur de magnifiques escarpins de Muriel, que je me suis retrouvé dans la cuisine avec mon étalon. Marie et Muriel nous y attendaient, quand nous sommes rentrés dans la pièce, ma femme m’a regardé avec un regard ébloui.

— Tu prends ton rôle de femme vraiment très à cur mon chéri.

— Tu es vraiment magnifique et tu as vraiment une démarche chaloupée bien féminine.

Pendant que ma femme me parlait, Gilles en profitait pour me caresser les fesses devant elles, à travers ma longue et douce robe.

Contre toute attente, quand je me suis assis à table, j’ai joint mes genoux en tenant ma robe longue, comme l’aurait fait une femme pour poser mon séant. À peine assis, ce n’est pas ma femme, mais Muriel qui est venue m’embrasser la première. Cela m’a fait tout drôle qu’elle fasse ça devant ma femme, qui avait l’air de le prendre très bien. Avoir les têtes de Muriel et Marie, il n’y avait pas de doute, leur nuit avait été chaude et mouvementée. J’ai aisément pu retrouver le goût du minou de ma femme, dans le baiser de sa maîtresse. Elles avaient des petits gestes et de petits sourires entre elles, qui laissaient supposer une grande complicité naissante. Je voulais être aux petits soins pour ma femme mais Muriel s’en chargeait, de l’autre côté c’est Gilles qui l’était pour moi. Dans ma tête j’étais en train de m’interroger: Muriel avait couché avec moi, ma femme et avec son mari, je couchais avec ma femme Muriel et son mari, devais-je en conclure que mon patron avait couché avec ma femme. Cela me faisait tout drôle que mon patron me remette les cheveux au-dessus des oreilles et me tamponne les lèvres avec sa serviette quand une goutte de lait coulait.

— Tu sais ma cochonne, je tenais à te dire que ta femme est vraiment un bon coup.

Je vais vous avouer que j’étais un peu gêné que Muriel me parle ainsi de ma femme.

— Ma chérie, sache que cette cochonne est aussi un bon coup, et que j’aimerais passer de nombreuses nuits avec elle.

Muriel et Gilles étaient en train de parler de Marie et moi d’une façon assez bizarre.

— Ne t’inquiète pas ma cochonne, quand Sophie reviendra, je continuerai à te baiser car tu as l’air de vraiment aimer ça.

— En fait il y a un côté soumis obéissant de ta part, qui me plaît énormément.

J’étais en train de comprendre que ce que j’étais en train de vivre, cela n’allait pas cesser au retour de ma collègue. Cela n’avait pas du tout l’air de déranger ma femme, que mon patron se réserve une partie de mes disponibilités. Bien évidemment après le repas je me suis retrouvé à aller nettoyer les toisons des deux femmes, j’y ai pris grand plaisir et elles aussi car manifestement elles ne s’étaient pas douchées et cela sentait très bon la marée. Une fois les opérations terminées auprès des femmes, c’est mon amant qui m’a invité à lui faire de même. Il n’y a pas à dire Gilles avait beaucoup de classe, c’était toujours un plaisir que de lui obéir et de s’y soumettre.

C’est ainsi que ce matin-là, pendant que les femmes se chargeaient de débarrasser la table et faire la vaisselle, je faisais une turlutte mon patron sous leurs yeux.

En espérant que ce chapitre vous ait plu.

Gros bisous à vous

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