Je crois l’avoir voulu dès que je l’ai vu. Dès l’instant où j’ai croisé son regard, j’ai su que je voulais et que je me devais de goûter à l’interdit. Iel était là, sur ses talons aiguilles, des cuisses musclées dans ses bas nylons, une jupe en cuire lui arrivant mis cuisse et un haut rouge dénudant ses épaules. Iel avait les lèvres rouges et pleines, des cils de demoiselles et un regard de séducteur.

Il faisait sombre. Iel était devant un hôtel, une cigarette au bec. Passant près d’Iel, je lui ai caressé la cuisse, remontant sa jupe légèrement. Iel m’a d’instinct suivi (e). Je demande une chambre double, pour la nuit. Une fois la porte refermée, Iel s’apprête à se dénuder.

Moi : " Attends ma mignonne, on nest pas pressé(e)s et je ne veux pas juste te baiser puis t’expédier. Va t’asseoir sur le rebord du lit. "

Iel s’exécute. Je viens la rejoindre. J’enroule autour de mon poing ses longs cheveux noirs. J’approche mes lèvres des siennes. Ma main retrouve rapidement le chemin de sa cuisse. Je m’allonge en travers du lit. Je lui retire son haut. Iel tressaille légèrement lorsque je fais glisser mes ongles le long de son torse.

Iel : " Je peux aller fumer, s’il te plaît "

Iel, à moitié dévêtu s’adosse contre la fenêtre de la chambre d’hôtel. N’importe quel passant, un peu curieux, pourrait l’apercevoir depuis le trottoir d’en face. Iel s’en fout, je crois. J’arrive par-derrière, passant mes mains sur sa taille et ma bouche le long de son cou. Je la mordille légèrement.

Moi (désignant sa jupe) : " Je peux ? "

Iel approche d’un hochement de tête. Je baisse la fermeture de sa jupe et la fais glisser le long de ses jambes. Iel n’a rien en dessous si ce n’est une nature bien faite. Je m’accroupis et prends dans ma main son pénis que j’amène jusqu’à ma bouche. Iel gémit doucement. Je l’emmène au fond de ma gorge.

Iel finit par me repousser. Iel me redresse et déboutonne ma chemise. Deux seins qui pointent dans sa direction s’en dégagent. Iel passe ses mains le long de mon ventre et vient faire le tour de mes seins. Là, il se penche et les suce doucement chacun leur tour. Puis, Iel de toute sa hauteur me regarde impassible, insubmersible pinçant mon héron gauche. Je me mordille la lèvre. Ma main retrouve rapidement la chaleur de son sexe.

Moi : " Qui que tu sois, prends-moi. Arrache-moi à ma condition pour m’emmener ailleurs. "

Iel (insérant deux doigts dans mon vagin déjà mouillé) : " D’accord, mon beau ".

Iel me saisit par la taille et m’allonger sur le lit. Son gland vient buter contre mon sexe, puis il s’introduit. Il commence à faire des va et viens, tandis que ma main vient caresser son oigne…

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