Ma tante se laisse enfin aller à fond (dans tous les sens du terme).

Vendredi 26 juillet 1991

En fin de journée, nous recevons Marie-Lou, Valy et Ben.

Ma tante devait monter seule, espérant certainement une nouvelle expérience, mais mes cousins ont insisté pour venir. Elle a essayé d’évoquer le problème du couchage, mais Ju a proposé de ne pas se gêner, on trouverait bien à se caser, et donc ils sont là tous les trois.

Evidemment, nous les accueillons à poil d’entrée de jeu en leur décrétant que c’est la règle chez nous. Comme ils en ont maintenant l’habitude chez eux, il nous imitent.

Je note au passage que mon cousin a éradiqué totalement ses poils pubiens.

Ma tante est un peu gênée pendant l’apéro par un début d’érection de Ben que tout les autres feignent d’ignorer. Il faut dire que je l’ai un peu allumé au passage

Pendant le repas, il est décidé que nous nous partagerions les couchages au mieux: les filles dans le lit de la chambre, les garçons dans le convertible. Nous nous levons pour nous aller nous coucher. Alors que Marie-Lou y est déjà, Ju va à la salle de bain en disant qu’il va se brosser les dents. Un moment plus tard, elle ressort un peu troublée, suivie de peu par Ju qui nous gratifie à son tour d’une solide érection.

Il a du se passer des choses

En tant que maîtresse de maison, je me mets au milieu du lit. Comme c’est un lit de taille standard, nous sommes assez serrées et nos corps se frôlent à chaque petit mouvement. Je sens que Marie-Lou n’est pas très à l’aise car elle s’écarte sans cesse de moi. Par contre, Valy me colle bien, en manque depuis qu’elle n’a plus que Ben pour la satisfaire, mais elle n’ose pas aller plus loin que de prendre en main un de mes seins.

Moi au contraire, je m’amuse comme une petite folle à caresser furtivement chacune à l’insu de l’autre avant de les laisser dormir.

Samedi 27 juillet 1991

Ce matin, Ju arbore une belle vraie érection totalement décalottée lorsqu’il fait son apparition, mais personne ne lui en faire la remarque, pas même ma tante. D’autant plus que je chauffe discrètement Ben qui se retrouve rapidement dans le même état. Ju profite d’un moment où nous sommes seuls dans la salle de bains pour me raconter ce qui s’est passé avec ma tante hier soir. il a commencé à la doigter par derrière pendant qu’elle était au lavabo, mais elle n’a pas voulu qu’il la pénètre, il a juste réussi à se faire un peu branler avant de revenir au salon.

Comme je n’ai pas les mêmes préjugés, je me fais bien baiser sous la douche en clamant fort ma jouissance. Je vois en ressortant sur les visages de tous que nos ébats ne sont pas passés inaperçus!

Pendant que Ju va bosser à l’Auberge, nous allons au plan d’eau, et Valy m’aide à persuader sa mère de se mettre en string, tandis qu’elle et moi mettons des slings.

Du coup, Ben accepte de ne pas être en reste et il enfile un des strings de Ju.

Nous y retrouvons Flo qui complète le groupe des fans de la ficelle dans les fesses. Personnellement, celui que j’ai mis n’est guère plus que trois ficelles, justement

Le soir, après un bon apéro, Marie-Lou se propose pour faire la cuisine.

Nous la laissons s’en occuper tout en nous resservant un verre.

Au bout d’un moment, Ju remplit le verre de ma tante et se lève, en demi-érection:

— C’est pas sympa d’oublier la cuisinière! Je vais trinquer avec elle.

Il va à la cuisine et y reste un bon moment. Quand il revient, il est toujours dans le même état, plus le gland décalotté. Il ne s’en excuse même pas et se rassoit sans gêne dans le canapé à côté de Valy. Ce qui ne dépare pas, car pendant son absence nous avons tripoté Ben qui bande à mort et ne cherche pas à le cacher. 

Marie-Lou qui revient avec le plat fumant marque un temps d’arrêt en découvrant leur état, mais elle ne fait aucune remarque et vient faire le service.

Après le dîner, les deux bites sont plus ou moins au repos quand tout le monde se lève de table. Ju profite que nous somme tous les deux à la salle de bain avec nos brosses à dents pour me raconter ce qui s’est passé dans la cuisine:

— J’ai commencé à me frotter contre ses fesses, et elle a un peu protesté à cause de la proximité de ses enfants. Mais comme ça l’avait excitée à mort, je l’ai persuadée que personne ne risquait de venir, et elle s’est laissée prendre en levrette jusqu’à prendre son pied en silence. Je l’ai convaincue de me sucer si elle voulait éviter que je fasse des tâches et elle a fini par tout avaler. Mon reste d’érection quand je suis revenu était d’autant plus acceptable que Ben bandait plus que moi.

De me raconter ça l’a remis en totale érection, mais personne ne lui en fait la remarque quand nous revenons au salon avant d’aller nous coucher. Ju profite que Marie-Lou s’en va la première vers la chambre pour se faire un peu sucer par Valy. Evidemment, ça met Ben en érection et je lui applique le même traitement vite fait, puis avec ma cousine nous les laissons en plan pour aller nous coucher.

Je me mets à nouveau au milieu du lit, et je profite encore de ma place privilégiée pour envoyer mes mains en exploration à droite et à gauche.

Valy me laisse la doigter sans hésiter, car elle mouille déjà à cause de notre petite séance avec les garçons, tandis que Marie-Lou commence par me repousser discrètement. Mais j’insiste, et comme elle à peur de se faire remarquer en remuant trop et que ça doit aussi la démanger un peu suite à son aventure avec Ju, elle finit par me laisser faire.

Elles sont très concentrées à ne pas gémir, et ne se rendent pas compte que je m’occupe parallèlement de l’autre.

Au bout d’un moment, je juge que Marie-Lou est à point pour aller plus loin, mais qu’elle n’osera jamais d’elle-même. Je prends la main de ma tante et l’attire vers mon clito. Elle résiste mollement, puis me caresse enfin le bouton.

Comme Valy se décide aussi à me rendre enfin mes caresses, c’est la stupeur des deux côtés quand leurs doigts se rencontrent.

Pour éviter qu’elles se retirent, je les retiens par les poignets, et finalement elles me branlent à deux. Je me relève et repousse la couette. Je les branle pendant qu’elles s’activent à deux mains entre mes jambes et quand elles sont bien lancées, je me lève du lit et je les amène à se branler mutuellement.

Puis je me mets à cheval sur la bouche de Valy qui n’hésite pas à me brouter devant sa mère dont moi-même je m’occupe activement à déguster le clito. Une fois qu’elle est bien lancée, ce qu’elle exprime un peu bruyamment d’ailleurs sans s’en rendre compte, je me retire à nouveau et je fais mettre Valy en soixante-neuf sur sa mère. 

Je les stimule en les caressant, puis comme elles s’y mettent franchement, j’allume la lampe de chevet pour profiter au maximum du spectacle et je me branle debout devant elles.

Elles finissent par jouir, et se remettent de cette séance dans les bras l’une de l’autre. Je les rejoins en éteignant et nous nous endormons rassasiées.

Dimanche 28 juillet 1991

Ce matin, Marie-Lou n’a pas le temps de se sentir gênée par notre fantaisie de la nuit, car Valy et moi avons sorti quelques jouets et nous la réveillons par le chahut de nos ébats à ses côtés. Nous lui faisons signe de nous rejoindre et elle s’abandonne sans retenue. Elle finit de crier sa jouissance dans ma fente en se faisant prendre en levrette par sa fille avec un strapon.

Nous allons ensuite vers la cuisine pour prendre le petit-déjeuner.

Au salon, nous trouvons les mecs déjà debout, et qui nous accueillent avec du bon café et de solides érections qu’ils sont en train de branler tranquillement. Marie-Lou ne sait pas quoi dire ou faire en les voyant continuer ouvertement devant nous.

C’est moi qui brise le silence sur un ton de plaisanterie:

— Dites donc, les gars, vous êtes en grande forme ce matin! C’est la chaleur?

Ju me répond sans aucune gêne et en ralentissant juste son mouvement:

— C’est surtout de votre faute. On vous a entendu vous faire plaisir cette nuit, et encore tout à l’heure. C’était bon pour vous, on dirait!

C’est moi qui lui réponds:

— Oui, excellent même.

Il ajoute, nous exhibant sa bite turgescente sans aucune honte:

— Alors, forcément, nous on n’en pouvait plus et on s’est fait un petit concours de branlette hier soir. C’est Ben qui a perdu, il a giclé le premier! Et ce matin, comme on vous a entendues en train de jouer la revanche, on se prépare à lancer la belle!

Il continue sa branlette, puis caresse un peu le gland de Ben qui lui rend illico la pareille. Marie-Lou est abasourdie par la tournure que ça prend.

Je décide d’en profiter immédiatement:

— Pourquoi pas, mais Valy et moi allons jouer les arbitres!

Je vais vers eux et caresse les couilles de Ben. Valy n’hésite pas un instant. Elle va s’occuper de Ju, ayant du retard à rattraper depuis la perte de Nico. 

Marie-Lou est sidérée et n’ose rien dire. Elle ne réagit pas plus quand nous commençons à prendre nos aises en les branlant, puis en les suçant sans retenue.

Au bout d’un moment, Ju se dégage et va lui mettre d’autorité sa bite en main:

— Allez, c’est toi l’invitée d’honneur, profites-en un peu, quoi!

Elle résiste un peu, mais finalement, comme nous l’encourageons, elle se lance et il l’emmène vers le salon pour s’installer plus confortablement dans le canapé. Il la fait agenouiller devant lui et se fait pomper.

Nous les suivons et Valy vient m’aider à sucer Ben qui s’assoit à côté de Ju.

J’attends que ma tante soit bien dans l’ambiance pour me mettre à lui doigter le clito pendant que Ben vient me prendre en levrette. 

Valy s’assoit à côté de Ju et lui caresse les couilles tout en se branlant.

Au bout d’un bon moment, Marie-Lou a un bel orgasme, et nous changeons de position. Ju la prend en levrette pendant qu’elle me déguste la chatte.

Ce n’est qu’au bout d’un certain temps qu’elle se rend compte que Ben est en train de baiser Valy qui s’impatientait. Mais elle a atteint un stade où elle a abdiqué complètement sous les vagues de plaisir, et ça ne la fait même plus s’offusquer.

C’est à peine si elle grogne un peu quand Ben vient prendre la place de Ju, et finalement elle lèche sans hésiter la chatte de Valy qui m’a remplacée devant elle.

Quels progrès: elle se fait baiser par son fils en suçant le clito de sa fille!

Après que Valy ait eu encore droit à la bite de Ben, c’est encore Marie-Lou qui a droit à une première. Ju qui s’était repositionné derrière elle l’encule par surprise, et étonnamment, ça rentre assez facilement et elle a l’air d’apprécier.

Ben en profite pour se faire sucer par sa mère pendant que Ju lui bourre le cul et finit par tout lâcher au fond.

Enfin, Valy et moi partageons le sperme que ma tante laisse échapper sur ses seins lorsque Ben éjacule.

Il y a bien un moment de gêne quand la tension retombe, mais elle encaisse assez bien ce changement de rapports entre nous tous.

Puis Ju part à l’Auberge et nous prenons notre temps jusqu’au déjeuner.

Quand ils repartent en fin d’après-midi, je sens bien qu’elle se demande comment elle va gérer toutes ces nouveautés à la maison.

A suivre

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