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Je ne pense plus qu'à ça ! – Chapitre 1




Dans ma vie, il y a eu un homme qui a spécialement compté : David. Il avait trente-deux ans et moi vingt-cinq. C?est grâce à lui que je me suis libérée sexuellement. Avant de le rencontrer, du sexe et de l?amour physique, je ne connaissais que la position du missionnaire. David a su me montrer que baiser, ce n?était pas que ça. Heureusement…

En faisant l?amour, il parlait et ça pour moi, c?était déjà nouveau. Avant lui, mes amants ne l?avaient jamais fait. On faisait l?amour en silence, hors mis quelques gémissements discrets. David, lui, s?exprimait tout le long. Il voulait connaître les sensations que j?éprouvais, il me disait tout ce qu?il avait envie que je lui fasse et aussi de quelle manière je devais le faire.

C?était très, excitant pour moi.

Il savait se montrer tendre mais il pouvait aussi devenir tout à coup exigeant, et me demander alors fermement de me comporter avec lui comme une vraie salope en chaleur.

Et cela aussi m?excitait terriblement. J?étais sous ses ordres et il me conduisait où il voulait. Il me faisait faire des choses que je n?aurais jamais imaginées pouvoir exécuter en y prenant tant de plaisir. Par exemple, il adorait que je lui caresse l?anus, il voulait que j?y passe de longues minutes, que je lèche cet endroit si sensible avec ma langue ou que je le sodomise avec mes doigts. Après, il exigeait que je le prenne dans la bouche en l?enculant avec mon index et mon majeur réunis. Ce rôle de petite salope docile me convenait à merveille tan dis que je m?efforçais de le satisfaire de mon mieux.

David était fou de mon corps, de mes seins, de ma chatte et de mon cul.

A voir comment sa queue s?érigeait quand je me retrouvais nue devant lui, j?ai fini par me sentir plus sûre de mon physique. Il n?arrêtait pas de me dire qu?il me trouvait très bandante et qu?avec moi il avait tout le temps envie de faire l?amour, de me baiser, de ma sauter…

Il m?a fait découvrir les délices de la sodomie, alors que le cul était pour moi une zone tabou. Au début, je ne voulais pas me laisser faire, mais comme tous les hommes, David était très attiré par cet endroit de ma personne et il cherchait par tous les moyens à s?en approcher. Il voulait que je me présente devant lui, les fesses écartées dans les mains et il contemplait mon petit trou avant de le lécher. Je dois avouer que j?y éprouvais à chaque fois un plaisir coupable mais intense. J?étais vierge de ce côté-là. Bien entendu, David a voulu être le premier à me sodomiser. C?est ainsi que j?ai découvert une nouvelle manière de m?offrir à lui.

Depuis, je ne sais pas dire ce que je préfère le plus : être prise par-derrière ou par-devant. Une chose est sûre, c?est lorsque je suis prise en sandwich par deux hommes que ma jouissance atteint son paroxysme.

David m?a initiée à bien d?autres plaisirs : les godemichés, par exemple, les fessées, les liens, l?amour dans les lieux insolites et le triolisme. Et je suis devenue une adepte. Au début, c?était lui qui avait tout le temps envie de moi. Après six mois de vie commune, je lui réclamais de me faire l?amour tous les jours : le matin, entre midi et deux, l?après-midi, le soir. Pour moi, un week-end réussi, c?était un week-end passé au lit. Je suis devenue insatiable.

Aujourd?hui, et même si je ne suis plus avec David, je ne pense plus qu?à ça. Je suis resté célibataire pour garder mon indépendance et ma liberté, la liberté de rencontrer qui je veux et quand je veux, celle de faire l?amour avec qui me plaît et aussi souvent que j?en ai envie. A mon tableau de chasse, j?ai aussi ajouté les femmes même si je préfère quand même jouir avec un sexe d?homme.

J?apprécie de participer à des soirées où on se mélange sans distinction de sexe, mais en ce moment, ce qui m?excite le plus, c?est sortir le soir et me laisser draguer par des inconnus pour ensuite aller faire l?amour avec eux. J?aime rencontrer plusieurs hommes dans la même nuit et n?avoir que des étreintes rapides. Si possible, ailleurs que dans un lit. C?est un nouveau jeu qui m?excite et me fait jouir follement.

Je m?habille style ’salope en manque prête à se donner au premier venu. ’ Généralement, une jupe très courte, des talons-aiguille, avec un maquillage appuyé et sans soutien-gorge sous un chemiser ou un tee-shirt. J?ai remarqué que les hommes étaient très excités par ce côté vulgaire et qu?ils me branchent plus que si je portais une tenue B.C.B.G.

Je sors, je marche dans la rue, je vais dans des bars. J?attends d?être abordée. Si l?homme me plaît, j?accepte mais j?invente une histoire. Je raconte que je suis pressée, que je suis partante pour faire l?amour avec lui mais que je n?ai pas beaucoup de temps.

La semaine dernière, j?ai commencé avec un homme marié croisé à la terrasse d’un bar. La seule solution qu?il ait trouvée, a été de me conduire à l?intérieur d?un hall d?immeuble. Il m?a dirigée vers le renfoncement qui conduisait aux caves et là, il m?a tout de suite plaqué contre le mur, posant ses mains sur mes seins et cherchant ma bouche pour m?embrasser. C?était risqué, quelqu?un aurait pu nous surprendre mais c?était encore plus excitant comme jeu.

Au bout de quelques secondes, la lumière de la minuterie s?est éteinte et nous nous sommes retrouvés dans le noir. Je ne savais rien de lui, je n?avais même pas retenu son prénom et je me donnais à lui. Ses mains sont rapidement passées sous mon t-shirt et il s?est amusé avec mes seins avant de poursuivre à l?intérieur de ma petite culotte. Le fait de sentir que j?étais toute mouillée l?a enhardi et rendu plus sûr de lui. Je l?entendais respirer fort et je le sentais très excité tandis qu?il me fouillait avec ses doigts. Il n?y mettait aucune douceur. Il a fini par ouvrir sa braguette et par extraire sa queue pour que je le caresse, j?ai trouvé un sexe d?une incroyable rigidité. Mon amant inconnu a murmuré : ’ Suce-moi un peu, je te baiserai tout de suite après. ’

Je l?ai avalé jusqu?à la garde en l?écoutant gémir de plaisir. Dans le noir, j?ai trouvé un préservatif dans la poche de ma veste, je l?ai déroulé moi-même sur la queue tendue et il m?a prise contre le mur tandis que je lui écartais ma culotte avec mes doigts.

Il a joui rapidement et dès que je l?ai senti se vider, j?ai explosé moi aussi. Je l?ai abandonné presque aussitôt. Ma soirée ne faisait que commencer. J?ai changé de quartier et je me suis retrouvée dans une petite boîte de jazz que je fréquente de temps en temps dans le Marais. Là, les choses n?ont pas traîné. J?ai à peine eu le temps de commander un verre au bar qu?un type m?accostait. Il n?était pas mal, la trentaine, beau mec. Je lui ai raconté que j?étais juste passé prendre un verre, que j?étais mariée et qu?il me faudrait assez vite rejoindre mon mari. Il m?a cru et lui m?a proposé… les toilettes de la boîte de nuit !

Nous nous sommes enfermés côté femmes et je me suis tout de suite assise sur la cuvette pendant qu?il libérait sa queue. Il a présenté un sexe raide devant mes lèvres pour se faire sucer, après il m?a fait retourner contre le mur. Il s?est agenouillé pour me lécher devant et derrière. Quand il a vu que je ne lui refusais pas l?accès vers mon petit trou, bien au contraire, il m?a parlé de me sodomiser. Il a d?abord pénétré ma chatte et après quelques va-et-vient, il s?est retiré pour s?introduire entre mes fesses.

Il était plus doué que le premier partenaire de ma soirée. Il écartait mes fesses pour me mettre et m?encourageait à me masturber pendant qu?il me sodomisait à fond. Lorsque j?ai quitté cette boîte de nuit, je me suis rendue chez un couple d?amis qui habitent près de la Place de la Bastille. Ils organisaient une soirée libertine…

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