Vous devez peut être vous souvenir de l’après midi passé entre Sylvie, ma maîtresse, son fils Marc et moi. Après quelques ébats interdits, nous avions été au lac pour une baignade réparatrice. ?tendus sur la petite plage, je sentais Sylvie préoccupée.
* Que se passe-t-il Sylvie ?
* Je suis embêtée pour tout à l’heure. Tu te rends compte ! J’ai caressé mon fils et même un peu plus.
* On dit que ce n’est pas normal, mais je vous ai trouvés très complice tous les deux. Il n’y avait rien de malsain. C’était tendre. En plus c’est moi qui ai commencé ! ! !
* C’est vrais dits Marc ; J’étais bien et je ne sais pas ce qu’on a fait de mal. Moi aussi j’ai fais des choses pas ’normale ’ avec Michel.
* Enfin c’est différent dit Sylvie. Une relation entre deux hommes c’est plus logique.
* Je crois pas, Maman, moi je me suis pas senti coupable avec toi, mais un peu plus avec les caresses de Michel.
* Ah ! bon. Pourquoi coupable avec Michel ? Tout le monde a envie de relation homosexuelle. Enfin je crois.
* Et toi maman, tu as couché avec une femme ?
* Oui plusieurs fois quand j’étais jeune et puis après aussi.
* Ah bon ! ! ! dit Marc et avec qui ?
Sylvie qui commençait à mieux se sentir, nous fit quelques confidences.
* d’abord avec Anne, quand nous étions jeunes.
* Ta soeur ? dit Marc, avec étonnement.
* Oui, c’est elle qui m’a appris à me masturber. Comme nous avions la même chambre, nous finissions souvent dans le lit de l’une ou l’autre. Et puis nous nous sommes appris mutuellement à lécher le sexe. Mes premiers orgasmes je les lui dois.
* Et après, c’était quand et avec qui.
* C’était au moment où cela allait mal avec ton père. Une amie que tu ne connais pas.
* Racontes maman, s’il te plait.
* Hé bien, c’était au bureau, il y avait une collègue, Nadine, qui avait aussi des problèmes de couple et nous en parlions quelques fois. Un jour elle me dit ’ah les hommes. Je préfère vraiment les femmes ’. Et de fil en aiguilles nous avons parler du sexe entre femmes. Elle m’a invité à venir un soir chez elle pour goûter à de vrais plaisirs comme elle disait. J’y suis allé et nous avons fait l’amour ensembles.
* Dis-nous comme0nt. Allez dis-nous !
Je voyais le sexe de Marc grandir dans son maillot de bain. Profitant que personne ne nous voyait, je tirais sur le maillot de Marc pour permettre à son sexe de sortir un peu et je dis à Sylvie, allez fais-lui plaisir, regarde, il aime. Et je caressais un peu le bout du sexe de Marc.
Encouragée par cette vue, Sylvie nous expliqua alors comment Nadine et elle s’était assis sur le canapé, et que très vite elles étaient tombées dans les bras l’une de l’autre, pour un long baiser. Comment, alors qu’elle s’était levée, Nadine l’avait entourée de ses bras, passée sa main dans le slip et caressée longuement pour un premier orgasme. Comment elles avaient sauté sur le lit pour un 69 endiablé.
* Ce doit être excitant de vous voir faire, dit Marc
* Oui, dis-je, j’espère qu’un jour tu nous feras ce cadeau !
* Pourquoi pas, si Nadine est d’accord. Bon je vous ais raconté mes petits secrets, maintenant à vous. Et toi Marc, avant Michel, il y a eu d’autres garçons ?
* Oui, Alain.
* Ton copain. Je m’en doutais un peu. Et tu aimes ?
* Oui, on se caresse souvent. Mais pas aussi bien que Michel, et que toi.
Et Marc nous raconta ses aventures avec Alain. Le climat de confiance était revenu. De temps en temps je venais caresser le bout du sexe de Marc. Sylvie avait glissé sa main dans son maillot.
* Tu te caresses Maman ?
* Oui. Ca ne t’ennuie pas ?
* Non. C’est ce que je te raconte qui te donne envie ?
* Oui, mais c’est aussi le fait que tu me regarde faire.
* Tu va te faire jouir ?
* Ca te ferait plaisir ? Dit Sylvie, dont on voyait les doigts aller et venir à l’intérieur du maillot, et dont la voix était un peu plus sensuelle.
* Oui, vas-y Maman, dit Marc en prenant à son tour son sexe.
* Michel, tu peux surveiller….
* Allez-y, il n’y à personne.
* Ah ! Ce que c’est bon dit Sylvie, et toi Marc tu es bien ?
* Ah ! oui. Tu es dedans ?
* Non, je suis sur mon clitoris. Tu veux que je rentre dedans ?
* Je sais pas, je crois que je vais jouir.
* Non attend moi un peu, Marc.
Je regardais Marc et sa mère se branler, face à face, profitant du spectacle de leur excitation. Ma main s’était, elle aussi, portée sur mon sexe, mais je devais veiller à leur tranquillité.
* Marc, ça y est, je vais jouir.
* Oh oui ! Je peux aussi ?
* Oui, vas-y
Et ils partagèrent un long orgasme en commun. Sylvie enleva sa main du slip de bain, et Marc la lui pris pour goûter au liquide de sa mère.
* Merci Marc, c’était très agréable. Maintenant, à la maison, au lieu de se cacher chacun dans notre chambre, on pourra se masturber ensemble ?
* Ah oui ! Ce sera bon. Moi je me masturbe souvent, et toi Maman ?
* De temps en temps.
* Bon, on m’oublie dis-je.
* Mais non dirent-ils en coeur et en riant.
Reprenant un ton sérieux, Marc me demanda si je pouvais le masturber de temps en temps.
* J’aime bien que Michel me caresse.
* En sortant du lycée tu pourras aller le voir dis sa mère. Simplement préviens-moi avant pour que je ne fasse pas de soucis.
* Il te téléphonera de la maison pendant que je le branle. Ok ?
* Une idée géniale, Michel. Et tu me raconteras tout, hein Marc ! .
* Oui c’est super.
* Bon mes hommes il serait peut être temps d’aller manger ?
* Ok
* Je prends les affaires et je rentre et vous allez faire quelques courses ?
* D’accord !
Marc m’accompagna. Nous fîmes quelques emplettes. Sur le chemin Marc me demanda :
* Tu es d’accord pour que je vienne de temps en temps te voir.
* Bien sur avec plaisir.
* Est-ce que je pourrais parler de toi à Alain ?
* Ben je sais pas, si tu veux, mais …..
* Ne t’en fait pas je m’arrangerais pour qu’il ne sache pas tout
* Et pourquoi tu veux lui parler de moi.
* Je ne sais pas vraiment, mais avec toi, même quand on ne se caresse pas je suis bien, j’aime bien te sentir près de moi. Avec Alain on s’embrasse aussi, mais c’est pas aussi agréable qu’avec toi. J’ai des frissons partout quand tu m’embrasses.
* Et avec ta mère ?
* C’est pareil. En fait, je voudrais vous embrasser tout le temps. Tu crois que c’est ça être amoureux ?
* Peut être !
En disant cela je ressentais un flot de tendresse m’envahir. Je commençais à aimer Marc comme sa mère. J’avais une folle envie de lui dire : je t’aime comme je l’aurais dis à sa mère. Je décidais d’abandonner un peu ce terrain, qui me faisait un peu peur.
* Marc, à moi de te poser une question.
* Oui !
* Un jour je pourrais te voir faire l’amour avec ton copain ?
* J’aimerais bien. J’espère que je pourrais le convaincre et que même on pourra le faire tous les trois.
* Et les filles Marc ?
* Je suis trop timide et elles ne sont pas faciles à convaincre.
* Tu as essayé ?
* Oui, mais à part quelques baisers et quelques mains sur les seins, il n’y a pas eu grand chose.
* Ca va venir.
Nous étions arrivés au studio. Sylvie avait pris sa douche et commençait à préparer une grande salade.
* Allez les hommes, à la douche.
Nous nous précipitons dans la salle de bain pour une douche ensemble.
* On se savonne mutuellement dis Marc.
* Ok
Je passais le savon sur le dos de Marc. Il était tout contre moi. Serré contre son dos, mes mains pleines de savon, passait sur son ventre, sa poitrine. Je profitais de la douceur de sa peau d’adolescent. Mes mains descendirent sur son bas ventre, et aboutirent à son sexe dressé. Marc essayait de me caresser en mettant ses mains dans le dos, mais ce n’était pas très facile compte tenu de l’exiguïté de la douche.
* Michel, on peut aller dans la chambre ?
* Oui ce sera mieux je crois.
Rapidement rincés et séchés, nous sortîmes de la salle de bain pour rejoindre la chambre. Marc s’allongea sur le lit. Je m’asseyais sur le bord du lit, lui tournant le dos. Son sexe était dressé. Je passais mes doigts le long de ses cuisses, mes mains atteignaient ses testicules que je prenais délicatement. Marc avait ouvert largement ses cuisses et pliée un peu les jambes. Je prenais son sexe dans une main sans le masturber, simplement pour contenir les soubresauts que l’excitation provoquait. Mon autre main s’insérait entre ses cuisses et caressait, sans l’atteindre la base de son anus.
* Embrasse moi dit Marc.
Je me tournais un peu et posais ma bouche sur la sienne. Sa main vint se poser sur mon cou.
* Donne-moi ta langue dit-il le souffle un peu court.
Je déposais ma langue à l’entrée de sa bouche, la sienne vint à sa rencontre. Je la prenais entre mes lèvres pour la sucer doucement. L’abandonnant, je tendais la mienne, il me la prit de la même façon. Je passais ma main sous sa tête et plaqué contre ses lèvres je l’embrassais fougueusement. Ma langue était entrée profondément dans sa bouche et tournait autour de la sienne. Je le forçais à se tourner sur le coté et m’allongeant à mon tour dans l’autre sens, ma figure vint à la rencontre de ses fesses. Marc replia un peu une jambe pour m’offrir un meilleur spectacle. Devant mes yeux, l’anus de marc, bordé de cette peau rose à peine plissée. Le nez à quelques millimètre de son anus respirait son odeur.
Enivré par ce mélange d’odeur du savon de la douche à des odeurs plus personnelles de Marc, je respirais chaque parcelle de son cul. Marc sentait ma respiration contre son orifice, il gémissait de plaisir. Je forçais un peu ma respiration pour qu’il la sente encore mieux. Ouvrant largement la bouche je couvrais complètement son anus et je soufflais le plus possible. L’air chaud devait flatter son orifice.
* Oh c’est bon Michel ! , Encore s’il te plait.
Ma main passée au-dessus de son corps avait trouvé son sexe. Comme il avait un prépuce important comme moi je n’avais pas saisi tout son sexe, mais avec trois doigts je faisais rouler son gland dans le prépuce. D’un doigt posé sur le bout du gland sous la peau, je tournais autour. Ma bouche s’approcha plus précisément de son anus. Le duvet de ses fesses caressait mes lèvres. Je déposais milles baisers autour de l’anus. Marc vint poser une de ses mains sur ses fesses pour l’écarter et laisser plus de place à mes caresses. Sa manoeuvre découvrit encore plus son orifice, je profitais de l’absence de pilosité pour embrasser le tour de l’orifice. Je déposais alors ma langue dessus. Marc poussait de petits gémissements. Ma langue et ma bouche dévoraient doucement le cul de Marc, offert à mon plaisir. Marc, passant sa main entre ses jambes vint insérer son doigt entre mes lèvres pour atteindre son anus. Il l’enfonçait doucement et je conservais ma bouche autour de son doigt. Ma langue essayait d’accompagner la caresse. C’était très excitant de sentir ce doigt dans la bouche pendant que je le léchais.
Parfois il sortait son doigt que je suçais avec délice. Il retournait aussitôt pour une nouvelle pénétration. Ces aller-retour du doigt de Marc faisait maintenant mieux ressortir les odeurs de Marc, ce qui ajoutait à l’excitation. Pris dans nos ébats, nous n’avions pas remarqué l’arrivée de Sylvie. Nue comme nous, elle s’était couchée contre moi et avait pris possession de mon sexe de la même façon, trois doigts pour branler le gland. Sa bouche elle aussi était venue se poser sur mon anus. Je levais une jambe pour permettre à sa langue de mieux approcher l’orifice. Je sentais son sexe contre mon dos. Marc s’apercevant de la présence de sa mère se retourna. Il m’offrait maintenant la vue de son sexe. Je pris sa queue dans la bouche et sans le décalotter j’utilisais ma langue pour faire rouler le gland comme l’avait fait mes doigts.
Je sentais que Sylvie lui tendait mon sexe. Marc le pris tendrement dans sa bouche. Il reproduisait sur mon sexe les caresses que je prodiguais au sien. A un moment Marc se retira et se déplaça. La langue de Sylvie m’abandonna. Marc et Sylvie partageaient un long baiser entre mes jambes. Je sentais le mouvement de leurs têtes sur mes cuisses et sur mes bourses. De doux gémissements étouffés par leur baiser venaient jusqu’à moi. J’embrassais l’intérieur des cuisses de Marc. Leurs gémissements plus clairs me laissaient comprendre que leurs bouches étaient séparer et que maintenant ils se léchaient la langue, bouche ouverte.
Poussant un peu ma queue, Sylvie la conduisit entre leurs bouches pour me faire partager le plaisir. Je ne savais quelle langue, de Marc ou de sa mère, provenait le plaisir. Progressivement Sylvie dirigeait ma queue dans la bouche de Marc. Il se déplaça de nouveau pour que je reprenne ma fellation. Je décalottais Marc, il en fit de même avec moi, et nous nous sucions doucement pour ne pas jouir trop vite. Ma main était passée sur ces fesses et mon doigt commençait à pénétrer son anus. Il ne pouvait en faire de même car sa mère avait pris possession du mien. Il les écartait donc pour permettre à la langue de Sylvie de mieux me pénétrer. Sylvie avait passé sa jambe par-dessus moi et blottie contre mon dos je sentais sa main entre ses cuisses. Elle se masturbait avec volupté. Elle déposait de la salive sur mon orifice et sa langue, son nez, passait étaler le liquide entre mes fesses ouvertes.
Avec ma main j’entraînai Marc dans un lent va et viens, afin qu’il utilise ma bouche comme un sexe de femme. Chaque poussée de ma main entraînait mon doigt plus profondément dans l’anus. Marc avait comme tout à l’heure introduit son doigt dans la bouche de sa mère pour atteindre mon orifice. Cela semblait particulièrement exciter Sylvie dont j’entendais et ressentais le grognement qui vibrait contre la peau de mes fesses. Je sentais venir la jouissance de Marc. Je stoppais ses mouvements dans ma bouche pour le faire jouir de mes succions et de ma langue. Dès le premier jet de sperme dans ma bouche, je jouis à mon tour dans la sienne. Je m’appliquais à avaler sans cesser de le sucer. Plusieurs jets vinrent m’emplir la bouche.
Je déchargeai moi aussi une quantité importante. Sylvie qui me connaissait bien avait posé sa main à la base de mon sexe et donnait une légère pression à chaque jet de mon sperme. Marc essayait tant bien que mal de tout avaler, mais il n’y parvenait pas. Nous poussions tous deux des cris de plaisir, étouffés par nos bouches encombrées. Notre jouissance fut longue. Nous avions un peu oubliés Sylvie. Je me couchais sur le dos. Sylvie vint prendre les dernières gouttes de sperme qui coulaient sur mon sexe, et couchée sur sa main elle poursuivit sa masturbation. Marc déposa des baisers dans le cou et le dos de sa mère jusqu’à ce qu’elle jouisse, elle aussi. Sylvie se laissait aller, elle poussait de véritables cris sans retenues. Nous l’écoutions avec un immense plaisir. Marc semblait comme moi fasciné par le plaisir des autres. Son orgasme dura longtemps lui aussi.
Marc et Sylvie vinrent se coucher près de moi. Chacun avait choisit une épaule. Sylvie avait chevauché une de mes jambes et Marc pris l’autre. J’embrassais Sylvie, Marc, Marc embrassait sa mère, nous nous embrassions ensemble… Me tournant vers Marc je ne pus m’empêcher de lui dire
* Marc je crois bien que je t’aime
Je sentis un frisson le parcourir.
* Moi aussi dit-il rapidement avant de se coucher sur moi pour m’embrasser fougueusement.
* Tu n’es pas jalouse Sylvie ?
* Pas du tout chéri, au contraire je me sens très complice. Et elle m’embrassa à son tour. Ce qu’il y a de plus inquiétant c’est que je suis en train de devenir amoureuse de toi Marc.
Un nouveau frisson plus intense le parcouru. Toujours couché sur moi il pris sa mère entre ses bras et l’embrassa avec amour.
* Moi aussi maman je t’aime. J’ai envie de toi dit-il dans un murmure.
* Moi aussi mon chéri j’ais envie de toi. Mais pas tout de suite.
Un long silence suivi cet aveu.
* Bon si on allait manger avant de faire des bêtises dit Sylvie en se relevant.
* On peut rester nu ? dis Marc
* Pourquoi pas dit Sylvie en enlevant le slip qu’elle avait commencé à mettre !
Sortant ainsi de la chambre nous allâmes enfin dîner.
* Un petit apéritif ? dit Sylvie
* Bonne idée
C’est Sylvie qui fît le service. Marc ne perdait pas de vue le corps de sa mère.
Prenant un glaçon je dis à Marc
* Je vais t’apprendre un truc. Sylvie tourne toi et penche-toi un peu.
Elle avait deviné. J’insérai lentement le glaçon entre ses fesses pour le poser sur son anus. Sylvie adorait ce genre de sensation.
* C’est bon ? dit Marc
* Super dit sa mère. Tu veux essayer ?
* Oui je veux bien
* Alors lève toi et pose ta jambe sur la chaise.
Prenant à son tour un glaçon elle le glissa entre les jambes de Marc et doucement vint le frotter sur son anus.
* Ah c’est froid ! ! ! !
* Attend un peu ça va devenir bon, dit-elle en poursuivant.
Après quelques instant elle mis le glaçon dans son verre.
* ça sera encore meilleur avec ça
J’en fis de même avec ce qu’il restait du glaçon que j’avais utilisé sur elle.
* Et moi dis Marc ?
* Fais le à Michel
Sylvie me fit lever et pencher sur la table, elle pris un glaçon et la main de Marc. Il frotta le glaçon sur mon anus et le plongea dans son verre. Et nous goûtions tout autant notre apéritif que ce que les glaçons avaient bien voulu recueillir.
* C’est génial votre idée dis Marc.
* Oui mais le problème c’est que ce froid ça me donne envie de faire pipi dit Sylvie en nous quittant.
* Viens Marc dis-je avec malice
Nous avions suivi de peu Sylvie. J’ouvrais alors la porte des toilettes
* Hé ! il y a du monde dit Sylvie
* Oui c’est bien pour ça que nous entrons dis-je en riant.
Je m’accroupis devant Sylvie et je forçais Marc à en faire autant. J’écartais les jambes de Sylvie qui nous souriait. Nous pouvions profiter du spectacle. Sylvie passait sa main dans nos cheveux tandis que nous regardions le jet qu’elle produisait. Les dernières gouttes tombaient et Sylvie porta sa main sur le rouleau de papier. Je la devançais et je pris moi-même le papier. J’essuyais son sexe. Marc fixait tous mes mouvements. Je laissais tomber le papier entre ses jambes et je prodiguais une dernière caresse au sexe de Sylvie avant qu’elle ne se lève.
* Allez maintenant à table je meure de faim dit Sylvie.
* On arrive
Pris, nous aussi, d’une envie pressante, nous avions commencer à uriner ensemble. Tout en urinant Marc me dit
* Avec Alain nous allons souvent ensemble aux toilettes et puis on fait des trucs.
* Ah ! Bon et quoi ?
* Je te raconterai un jour répondit-il un peu gêné
Je n’insistais pas mais je me doutais un peu, j’avais aussi eu ces jeux étant jeunes, mais aussi quelques fois avec Sylvie. Bien qu’un peu particulier, je fantasmai de les renouveler avec Marc et Sylvie. Enfin nous étions à table. Un repas réparateur bien venu après toutes ces péripéties. Repus de plaisir, la soirée fut calme. Arriva l’heure d’aller se coucher.
* Je peux dormir avec vous dit Marc ?
* Ah non ! ce soir on dort, je suis crevée dit Sylvie
Et en effet nous avions largement dépassé les limites. Tout le monde alla donc au lit. Peu de temps après je me levais pour aller boire un peu. En passant près de Marc il me dit :
* Michel je n’arrive pas à dormir
* Qu’est ce qui se passe ?
* Je suis très excité et je n’arrête pas de penser à cette après midi.
* Branles toi un peu et ça ira mieux.
* J’aimerai bien que ce soit toi.
* Qu’est ce que tu préfères ? Que je te branle ou que je te suce ?
* Suce-moi s’il te plait.
* Alors viens te mettre plus près du bord et passe moi ton oreiller.
Il se mis près du bord du canapé. Je lui écartais les jambes et son bassin arrivait juste au bord du lit. M’agenouillant entre ses jambes qu je lui relevais, je posais ma bouche sur la pointe de son sexe bandé. Mouillant mon doigt de salive, je le posais sur son anus. Je commençais ma fellation. Mon doigt poussait un peu, sans vraiment pénétrer. Je sentais le plaisir monter en Marc.
* Plus profond s’il te plait.
Mon doigt s’enfonça de quelques millimètres. Chaque millimètre provoquait un durcissement de la queue de Marc. Je sentais monter l’éjaculation. Son sperme s’écoula dans ma bouche.
* Merci dit Marc en se repositionnant dans le lit.
Je retournais au lit. Sylvie qui ne dormait pas encore me dit
* Ben tu étais où ?
* J’ai sucé Marc car il n’arrivait pas à s’endormir.
* Et maintenant je suis sure que tu bandes !
* Ben oui !
* Moi je suis crevé. Viens dans mon bras si tu veux et branles toi.
Blotti dans son épaule, une main antre mes cuisses et l’autre sur mon sexe, je me branlais. Sylvie m’encourageait, me demandant si c’était bon, me conseillant la vitesse, la force. Elle embrassait mon front. Je sentais venir l’orgasme.
* Michel, garde ton sperme, tu me donnes envie de le boire.
Je me branlais donc en gardant mon prépuce fermé. Je ne pus conserver tout le sperme, une partie s’écoula entre mes doigts. Me levant un peu, j’enjambais la figure de Sylvie. Elle ouvrit la bouche et je laissais couler le sperme dans sa bouche. Elle avala avec un plaisir non dissimulé. En me recouchant, je vis que sa main s’était glissée entre ses cuisses.
* Bon, à moi maintenant.
Et elle entrepris au creux de mon épaule une masturbation langoureuse. Malgré la présence de Marc, elle n’avait plus de crainte que son plaisir s’entende. Et il s’entendit ! Nous pouvions enfin tous dormir. Il nous restait encore trois jours à passer ensemble. Je sentais que le programme n’était pas terminé. La nuit fût calme, et le soleil était déjà haut lorsque Sylvie se leva la première. Je la suivais de peu. Dans le canapé, Marc dormait encore. Après avoir avalé notre café, Sylvie me dit
* Viens, on va réveiller tendrement Marc.
Assis sur le bord du canapé, nous retirâmes lentement le drap qui recouvrait le corps nu de Marc.
* Michel, tu as vu ce qu’il a dans la main ?
En effet Marc tenait dans sa main un slip de Sylvie. Elle l’embrassa tendrement sur le front. Il se réveilla, et s’apercevant qu’il avait encore le slip de sa mère dans la main, il rougit.
* Heu, je suis désolé mais je …. Il ne savait pas comment s’expliquer.
* Ce n’est rien dit Sylvie. Je vais te faire aussi un aveu, moi aussi je vais chercher parfois un de tes slip pour sentir l’odeur d’un sexe d’homme quand je me masturbe toute seule.
Marc bandais. Il devait imaginer sa mère le nez enfoui dans son slip, les jambes écartées et le doigt furetant dans le sexe.
* Tu bandes, mon coeur, tu veux que je te fasse une petite branlette du matin ?
Elle n’attendit pas la réponse. Prenant son slip des mains de Marc elle le posa contre son sexe et l’essuya, le faisant pénétrer un peu entre ses lèvres déjà humides. Elle posa le slip contre la figure de Marc, et saisi doucement son sexe. Marc tenait le slip de sa mère des deux mains plaqué sur son visage. Il se régalait de cette odeur pendant que Sylvie le branlait. De mon coté, je commençais aussi à me branler en les regardant.
* Attend dit Sylvie je vais te branler après.
Marc, sentant venir l’éjaculation, tenta de porter sa main sur les cuisses de Sylvie.
* Non Marc, pas tant que je n’ai pas pris ma douche, je n’aime pas.
Marc jouit, le sperme s’écoula sur son ventre. Sylvie lui repris le slip et s’en servit pour l’essuyer.
* A toi maintenant chéri.
Je m’allongeais à mon tour le sexe pointé en l’air. Me tendant le slip, Sylvie me demanda si je voulais en profiter aussi. Je prenais le slip et le portais à moi pour respirer leurs deux odeurs. Sylvie savait que j’adorais cette masturbation du matin. Je mis peu de temps à jouir. Marc avait essayé de récupérer mon sperme sur sa main. Il utilisa le peu qu’il avait pu attraper pour s’enduire l’anus.
Excitée par nos manoeuvre Sylvie annonça
* Je crois que je ne vais pas pouvoir attendre la douche. Vous voulez bien me masturber.
Elle ouvrit son peignoir, posa un jambe sur le canapé, elle nous invitait à voir et caresser son sexe.
* Michel, devant et toi Marc derrière, tu veux bien ?
Assis sur le canapé face aux cuisses ouvertes de Sylvie, ma main se porta entre ses cuisses. Marc se mit à genou derrière sa mère. Il posa sa main sur ses fesses et fit passer un doigt sur l’anus de Sylvie. Nos doigts s’occupaient chacun d’un orifice, au grand plaisir de Sylvie. Le sexe de Marc avait repris une forme digne d’un adolescent en pleine forme. Se levant lui aussi il remplaça son doigt par son sexe contre l’anus de sa mère. Sylvie se pencha un peu comme par réflexe, ou avec le secret espoir que le sexe de son fils aille plus loin. Marc guidait sa queue avec la main. Parfois il le poussait jusqu’aux grandes lèvres du sexe de Sylvie, sans la pénétrer.
* Je vais jouir dit Sylvie dans un râle.
Marc lui aussi jouit. Le sperme se projeta sur l’anus et le sexe de Sylvie, ce qui décuplât son plaisir.
De la main j’étalais le sperme sur son sexe et son anus.
* Whaou ! ! ! ! c’était bon ! Ce coup-ci la douche est nécessaire. Mais avant petit détour aux toilettes !
* On peut y aller avec toi ?
* Si vous voulez.
Nous accompagnions Sylvie. Elle écartait ses cuisses pour nous laisser voir. Accroupi devant elle nous attendions les premiers jets. A leurs arrivées, Marc ne put se retenir et porta sa main sur le sexe de sa mère.
* Tu aimes dit Sylvie ? joignant sa main à celle de Marc.
* C’est chaud ! C’est excitant.
Les dernières gouttes s’écoulaient entre les doigts de Marc.
* Tu as besoin de faire pipi toi aussi ?
* Oui un peu dit Marc.
* Alors viens ici.
Elle fit asseoir Marc sur ses genoux face à elle. Prenant son sexe d’une main, elle le dirigeât contre son bas ventre.
* Allez vas-y.
Marc fermant les yeux se laissa aller. Le liquide dorée s’écoulait sur les poils de Sylvie. Ils se levèrent. Les cuisses de Sylvie ruisselaient encore.
* Bon maintenant vraiment la douche. Pendant ce temps vous pouvez nettoyer un peu ! ! !
En épongeant, Marc me dit qu’il faisait ça parfois avec son copain. Je lui dit qu’avec Sylvie on avait découvert ça par hasard et que parfois on se faisait ce petit plaisir. Mais d’habitude c’est Sylvie qui s’assoit sur moi. Sylvie était dans la douche, mais la porte était ouverte. Marc et moi ne pouvions que nous laver mutuellement car la douche était trop petite pour trois. Sortis de la salle de bain Sylvie dit
* on va faire un tour ?
* Ok
Sylvie s’habillait et Marc lui dit
* pourquoi tu mets un slip Maman ?
* pour te le donner ce soir répondit-elle en riant.
Nous sortîmes donc. Sylvie semblait très amoureuse, pendue à mon bras. Passant devant un magasin de modèles réduit, Marc nous demandât s’il pouvait aller jeter un oeil. Pour l’attendre nous nous étions assis sur un banc proche.
* Michel, j’ai l’impression que je n’ai jamais fait autant de bêtises que depuis hier.
* Des bêtises peut être mais c’était bon non ?
* Je n’ai jamais été aussi excitée. Mais ce qui m’embête c’est que j’ai une formidable envie que Marc me fasse réellement l’amour.
* Je crois que lui aussi. Pour tout te dire j’aimerai aussi beaucoup, surtout si je peux y participer. Qu’est ce que tu préférerais, que ce soit par hasard ou préparé.
* Je ne sais pas.
* Je crois que le plaisir serait plus grand si on s’y préparait. Tu veux que j’en parle à Marc ?
* Oui parce que moi je crois que je ne pourrais pas.
* Ok. Va faire quelques magasins quand Marc sera revenu pour que je puisse lui parler.
* Tu crois vraiment que je vais avoir la tête à faire du shopping, dit-elle en riant.
Marc sortait du magasin et Sylvie se dirigeât vers une boutique complètement au hasard.
* Des trucs intéressants ?
* Non rien dit Marc.
* Marc, tu a aimé ces deux jours ?
* Ah oui, j’en rêvais souvent, mais c’est encore mieux que mes rêves.
* Marc, je peux te poser une question ?
* Oui
* Est-ce qu tu as envie de faire l’amour à Sylvie (je n’avais pas osé dire ’ ta mère ’) ?
* Oui j’aimerais vraiment, mais je sais pas si elle, elle veut !
* Je sais que si. Tu veux bien que j’organise ça ?
* Oui quand ?
* Tout à l’heure peut être.
Marc commençait à rêver. Il bandait j’en suis sur, comme moi, en imaginant ce qui allait se passer. Sylvie sortit et de son regard elle m’interrogeât. Je lui fit comprendre que c’était d’accord. Nous continuions la promenade, mais personne n’était vraiment enclin à s’émerveiller sur le spectacle de la rue. J’invitais tout le monde à manger dans un petit restaurant.
* Il faut manger car vous allez avoir besoin de calories tout à l’heure.
Sylvie et Marc rougirent. Sans se dire un mot, Marc et sa mère se regardèrent avec les yeux brillant de désir. Un sourire tendre illuminait le visage de Sylvie. Se tournant vers moi Sylvie me dit ’ je t’aime Michel ’, comme pour me remercier de ce futur plaisir. Le repas fini, Sylvie se pendit à mon bras et me dit ’ je suis trempée ’.
* Tu es prête ?
* J’ai peur !
* On va faire ça très tendrement tu verras. C’est moi qui vais commencer.
* Oui je préfère.
Arrivés à l’appartement, j’entraînais Marc et Sylvie dans la chambre. Je baissais les stores pour diminuer la lumière. Je ne conservais sur le lit que les oreillers et le drap. Je prenais Sylvie dans mes bras et je l’embrassais le plus sensuellement possible.
* Marc, viens défaire la robe de ta mère.
Marc descendait la fermeture éclair de la petite robe de Sylvie pendant que ma langue se promenait sur ses lèvres. Lorsque la robe était défaite, je pris les mains de marc pour les faire pénétrer sous les seins de Sylvie ; Marc se plaqua sur le dos de sa mère. Elle devait sentir mon sexe sur son ventre et celui de marc sur ses fesses. Ses baisers étaient plus sensuels. Je fis glisser la robe de Sylvie. Elle était maintenant en slip entre nous. Marc embrassait le cou de sa mère. Je pris la main de Sylvie et je la portais derrière elle, sur le sexe gonflé de Marc.
* Marc, enlève le slip de ta mère.
Intuitivement, il enfila ses mains sur les cotés et fit descendre très lentement le slip le long des jambes de Sylvie. Sa langue me pénétrait furieusement pendant cette descente. Elle enjambât le slip. Les mains de Marc remontèrent tout aussi lentement en caressant les cuisses, puis se portèrent sur les fesses de Sylvie.
* Sylvie, déshabille Marc maintenant.
Sylvie remonta le polo de marc, et, se blottissant contre lui, elle fit descendre le short et le slip en même temps. Elle se mit à genoux à ses pieds et colla sa joue sur le sexe tendu de Marc, les mains jointes sur ses fesses. Se retournant, elle défaisait ma ceinture et ouvrait mon jean. J’enlevais mon tee-shirt pendant qu’elle faisait descendre mon slip. Nus tous les trois, je les fis coucher. Sylvie était entre nous.
* Suces lui les seins Marc, chacun un.
M’imitant, Marc saisit un sein et le porta à ses lèvres. Il me regardait pour suivre les mêmes mouvements. Ma langue passait sur les mamelons, La sienne en faisait autant. Ma main serrait le seins quand je le suçais à pleine bouche. Marc en faisait de même. Sylvie gémissait de plaisir sous nos caresses.
* Marc je vais d’abord faire un peu l’amour à ta mère. Continue à lui lécher le seins et viens te frotter contre nous.
Sylvie écartait largement les jambes. Je me mis en position entre ses jambes. Elle pris mon sexe et le frottât contre son sexe avant de le faire pénétrer très doucement. Marc avait plaqué son sexe contre la jambe de Sylvie et je lui laissais la place de sucer un de ses seins. Je fis quelques mouvements très lents de pénétration. Parfois je sortais mon sexe pour le ré-introduire. Le sexe de Sylvie était trempé de plaisir. Chaque pénétration lui arrachait un gémissement de plaisir. Me retirant complètement je tirais Marc par les hanches pour le faire venir entre les jambes de sa mère.
Sylvie entourait Marc de ses bras. Marc blottit sa tête dans le cou de sa mère. Son sexe était au bord de celui de Sylvie. Un dernier mouvement et il la pénétra sans peine. Il tremblait de tout son corps et n’osait bouger. Je voyais les yeux de Sylvie briller de bonheur. Elle non plus n’osait bouger. Elle voulait faire durer ce bonheur le plus longtemps possible. En fermant les yeux, Sylvie entoura Marc de ses jambes ce qui fit pénétrer plus profondément Marc dans le vagin de sa mère.
Il tremblait. L’éjaculation étant proche, il ne fit aucun mouvement, mais il s’enfonçait le plus possible. Il jouit en gémissant dans le cou de sa mère. Sylvie jouit à son tour mais d’un orgasme plus intellectuel que physique. Je n’avais jamais vu autant de bonheur dans ses yeux. C’est elle qui donnait quelques coups de bassin pour vider les dernières gouttes du plaisir de son fils. Ils restèrent un très long moment ainsi, sans un mot. Comme le sexe de Marc diminuait, Sylvie dit à Marc ’ attend reste encore ’. Et Marc tenta de pénétrer un peu plus mais sans succès. Il plaqua la bouche sur celle de sa mère.
* Tu pleures dit Sylvie un peu affolée
* Non c’est de plaisir maman. C’était merveilleux.
Maintenant le sexe de Marc était complètement sorti. Marc s ’écroula sur le dos près de sa mère.
* A toi mon chéri, vient te finir.
Je m’installais de nouveau entre ses cuisses. Je la pénétrais sans peine et je trouvais en elle le sperme laissé par Marc. Mes mouvements étaient lents. Dans mon oreille Sylvie me remerciait. Elle me forçat à sortir. Elle se tournât vers Marc et l’enjambât. Je prenais position derrière elle et je la pénétrais de nouveau. Quand mon sexe fût bien rentré, elle descendit son bassin pour que le sexe de Marc touche le sien. J’étais obligé de me pencher en avant pour ne pas perdre l’équilibre. Sylvie dévorait la bouche de Marc. Chacun de mes mouvements faisaient frotter son clitoris contre le ventre de Marc. Il avait eu l’idée de génie de glisser sa main entre sa mère et lui. Il dirigeait son sexe pour caresser sa mère. Je sentais parfois son gland glisser sur mon sexe. Sentant un début d’érection de Marc Sylvie lui dit :
* Marc essaye de rentrer toi aussi.
Il guida tant bien que mal son gland à l’entrée déjà occupé du sexe de Sylvie. Sans vraiment la pénétrer, son gland avait trouvé un peu de place. Excité au plus haut point, Sylvie fit quelques mouvements pour aider son fils. Maintenant nos deux sexes étaient plus ou moins enfoncés dans son vagin. Sylvie explosa avec de grands râles. C’est elle maintenant qui remuait pour se frotter et se faire pénétrer. Mon sperme coulait abondamment et inondait aussi le sexe de Marc.
Lubrifié à l’extrême, le sexe de Marc ressorti et éjacula contre mon sexe. Je sentais ses jets frapper le bas de ma queue. Sylvie continuait à jouir. Elle passa sa main entre ses cuisses pour utiliser le sexe de Marc contre son clitoris. Un deuxième orgasme lui arrachait de nouveaux gémissements. Sylvie était maintenant écroulée sur le corps de Marc, inondée de plaisir. Elle m’attira contre eux.
* Je vais vous laisser tous les deux.
* Pourquoi ? Dit Sylvie
* Pour que vous puissiez faire l’amour tous seul.
Sylvie ne dit rien mais elle m’embrassa pour me remercier de cette idée. En sortant de la chambre je vis Marc venir contre sa mère. Je fermais la porte. Je prenais une bonne douche et quittais l’appartement pour une promenade réparatrice. Tout en marchant, je fantasmais sur ce que Sylvie et son fils étaient entrain de faire. Après une bonne heure de marche je rentrais sans bruit.
Sylvie avait mis un Tee Shirt mais n’avait pas mis de slip. Marc était totalement nu. Sylvie était assise sur le canapé et Marc, allongé, avait posé sa tête sur les jambes de sa mère. Il tenait le bras de Sylvie posé sur sa poitrine. Sylvie se tourna vers moi et me dit ’viens m’embrasser’. Je me penchais vers elle et lui donnais ce baiser. Il était simplement tendre. ’Merci’ me dit-elle simplement.
Soulevant un peu les jambes de Marc, je pris place sur le canapé. Je posais ma main sur le sexe comblé de Marc. Il ne bandait pas. Sa peau était douce. Je prenais une de ses jambes et je la fit lever pour poser son pied sur mon épaule. Je pouvais ainsi caresser l’intérieur de sa cuisse. Ma main descendait de sa cuisse vers l’intérieur. Lorsque mes doigts arrivaient vers ses bourses, je poursuivais un peu en direction de son anus. Mais ces caresses n’étaient pas faites pour le faire bander, juste pour sentir la douceur de sa peau. J’aimais le contact de son sexe reposé, souple sous les caresses. Je prenais son sexe dans ma main et je fis quelques pressions pour mieux sentir cette souplesse.
La main de Sylvie descendait parfois sur le bas ventre de Marc pour caresser les poils encore épars de Marc. Il avait tourné un peu la tête pour embrasser le ventre de sa mère. Retirant sa jambe de mon épaule je le fis tourner sur le ventre. Il avait maintenant le pubis de sa mère à embrasser. Je pouvais passer langoureusement ma main sur ses fesses. Je les ouvrais un peu pour profiter du spectacle de son anus. Il n’avait pratiquement aucun poils, et je passais mon doigt autour de l’orifice. Je forçais un peu pour le pénétrer de quelques millimètre. Il semblait beaucoup aimer ça, je sentais sa queue se raidir contre ma cuisse.
Je prenais la main de Sylvie et je guidais son doigt vers le cul de son fils. Comme moi elle commença à en faire le tour par des attouchement très doux. Puis son doigt vint se poser sur l’anus. Elle le pénétra comme moi. Mon doigt rejoignit le sien. Marc profitait de nos deux doigts bien enfoncés maintenant. Sylvie se pencha vers moi en relevant une jambe sur l’accoudoir. Elle m’embrassait tout en poursuivant sa masturbation anale avec moi dans le cul de Marc. Il avait profité de la nouvelle position de sa mère pour lécher le sexe et poser sa langue sur le clitoris.
* Marc, pousses toi, dit-elle, je vais me faire enfiler par Michel.
Elle se leva, vint défaire mon pantalon et le baisser sur mes cuisses. Sortant mon sexe déjà bien bandé, elle me chevaucha, face à moi en enfilant mon sexe dans le sien. Je lui retirais son Tee Shirt pour lui embrasser les seins pendant qu’elle me prenait. Marc s’était assis à coté de moi. Je passais ma main sous ses fesses et je fis pénétrer mon doigt dans son anus. Il était assis sur ma main. Sylvie avait pris le sexe de Marc et le branlait au rythme de ses allers et venues sur le mien.
Marc effectuait des mouvements pour que mon doigt le pénètre encore plus. Sa tête était venue se poser dans le creux de mon épaule. Sylvie pouvait l’embrasser entre les montées et les descentes. Elle s’arrêta un moment, pénétrée au plus profond, et par quelques mouvements dont elle avait le secret, elle utilisait les muscles de son vagin pour me masturber sans mouvement. Elle s’approcha du visage de Marc et elle le lécha sur tout le visage. Marc ouvrant la bouche offrit sa langue, celle de Sylvie vint à sa rencontre. Accumulant un peu de salive elle vint la déposer sur la langue de son fils, et l’étala avec sa langue.
* On essaye de jouir ensemble dit Sylvie dans un souffle.
Elle reprit ses mouvements sur mon sexe et sur celui de Marc. Nous échangions nos états pour essayer de suivre le conseil de Sylvie.
* On essaye de t’attendre dis-je à Sylvie.
Elle accéléra ses mouvements, en faisant attention de ne pas précipiter la jouissance de son fils.
* Je sens que je vais partir dit-elle. Voilà allez y vous aussi.
Les jets de spermes de Marc et moi partirent en même temps. Les uns dans le sexe de Sylvie, les autres dans ses mains.
* oh je jouis, je jouis dit Sylvie
Se relevant, elle enjamba Marc et vint se mettre sur le sexe encore dur.
* Attend Marc je vais encore jouir.
Elle enfonça le sexe de Marc dans le sien et fit encore quelques allers et venues. Elle eut un deuxième orgasme juste avant que Marc ne puisse plus maintenir sa raideur.
* Encore dit Sylvie.
Rapidement je poussais Marc pour que Sylvie puisse s’étendre, jambes ouvertes sur le canapé. Je la suçais pour lui permettre d’obtenir un nouvel orgasme.
* Marc, donne moi ton cul que je puisse le sentir.
Marc enjamba sa mère et posa tendrement son anus sur le visage de Sylvie. Elle se contentait de le respirer. Ce n’est qu’au moment de jouir à nouveau qu’elle ouvrit la bouche autour de l’orifice. Maintenant elle criait de plaisir dans le cul de Marc. Marc vint se mettre à genoux et embrassa sa mère sur la bouche, les bras passés autour d’elle.
* Maman, je t’aime. Je suis amoureux de toi, entre chaque mot il l’embrassait.
* Moi aussi je t’aime. Moi aussi je suis amoureuse de toi. Je t’aime comme j’aime Michel