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Les aventures sexuelles de Clément – Chapitre 3




Pour les vacances, Clément devait rentrer à Rennes en voiture. Il avait convenu de partager la route depuis Perpignan avec une amie, Meryl, quil connaissait quil connaissait vaguement de la fac. Elle avait 21 ans, blonde pulpeuse soufrant déjà dune réputation dallumeuse sur le campus. Des rumeurs prétendaient même quelle se serait prostituée par plaisir pour arrondir ses fins de mois pour satisfaire ses envies vestimentaires.

Il vient la chercher ce matin là très tôt au pied de son immeuble. Elle lattendait déjà dans un short en jeans très moulant au dessus dune paire de collant, dune paire de bottines à talons noirs, et un manteau blanc cachant une chemise rouge très cintré.

Elle sinstalla à coté de lui, retira son manteau et se mit à laise. Lintérieur de lhabitacle était humide et surchauffé. Elle ouvrit sa chemise jusquau milieu de sa poitrine. Ses seins semblaient vouloir faire exploser les autres boutons sous leur pression. Ils roulèrent et roulèrent encore. Très désinvolte elle posa ses pieds sur le tableau de bord et alluma une cigarette. Ils discutèrent un moment, elle, lui demandant ce quil faisait sur le campus, sil était en couple. Il esquiva la question en prétendant rentrer pour voir ses parents. Il lui retourna elle question. «Jaime me faire plaisir en changeant de mecs très souvent » répondit-elle.

Ses mains courraient sur ses jambes bien raides. Elle sassoupie et sa tête vient se coller sur lépaule du conducteur. Clément adorait cela. Il matait les cuisses de sa passagère. La route défilait, interminablement. Sa main sur le bord du siège touchait le bord de sa jambe. Dans un mouvement elle sassit dessus et, dans un geste très naturel la remit en place directement sur le haut de sa cuisse. Il ne put sempêcher de caresser localement sa compagnonne de route. Tout en faisant mine de dormir sur lépaule du conducteur, elle déboutonna un peu plus sa chemise au niveau de son nombril. Distraitement il regardait la poitrine se dessiner hors du vêtement. Ses deux mots monticules étaient un appel à de douces caresses. La main de Clément fut guidé jusquà lembouchure du short, remonta encore jusqu’à la jointure des deux cuisses. Elle se frotta de plus en plus avec son jouet improvisé. Les yeux fermés comme pour ne pas voir la route et la réalité, elle ouvrit un peu la bouche et respira un peu plus fort. Abandonnant un instant la main, elle acheva douvrir sa chemise en grand, pris sa poitrine un moment à deux mains quelle comprima. Elle reprit la main, et la plaqua sur son sein. Il le pelota avec vigueur et entreprit de faire ressortir le sein hors de son abri. Elle ouvrit les yeux et sa bouche en grand quand il lui pinça le bout du téton. Elle écarta ses jambes et de sa propre main caressa la cuisse de Clément. Rapidement elle attrapa la bosse qui sétait formée entre les jambes du malheureux et frotta sa main vigoureusement. Il avait lâché le sein et sa main essayait symétriquement de caresser son entre jambes.

Excitée, elle ouvrit sa braguette, sortit lengin qui se dressa de lui même telle une fusée. « Ho oui une belle queue comme je les aime » sécria telle. « Je vais te la bouffer ». Elle sactiva ainsi. Alors que la voiture roulait à tombeau ouvert, elle astiqua le membre de plus en plus vite humectant avec beaucoup de salive le chibre pour mieux gouter à la saveur quil semblait dégager. Clément avait du mal à se concentrer sur la route. Il caressait dune main les cheveux dor de la bougresse pendant quil tenait le volant de lautre. Puis il ferma un instant les yeux. Il se crispa, et vient remplir la bouche de la petite qui sarrêta un instant pour absorber la crème qui venait envahir sa bouche.

Avec beaucoup dapplication, elle se retira sans rien dire, et vient embrasser son conducteur à pleine bouche encore dégoulinante de sa semence. Pendant quelques secondes il ne vit plus la route. La langue de sa partenaire vient retrouver la sienne, mélangée à son propre gout.

« Jai trop envie que tu me baises, arrêtes toi sil te plait » dit-elle.

Elle tenait toujours la queue de Clément toute gluante entre ses mains. Ils roulèrent encore quelques minutes avant de trouver une station service. Cétait un relais roulier avec peu de monde à cette heure de la journée. Sans refermer les boutons de sa chemise, elle entraina Clément par la main dans les toilettes des hommes.

« Baise-moi comme une chienne mon Clément. Suis ta pute » dit-elle.

Il lattrapa brutalement par ses deux seins, et baissa violemment son soutient gorge faisant apparaître ses deux gros seins bien ronds et fermes. Il lembrassa en la plaquant contre le mur et malaxa ses deux globes puis, pinça ses tétons.

La main de Meryl était dans le pantalon de son chauffeur et branlait son manche, caressait ses testicules. Il déboutonna son short, le fit tomber à ses pieds. Elle lécarta dun revers. Elle baissa son collant à ses genoux en se cambrant. Ses fesses étaient bien larges. Clément très excitait, prit le string par les hanches, tira dessus jusqu’à fait céder lélastique. Les morceaux du string en lambeau tombèrent parterre. Son cul était à présent offert. Elle se pencha un peu plus vers les lavabos pour lui donner accès à sa chatte quelle écarta du bout de ses doits. Son manche pénétra directement le vagin de Meryl. Elle soupira en sentant le membre senfoncer. De grandes saccades se succédèrent. Elle gémissait.

Un routier ventripotent fit irruption dans les toilettes. Le spectacle lexcita et sans perdre un instant ouvrit sa braguette et tendit à Meryl un vieux membre bien gros quelle avala. Il se raidit bien vite dans sa bouche. Clément éjacula en elle. Elle se redressa en souriant et posa ses fesses sur le lavabo. Elle écarta ses cuisses encore trempées et dégoulinantes. Le routier pervers la pénétra de face. Son gros bambou la fit jouir et peu de temps après il lui remplit aussi son vagin de son foutre. Elle le remercia en lembrassant. Ses jambes dégoulinaient de substance blanchâtre. Elle remit juste son collant au dessus de son sexe et referma sa chemise.

Ils repartirent aussi tôt. La route était encore longue.

*****

Arrivés sur Rennes, il faisait nuit. Elle habitait dans une banlieue mal fréquentée assez déserte à cette heure. Aussi Clément proposa de lescorter jusqu’à son immeuble et lui porter son sac. En passant par une coure, ils tombèrent nez à nez avec une bande de cinq ou six blacks et beures franchement louches qui les arrêtèrent. Le ton monta rapidement sans raison. Excités par la femelle qui laccompagnait, ils lentourèrent et des mains étaient déjà sur ses seins.

En tentant de sinterposer, Clément déclencha les foudres contre lui. Les mains maintenues dans le dos, une autre se plaqua violemment sur ses bourses. Ils lui baissèrent son fût puis son froc. Sa queue était à leur portée. Une main attrapa ses couilles. Les mouvements, à sa grande surprise, le firent bander.

Pendant ce temps, face à lui, Meryl était entre leurs mains mais semblait prendre un plaisir certain à se faire peloter. Des langues envahissaient sa louche quelle cherchait avec son piercing lingual. Son cul était envahit de mains un mollet venait se frotter entre ses cuisses. On lui souleva sa poitrine et arracha sa chemise. Ses seins en obus étaient tripotés, malaxés, pincés. Son short fut retiré de force. Elle nétait déjà plus quen collant et bottines. Un gros black attrapa ses fesses pendant quun autre malaxa ses seins par derrière. « Prenait ce porc comme il le mérite » dit-elle pour les exciter, « il ma déjà baisé comme une pute pendant la route ».

Elle se mise à quatre pâtes.

Clément était plaqué parterre à quelques centimètres du visage de Meryl. Ses fesses relevées, bien en arrière et cambré, il sentit quil allait servir de lopette à ses brutes. Il nétait pas de taille à luter. Il regarda sa passagère. Elle était excitée par cette situation.

Un gros manche se présenta devant son seul orifice. Il sappuya et après plusieurs tentatives infructueuses, déchira son orifice pas de taille à le recevoir. Il cria en fermant les yeux. Les larmes coulèrent sans pouvoir les contrôler. Il se fit sodomiser lourdement et les mouvements accélérèrent. Au bout de quelques minutes il arrêta de crier. Il ne sentait plus rien. Son fion le brulait. « Vas y encule le » lançait-elle pour lexciter.

Entre leurs deux têtes, un black vient avec sa queue déjà énorme et les obligea en même temps à la lui sucer. Il enfonça son manche dans la bouche de Meryl qui lavala avec gourmandise et, après quelques mouvements, il essaya de la faire avaler à Clément. Il résista. Des claques tombèrent et celui de derrière amplifia la sodomie. Ne le voyant pas réagir, il lui mit un cran darrêt juste sous les testicules et lui criant « suce le ou je te les coupe ». Il ouvrit la bouche et gouta le chibre. Il se fit violer la bouche de longues minutes. Meryl était excitée de ce quelle voyait. Disposait entre leurs deux bouches, elle sortie sa langue le long de manche baveux et lécha avec délectation sortant ostensiblement, et espérant rencontrer celle de Clément. Il en fit de même. Lexercice était finalement excitant. Il en profita pour mélanger sa salive avec celle de Meryl sur le membre black.

En lui arrachant son collant, ils sécrièrent : « cest une belle pute les gars, elle a pas de culotte ». Cuisses écartées sans résistance elle laissa la place aux doigts qui la sodomisèrent et envahirent sa fente. Elle gémit. « Ho oui cest bon » dit-elle en mouillant comme une folle. Elle écarta les cuisses comme pour mieux les recevoir. Des manches senfoncèrent alors en elle remplaçant les doigts. Un premier se plaça sous elle pour la prendre par sa fente intime, lautre derrière senfonça dans son fion. Elle respira difficilement en garnissant dun ton étouffé, plaquée à terre. Clément tout contre sa bouche était impressionné par lexcitation que cela semblait produire chez sa partenaire. Un à un ils la prirent et jouirent sur le visage de Clément et Meryl réunis. Il finit par sexciter lui aussi par cette situation et sentir comme du plaisir émaner de ce qui lui entrer dans lanus. Il éjacula à force dêtre sollicité par des mains indiscrètes sous ses testicules. Meryl, excitée, rampa sous sa queue et se mit à lécher son foutre quil avait répandu sur le sol.

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