Le lendemain matin quand je me levai après une longue nuit de
sommeil, mon anus bien qu’encore un peu enflé n’était plus du tout douloureux, je pris une bonne douche et partis me promener.
Les trois jours se passèrent impeccablement et le Mercredi soir j’avoue avoir eu une certaine appréhension, c’était la première fois que j’allais passer une soirée avec un homme sans qu’il soit question de baiser.
Après le bureau je passai chez moi pour me travestir car Didier avait une seule exigence, c’était que je sois toujours habillé en femme quand on se rencontrait.
à ce propos il m’avait donné une valise d’affaires féminines quand j’étais parti le Dimanche précédent.
Vers huit heures complètement transformé, je l’attendais au métro ETOILE, quand il arriva en voiture il ne me reconnut pas.
Il s’arrêta et commença à attendre, le laissant poireauter un petit peu, je m’avançai vers lui et lui fis un petit signe de la main, il vint vers moi, m’enlaça et m’embrassa tendrement sur les lèvres en me disant ’tu es superbe, encore une fois je
n’en crois pas mes yeux.
– Je te plais ?
– Je te l’ai dit, tu es superbe je t’aime
– Merci chou.
– Allez viens allons dîner, j’ai réservé une table.
Après avoir bu l’apéritif, nous dînâmes excellemment tout en parlant de choses et d’autres, à 10 heures nous allâmes au cinéma ou Didier passa tout son temps à me caresser et m’embrasser.
A la fin de la séance, il me demanda de venir chez lui, devant mon refus ferme il s’inclina et après avoir été boire un dernier verre dans une brasserie, il me déposa à une station de taxi ou après m’avoir longuement embrassé il me laissa partir.
Quand je rentrai chez moi, l’excitation que cet homme avait fait naître en moi n’étais pas encore calmée, je me demandai comment j’avais eu la force de ne pas l’accompagner tant j’avais envie de faire l’amour avec lui.
Après m’être trempé dans un bain d’eau froide, je pris un quart de somnifère et allai me coucher.
Je me réveillai le lendemain frais et dispos, tout prêt à affronter une nouvelle journée en pensant que je n’avais que deux jours à passer avant de me retrouver entre les bras de mon amant.
Le Vendredi soir arriva enfin, après avoir pris une douche et m’être épilé les jambes je pris les fards et les crayons et entrepris ma longue transformation.
Il me fallut une bonne heure pour arriver à un changement complet de personnalité, j’étais vêtu décontracté c’est à dire d’un sweat-shirt blanc et d’un cuissard noir et chaussé d’une jolie paire de chaussures plates.
A 8 heures je pris un taxi qui me conduisit chez mon amant, il m’attendait sur le seuil de la porte d’entrée j’entrai, il me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement sur les lèvres tout en me caressant le dos.
Une douce chaleur inonda mon bas-ventre et quand Didier abandonna ma bouche j’avais les joues en feu et le souffle court.
Nous nous allâmes dans le salon et mon homme me servit l’apéritif, s’asseyant à coté de moi il me demanda ’As-tu passé
une bonne semaine ?
– Oui, mais il me tardait d’être aujourd’hui.
– C’est gentil ce que tu dis là.
– C’est la pure vérité, tu m’as manqué.
– Merci, bon pour ce soir j’ai prévu d’aller au restaurant
puis après d’aller au cinéma je pense qu’il serait sympa si
nous faisions un tour à la campagne. Qu’en dis-tu ?
– Ce serait chouette.
– Bien dans ce cas, laisse-moi une demi-heure pour me
préparer.
– O.K, à tout à l’heure’.
Quand mon ami revint, nous partîmes en voiture pour un restaurant russe situé à une vingtaine de kilomètres de la maison ou nous dînâmes très bien, au moment de notre sortie nous nous aperçûmes qu’il était trop tard pour le cinéma alors nous décidâmes d’aller en boite.
Nous dansâmes jusqu’à 2 heures du matin
A peine étions-nous montés en voiture que Didier me dit ’Je ne
crois pas que je pourrais attendre qu’on arrive à la maison,
je suis trop excité, fais-moi une pipe maintenant.
– Ici ?
– Oui, pourquoi pas, touche tu verras la trique que j’ai.
– D’accord mais si on nous surprend ?
– On ne va pas rester ici, pendant que tu me suceras, nous
roulerons vers la maison, mais vite fais quelque chose,
j’ai l’impression que je vais exploser dans mon slip, il
faut dire que c’est de ma faute, j’ai fantasmé comme un
fou toute la journée, et aussi il faut dire que mercredi
tu as été dur avec moi, pendant toute la séance de ciné
je me suis excité, et à la fin tu m’as planté là comme
un idiot avec une trique pas possible, j’ai eu beau me
branler le soir même, rien à faire.
– Tu n’avais qu’à pas t’exciter, je t’ai dit que je ne
voulais pas qu’on ne se voie que pour baiser.
– Je sais, mais maintenant, il faut que tu me libères
– Mais avec plaisir’.
Je descendis le zip de sa fermeture éclair et dégrafai son pantalon, son slip blanc était trempé, je tirai sur le devant et le gland imposant de mon amant sortit tel un diable de sa boite, Didier se souleva légèrement et je fis glisser sa culotte ainsi que son pantalon jusqu’à ses genoux.
Mon homme démarra tandis que je descendais vers son sexe brillant de sève qui pointait vers moi.
Quand mes lèvres entrèrent en contact avec sa chair turgescente, mon mec poussa un petit gémissement, je me mis à lécher consciencieusement son bout durci, ce qui eu pour effet de faire grandir encore le fabuleux phallus.
Je pris ses bourses gonflées dans mes mains, ouvris tout grand la bouche et engloutis l’objet de ma dévotion.
J’entamai une lente fellation tout en mordillant la tige qui palpitait en moi, dans l’état où était Didier cela ne dura pas, il pesa sur ma nuque et dans un feulement déversa longuement de puissants jets crémeux au fond de ma gorge que j’avalai avec délice.
Quand il me libéra je me redressai et vis qu’on était presque arrivé, je glissai une main entre les cuisses de mon amant et appliquai une caresse sur sa pine qui bien qu’ayant déchargée n’avait pas débandé pour autant, Didier me sourit et me dit
’Ne t’inquiètes pas, il y en a encore beaucoup pour toi.
– Je l’espère bien, car après m’avoir mis l’eau à la bouche
il faut maintenant me donner ma pâtée.
– Promis, tu vas voir, cette nuit va être inoubliable pour
toi, tu vas jouir comme jamais.
– Si tu le dis, je te crois, car à chaque fois ce fut très
bien et jamais tu ne m’avais fait de telles promesses’.
Après avoir mis la voiture au garage, nous entrâmes dans la maison, arrivés dans le salon, Didier nous servit un verre que nous bûmes en silence puis mon homme se leva et me prenant dans ses bras, écrasa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche, nos dents s’entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné, quand mon amant abandonna mes lèvres, j’avais les joues en feu.
Il fit passer mon sweet shirt au dessus de ma tête et s’agenouillant devant moi, ôta mes chaussures et baissa mon cuissard, je restai en petite culotte.
Il se releva et me serrant contre lui entreprit de me caresser tendrement.
Sous ses attouchements manuels, une chaleur m’envahit et je me collai encore plus contre mon doux tourmenteur.
Contre ma cuisse nue je sentais palpiter son membre tendu, Didier arrêta et me dit ’déshabille-moi’.
Je le débarrassai de sa chemise et après lui avoir enlevé ses chaussures, je baissai d’un seul coup son pantalon et son slip sur lequel une tache pas encore tout à fait sèche rappelait sa jouissance de tout à l’heure.
Son pénis libéré pointa vers le ciel, je voulus le prendre en bouche mais mon mec me fit relever et m’enlaçant m’embrassa une fois encore avec fougue tout en posant ses mains sur mes fesses brûlantes.
Je m’abandonnai totalement, lentement Didier fit glisser mon string le long de mes cuisses fuselées puis me penchant en avant, il écarta mes deux lobes charnus et sa langue râpeuse vint titiller mon anus qui ne tarda pas à s’ouvrir sous ce baiser lingué.
Je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ce que me faisait mon amant était bon, j’avais la raie trempée de salive et je tendais mon fessier vers cette langue inquisitrice pour m’offrit encore plus, soudain un doigt me déflora me faisant gémir et se mit à aller et venir en moi.
Un deuxième puis un troisième doigt rejoignirent le premier, j’étais complètement parti, je planais sous les poussées de cette main qui, à chaque fois, m’ouvrait un peu plus le sphincter.
J’avais envie que le formidable phallus de mon mec me transperce et je le suppliai de le faire mais lui sourd à mes cris et gémissements continuait à m’astiquer la pastille.
J’avais perdu entièrement le sens des réalités, de sourds râles de bonheur sortait de ma gorge chaque fois que les doigts m’empalaient.
Soudain mon homme m’abandonna et revint face à moi, il me prit à la taille et me souleva, je mis mes bras autour de sa nuque et nouai mes jambes autour de sa taille.
Me maintenant d’une seule main, Didier guida son fabuleux sexe entre mes miches en feu et le positionna contre mon antre béante.
Puis s’appuyant le dos au mur, il me pénétra d’un violent coup de reins qui bien que fus ouvert me fit hurler de douleur.
Une fois totalement en moi, il s’immobilisa me laissant m’habituer à sa monstrueuse présence, je sentais palpiter au fond de mon cul l’énorme pine roide.
Peu à peu la douleur fit place à une étrange langueur, et mon canal se décontracta, lovant ma tête dans le creux de son épaule, je lui dis ’Vas-y défonce-moi’.
Mon amant commença à me soulever et à me faire descendre son pieu érigé m’arrachant à chaque fois de petits cris, puis au bout de quelques minutes le plaisir prit possession de mon être et mon tunnel céda complètement et le membre turgescent coulissa en moi sans gêne aucune.
Dans l’état de manque où je me trouvai, je ne fus pas long à sombrer dans la jouissance sous les coups de boutoir répétés que mon homme m’assenait.
Je lui mordais les épaules pour ne pas crier, chaque fois qu’il m’enfilait jusqu’à la garde, j’avais l’impression que des torrents de lave coulait en moi.
Une boule s’était formé dans ma poitrine et explosait en mille étoiles vers mon visage, j’étais arrivé au point de non retour et je me mis à délirer.
C’est à cet instant que m’empalant jusqu’à la garde, Didier éjacula en râlant.
Ses épais jets de foutre crémeux m’inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, la tête rejetée en arrière je hurlai mon plaisir et battit des jambes ce qui eu pour effet de me faire tomber à terre entraînant dans ma chute celui qui m’enfessait.
Je restai sur le tapis les yeux clos, cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Mon amant me décula et se leva, quelques minutes passèrent où je restai étendu sentant encore les légers soubresauts que produisait mon anus quand soudain une chose chaude vint caresser ma joue.
J’ouvris les yeux et vis Didier à genoux à mes côtés qui promenait sa verge à demi flaccide contre mon visage.
Je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l’effet ne fut pas long à se produire, le pénis s’érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond.
Je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j’entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober.
Les poils follets de ses testicules étaient humides car comme toujours, après une sodomie, Didier s’était lavé le membre avant de me demander de le sucer.
Mes attouchements buccaux avaient faits grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat.
Dans le creux de mes reins commençait à s’insinuer un désir langoureux, j’abandonnai un instant l’objet de ma dévotion.
Le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu’il voulait.
J’ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée.
Je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
Soudain, Didier stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et le posa sur ses épaules.
Il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante.
Quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis ’Vas y enfile-moi’.
il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène.
Chaque poussée m’ouvrait un peu plus le cul, j’avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand.
J’avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu’il plongeait en moi jusqu’à la garde.
Mes gémissements s’étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m’assenait.
Le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai l’épais tapis.
Chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi.
Repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l’angle de pénétration, Didier se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis.
Sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je repris conscience, Didier était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome.
Voyant que j’étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d’un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d’un calme olympien m’éclatait de plus en plus la pastille.
J’avais l’impression qu’il était en moi depuis une éternité, j’étais secoué de frissons de désir, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé.
Lâchant mes hanches Didier me prit par les épaules et se mit à me pilonner l’arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal.
La bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j’étais excité chaque fois que mon homme m’enfilait jusqu’à la garde.
J’étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n’étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus.
Je suppliais Didier de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome.
Le traitement que mon mec m’affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration.
Des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n’avais autant joui au cours d’une enculade.
Je voulais qu’il me démolisse complètement le fion, qu’il me déchire pour qu’il puisse entrer entier en moi.
Sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l’air entièrement écartelé.
Didier m’ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des ’HANS’ de bûcheron, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m’affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l’univers cotonneux du plaisir physique.
Je sentis l’immense verge sortir de mon canal et mon amant s’allongeant à mes côtés se mit à me caresser.
Quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme.
C’est là que je m’aperçus qu’il n’avait pas encore joui, s’étendant sur le dos Didier me dit ’viens t’asseoir sur moi en
me présentant ton dos’.
Je m’exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j’étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l’enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds.
Je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s’enfonçait jusqu’à la garde.
Soudain Didier me prit par la taille et m’immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu’il me tienne me faisaient sauter chaque qu’il m’enfessait totalement.
Tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m’affligeait mon amant survolté, mes râles s’étaient mués en cris de jouissance.
J’avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m’inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite.
Je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j’avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l’extraordinaire phallus qui me forait les reins.
J’avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d’un orgasme dévastateur.
Tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu’il m’enfilait.
Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l’air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l’air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l’inconscience.
Quand je recouvrais mes esprits, Didier assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n’avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit ’Alors
c’est bon ?
– Oh oui chéri, jamais je n’ai pris un tel pied, mais toi mon
pauvre amour, tu ne veux pas jouir ?
– Si mais après t’avoir vu toi jouir ma chérie.
– Mais moi je voudrais avoir ton sperme.
– Je vais te le donner ma puce, allez viens te mettre contre
le mur en appui sur les bras et les jambes écartées’.
J’obéis, Didier se positionna derrière moi en m’encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance.
Le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents.
Je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l’arrière-train, mais je voulais qu’il continue indéfiniment.
Les coups de reins de Didier étaient si violents qu’à chaque fois qu’il se fichait au creux de mes reins, mes pieds décollaient du sol, c’était si bon que je voulais qu’il continue.
J’étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais ’aaaaaaaaaahh aaaaaaaaaaaaaahh ahhhhhhhhh aaaaaaahh
aaaaaaaaaaahhh aaaaaaaaaaaaaaaaaahhh aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
ooooooooooooooohhhhh aaaaaahhhh ouuiii ooooohhhhhhhh noonnn
aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh c’eessstttt boonnn aaaaaaaaahhh
oooooooohhhhh oouuuiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
enncccoooorrrrreeeeee aaaaaaaaaaahhhhhhhhh plluuussss ahhhh
foorrrtttt aaaaaaahhhhhhh ooouuuuiiiii oooooooooooohhhhhhhh
oooouuuuuiiiiii aaaaaaaahhhhhhhhh ppllluuuusssss ahhhhhhhhh
vviiitttteeeee aaaaaaaaaaaaaahhhhh taahhh biittteeee ohhhhh
oooouuuuuiiiiii ahh ttaaahhhh bbiiitttteeeee aaaaaaaahh jee
laahhh veeuuuxxxx toouuutttteeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
daannnssss moonnn cuulll aaaaaahhhhhh oooooooooooooooohhhhh
mmooonnnn ccuuullll oooooooooooooooooohhhhhhhh mmmoooonnnnn
cccuuuulllll ohhhhhhhhhhhhh mmmmooooonnnnnn aaaaaaaaaaahhhh
ccccuuuuullllll aaaaaahhhhh ooooouuuuuuiiiiiii ahhhhhhhhhhh
taapppeeee ooooohhhh ooooouuuuuuiiiiiii ttaaappppeeeee ahhh
ahhhhhhhh tttaaaapppppeeeeee ppplllluuuuussssss ahhhhhhhhhh
fffoooorrrrrtttttt ahhhhhhh çççaaaahhhhh fffaaaaiiiiitttttt
mmmaaaalllll mmmaaaaiiiiissssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
jjj’aaaaiiiiimmmmmmeeeeeee çççaaaahhhhh ooooohhhhh ooohhhhh
nnooonnnn ahhh ooooooouuuuuuuuiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
dééfffoooonnnnncccccceeeeeee-mooiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
laahhh raaiiieeee ahhhhhhhhhhhhhhhhh caassssssseeeee-mooiii
aaaaaaaahhhhhhhh lee cuulll aaaaaaaaaaaahh ohhhhhhhhhhhhhhh
cc’eeessssttttt bbboooonnnnn ahhhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaahhhh
ooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ahhhhh enncccoooorrrrreeeeee ooooohh ooooouuuuuuiiiiiii ahh
jee suuiiissss taahhh puuttteeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh
baaiiisssseeeee ooooooooooohhhhhhh oooooouuuuuuuiiiiiiii ah
bbaaaiiiissssseeeeee bbbaaaaiiiiisssssseeeeeee ahhhhhhhhhhh
bbbbaaaaaiiiiiissssssssssssssseeeeeeeee-mmmmoooooiiiiii ahh
ahhh cccoooommmmmmmmmmmeeeeeee uuunnnneeeee ahhhhhhhhhhhhhh
gggrrrrooooossssssssssssseeeeeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh
sssaaaallllloooooopppppppeeeeeeee qqquuuueeeee jjjeeee ohhh
ooooohh sssuuuuiiiiissssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
oooouuuuuiiiiii ennfffoooonnnnncccccceeeeeee ooooooohhhhhhh
ooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii ahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaahhhh
eennnffffooooonnnnnnccccccceeeeeeee-ttoooiiii ppllluuuussss
ahhhhhhhhhhh ddaaannnnsssss mmooonnnn ccuuullll aaaaaaaahhh
lliiimmmmeeeee-mmoooiiii ppllluuuusssss ffooorrrrttttt ahhh
aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh oooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii
ooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii ooooooooooooooohhhhhhh
oooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaahh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh aaaaaaaaaaaahhhh
jee joouuuiiiisssss ooooooooooooooooooohhhhhhhhhh jjeee ahh
jjooouuuuiiiiissssss ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii jjjeeee ohhhhhhh
jjjoooouuuuuiiiiiisssssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii oooooohhhh
jjjjeeeee jjjjooooouuuuuuiiiiiiissssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhh
viieeennnnsssss ahhhhhhhhhhh vviiieeeennnnnssssss ahhhhhhhh
vvviiiieeeeennnnnnsssssss oh ooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii
vvvviiiiieeeeeennnnnnnssssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaahhh ggggiiiiiccccccllllllleeeeeeee ahhhhh aaaaaaaaaahh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
gggggiiiiiiccccccclllllllleeeeeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh
vvvvvviiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnssssssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
vvvvvvvvvviiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeennnnnnnnnnnnnsssssssssssss
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
aaaaahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh aaaaaaaaaaaaaaahhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh’.
Soudain se plaquant contre mon fessier Didier éjacula en râlant.
Ses épais jets de semence crémeuse m’inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d’une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé.
La tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m’écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, Didier me regardait en souriant.
Assis sur le lit, son sexe, maculé de sperme et de sécrétions anales, reposait sur sa cuisse droite tel un gros ver.
Je lui dis ’Mais qu’est ce que tu m’as mis, jamais je n’ai encaissé autant, j’ai cru devenir fou.
– J’en suis heureux.
– C’était génial, merveilleux.
– Merci.
– Tu es un super baiseur.
– Merci ma chatte, mais toi tu es une vraie salope.
– Je le sais.
– Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
– Un petit whisky s’il te plaît mon amour.
– ça arrive’.
Quelques instants après il m’amena mon verre et nous bûmes en silence en fumant un cigarette puis mon amant me dit ’On va
prendre une douche puis on va aller se coucher.
– Oui’.
Nous livrâmes pendant de longues minutes nos corps à une jet d’eau chaude, nous nous savonnâmes abondamment pour rendre à nos corps une propreté tout suédoise puis Didier actionna un robinet qui propulsa sur nous une pluie d’eau fraîche qui nous redonna de la vigueur.
j’allai dans l’armoire prendre une nuisette dont je me vêtis et partis me coucher.
Didier me rejoignit quelques instants après et après s’être allongé, éteignit la lampe de chevet.
Mon homme m’embrassa, quand ses lèvres se posèrent sur les miennes j’ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon amant abandonna mes lèvres, j’avais le souffle court et une étrange langueur prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps.
je caressai quelques minutes le phallus érigé de mon amant, j’ouvris largement les cuisses je lui dis ’Baise-moi’.
Didier prit des coussins qu’il glissa sous mes reins de sorte à relever mon postérieur puis s’agenouilla entre mes jambes.
Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me caresser la raie, s’arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de l’autre main il excitait mes tétons à travers l’étoffe de mon vêtement de nuit.
Je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait frémir, je pris mes cuisses sous les genoux et les relevai pour offrir totalement mon oeillet à ces caresses.
J’avais fermé les yeux et savourais le désir qui montait en moi par vagues successives.
Didier positionna son priape contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et la transpiration émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre.
L’intromission fut très longue et délicieuse, quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma croups, je sus qu’il m’avait totalement pénétré.
Je nouai mes jambes dans son dos mes mains courrant sur ses flancs fiévreusement
Je sentais l’énorme pine palpiter dans mon fondement.
Prenant appui sur ses avant-bras mon amant commença à aller et venir en moi lentement m’arrachant à chaque va et viens de lourds râles de bonheur.
La merveilleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir.
Sous les coups de boutoir que m’assenaient mon homme mes râles s’étaient mués en cris de bonheur.
Je roulai des hanches en cadence tendant mon cul vers cette magnifique queue qui me forait les reins.
Didier avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait le l’arrière-train de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.
Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me sentais perdre pied un peu plus.
Je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, je ne vivais plus que pour et par la merveilleuse pine qui me bourrait si bien.
Mon homme me tringlait à une vitesse folle, son ventre musclé claquant contre mes fesses bouillantes à me faire mal.
J’avais le tunnel complètement éclaté et je bramais sous les assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le monstrueux vit se plantait au fond de mon sphincter démoli.
Je ne savais plus depuis combien de temps cette superbe verge roide m’enculait mais je voulais que ça dure indéfiniment tant le plaisir que me procurait ce sexe était grand.
J’avais l’impression que de la lave coulait de mon canal dévasté, mon mec me possédait avec des ’HAN’ de bûcheron m’amenant au paroxysme de la jouissance.
J’avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans discontinuer.
Mon amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu’à ce que mes genoux touchent presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer l’angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe.
C’était si bon que ma tête ballottait de droite à gauche, de ma bouche grande ouverte ne sortait plus qu’un ’ahhhhhhhhhhhhhhh’ continu.
Sans que nos corps ne se séparent, Didier me fit tourner sur sa hampe et se leva de telle sorte que je me retrouvai sur les mains.
Celui-ci bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment.
Chaque fois que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les draps pour ne pas hurler, j’avais atteint le point de non-retour et sous les assauts répétés, le plaisir embrasa mon être et je me mis à délirer.
C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui que Didier éjacula en râlant.
Ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant.
L’air me manqua, mes mains se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me montait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l’inconscience.
Quand je revins à moi, mon mec était toujours planté entre mes fesses, il se retira et me dit ’?a t’a plu ?
– C’est merveilleux, tu m’as superbement baisé.
– Merci chérie, mais tu es une vrai cochonne.
– ça mérite qu’on y mette du sien mon amour quand on se fait
tringler par une bite comme la tienne.
– C’est vrai.
– Oh oui et je sais de quoi je parle.
– Mais toi ma salope tu as un cul de rêve, tu es une sacrée
baiseuse.
– Merci mon chou.
– Maintenant je crois que nous devrions dormir.
– Oui, je t’avoue que je suis vanné.
– Bonne nuit ma biche.
– Bonne nuit chéri’.
Didier éteignit la lampe et nous nous endormîmes enlacés.