Vous recommencez à vous lécher en même temps que vous jouez avec le gode en l’autre. Mais tu sais bien mieux y faire qu’elle, et tu sais quand lâcher tes assauts. Elle se retrouve donc à ne plus pouvoir bouger. Tu en profites, dernière ligne droite, tu fais pénétrer deux doigts dans son vagin, et bouges très vite en elle. En même temps tu agis avec le gode. Premier crie, second. Elle jouit. Toi tu n’en es pas loin. Je le vois, alors j’envoie l’homme te prendre de par surprise. Elle vient à peine de finir de jouir, que tu la penses reparti à l’attaque de tes fesses. Mais ce sont ses mains. Pas les siennes à elle. Le gode est enlevé, doucement. Tu sens des mains puissantes te changer de place, et là tu comprends. Tu vas être prise sans ménagement. Il te met au bord du lit. Sur le dos. Les jambes écarté et replié sur les côtés. Lui est à genoux devant le lit. Juste devant tes entrés. Tu ne sais pas ce que je lui ai dit, mais c’est clairement mon idée, car la femme vient t’embrasser. Tu ne vois plus rien. Tu as la femme collé à ta bouche. Son mari tien tes jambes. Elle joue avec tes seins. Ton cul. Tu le sens, il se fait envahir. Il pénètre d’un coup de rein. Tu gémis. Elle sassoit sur ton visage pour que tu la lèches. Elle tourne le dos à son homme. Il pose tes mains sur les fesses de sa femme. Elle : Tu me suces, je le suce, tu te fais prendre le cul. Prends moi les fesses aussi si tu veux, j’ai bien aimé quand tu las fait tout à l’heure.

Maintenant tu sais. Tu vas subir les assauts furieux du mari, car il s’est reposé, et il est excité car avant il t’a fait jouir avec les appareils. Elle va se faire lécher par toi, et se faire prendre la bouche par moi. Tu n’as pas le temps de penser à autre chose. Nouveau coup de rein. Elle prend tes seins très fermement. Se frotte à ton visage. Pince tes tétons. Tu la sens changer de position. D’autre main sur tes seins, plus puissantes. L’homme. Coup de rein. Pincer les seins. Jouer avec, coup de rein. Tu t’aperçois que tu as un doigt qui joue avec l’anus de la femme. Tu lèches. Puis la pénètre. Tu entends un gémissement étouffé. Tu sais qu’elle me suce. Et qu’elle aime ce que tu viens de faire. Tu ressors complètement d’elle, puis rentre, mais plus vite, plus profondément. L’homme te rend folle, il te prend le cul, t’encule, en tenant tes jambes bien écarté pour aller le plus loin possible, et joue avec tes seins. Folle de plaisir. Tu lèches. Tu mets deux doigts. Tu veux rendre ce qu’on te fait. Tu y vas plus sauvagement en elle. Elle me suce encore plus, je lui prends la bouche encore plus. Elle se trémousse encore plus, tu la lèches furieusement, mais ce que tu subis de la part du mari est encore plus puissant, Il a trouvé sa position et sa vitesse. Et toi tu la lèches autant qu’il te prend. On t’entend gémir, on te sent partir. Je m’enlève et fais signe à la femme de se concentrer sur toi, elle sourit, se place mieux sur ta bouche, et joue avec tes seins. Lui, il a changé. C’est ton vagin maintenant qui se retrouve pris. Et pas qu’un peu. Tu es caressé par la femme, tu joues avec son anus, tu lui lèches le sexe et te fais prendre. Tu trembles, te cambre. Elle s’enlève. Te prend la bouche. Puis accélère encore et va plus profond… Tu jouis, les mains de la femme sur tes seins, elle t’embrasse doucement pendant que jouis sous les coups de butoirs de son mari. Toi et la femme allez sous la douche, vous rafraichir et laver un peu. Tu en profites pour la caresser et l’embrasser, chose qu’elle accepte et te rend avec plaisir. Quand vous revenez, l’homme va se coucher. Il a préparé des boissons pour tout le monde. Vous me rejoignez sur le lit, ou je suis assis. On boit tranquillement, et là elle nous annonce qu’elle est prête à recommencer quand nous voulons, que elle, ou avec son mari, mais qu’elle aimerai beaucoup recommencer avec nous. Et rappelle que vous devez toute les deux vous rattraper et me remercier pour tout à l’heure, et qu’elle a bien compris l’importance de cette demande de ta part, et de mon acceptation. Que vous soyez toute les deux mes jouets l’attire beaucoup, et nous demande de ne pas en parler pour l’instant, qu’on verra ça plus tard, mais elle promet une nuit ou journée complète pour se rattraper et remercier.

Nous changeons de sujet, finissons nos verres, le mari arrive, et la femme va remplir de nouveau les verres pour qu’on boivent tous ensemble. On voit que le mari accuse la fatigue, mais la nuit lui plait, et veux bien finir en beauté. Une fois les verres finit et débarrassé. Je me mets aussitôt à vous caresser toutes les deux. Jai des réponses stimulantes des deux côtés. J’invite le mari à faire de même, mais se sent bien fatigué. Je lui dis de préparer les appareils, qu’il s’en servira sur vous deux. Pendant qu’il va les chercher, et les nettoyer, je l’embrasse, t’embrasse elle en profite pour dire qu’elle est très sérieuse sur sa demande et ses envies. Tu poses un doigt sur ses lèvres, lui fait un clin d’il, et lui dis d’accord, on en parlera plus tard, demain. Je l’embrasse à pleine bouche, prend ta nuque et te fais descendre me sucer, je prends sa main, et la pose sur ta tête. Le mari revient. Je lui montre un appareil. Ca, ici. Tu sais que je viens d’indiquer un objet, et l’entrée d’un personne, mais tu ne sais ni quoi, ni qui. Tu entends la femme gémir. Tu n’entends rien mais j’ai bougé, et tu sens les boules de Geisha rentrer dans ton vagin. Tu les sens vibrer très doucement. Au minimum. Ouf ce nest pas une course que tu penses. Raté, ça passe à fond, et vous gémissez toutes les deux. Tu la sens se pencher avec toi, pour me sucer, et tu vois qu’elle a aussi les boules de Geisha en elle car tu vois la ficelle et l’interrupteur, comme toi au maximum. Il vous rajoute l’uf à toute les deux, en même temps. Et mets en route à fond aussi. Vous ne pouvez plus me sucer. Vous restez sans bouger. Après une telle nuit, le moindre mouvement avec les deux appareils en même temps peut vous faire partir sans avertissement. Je me retire donc, vous place l’une à côté de l’autre, dans le bon sens du lit. Je vous fais aller en plein milieu là où l’homme s’est installé, en haut du lit, en plein milieu. Je vous amène juste devant son sexe, en érection mais pas complète, il est trop fatigué même si il est excité. Je reprends les boitiers, et baisse la puissance à la moitié. Je mets ma main sur ton cou, et te fais le sucer. Pendant ce temps, je remets les appareils à fond sur l’autre femme, elle gémit, tremble, je baisse et les lui enlève complément. Je la prends par les seins, la redresse et murmure à son oreille :

Comment tu aimerais être prise ? Que je t’encule encore comme une chienne, ou que je te reprenne comme une salope ? Seul elle l’entend, et sa réponse est : Les deux.

Je la repousse, mets mes mains sur ses hanches, et commence par prendre son sexe avec force. Je la prends, elle crie. Je bouge elle crie, elle est sur le point de jouir. Alors je fonce, je la prends, ne ménage ni ses forces ni les miennes. Je la prends avec force, puis sort et la prend par les fesses, crie de sa part, encore, elle suit les mouvements, j’accélère, vais plus profondément. Elle sourit, tremble, je ressors, prend son sexe, et elle n’arrête plus de gémir et crier. En même temps qu’elle jouit. Je te redresse, et la mets à sucer son homme. Je reste en elle de long instant dont je profite pour t’embrasser. Je m’enlève d’elle, lui dis de finir son homme par la meilleure pipe de sa vie. Je t’enlève les appareils les éteins, te remets à quatre patte, joue avec ton sexe et te demande, ton cul où ton sexe ma poupée ? Tu réponds : Partout. Je mets une claque sur les fesses de l’autre femme. Te dis de faire pareil. Tu le fais, et je te prends en même temps. Je te prends par derrière, sauvagement, et t’emmène tout contre mon bassin en te tenant par la taille. Je prends te prend très vite. Je veux te faire jouir très vite, car je suis très près de jouir moi aussi. Alors je te prends sans relâche, sans pause, sans ralentir, sachant que tu aimes te faire prendre comme ça. Je joue avec ton clitoris en plus pour te faire partir plus vite encore. Tu commences à gémir je vais plus vite, ressors d’un coup et pénètre ton sexe. Je me concentre, appuis sur ton dos pour te faire te pencher en avant, et cambrer tes reins, je sais que tu aimes cette position, et comme nous sommes tout les deux très excités, on va vite jouir. Alors je tiens tes fesses en l’air, je te tiens très cambré, et je vais et vient en toi très vite. Très profond. Tu dis plus rien, tu te retiens tout comme moi, on continue comme ça quelques minutes.

On entend l’homme jouir. Elle se met à jouer avec ta poitrine. S’en est trop, tu jouis, tu gémis, tu cries ton plaisir, et tu m’entends et sens que je jouis en toi.

Tout le monde étant repu, nous en restons là nous nous lavons puis rentrons.

Cette histoire a été écrite par une amie et moi, nos envies, nos fantasmes, elle, Ma Soumise, et moi son Maître. Nous nous voyons toujours, et toujours elle est Ma Soumise. Si vous avez aimé, je pourrai faire dautres textes. Il suffit de le dire. N’hésitez à me contacter.

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