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Ma première fois avec Madame Sophie – Chapitre 1




J’ai rencontré Madame Sophie banalement sur un site de rencontre. Moi, c’est Paul, père de famille, la quarantaine bien sonnée, mais physiquement encore en bon état. J’ai depuis toujours été un soumis. Ma femme me domine dans notre couple, mon patron, mes collègues au bureau, et de manière générale, je plie devant les dominants mâle ou femelle. Mais ce jour-là, pour la première fois, je voulais du concret. Je me suis donc inscrit sur un site de rencontre BDSM, et après avoir laissé une annonce, j’ai reçu une réponse de Madame Sophie qui me proposait un rendez-vous dans un appartement de banlieue qu’elle loue pour ses séances.

Me voilà donc le jour dit, devant la porte, les jambes tremblantes, n’étant plus sûr de rien. Cela fait dix minutes que je suis là, n’osant frapper, quand je reçois un texto de Madame Sophie :

[SMS]

< Ma salope de lopette se fait attendre. Chaque minute de retard sera punie d’une grosse claque sur tes fesses de soumis. ARRIVE !

Salope de lopette

[SMS]

> Dans le couloir ?

< T’es complètement con ou quoi ? Bien sûr, et ensuite, je vais t’apprendre à me parler correctement sale petite merde.

Mince, c’est vrai, je n’ai pas usé des bonnes formules.

[SMS]

> Bien, Madame Sophie. 1000 pardons, je me déshabille

<Tu resteras donc 7 minutes dans le couloir à attendre nu, petite pédale. Ce sera ton premier châtiment."

Je m’exécute et me voilà nu comme un ver, mes habits pliés à la main et à attendre dans le couloir. Pourvu que personne ne passe. Je suis très nerveux, l’exhibition n’est pas une pratique courante pour moi. Je me sens ridicule et humilié. Mon petit pénis à moitié bandé pendouille entre mes cuisses poilues. Les minutes sont longues, mais heureusement personne ne passe. Je frappe à nouveau avec le bon code. Rien. Je frappe de nouveau… Peut-être ne veut-elle plus de moi.

[SMS]

< Entre salope !

Enfin. Je clenche la poignée de la porte et je rentre. Je referme vivement la porte derrière moi. Il fait sombre. Je m’engage dans un petit vestibule et j’arrive direct dans le salon. L’intérieur de l’appartement est plutôt moderne et de très bon goût. Là, le spectacle est magnifique ! Ma dominante se tient assise au milieu du salon sur un fauteuil styles Louis XV avec dorures et velours rouge. Elle est encore plus belle qu’en photo, et surtout, elle en impose beaucoup plus. Elle n’a que 23 ans, mais je me sens vraiment comme une merde devant elle ! Elle me fixe avec un regard de feu qui me consume de l’intérieur. En l’état, je pourrais tout pour elle et elle va en abuser, j’en suis sûr.

Madame Sophie, ma déesse, est une très belle femme. Elle est plutôt grande, tout en forme avec une magnifique poitrine généreuse. Ses cheveux longs bouclés s’étalent sur ses épaules en une cascade couleur rousse brune. Son visage est fin, ses lèvres rouge vif brillent sur son visage comme un feu ardent et ses yeux marron sont cerclés d’un mascara noir profond teinté de bleu. Ils jettent des éclairs tels ceux d’une Walkieri wagnérienne.

Elle porte un corset noir finement orné de dentelles qui lui comprime sa superbe poitrine, la faisant ressortir d’une manière très provocante. Une minijupe en tulle noir autour de la taille masque à peine son entrejambe et elle porte des bas coutures noir sans motif. Mais étant un fétichiste des pieds, mon regard tombe tout de suite sur ses chaussures… et là, je suis comblé ! Madame Sophie a gâté sa lopette ! Elle porte des escarpins plateau rouge vernis d’au moins 17 centimètres. Le bout est une anse large et ouverte qui laisse apparaître ses doigts de pieds aux ongles que l’on devine vernis de rouge au travers de ses bas en lycra noir. Le reste du pied est à l’air libre, seulement tenu à l’arrière par deux lacets qui remontent le long de sa cheville gracieuse. Je devine la plante de ses pieds à travers le transparent des bas. Ça m’excite et malgré moi, ma queue tressaute.

— Pose tes habits dans l’entrée et mets-toi à quatre pattes au milieu du salon, sale petit chien en retard !

Ses premiers mots claquent comme un coup de fouet. Je m’exécute en m’excusant platement.

Elle me coupe :

— Je m’en tape de tes excuses, pauvre ver complètement nu !

Sur ces mots, elle se lève de son trône et saisit sur la table basse un large paddle noir et s’approche de moi.

— Tends tes fesses et serre les dents salopes.

Et sans attendre ma réponse, un premier coup atterrit sur mon gros cul. Ça claque et la douleur est cuisante. Je lâche un petit couinement de surprise. Et les coups pleuvent. Elle frappe à intervalle régulier, inexorablement et avec force. Elle veut me faire mal pour me punir de mon retard et me montrer qu’elle est la maîtresse. Mes fesses commencent à être rouge pivoine. Je serre les dents, à la limite des larmes. Pendant tout le traitement, elle n’a pas cessé de me traiter de pute, de salope et me promettre que je vais dérouiller. Ça m’excite. Au bout d’un moment, elle s’arrête enfin. J’ai les fesses en feu. Je trémousse mon cul pour me soulager de la brûlure, n’osant bouger plus que ça. Je suis au seuil de la douleur.

Elle s’approche alors de mon visage et me relève le menton. Son regard plonge dans le mien. Elle sourit de satisfaction.

— Je vais t’humilier bien comme il faut maintenant !

Ces mots me mettent dans tous mes états. Elle prend un rouge à lèvres rose vif et du mascara et elle me maquille outrageusement le visage. Elle me présente un miroir, fière de son uvre. Je ressemble à une vieille pute après plusieurs passes. Le rouge à lèvres déborde et j’ai dix fois trop de mascara. Mais je suis excité de me voir ainsi. Une molle érection pointe le jour dans mon entrejambe.

Madame Sophie prend alors deux paires de menottes reliées par une courte chaîne. Avec, elle m’attache les poignets et les chevilles. La chaîne reliant les deux m’impose de me tenir à quatre pattes. Elle se place alors devant moi et me tend son pied droit. Je comprends tout de suite ce qu’elle attend.

— Nettoie-moi les chaussures, lopette !

Je lèche alors avec avidité ces magnifiques objets de luxure. Je m’applique à bien faire passer ma langue dans chaque recoin. Elle s’amuse à me les écraser sur le visage, je subis. Je lèche et suce son talon comme s’il s’agissait d’une bite. Au bout d’un moment, je trouve tout de même qu’il y a un petit arrière-goût.

— Tu vois mon salaud, mes escarpins ont un petit goût, car le talon a visité le cul de la lopette qui t’a précédé et je lui ai aussi autorisé à jouir dessus ! Tu aimes ce goût de cul et de foutre petite pute ???

Je hoche la tête. En vérité, j’adore ça !

Pour toute réponse, mon érection grandit. Heureusement qu’elle ne la voit pas. Je me dégoutte, mais je suis trop excité par la situation. Je lèche avec plus d’ardeur.

— C’est bien salope. Maintenant, je vais m’occuper de ton cul !

Je frémis. Il est encore puceau, à part quelques plug et mes doigts rien ne l’a encore visité. Tout d’abord, elle me pose un bâillon boule pour ne pas " Entendre mes plaintes de puceau du cul". Ensuite, je la vois mettre un gant en latex et prendre un pot de crème. Elle se positionne derrière moi et commence à menduire l’anus de cette mixture. Le contact chaud est agréable. D’ailleurs, je sens à peine le doigt qu’elle vient de vriller dans mon cul. Elle pose le pot et commence un massage prostatique en règle tout en alternant caresse et pression sur mes couilles. Maintenant deux doigts. Je bande. Elle saisit ma queue et la branle lentement. Je suis aux anges.

— Tu as une petite bite ma salope… Ou plutôt un trop long clitoris. Ça te plaît ?

Je gémis pour toute réponse. Trois doigts. Là, je le sens bien. Elle me branle et me doigte de plus en plus fort. C’est bon. Que c’est bon ! De temps en temps, elle reste plantée dans mon cul et me caresse les couilles, puis elle reprend sa masturbation frénétique. Du pré-cum coule de ma queue. Je n’en peux plus… d’un coup, elle s’arrête.

— Voilà, tu es bien préparé. Tu ne pensais quand même pas que j’allais te faire jouir salope ! Maintenant, les choses sérieuses vont commencer, mon garage à queue.

Je la vois alors s’équiper d’un double gode ceinture rose. Un petit pour elle, à l’intérieur de la pseudo culotte, qu’elle s’enfonce dans le vagin avec un soupir de satisfaction et l’autre pour moi, long et large. Je vais dérouiller. Mais je l’accepte. Ainsi harnachée, elle enduit celui qui m’est destiné de crème et le pointe sur mon trou dilaté. D’un coup, elle pousse tout à l’intérieur. Je me contracte sous la douleur. Je hurle, mais le bâillon étouffe mes cris.

Te voilà plus puceau mon esclave, me glisse-t-elle à l’oreille.

Elle me saisit par les hanches et commence à me pilonner avec force. Elle n’y va pas avec douceur. Mais rapidement, la douleur laisse place au plaisir. Et je commence à onduler des hanches pour favoriser sa pénétration. Je me cambre comme une chienne en chaleur. C’est trop bon. Elle aussi prend son pied. Elle me couvre d’injures et je l’entends gémir sous l’action du gode qu’elle a dans sa magnifique chatte. J’aimerais tellement y placer ma petite queue un jour. Mais pour l’instant, celle-ci se balance avec rythme entre mes jambes, à demi gonflées, et tapant sur mes couilles et mon bas-ventre.

Après 10 minutes de ce traitement, Madame Sophie gémit de plus en plus fort et accélère ses allées venues dans mon cul. D’un coup, elle tape bien au fond et reste comme cela. Elle jouit.

— Hummm, tu as un très bon cul mon salaud ! Je vais le visiter souvent !!!

Elle se retire de mon cul avec un gros plop dégueulasse. Je suis en sueur et mon mascara a coulé sur mon visage. Une flaque de pré-cum entre mes jambes. Mes genoux et mes cuisses me font mal dû à la position prolongée, mais Madame Sophie s’en fout. Elle se présente devant moi avec son gros gode.

— Nettoie-moi tes saloperies.

Je prends alors le gode en boucle et commence à le sucer. Il a un sale goût de cul et de latex mélangé. Mais je m’applique à bien le sucer. De temps à autre elle lenfonce bien dans ma gorge et se retire juste à temps avant que je ne vomisse. Un long filet de bave et de glaire coule de ma bouche sur le sol. Quand Madame Sophie a jugé son gode assez propre, elle l’enlève et se rassoit sur le fauteuil. Elle écarte les jambes et me dit : " Vient me nettoyer la chatte petit chien bien baisé !"

Je n’attendais que ça. Je m’approche tant bien que mal de sa chatte offerte, mais avec les menottes et la chaîne, j’ai l’air ridicule. Quand je suis assez proche, elle me retire le bâillon et me saisit fermement par les cheveux. Elle me plaque le visage sur sa chatte. Je commence à laper avec frénésie. Je ne suis plus qu’un animal. Madame Sophie se tortille sur le fauteuil, apparemment je m’y prends bien. Je bande… Discrètement. Je lèche, j’aspire, je bois toutes ses sécrétions vaginales. Je suis aux anges et elle me régale d’un flot de mouille. J’en ai jusque sur les oreilles. Elle gémit comme une folle ! Et d’un coup, c’est l’orgasme. Elle me colle à sa chatte et un jet de mouille tape au fond de ma gorge. Je déglutis péniblement, mais que c’est bon !

Elle reste immobile un moment. Je n’ose bouger. Elle retire mon visage de sa chatte collante et les yeux dans le vague, elle me lance :" Vas-y, branle-toi sur ma chaussure droite ".

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je sais ma queue qui est déjà dure comme du béton et je me branle frénétiquement. Je ne tarde pas à jouir. Un gros bouillon de foutre blanchâtre tombe sur la chaussure.

— Nettoie lopette !

Je me penche et je commence à lécher mon sperme. Je nettoie bien l’escarpin et aussi entre ses orteils. Quand j’ai fini, Madame Sophie se redresse et me détache.

— Tu as été une bonne salope. C’est bien mon soumis. La prochaine fois, je t’amènerai faire la pute en extérieur. Maintenant, rentre chez toi sans te laver et sans sous-vêtements.

— Bien maîtresse Sophie ! Je suis tout à vous. Vous ferez de moi ce que vous voudrez…

Si j’avais su…

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