Un après-midi, ma mère nous trouva ma sur et moi en 69 dans ma chambre. Elle poussa ma sur pour qu’elle se redresse et profite de son propre plaisir, avant de prendre mon sexe en bouche pour terminer ce que ma sur avait commencé. Après avoir pris soin de récolter ma semence elle vint la partager avec ma sur dans un baiser. Nous ne nous embrassions que peu depuis le début de nos jeux, cela avait dû arriver une fois ou deux, toujours dans un élan d’excitation. Ma sur surprise par ce baiser, jouis sur mon visage. Ma mère nous regarda tendrement et nous dis :
– Les enfants, j’ai discuté avec votre père. Il n’a pas vraiment été difficile à convaincre, enfin bref. Si vous voulez, ce soir, nous pouvons passer à un cours très spécial.
– J’en ai tellement envie, dis ma sur en insérant un doigt puis deux dans son vagin.
– Détend toi, lui répondis ma mère. Et si ce n’est pas trop vous demandez, j’aimerai bien jouir moi aussi.
Elle s’allongea sur le dos, cuisses écartées. Je plongeais donc mes doigts et mon visage entre ses jambes, pendant que ma sur s’occupait de ses seins. Son orgasme arriva rapidement, et elle nous remercia d’un petit smack sur la bouche.
L’attente jusqu’au soir nous parut interminable. Quand enfin le soir arriva nous nous sommes tous installé dans le salon comme souvent. C’est mon père qui pris la parole.
– Bon les jeunes, on a discuté avec votre mère, si vous en avez vraiment envie on peut passer à une leçon sur la pénétration.
– Encore une fois c’est seulement si vous êtes sûr de ne pas le regretter plus tard. Il faut voir ça comme un entrainement, lorsque vous serez avec un autre partenaire, quelqu’un que vous aimez, ce sera probablement un peu diffèrent, mais vous saurez à quoi vous attendre.
– Oui maman, répondis ma sur souriante. Alors que j’acquiesçais franchement à ses côtés.
– Je ne pense pas que vous aillez vraiment besoin d’une démonstration, dis ma mère. Vous nous avez vu faire souvent maintenant.
– Il faut par contre mettre plusieurs choses au clair avant de commencer. Ce n’est pas franchement excitant mais parlons un peu contraception, dis mon père. Votre mère et moi on ne prend pas de précautions particulières, je suis vasectomisé, et elle est ménopausée depuis quelques années maintenant. Par contre tous les deux vous êtes au top de votre fertilité, et on ne voudrait surtout pas que tu tombes enceinte ma puce.
– Je ne pense pas qu’on ait besoin de répéter tout ce que vous avez déjà entendu à l’école sur les moyens de contraceptions, repris ma mère.
– On sait déjà tout ça, et je prends la pilule depuis un moment déjà, je l’oublie jamais, je la prends à heure régulière, Bla Bla bla, dis ma sur clairement impatiente.
En effet, je le savais déjà depuis un moment, ma sur prenait la pilule depuis quelques années déjà. Ça lui permettait de réguler son cycle, et de limiter les douleurs liées à ses règles. Nos activités avaient rapidement amené le sujet un soir ou nous nous amusions.
– Bon maintenant, est ce que vous nous assurez que pour l’instant vous n’avez pas eu d’autre partenaire que nous ? demanda ma mère.
– Non, répondis-je, pourquoi ?
– Et toi ? ajoutât elle en regarda ma sur
– Non plus, tu le sais bien je te raconte tout, lui dis ma sur en souriant.
– On ne devrait donc pas trop avoir à se soucier des MST. Mais n’oubliez pas, avec un autre partenaire, tant que vous ne serez pas tous les deux dépistés, capote ! s’exclama mon père.
Toute cette conversation, avait fait un peu redescendre la tension qui s’était installé. Mon érection s’était calmée, et ma sur transpirait un peu moins l’impatience.
– Bon allez, vous nous avez regardé baiser bon nombre de fois, c’est notre tour aujourd’hui, dis ma mère. Mais d’abord on va vous préparez un peu, viens la, me dis ma mère.
J’avançais vers elle, alors que ma sur avançait vers mon père. Nos parents usèrent de tous leurs talents buccaux pour que nous soyons bien excités, et bien lubrifié. Ma sur s’allongeais sur le sol devant moi, les jambes grandes ouvertes. J’allais enfin pouvoir la pénétrer, maladroitement je m’insérais en elle, alors que ça bouche formait un grand O, sans qu’aucun son n’en sorte. C’était tellement bon, si nous n’avions pas batifolé cet après-midi, je pense que j’aurai jouis instantanément. Nos parents nous regardaient tendrement, alors que je bougeais doucement en elle. Elle poussa sur mes fesses pour me faire comprendre d’accélérer, et caressa son clitoris du bout des doigts. En quelques secondes, elle jouit bruyamment. Elle comprima mon sexe dans son vagin, la voir jouir déclencha mon orgasme, et je déversais mon sperme en elle. Nous restions un instant sans bouger, un air béat sur le visage. Dans un sourire ma mère nous tendit des mouchoirs en papier. Je me retirai doucement et essuya ma bite, alors que ma sur partis aux toilettes. A son retour, nos parents nous regardais le regard brillant c’est ma mère qui pris la parole :
– Si vous avez encore un peu d’énergie, vous pouvez pratiquer cette leçon avec nous.
Sans rien répondre ma sur s’installa près de mon père et le pris en bouche, il l’arrêta très rapidement car il était déjà extrêmement existé à l’idée de pénétrer sa fille. Ma mère avait quand-a elle commencé à me caresser tendrement, mon érection s’éveillait peu à peu, elle me prit quelques instants en bouche, et je fus rapidement bien dur et bien lubrifié. Elle passa sa main entre ses cuisses, simplement pour constater son état, et sans rien dire elle vint se positionner au-dessus de moi et fit entrer tout doucement ma verge dans ce vagin qui m’avait vu naître. Une fois entièrement assise sur mon membre, elle poussa un long soupir en me souriant, avant de jeter un il à coté de nous. Ma sur gémissait, non, criait sous les coups de reins de mon père qui luttait visiblement pour profiter de ce moment le plus longtemps possible. Ma mère semblait particulièrement excitée par ce spectacle et elle s’activa sur mon pieu, allant et venant, ondulant son bassin pour me faire sentir le moindre recoin de son intimité. Mon père jouit dans un grognement, alors que me sur le suivait en sentant le sperme chaud se répandre en elle. De notre côté, je suggérai à ma mère de se mettre à quatre pattes pour que je teste la levrette. En donnant de grand coup de reins je sentis le corps de ma mère faiblir, et ses gémissements m’ont fait comprendre qu’elle jouissait. Il ne m’en fallut pas plus pour la remplir de mon sperme.
Nous étions tous les quatre ravis, et épuisé. Il était maintenant clair que nous pourrions nous envoyer en l’air les uns avec les autres quand l’envie s’en ferai ressentir.
