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Petite nièce, longue nuit – Chapitre 1




Bonjour à tous et merci de me lire ! L’histoire qui suit est une histoire vraie survenue dans le cadre familial. Et ma famille il me faut donc vous la présenter. Ma femme a une fille, Laura, née d’un premier mariage qui avait 18 ans au moment des faits. Elle a également deux nièces, Caro et Florence, âgées respectivement de 23 et 19 ans à cette époque. Nous formons une famille tout ce qu’il y a de plus classique.

J’entends par là que jamais au grand jamais je n’avais eu de vues ou pensées « tordues » vis-à-vis de ma belle-fille ou de mes nièces, que je connais toutes depuis leur enfance.

Lorsqu’elle a eu 18 ans, je me suis un peu rapproché de ma nièce Florence, la plus jeune, car elle a choisi la même voie professionnelle que moi, à savoir le service aux personnes. C’est donc tout naturellement que nous avons commencé à échanger par SMS, au sujet du métier, des études, des possibilités d’évolution… Nos rapports sont toujours restés très « pros », jusqu’au jour où un message a tout changé. En effet au cours d’une discussion, Flo m’annonce qu’elle a rêvé de moi, de manière assez « intime ». Je lui témoigne ma surprise et à dire vrai mon embarras, ce qui l’a fait beaucoup rire : « arrête tonton, tu sais bien que tu es beau gosse, tu plais aux filles et moi je suis une fille ! ».

Je ne sais trop quoi lui dire, mais son message fait son chemin en moi. Je la regarde un peu différemment, je l’analyse plus aussi. Et je dois dire qu’elle est très mignonne ! Blonde, les yeux verts, de petite taille, peut-être 1m55, le buste fin, une toute petite poitrine, des hanches bien dessinées, des fesses rebondies et musclées, comme ses cuisses, fruit de plusieurs années de pratique sportive et danses en tout genre.

Les textos échangés par la suite étaient un peu moins formels, nous parlions de ses fréquentations, de ses rapports difficiles avec son père (le frère de ma femme) et puis de temps en temps elle me draguait un peu, du genre, je suis le mec parfait, le mari idéal… Rien de bien méchant et surtout rien de concret. Il m’arrivait aussi de lui dire qu’elle était très belle, mais elle tournait ça en dérision, se trouvant bien moins jolie que sa sur et sa cousine.

Ce petit jeu va durer entre nous pendant un an environ. Jusqu’à un jour de juillet, où le hasard va jouer sa partition. A cette époque, ma femme et sa fille sont en vacances dans notre maison de campagne, à quatre heures de route de notre domicile. Moi je n’ai pas pu avoir de congés et je les rejoins donc tous les week-ends. Le vendredi matin ma nièce menvoie un SMS pour prendre de mes nouvelles et je l’informe donc que le lendemain matin je partais pour la campagne. Elle me demanda alors si j’avais de la place pour elle et si elle pouvait venir.

Bien sûr je n’y voyais aucune objection je lui dis donc de venir dormir le soir même à la maison pour partir à la première heure le lendemain. Vers 19h Florence arrive chez moi, son petit sac de voyage à la main, vêtue d’un petit short en jean et d’un débardeur à bretelles rose. Je me suis dit qu’elle était vraiment très mignonne et que si elle n’était pas ma nièce je n’hésiterais pas à tenter ma chance avec elle. Mais une fois cette pensée évacuée, nous avons passé une soirée tout à fait normale.

Il fait chaud en ce début du mois de juillet et après le repas je vais prendre une douche un peu fraîche. Puis c’est au tour de Flo d’y aller et nous nous retrouvons dans le salon pour regarder la télé. Elle avec un minishort à ras des fesses et un débardeur blanc, sans soutien-gorge. Il faut dire que sa petite poitrine ne nécessite pas d’en porter H24 !! Flo vient me rejoindre sur le canapé et s’installe près de moi devant un film, genre thriller un peu effrayant.

Très vite elle se rapproche de moi, se blottit contre moi, ses jambes repliées sous ses fesses. Elle glisse légèrement sa main droite derrière mon dos et pose sa main gauche sur mon torse. Je me dis que le film doit l’effrayer un peu. Alors pour la rassurer un peu, j’enroule mon bras autour de ses épaules et je caresse doucement du bout des doigts le haut de son bras. A son tour elle se met à caresser mon torse, de manière un peu distraite, désordonnée, ses doigts effleurant de temps à autre mes tétons.

Cette petite caresse innocente provoque une réaction en moi. Je sens ma verge qui commence à se gorger de sang. Je porte un short de sport, sans rien dessous et cela pourrait très rapidement se remarquer. Plus j’essaye de me raisonner plus elle enfle dans mon short. Fort heureusement la pénombre de la pièce, seulement éclairée par la télé m’aide à dissimuler cette turgescence. Ce petit échange de caresses innocentes continue toute la durée du film, toujours en présence de ma bite à présent bien bandée. Je replie ma jambe la plus proche d’elle vers moi de façon à faire obstacle, mais si elle venait à descendre sa main sur mon ventre, son avant-bras heurterait la pointe de mon sexe. Y penser m’angoisse et… m’excite tout autant.

Le film se termine et aussitôt Florence m’embrasse sur la joue en me souhaitant bonne nuit. Elle se lève et se dirige vers la chambre d’ami. Je ne peux m’empêcher de regarder fixement son petit cul passer devant moi. La queue toujours raide, je patiente un peu pour m’assurer qu’elle est bien couchée, puis je défais les cordelettes qui nouent mon short. Je le fais glisser sur mes cuisses, j’empoigne vigoureusement ma bite que je branle à toute vitesse pour me libérer de cette tension sexuelle.

Pas plus de quelques allers-retours et la LED verte de mon téléphone s’éclaire. Un SMS, c’est Flo :

[SMS,Flo]

< Tonton, tu vas pas te coucher ?

> Pas encore non

< Tu fais quoi ?

> Heu je regarde les infos sportives. Et toi tu dors pas ?

< Non en fait j’ai pas vraiment sommeil…

> Eh bien revient au salon si tu veux

< Oh tu sais les infos sportives, c’est pas trop mon truc

> Ah… et c’est quoi ton truc ?

< J’arrive, je vais te faire voir.

Merde, elle va revenir ! Je remonte mon short, je coince ma queue raidie dans l’élastique et je renoue à la hâte les cordes. Je m’empare de la télécommande de la télé pour me donner une consistance alors que j’entends la porte de sa chambre s’ouvrir et se refermer. Cinq secondes après, Flo apparaît, toujours vêtue de son petit short et de son débardeur. Elle avance vers moi. Je lui tends la télécommande : « tiens, mets ce que tu veux ».

Arrivée à ma hauteur elle s’empare de la télécommande et la jette à l’autre bout du canapé. Aussitôt elle m’enfourche, posant ses genoux de part et d’autre de mes jambes. Ses mains se posent sur mon torse le caressant de manière sensuelle.

— Flo qu’est-ce que tu fais ?

— Je profite de mon tonton chéri…

— Flo c’est pas bien, faut pas faire ça

— Tonton, on est grand tous les deux, on saura tenir notre langue. Et puis j’ai vu comment ta bite s’est redressée tout à l’heure. Et là je suis sûre que si je plie un peu mes cuisses je vais la trouver encore dure.

Disant cela, elle s’exécute et laisse reposer ses fesses sur mes cuisses. Instantanément elle pousse un énorme soupir en écrasant ses fesses et sa chatte sur mon sexe induré. Elle effectue des mouvements de va-et-vient appuyant de toutes ses forces sur ma bite, tout en s’agrippant à mon cou et en gémissant.

— Flo je vais compter jusqu’à trois, après ça je ne réponds plus de rien !

— Pas la peine de compter tonton, ce soir tu vas me baiser ! Et tu as intérêt à être en forme parce que ton sperme je l’attends depuis longtemps et j’en veux partout en moi et sur moi !

A ces mots il n’y a plus de pensées morales qui tiennent, envolées la bienséance et les règles de conduite. Je ne vois plus en elle ma petite nièce mais plutôt une petite chienne blonde avec de grands yeux verts qui est en train de se frotter à moi. Et ma seule obsession désormais est de la baiser intensément.

J’empoigne alors ses fesses, glissant mes doigts sous son petit short. Je découvre une peau ferme, tendue. Je m’agrippe à elles et j’impulse à ma nièce chérie des mouvements de va-et-vient le long de mon sexe encore couvert par mon short. Flo se penche vers mon visage, sa bouche se saisissant de la mienne, nos lèvres se mêlant dans un baiser fougueux, sa langue entre en contact avec la mienne et les deux se livrent à une danse sensuelle et humide. Mes mains se font plus inquisitrices et glissent vers les plis intimes de cette jeune fille en chaleur. Son minou parfaitement lisse est déjà très humide et j’alterne mes caresses entre des effleurements de son bouton durci et des petites pénétrations furtives entre ses lèvres ouvertes, chaudes et mouillées.

Face à moi Florence reprend appui sur ses pieds, ses mains et sa bouche parcourent mon torse, mon abdomen et fatalement elle se retrouve à genoux devant moi. Elle me regarde dans les yeux avec beaucoup d’assurance, puis retire son débardeur, dévoilant une toute petite poitrine presque enfantine au bout de laquelle se dessinent deux aréoles claires et de petits tétons magnifiques.

— Ça te change des énormes obus de ma tante hein ?

— Oui c’est vrai, mais je les trouve très beaux et je vais les honorer comme il se doit, n’aie crainte.

— C’est d’abord moi qui vais t’honorer, pour te remercier d’avoir été un si gentil tonton…

Aussitôt sa phrase finie, elle pose ses mains sur mes genoux et les remonte sur mes cuisses, les glisse sous mon short et leur fait exécuter un virage pour les diriger sur mes couilles dont elle se saisit à deux mains. Quelle sensation mes amis ! Il me semblait que c’était la toute première fois qu’une femme me touchait à cet endroit-là. Après avoir joué un peu avec mes boules, ses mains se posent sur ma hampe créant la surprise chez ma nièce :

— Oh putain tonton, mais elle est énorme ! Il faut que je voie ça de plus près !

— Ma puce ce soir elle est à toi, fais-en ce que tu veux !

Il ne lui en fallait pas plus pour qu’elle défasse à toute vitesse les cordelettes de serrage de mon short, qu’elle fasse glisser aussitôt sous mes fesses, se retrouvant désormais face à ma queue ivre de désir. De sa main droite elle s’en saisit depuis la base et dirige mon gland vers son visage, caressant son front, ses joues et son nez. Puis presque amoureusement débute une longue séance de bisous sur ma verge, de mon gland rougi vers mes couilles. Enfin sa langue vient danser sur mon gland, avant de le faire disparaître tout entier dans sa bouche puis d’engloutir une bonne partie de mon sexe. Ma petite nièce chérie que je menais au parc, que j’aidais à faire ses devoirs est en train de me sucer la bite divinement faisant rouler ma chair sur sa langue, exerçant une intense pression avec ses lèvres, chatouillant mes couilles du bout des ongles… Si elle continue ainsi cette petite pute va me faire jouir rapidement, trop rapidement pour que j’ai le temps de baiser son minou.

Je prends de grandes respirations pour essayer de me contenir et retarder l’échéance. Mais Flo accélère ses allers-retours buccaux sur ma verge, je n’en peux plus et je la préviens que je vais jouir, elle gémit et accélère encore. A quelques secondes de décharger dans sa gorge je me redresse, caresse son dos nu d’une main et un de ses petits tétons de l’autre qui aussitôt se bande sous mes doigts. Enfin, ivre de plaisir je décharge le jus de mes couilles dans un grand râle. Ma main se plaque sur sa nuque pour l’obliger à rester dans la position et ne pas en perdre une goutte. Mais sans doute cela était inutile, car elle voulait tout, et m’a pompé jusqu’à la dernière goutte.

Une fois mon sexe un peu débandé, elle le ressort de sa bouche puis l’embrasse une nouvelle fois avec beaucoup d’amour. Puis elle se lève, se dirige vers le bar et en revient avec deux verres et une bouteille de Whisky :

— On va fêter ça tonton chéri ! Me dit-elle en nous servant.

Puis elle s’assoit près de moi, nous trinquons et en m’embrassant sur la bouche elle me glisse :

— Pour la bouche c’est fait, on va pouvoir passer au reste…

La nuit promet d’être longue…

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