Depuis cette mémorable nuit, (voir Féminin pluriel dans "avec plusieurs femmes) nous nous sommes revues souvent. Parties en vacances ensemble et même dragué ensemble.

Au bureau c’est bonjour, bonsoir. Mais ensuite!

J’ai eu des amies auxquelles j’ai toujours fini par avouer notre relation. Certaines l’ont mal pris, d’autres ont compris et parfois participé à nos ébats.

Pour mes quarante ans, j’ai demandé un piercing. Elles ont tout arrangé et trouvé une boutique où on me le fait avec délicatesse. J’avais envie d’une étoile filante en strass au nombril, mais ce que je veux n’est pas disponible. Alors je me lance sur une boucle au sein droit avec une perle.

Elles ont organisé une soirée surprise pour le vendredi soir. Après le dîner, je m’attends à les voir se déshabiller et veux exhiber mon cadeau. Peine perdue, Jackie me tend ma veste :

« Vas te changer, tu recevras un texto avec tes instructions et si tu ne les suis pas à la lettre, privée de manège jusqu’aux vacances! »

Nous sommes mi-juin, pas de blague! Je suis devenue boulimique d’elles.

La douche prise, je reçois un texto :

     – habilles toi comme pour le premier anniversaire de Jackie en secrétaire bcbg. Sous-vêtements à ta guise. Talons de rigueur. N’oublie pas tes lunettes.

Un second une vingtaine de minutes plus tard :

– Es-tu prête ?

– Oui

– Alors dans un quart d’heure, un taxi viendra te prendre. Ne t’occupe de rien. Sur place nous ne nous connaissons pas. Sinon… Smiley Clin dil

L’attente est délicieuse, le trajet assez long et l’automédon me dépose devant un bar de nuit, fréquenté essentiellement par des Lesbos. Je le connais, mais n’y suis jamais allé.

Je me demande à quelle sauce je vais être mangée. J’ai une délicieuse sensation quand je pénètre, le cur battant un peu plus vite.

La faune est variée, de tous âges, je semble ne pas déplaire à certaines qui me déshabillent littéralement du regard. Moi, j’attends les instructions.

– Vas au bar, demande un mojito double

J’obéis, la serveuse est sympa, très pro. Mon côté oie blanche l’amuse. Elle voit bien que je suis un peu perdue et j’ai l’impression qu’elle me suit du coin de l’oeil.

Nouveau texto :

– Reprends la même chose et dis lui qu’on a dû te poser un lapin.

La barmaid me déclare d’un ton dégagé que je ne resterai pas longtemps seule. Pourquoi ai-je idée qu’elle pense à elle comme partenaire. Ça m’irait, elle a du style, quelques années de plus que moi, fausse maigre solidement charpentée, cheveux courts, boucles d’oreilles triangulaires rouges qui accrochent la lumière, visage anguleux presque militaire, adouci par son sourire, maquillage imperceptible.

– Vas au toilettes. Dans la première cabine regarde au dessus de la chasse.

Je m’y rends, au passage ramasse quelques mains aux fesses, croise des sourires sans ambiguité. Je fais celle qui ne voit rien. Je trouve un petit paquet. Les Salopes chéries! C’est un oeuf télécommandé.

– Mets le et retourne au bar.

Au retour je tente de les voir, mais elles sont bien cachées. L’oeuf me remplit le minou. J’ai bien fait de mettre une culotte. Elles doivent s’amuser de ma surprise lorsqu’il se met à vibrer. S’arrête. Repart et ainsi de suite plusieurs fois. Maintenant c’est malin, je suis mouillée et manque de renverser mon verre plusieurs fois. La sensation est troublante, j’ai une envie folle de jouir, mais l’oeuf s’arrête toujours avant. La barmaid se doute de quelque chose. Elle m’observe carrément, mine de rien, elle ne laisse personne s’approcher de moi. Je suis énervée, l’oeuf m’agace, m’excite il mène sa vie dans mon intimité et je m’entends réprimer un cri de surprise lorsque la vague arrive presque par surprise. Heureusement, dans le brouhaha c’est passé inaperçu. Pas de la serveuse! Elle s’accoude discrètement, me glisse :

«Je suis Martine, je finis mon service à deux heures, on peut bouger ensemble après? » 

Je lui souris, hoche la tête. Comme ça je lui plais!

Alors, est-ce au programme ou un imprévu. Dans l’état où je suis je baiserai une guenon. Et elle n’est pas une guenon.

L’oeuf a enfin stoppé, j’esquisse un pas vers les toilettes dans l’intention de le retirer, mais un sms m’ordonne illico de le garder. Jusqu’à la fin du service de Martine il alternera les pulsations mais sans jamais conclure, à ma plus grande frustration et je me retiens de me terminer manuellement.

Finalement elle pose son tablier et me rejoint. Elle esquisse une danse devant moi, très lascive, me prend les mains, m’embrasse et m’entraîne :

« Par ici, Ariel »

Décharge électrique. Les mojitos ont fait effet mais j’ai bien entendu!

Nous contournons le bar, elle pousse une porte, je trouve mes deux maîtresses attablées, hilares et je réalise.

Le miroir du bar est sans tain, elles ont tout vu de leur place dans la petite salle qui sert lorsque les envies se font pressantes. Il y a quelques couples enlacés et les soupirs sont sans équivoque. C’est le baisodrome!

Martine me met la main au panier et retire l’oeuf qu’elle leur balance en riant.

BON ANNIVERSAIRE me souhaitent elles en me roulant des patins. Martine me branle la chatte de la main qu’elle a laissée dans ma culotte et m’explique qu’elle fait partie du stratagème, qu’elles sont de vieilles connaissances et qu’elle brûle de me faire l’amour.

Ben voyons. Et moi, donc!

Alors elle m’a bien vu jouir puisque c’est elle qui commandait. Je lui reproche gentiment de m’avoir laissée en plan, à vrai dire suis ravie et la déshabille pendant que Cécile teste l’oeuf sur Jackie. Elle n’a que le nécessaire un jean, un marcel pas de soutien-gorge, pas de slip. Maintenant il me faut du concret, je le lui crie, je veux ses mains, ses doigts, sa langue, ses seins, lui bouffer le minet, la mettre en 69.

Son truc, souffle-t-elle c’est la domination légère, elle a au moins 15 cm de plus que moi, me renverse sur le gigantesque pouf et me chevauche. Elle effleure mon corps de sa chatte bien fournie qui s’ouvre, passe son ventre sur mon nombril, se colle à moi puis se redresse presque brutalement. J’aimerais la caresser, mais elle est musclée et me plaque aisément les mains à hauteur de mes épaules. Son sexe doucement avale le téton qui n’est pas percé, l’humecte, le caresse, entame une danse du ventre qui dévoile un clitoris qui bande, il n’y a pas d’autre mot, car il est bien trois fois plus gros que le mien.

D’une voix rauque je l’implore de me le donner à sucer. Tout ce que je récolte c’est une gifle qui fait dresser mon sein libre suivi d’une caresse sur la joue se terminant par deux doigts dans ma bouche.

Mais ses cuisses glissent vers ma figure et après un savant parcours amoureux j’ai son abricot sur la bouche et je peux connaître enfin son goût. Elle a deux anneaux sur une lèvre, lorsque je les mords, elle lève son bassin pour l’étirer et son odeur m’envahit. Je dois être trempée. Elle aussi apprécie les arabesques de ma langue qui va chercher profond son nectar (mais hélas je ne suis pas équipée comme Jackie). Un savoureux mélange de salive et de mouille descend dans ma bouche. Savoir que je lui fais de l’effet me fait de l’effet, elle va le vérifier en glissant sa main qui me branle de toute sa paume. Elle s’est cambrée et continue de me refuser l’accès au bouton magique. Que je tente en vain de caresser, mes bras bloqués par ses jambes maintenant.

Elle a mis deux doigts dans ma conque et du pouce provoque mon bas ventre. Je ne résiste même pas et jouis.

Quand elle s’en aperçoit, elle me rejoint en me donnant enfin son clito à déguster, au risque de m’étouffer.

Elle lèche ses doigts et me libère, s’allonge à côté de moi pour un long, long, très long baiser.

« Alors, comment va la quarantenaire ? »

« En pleine forme et prête à tout ! Mais pour l’instant plutôt crevée ! J’avais tellement envie que tu m’as fait exploser ! «

« Pas trop mal au bras ? Je déteste être en dessous, j’aime dominer mais parfois j’oublie ma force. J’ai fait du culturisme et de la gym. Idéal pour draguer ! C’est comme ça que j’ai connue Cécile. Ça a fait tilt, nous sommes restées 4 ans ensemble, jusqu’à ce que je trouve cette place de barmaid il y a 15 ans.

Les horaires décalés, et toutes ces occasions… Mais nous sommes restées très proches quand elle m’a quittée pour Jackie. »

Je suis bien, détendue, une femme protectrice contre moi, je joue avec son clitounet, mais elle me met en garde car il est très sensible et presque douloureux quand elle n’est pas en pleine action.

Autour de nous, ça va et vient, les entrantes viennent nous embrasser, Martine connait évidement tout le monde et me dévoile leur petites manies :

« Nora, sa came ce sont les femmes mariées qu’elle initie. Elle étrenne toujours ses conquêtes ici. Tu lintéressais beaucoup, j’ai dû la mettre au courant. Elle se fait toutes les nanas qu’elle veut!»

Je comprend mieux les mains au cul et les regards salaces !

« Regarde : elle va lui faire une tape sur les fesses, c’est sa façon de nous dire que si l’on veut se joindre ensuite, on peut. Je n’ai jamais vu la fille avec qui elle est. « 

C’est une jeune femme 35 ans, peut-être, qui n’est plus si fière depuis qu’elle à distingué dans la pénombre ou elle a été entraînée. Son amie, en fait son mentor, est très très ronde mais a un charme sensible même à distance. Je les avais remarquées tout à l’heure, installées à une table.

Nora nue ressemble à un fruit mur qu’on a envie de croquer à pleines dents. Je n’aime pas les filles maigres, c’est pour ça que j’ai toujours préféré les femmes mûres. Elle c’est le petit-déjeuner, le déjeuner, le dîner et le souper à elle tout seule, tant elle est appétissante.

Celle-ci est un véritable Rubens, faudra que Martine me présente, j’ai envie d’elle, mais pas ce soir. En tête à tête, on verra bien qui est la chasseuse !

Cécile et Jackie lui on fait un signe discret, genre : commence sans nous…

Une tête s’est glissée entre mes cuisses et me lèche la fente. Je veux m’accouder pour regarder mais Martine me retient : » laisse la faire, elle va te sucer mais ne demande rien en échange. En somme elle te souhaite la bienvenue! » et elle s’installe de nouveau sur mon visage pour se faire dorloter la tirelire. Son va et vient me propose un joli anus et elle ne bouge pas lorsque je lui écarte les fesse pour lui dire bonjour moi aussi.

Ma lécheuse, non, lappeuse, non, aspireuse, brouteuse, bouffeuse, avaleuse, je sais plus, en tout cas m’a fait du bien et après un dernier coup de langue s’en est allée saluer une autre.

Martine se penche les fesses bien en l’air et très ouvertes, me demande de lui mettre deux doigts. Ses désirs sont des ordres, elle est aussi musclée par là et me serre comme si elle voulait les briser, puis se relâche et recommence. Elle fouille dans son jean, en sort un plug anal, terminé par une petite queue en tire-bouchon et me le tend. Pas besoin d’un dessin. Je lui enfonce doucement et joue avec la queue, fais rouler ses fesses, je lui raconte mon dépucelage anal par Jackie, elle se caresse en même temps et jouit dans un long soupir.

J’imagine les séances de fou rire avec Cécile… Car elle aussi préfère nettement côté pile. Elle gardera son plug toute la nuit, comme j’ai envie d’essayer aussi, elle m’en sort un, lisse au bout, qu’elle me dit porter parfois sous le jean. Faut que je rajoute ça à ma liste.

Martine sera désormais ma petite Cochonne chérie. Cette queue de cochon qui lui sort du cul est absolument charmante et donne envie de jouer avec, pour son grand plaisir.

Je veux le montrer à mes maîtresses, mais elles sont allées rejoindre le couple adultère et la novice met les bouchée doubles, les suçant alternativement.

Nora semble repue et fait mine de s’en désintéresser tout en gardant un il sur elles.

J’en profite pour les rejoindre et faire connaissance. (à suivre)

Related posts

Echanges de mails entre hommes – Chapitre 1

historiesexe

Une drôle de visite chez le médecin – Chapitre 1

historiesexe

Les minettes du Val de Saône – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .