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Aventure d'une transformation – Chapitre 4




Le lendemain, je me sentais un peu nauséeuse. Rien de bien méchant, juste un petit mal de crâne, et un léger début de rhume. J’avais dû prendre un petit coup de froid. Quoi qu’il en soit, je me sentais d’humeur à traîner. Ce que je fis en restant dans mon lit jusqu’à presque dix heures. Entre temps, Marina vint me voir pour m’avertir qu’elle allait ouvrir son magasin pour la matinée, histoire de ne pas le laisser trop longtemps fermé, en se servant de mon corps. Elle avait pas mal hésité, mais finalement, c’était préférable. Et puis l’idée que je soit son nouvel employé serai suffisante.

Je me levais, pris le temps de prendre un bon petit déjeuné, et je me rendis à mon appartement relever le courrier du jour, et faire partir deux ou trois factures que je n’avais pas eu le temps de préparer la veille. De retour chez Marina et Will, il était midi. Comme je n’avais quasiment rien fait depuis deux jours, je fis un petit peu de rangement, et préparais le repas. Le couple rentra, mais il n’y eut rien d’intéressant. Will repartis, et mon ancien visage se tourna vers moi.

-Alors, qu’est ce que tu avais à me dire hier? me demanda Marina

-Oh, euh… Pas maintenant, quand je rentrerai. J’ai bien envie d’aller faire un tour cet après-midi.

J’étais un peu coincé. J’avais envie de lui raconter les secrets de Will, mais je ne savais pas comment m’y prendre. Et dans mon état semi malade, je n’étais pas sur de bien faire les choses. En début d’après midi, je pris la voiture, et allais chez l’esthéticienne de la ville la plus proche. Comme je n’y connaissait pas grand chose, je pris la formule confort, avec soin du visage, et la totale. Je pris un petit supplément pour l’épilation intégrale de mon entrejambe. Je n’allais pas me faire ça toute seule, j’aurai bien réussi à me faire mal. L’addition serai un peu élevé, mais ça ne me dérangeait pas. Et puis, je devais reconnaître que c’est tout de même plus doux que lorsque ça repousse. Les petits picots raide qui piquent, c’est un peu désagréable.

Malgré moi, je ne pus m’empêcher de mouiller quand la demoiselle qui s’occupait de moi m’épila. Oui, bon, c’était plutôt douloureux. Mais ses doigts doux et fins qui se promenaient sur mon intimité… Bref, ça se passe de commentaire. Je suis peut-être une femme, mais j’ai encore des envies d’hommes. Et quand je vois une belle fille, j’ai bien envie de passer quelques instants plaisant avec elle. Et plus j’y pense d’ailleurs, plus celle ci me donne envie de voir ce que ça fait une expérience lesbienne… Mais non, il ne faut pas, j’ai promis à Marina. Personne à part elle. Je dois tout de même reconnaître que c’est franchement tentant.

Après l’arrachage des poils néfaste, elle prit une espèce d’huile, surement un truc pour adoucir la peau, ou calmer les douleurs, et me l’appliqua sur toute ma fente et son pourtour. La jeune femme ne cessait de me lancer des sourires tout à fait charmants, et je commençais à trouver qu’elle insistait lourdement sur le clitoris, et descendais bien loin le long de ma raie, jusqu’à frôler mon petit trou. Je me mis à haleter, et je laissais échapper quelques gémissements.

Par chance, mon calvaire pris fin rapidement. Je me revêtis, réglais la note, et pris la voiture pour aller à la piscine. C’était un centre aquatique, où se trouvait de bonnes choses comme un hammam, un masseur, un jacuzzi… Bref, la totale. Je pris le temps de me prélasser deux heures dans l’eau chaude du jacuzzi. En pleine journée, il n’y avait personne, par chance.

Comme j’étais toute seule, et que je ne risquait pas de déranger grand monde, je glissais la main dans mon maillot de bain. Je commençais à me faire du bien, quand j’eus l’idée de me mettre la chatte contre un souffleur de bulle. Je ne pus retenir un rire, ça faisait des petites chatouilles. Mais rapidement, ça se mit a me faire un bien fou, et je sentais que je n’étais pas humide à cause de l’eau. Cédant à une impulsion, je me mis un doigt dans l’anus, et l’autre dans le vagin. Cette double sensation, plus l’effet des bulles, me mena à l’orgasme.

L’inconvénient, c’est que le jacuzzi se trouvais dans une pièce à part de la piscine. Mais avec le bruit qui règne habituellement dans une piscine, personne ne remarque que l’isolation n’est pas extra. Et du coin de l’il, je vis un maitre nageur, la main dans son short, dans l’encadrement de la porte. Avec l’envie de jouer, je lui fis signe d’approcher.

-Ne rêve pas, l’avertis-je. Tu ne vas pas coucher avec moi. Tu ne me touchera qu’avec les yeux.

Telle une sirène, j’ôtais mon maillot dans l’eau, et sortis nue. Je m’approchais de lui, et d’un coup sec, lui fit tomber le short. Comme je m’en doutais, son petit diable était bien dressé. Je le fis s’asseoir sur le bord du jacuzzi, et m’accroupis à ses pieds. Ma main remplaça la sienne sur sa colonne de chair, et je le masturbais rapidement. Il ne tarda pas à éjaculer, et j’orientais les jets sur son ventre, pour ne pas en recevoir. Puis je me saisis de ses testicule, en les serrant un peu.

-Tu as de la chance mon grand, que ce soit moi. Mais ne t’avise plus jamais d’espionner une dame sans qu’elle le sache. Si je t’y reprend, je te les arrache la prochaine fois.

Puis je remis mon maillot et sorti de la pièce. Après tout ça, je me sentais beaucoup moins malade, mais j’étais un peu fatigué.

En rentrant, il me revint à l’esprit que Will avait sa partie de poker hebdomadaire, suivit d’un petit repas entre les joueurs. Une sorte de soirée entre gars. En somme, j’allais avoir le temps de parler à ma cousine. Il était à peine cinq heure et demi. En passant la porte, j’entendais l’eau couler dans la douche. Je pris un truc à grignoter dans le réfrigérateur, et m’assis à la table pour manger. Elle sortit de la salle de bain, torse nu et j’eus envie de me blottir contre cette poitrine masculine qui fut mienne. Je commençais à être nostalgique de mon corps de mec, surement à cause de la fatigue. Elle s’approcha de moi, et en enfilant un tee-shirt, elle se lança à la pêche aux renseignements:

-L’après midi a été bonne?

-Oui, répondis-je doucement, je suis allée à la piscine. Ça m’a vraiment détendue, et je me sens mieux que ce matin.

-Prend un Doliprane, me conseilla-t-elle. Ça soigne absolument tout.

Je fis un petit silence, si je voulais parler, c’était le moment, avant qu’elle ait une idée pour nous occuper en l’absence de son copain.

-J’essaierai tout à l’heure. Mais pour le moment, j’ai quelque chose à te dire. Enfin, plutôt à te montrer…

Marina se contenta de hausser mes sourcils de manière interrogateur, et légèrement surpris. Je pris mon sac à main, et sortis le cd que j’avais garder depuis ma découverte. Je le fis glisser vers elle, mais le garda sous ma main le temps de lui donner quelques avertissement. Mes yeux étaient rivés sur les siens, mais je sentis ses doigts venir se poser sur les miens.

-Marina. Je préfère t’avertir, ce que tu vas voir, ça ne va vraiment pas te plaire. Et je tiens à ce que tu sache que j’aurai préféré ne jamais tomber dessus pour ne pas être celui, enfin, celle, qui te montre ça.

-Tu m’inquiète vraiment, murmura-t-elle.

Je lâchais le boîtier, et elle se leva pour aller le lancer sur l’ordinateur. Pudiquement, je décidais de garder les yeux sur la fenêtre, et l’extérieur. Même si j’avais déjà vu le contenu, sa réaction ne regardais qu’elle, je ne tenais pas à m’incruster dans sa découverte… Je sais pas si d’autres que moi aurait agis pareil, mais je trouve que c’est une violation de l’intimité.

Quoi qu’il en soit, le silence pesant fut suivit d’un petit hoquet étranglé, puis d’une flopée d’insultes insaisissables entremêlés de pleurs. C’est à cet instant que je vins me mettre derrière elle, pour l’entourer de mes bras et essayer de la consoler. D’un geste rapide, je coupais la vidéo et éjectais le cd. L’heure d’après fut l’une des plus longues de ma vie. Que dire à quelqu’un qui se fait trahir comme ça?

Quand elle fut un peu calmé, elle alla se réfugier dans sa chambre. Je ne pouvais pas faire plus que ce que j’avais fait, alors autant la laisser un peu seule avec elle même. Le moment du repas venu, je vins toquer à la porte pour savoir si elle voulait manger un peu. Un "non" étouffé me parvint. Moi même, je n’avais plus beaucoup d’appétit. Je m’en voulais un peu, mais je savais que j’avais fait le bon choix.

Et enfin, Will rentra. A peine avait-il franchi la porte, que tout s’accéléra. Marina ouvrit le battant de la chambre à la volée, et envoya une gifle des plus magistrale à son futur ex, avant de le plaquer contre le mur en le serrant par le cou. Le combat était un peu inégal, je l’avoue. Sans vouloir me vanter, mon corps était un peu plus volumineux et costaud que celui de Will, qui ressemblait plus à une brindille à côté.

-Espèce de pourriture! Coucher avec ces chiennes! Dans notre chambre! Et me filmer à mon insu en plus!

Elle était tellement hors d’elle, que ce n’étais même plus des phrases complète. Il marmonna des sortes d’excuses incompréhensibles, mais il n’eut pas le temps de finir que ma cousine l’attrapa, et le mist à la porte de l’appartement encore ouverte. Préférant ne pas me mêler de ce qui ne me regardais pas, je filais dans la chambre de l’ancien couple. Habituellement, je ne suis pas pétochard. Mais là, dans ce corps fragile… Désolé, mais non, je m’échappe. J’entendis d’autres cris, des explications, et un autre bruit de baffe. Puis la porte claqua et le silence revint.

En sortant, je me vis assis à la table, la tête dans le creux d’un coude. Je m’approchais prudemment, et lui caressais la tête. Elle leva vers moi des yeux triste. Je ne savais pas que faire mais j’étais touché. Écoutant mon instinct, je lui fit un baiser sur le front. L’instant d’après, j’étais sur ses genoux, dans ses bras.

-J’aurai dû m’en douter, dit-elle. Comment ai-je pu être aussi stupide et me laisser berner…

-Marina, tu ne pouvais pas savoir, il a bien fait les choses. Mais maintenant, tu sais la vérité… C’est toujours ça de pris, mieux vaut tard que jamais non?

-Ouais… Mais c’était l’homme de ma vie, j’ai l’impression de n’avoir plus rien, plus personne.

Je sentais ses larmes remonter. Je lui fis une petite caresse sur la joue.

-Tu m’as. C’est pas la même chose, mais tu peux t’appuyer sur moi le temps de repartir.

-Oui, c’est déjà énorme… susurra-t-elle.

Puis elle vint me déposer un baiser sur la joue et se cala dans le creux de mon cou.

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