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Une folle comédie au lycée – Chapitre 5




Je nen crois pas mes oreilles, ma demi-sur me demande de lui prendre sa virginité. Je bondis de joie intérieurement. Je lembrasse dun baiser des plus passionné.

Elle est toujours allongée sur le dos et semble assez nerveuse. Je minstalle à califourchon sur elle, lui caresse la joue et tente de la rassurer. Ma main descend et attrape sa poitrine que je câline. Mon autre main descend et atteint son sexe toujours humide. Je la doigte pendant quelques secondes. Cette fois ça va être bon, je vais coucher avec ma sur. Je frotte mon gland à lentrée de son vagin. Maude inspire un grand coup et semble retenir sa respiration. Bien positionné, je pénètre doucement dans le sexe de ma demi-sur millimètre par millimètre. Il est chaud et même bouillant. Il est aussi très humide. Elle doit être aussi excitée que moi. Soudain, je suis stoppé par une sorte de barrière. Je donne un léger coup de rein pour la faire céder et lhymen craque. Maude pousse un cri.

— Ça va ? lui demande-je. Tu nas pas trop mal ?

— Un peu. Vas-y juste doucement.

Je mintroduis donc un peu plus profondément en elle et commence de lents va-et-vient. A chaque coup, elle se contracte quand je viens buter vers le fond de son vagin. Sa respiration, de plus en plus forte, se calle sur le rythme de mes oscillations. Elle semble peu à peu se détendre. Je suis heureux que tout se passe bien pour le moment. Je lembrasse puis lui lèche les seins et elle mencourage à continuer de la baiser. Je commence à accélérer la cadence, sa respiration saccélère aussi. Elle a la bouche ouverte comme si elle manquait dair. Son corps bouge et sagite de plus en plus. Maude se mord la lèvre, grimace puis fini par soupirer. Elle a lair vraiment dapprécier. Ses mains mattrapent la nuque et tirent ma tête vers son visage pour membrasser langoureusement. Elles descendent ensuite dans mon dos et sy agrippent. Maude me griffe, ça fait un peu mal mais je nen ai rien à faire, je suis en train de faire lamour à ma sur et ça cest jouissif.

Soudain je me retire. Elle me regarde suppliante sans comprendre pourquoi. Je le prends et la fait sinstaller à quatre pattes et je la pénètre de nouveau lui faisait échapper un soupir. Jagrippe ses hanches et je besogne ainsi ma demi-sur en levrette. Jaccélère la cadence par rapport à auparavant. Elle semble geindre de bonheur. La voir ainsi offerte est le plus beau spectacle que jai vu de ma vie.

Cette fois Maude est vraiment complètement à moi. Elle mappartient à cent pour cent. Je veux jouir encore et encore delle. Elle sest donné à moi et je ne compte plus le lâcher. Je me souviens au début de cette comédie avoir souhaité quelle sentiche dun mec de sa classe pour quelle mette fin à ce manège. Maintenant, je ne veux absolument plus que ça arrive. Je ne laisserais personne mettre la main sur elle. Jamais ! Je la possède, elle est mienne et je la veux encore et encore. Jamais aucune de mes conquêtes ne mavait fait un effet aussi fou. Elle mobsède jour et nuit.

Je continue à la besogner. Elle gémit de plus en plus fort et finit même par crier. On peut se permettre de faire du bruit puisquon est seul chez nous. Cest vraiment excitant dentendre sa sur réagir comme cela sous mes assauts. Je sens ma jouissance proche. Je la préviens et elle me dit de jouir en elle. Elle prend la pilule et donc on ne craint rien.

Jaccélère encore la cadence pour le bouquet final. Je sens son vagin se contracter sur mon sexe et elle est prise de spasme. Son orgasme provoque le miens et je me déverse en elle. Mon orgasme est dévastateur. Cest comme si on mavait pompé toute mon énergie dun seul coup. Je me retire delle, mes jambes flagellent et je mécroule sur le lit. Elle saffale elle aussi à mes côtés et nous nous enlaçons tendrement.

— Merci, lâche-t-elle dune voix douce.

***

Les vacances se sont terminées trop rapidement à mon goût. Nous avons refait lamour plusieurs fois et à chaque fois cétait toujours aussi intense. Je ne croyais pas à ce qui marrivait. Javais limpression dêtre dans un rêve. Javais aussi langoissant pressentiment que jallais me réveiller dune seconde à lautre, que tout ça allait prendre fin dun coup. Cétait le rêve le plus délicieux que javais jamais fait. Je ne voulais pas me réveiller et tout perdre.

Lentement les cours ont repris et la routine est revenue delle-même. Le lycée me paraissait absolument identique et à la fois complètement différent puisque je baisais maintenant ma demi-sur. Javais hâte que les pauses de la journée arrivent pour aller la retrouver. Mes heures de cours semblaient durer une éternité.

Notamment le cours dans lequel je me trouve actuellement : la philosophie, qui en soi, est déjà bien ennuyeuse. Jai encore une dizaine de minutes à supporter de ce cours magistralement inintéressant avant daller retrouver Maude. Je suis encore assis à côté de Mélanie qui tente de faire la conversation pour passer le temps mais je ne lécoute que dune oreille, ce quelle ne tarde pas à remarquer.

— Tu penses encore à Maude, nest-ce pas ? minterroge-t-elle.

— Comment le sais-tu ? lui demande-je bêtement.

— Bah je sais que cette fille te rend dingue, à tel point que tu as refusé mes dernières avances, alors ce nest pas vraiment dur à deviner. Et puis tu as cet air béat que tu prends quand elle est là.

Je ne réponds pas et le cours finit enfin par se terminer. Je range mes affaires rapidement et me précipite en dehors de cette salle de torture. Je descends les escaliers, passe la porte pour sortir et marrête en lapercevant plus loin dans la cour. Elle nest pas seule. Elle est avec un mec ; un grand blond plutôt athlétique. Mais merde, cest qui ce connard ? Quest-ce quil fout avec ma sur ? Il a lair de bien la faire rire et elle dépose plusieurs fois sa main sur son avant-bras. Soudain, Mélanie surgit derrière moi et comprend rapidement mon état en voyant le regard noir que je porte à cette scène.

— Hum, ta copine semble être en charmante compagnie. Je serais toi je me poserais des questions.

Et elle se tire toute souriante davoir ainsi un peu plus semé le trouble et le doute en moi.

Soudain Maude maperçoit enfin et me fait signe toute souriante. Elle prend congé de lautre con et me rejoint pour me rouler une pelle. Mais elle repère très vite que quelque chose cloche.

— Quest-ce quil y a ? me demande-t-elle.

— Rien, lui réponds-je avec un air morose.

— Tu es sûr ? insiste-t-elle.

— Cétait qui ce mec au juste ?

— Quoi cest lui qui te mets dans cet état ? fait-elle étonnée.

— Non, lui mens-je. Cest qui ?

— Cest juste Luc, répond-t-elle. On a bossé ensemble sur un tp et on a bien sympathisé.

— Et cest tout ? insiste-je lair pas du tout convaincu.

— Bah oui, cest tout ! Quest-ce que tu timagines au juste ? Que je me le suis tapé ? Et dis donc mon grand-frère adoré, poursuit-elle sur un ton enjôleur, tu ne serais pas un peu jaloux par hasard ?

Je ne lui réponds pas, lui prends la main et la mène sous son il interrogateur dans les toilettes où nous nous enfermons dans une cabine. Je la plaque contre le mur et lembrasse avec fougue. Je lui pétris les seins puis mes mains descendent sous sa robe et font descendre sa culotte le long de ses fines jambes dun geste ferme. Je défais ma ceinture, ouvre mon pantalon et libère mon sexe.

Je la pénètre sans ménagement et commence à la baiser aussi fort que je peux. Son sexe est bouillant et bien humide. Est-ce ma soudaine vigueur qui la rend comme cela où sest-elle laissé séduire par ce Luc malgré ce quelle affirme ? Juste un ami avec qui elle a sympathisé sur un tp. Me dis-tu la vérité Maude ?

Jagrippe ses cuisses et les soulèvent. Maude, toujours plaquée contre le mur, les entoure autour de mon bassin. Je continue à la pilonner avec force. Nous poussons tous les deux des râles bruyants. Je me fiche de savoir si on nous entend ou pas, tout ce que je veux cest la baisé avec force, lui rappeler quelle est mienne, lui faire oublier toute envie daller voir ailleurs si par hasard ça lui a traversé lesprit.

Nous nous embrassons ardemment, ses mains caressent mon torse. Sa respiration, rythmée sur les violents coups de rein que je lui assène, est saccadée et haletante. Je baise ma demi-sur dans les chiottes du lycée avec une furie presque animale. Cest la première fois que nous le faisons ici. Elle my avait déjà sucé la bite mais nous navions pas encore baisé.

Je me sens venir. Elle aussi vient. Plus que quelques va et viens impétueux dans son sexe et nous jouissons en même temps dans un râle sauvage. Mon sperme se répand en elle comme un torrent déchainé.

— Et bien Nico, je ne sais pas quel mouche ta piqué mais cétait géniale Je taime grand frère, finit-elle par déclarer avec un ton passionné.

La cloche marquant la fin de la pause sonne mempêchant de lui répondre. On sembrasse une dernière fois, se donnons un peu plus de contenance après cette séance de baise intense et rejoignons nos cours respectifs.

Ma sur maime ! Tandis que jatteins mon prochain cours, la phrase vient seulement darriver à mon cerveau. Elle maime. Cest ce quelle vient de me dire. Et pas comme une sur aime son frère, non, pas comme ça. Pas après une telle baise. Je me suis peut-être trompée sur cette histoire et sur ce mec. Jamais ma sur nirait voir ailleurs. Elle tient trop à moi pour cela. Je me suis emporté pour rien. Jai été vraiment débile de réagir comme cela. Je men rends compte maintenant.

Cest donc plus serein que je débute ce nouveau cours.

Soudain Mélanie entre dans la salle en retard. Le prof de math lui lance un regard sévère mais elle ne sen préoccupe pas. Elle vient sinstaller à la place libre à côté de moi.

— Alors ? me lance-t-elle dun air comploteur.

— Alors quoi ?

— Fais-pas linnocent mon ptit Nico. Tu sais ce que je veux savoir. Ce beau ténébreux blond avec qui Maude discutait cétait qui ?

— Rien, juste un mec de sa classe avec qui elle a sympathisé. Cest rien.

— Hum…lance-t-elle avec dun ton plein de sous-entendu.

— Hum quoi ? ça veut dire quoi ça ?

— Non rien, fait-elle.

— Allez arrêtes de jouer Mélanie. Jai bien compris que tavais un autre avis sur la question. Tu penses que ça pourrait cacher autre chose ?

— Je ne sais pas moi, je nai rien dit. Un mec avec qui elle a sympathisé, cest ce quelle ta dit je suppose. Et tu la crois bien évidemment ?

— Ai-je vraiment dautre choix ? Et puis, elle ma avoué quelle était amoureuse de moi.

— Tu sais, cest ce que je dis tout le temps à Marc. Pourtant ça ne ma pas empêché de te laisser me caresser pendant un cours de philo et davoir eu lintention de baiser avec toi.

— Tu penses quelle pourrait me mentir ? lui demande-je de nouveau inquiet.

— Ecoute, je sais pas, vous avez lair vraiment proches tous les deux mais si jétais toi, je me poserais plutôt des questions sur ce mec.

— Quest-ce que tu veux dire au juste ?

— Je connais bien les mecs, et toi aussi dailleurs puisque ten est un. Je sais ce quils veulent la plupart du temps. Et puis Maude est vraiment très ravissante, elle a beaucoup de charme. Daprès toi, la voit-il seulement comme une simple amie où a-t-il autre chose derrière la tête ? Sans compter que je sais reconnaitre un coureur de jupons et que ce type men a tout lair.

Merde, Mélanie a réussi à effacer le sourire serein que jaffichais en entrant dans la salle et à ressemer le doute en moi. Serait-il possible quelle est raison ? Au fond de moi je sais que ça peut être probablement le cas. Il faudra que je garde un il sur la situation.

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