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Le harem de famille – Chapitre 1




Nous sommes en 1984 ; j’ai alors 23 ans, et ma copine Sophie, juste 20 ans, nous nous sommes mariés l’an suivant et avons décidé d’avoir un enfant.

Nous avons essayé, une année durant, d’enfanter sans succès, et en période ovulatoire ; pas plus. Nous avons même examiné mon sperme au microscope et aussi sa cyprine ; rien d’anormal. Nous avons également observé la première fission d’un ovule fécondé par un de mes nombreux spermatozoïdes ; mais après tant d’échecs, une consultation s’imposait ; elle chez une gynéco, et moi, chez une sexologue se prénommant Rachel, belle, jeune célibataire de 30 ans. Après une consultation riche en examens de toutes natures, prélèvements et analyses approfondies de ma semence, rien n’est venu ternir mon image d’étalon, et Rachel me demanda le rapport des analyses de Sophie lors de la prochaine consultation.

La fois suivante, Rachel me demanda un autre échantillon de sperme :

Je ne vais pas y arriver tout seul, il ny a pas une fille pour m’aider ?

Elle s’approcha de moi de sa démarche souple et féline, plongea ses yeux émeraude aux longs cils dans les miens, et posa sa main sur mon sexe. Sous son contact, le phallus se dressa impérialement, la veine palpitante gorgée de sang durcissant la verge. Sa bouche à la chaleur douce et humide, aux lèvres charnues ne mit que cinq minutes pour me mener au point de non-retour les testicules gros comme des mandarines, et durs comme de la pierre, à la peau du scrotum tendue, et au moment de l’éjaculation extrême, elle se retira et présenta devant mon méat, un petit flacon que je remplis de foutre qui déborda sur ses doigts, tranquillement, elle lécha sa main, un petit sourire en coin. J’avais envie de la prendre sur place, mais je ne suis pas un violeur. Elle me laissa tomber pour aller analyser mon sperme dans le petit labo à côté de son cabinet.

De retour, dans la salle d’examen, elle me trouva encore à poil le pal tendu, elle comprit qu’elle ne pouvait pas me laisser comme cela, mon gland violacé ne demandait qu’une chose, vomir le trop-plein de sperme resté en route, sa bouche s’enroula autour de mon gland turgescent et cramoisi pour une fellation divine, vidant complètement les couilles.

Rachel soignait des troubles érectiles chez l’homme, et de frigidités chez les femmes, et autres problèmes sexuels, mais pas les maladies vénériennes, elle m’assura de surcroît que j’étais le premier patient en parfaite santé qu’elle suçait dans son cabinet.

J’étais son dernier client de la journée, elle me dit simplement que si j’en voulais encore plus demain, elle finissait à 19 h et après… mais il ne fallait pas oublier ma femme qui demanderait de la queue aussi ce soir, essayer une énième fois de copuler pour enfanter. Avec Rachel, nous avons couché quatre fois ensemble en l’espace de 10 jours, juste une heure ou deux, pour ne pas éveiller les soupçons de Sophie, je voulais lui dire avant qu’elle le découvre.

Il m’est venu une idée, je ne savais pas trop comment en parler à Sophie, peur de sa réaction, mais je n’avais pas le choix. Lui demander de faire appel à une mère porteuse, je couche avec elle et contre une somme d’argent, elle conçoit notre enfant, elle savait que c’était la solution si elle voulait avoir un bébé, mais après avoir vu les prix, cette solution fut jetée aux oubliettes. Prudemment, je lui demande si elle avait déjà eu des relations lesbiennes, et si elle aimera cela.

Oui, chéri ; une fois, avec ma coloc en fac, au cours d’une soirée bien arrosée ; et si la fille est belle, oui ; pourquoi ne pas remettre ça ; et cette fois, en pleine possession de ma raison, jouir avec une femme, un de mes fantasmes ; tu vas me proposer qui ? Arrête de tourner autour du pot, à qui tu penses ?

A Rachel, ma sexologue, nous allons lui proposer un apéro sympa, nous en discuterons, et plus si affinités. Je pense qu’elle dira oui, et pour ne rien te cacher Sophie chérie, j’ai déjà des relations sexuelles avec elle, juste quelques fois, j’espère que le partage de ma queue avec une autre ne te gêne pas trop.

Non, avec elle tu peux, je sais que tu aimes changer de chatte de temps à autres.

C’est la semaine suivante que nous avons invité Rachel, juste pour un apéro sympa, et là, j’exposai un plan lumineux, sachant que les périodes ovulatoires des deux belles se chevauchaient pourquoi ne pas tenter un truc fou…

Chacune savait que je baisais avec l’autre aussi. Récupérer mon sperme et du fluide ovulatoire de Rachel et pratiquer une insémination dans le ventre de Sophie, c’est simple avec une pipette génitale ; placer les fluides au fond du vagin, à la porte de l’utérus, et attendre quatre jours avant de pratiquer un test de grossesse. L’acte fut programmé pour le samedi suivant. Ce fut sans appel, une semaine après, Sophie était en cloque et pour fêter cette nouvelle, nous avons baisé comme des bêtes toute la nuit, Sophie et Rachel se sont données l’une à l’autre, sans limite ni tabou, du sexe lesbien de toute beauté, me faisant bander sans relâche ; prise de cons, et de culs innombrables, cunnilingus juteux en quantités, anulingus profonds bien porno, je n’ai jamais autant joui aussi longtemps.

Mes couilles vides, les deux salopes ont continué une partie de la nuit à baiser comme des gouines, et à jouir comme des chiennes en chaleur, rares sont deux femmes qui s’aiment autant la première nuit.

Maintenant que Rachel faisait partie de notre famille, je lui ai demandé de venir habiter chez nous, louer l’appart qui était à elle, et emménager dans notre grande demeure bien plus grande qu’un simple appartement ; et comme nos revenus nous le permettent, et associés aux siens, nous avons même pu engager une femme de ménage qui, cela va sans dire, devra être très gentille avec moi, et faire un autre type de ménage ; pas facile à trouver, mais en cherchant un peu, on trouve toutes les femmes qui aiment les hommes respectueux et prévenants, et les jeunes et célibataires se livrent volontiers et sont consentantes aux partouzes privées de leurs employeurs.

C’est la semaine suivante que, avec la permission de Sophie et en sa présence, je couvris Rachel pour enfanter aussi avec elle ; je suis tombé amoureux d’elle aussi, et comme l’amour existe entre nous, nous avons formé un trio familial, légalement Sophie était ma femme, et Rachel, mère célibataire au regard de la loi, cette loi (merdique) qui interdit la polygamie en France ! Quand l’enfant est le fruit d’un véritable amour, il n’y a pas besoin d’une loi…

Mes deux chéries n’avaient pas connu beaucoup de sexe, Sophie attendait vraisemblablement le mien, et Rachel avait préféré les études au lieu des plaisirs sexuels, maintenant qu’elles étaient enceintes toutes les deux, il n’y avait plus de risques qu’une autre bite fertilise mes deux gouines chéries, avec leurs assentiments, j’ai convié mon cousin, lui aussi a un beau serpent, en manque de copine en ce moment, et pour pigmenter notre relation, pourquoi ne pas leur offrir une autre trompe familiale, propre et bien juteuse, l’expérience avait été faite avec Sophie qui connaissait déjà la bite et le goût du foutre du cousin, et Rachel allait se faire un énorme plaisir, se faire défoncer le con et le cul par une bite semblable à la mienne, elle était sans limites la chienne…

Une suite ?

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