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La belle Anne – Chapitre 4




La belle Anne (3)

L’énorme gland turgescent s’approcha du petit trou, et se posa doucement sur la rondelle; Anne jouit juste au contact de la hampe chaude sur son anus; Jean la calma : « Non, petite salope, ne jouis pas, maintenant, tu es ma chienne, et tu me dois obéissance, c’est moi qui te dis quand, et où, tu dois jouir et personne d’autre; tu n’as pas le droit de désobéir, et pour ce manquement, je dois te punir avant de t’enculer; dis-moi que tu as été une méchante fille et que tu mérites une bonne fessée. » « Oui papa, je suis méchante, et je veux être punie sévèrement, frappe fort sur mes fesses, fais-moi mal.» Cette cochonne venait de franchir un cap, elle voulait jouir par la douleur, tendance SM. Le père frappa fort avec rage et perversion, il aimait lui faire mal, l’entendre hurler de douleur à chaque claque brutale sur les fesses « Tu aimes ça, hein ?

Grosse pute, tu veux une fessée, tu vas l’avoir, grosse cochonne, putain de sale chienne, après une sodomie douce, je t’enculerai fort. » Anne ne dit rien, juste un couinement rompit le silence quand le membre viril se posa de nouveau sur son trou.

Jean frotta son phallus bandé sur la rondelle, allant de la fente poisseuse et trempée, jusqu’à la raie interlutéale de l’anus tant convoité. Le père lui écarta sans ménagement les fesses et cracha dans son trou. Une légère pression de son sexe sur une rondelle déjà bien assouplie, et avec l’aide des mains de sa salope, l’anus n’offrit aucune résistance, avec une infinie douceur; et très lentement, la trompe raide progressa dans ce conduit anal serré, qui n’avait encore jamais été visité par un corps étranger. Anne ressentit une sensation nouvelle, un sentiment de bonheur et de plénitude, une suffisance fort agréable; sentir ce membre doux et dur, fort et puissant, chaud et presque brûlant dans le fondement de son boyau, une bête vivante aux pulsions dévastatrices qui allait la remplir de foutre gluant en quantité phénoménale. Le père avait mis la main gauche sur la chatte de sa chienne de fille, lui caressant la fente où suintait continuellement un mélange de cyprine.

La bite paternelle grossit encore durant l’intromission; une fois planté jusqu’à la garde, Anne ressentit comme un déchirement cuisant passager, le gland de cette grosse queue venait de se verrouiller comme la bite d’un chien dans sa chienne, ce qui en fait était le cas, situation peu commune, mais qui parfois arrive, même entre êtres humains. Jean pouvait aller et venir à sa guise limant, perforant et défonçant ce cul de rêve, celui de sa fille devenue salope et accro au sexe paternel. Il fut agréablement surpris en constatant que sa salope jouissait aussi du cul, une onde chaude lui mouilla le sexe, en même temps, jouissant du cul, elle lâcha un jet de jus vaginal, inondant la main de son père qui lui donna ses doigts à lécher, elle s’exécuta goulûment avec adresse et dextérité.

Anne sentait venir un orgasme puissant alors que le rythme de va-et-vient de son père accélérait, les couilles battantes sur ses fesses, elle chavira soudain, sa respiration saccadée, son feulement muant en gémissements annonçant le point de non-retour, une heure quarante-huit minutes de fornication anale aboutissant à un giga plaisir du cul et du con quand un grognement gras et salace se fit entendre : « Jouis ma pute, jouiiiis !!! Allez, chienne, salope, cochonne; jouis du con et du cul comme une grognasse.»

Anne prit cela comme un ordre libérateur, elle sentit aux creux de ses reins le signe annonçant le plaisir ultime, son père lui tirant férocement les cheveux les roulant sur elle, lui tenant la tête en arrière, jouit dans son cul, et elle est partie dans un orgasme fontaine de haut vol, la quantité de fluide expulsée fut hors norme avec une force qui l’a fait gicler fort et loin.

La bite de Jean dégonfla et sortit de la fente dans un bruit incongru, roula sur le côté, laissant un grand vide dans ce trou dilaté comme une bouche de métro, cul vomissant le trop-plein de sperme, immédiatement léché par Léa, maman attentionnée qui, la bouche encore pleine de sperme proposa un partage de liqueur de chêne et un baiser porno à sa fille. Anne, en fille docile et soumise, s’appliqua à sucer Jean en guise de nettoyage de queue.

Cette petite salope n’était plus pucelle, mais Jean voulut lui faire passer une confirmation et la baiser maintenant comme une vraie femme entière; lui baiser le con gaillardement, l’enfiler comme une pute expérimentée et élargit par des kilomètres de queues, avant de l’enculer encore une fois, sans ménagement, sortir puis rentrer en une seule traite, plus une sodomie, un vrai enculage, puis se faire pomper encore une fois que cette cochonne goûte la saveur de son cul et de son con, mélangée à une grosse dose de cyprine et une dose tout aussi importante se sperme épais et gras.

Elle va passer une nuit de sexe avec son père alors que s’annonce le crépuscule; mais avant, se restaurer est une nécessité. Jean a aimé sa fille, le fait de la traiter de salope, pute, chienne, cochonne, n’est qu’un moyen d’exciter sa fille qui prend un malin plaisir à se comporter en tant que telle, est à atteindre le plaisir le plus parfait. Cette nuit de sexe durera six heures non-stop; où Jean jouira quatre fois dans la chatte de sa fille, se fera sucer trois fois, et jouira deux fois sur le visage et les seins de la belle, et pour finir, l’enculera à plusieurs reprises, sortant entièrement de son cul, pour y replonger comme un sauvage, spermant à chaque fois, et elle va aimer cela la petite chérie.

Désormais, elle pourra baiser aussi avec son frère qui rêve de cela depuis longtemps, et n’aura plus aucune honte à dire à sa mère qu’elle a envie d’elle, et jouer les gouines en toute impunité, même devant les deux hommes de la maison.

Jean, toujours très créatif, va proposer un soir, au dîner, une idée qui dépasse l’entendement : faire un enfant à sa fille alors que son fils enfanterait sa mère. Après tout, les animaux eux ne s’embarrassent pas de savoir quel est le lien de parenté avec une femelle qui est prête, ils décidaient d’un commun accord que la semaine suivante, ils baiseraient en même temps, chacun la sienne, et qu’elles feront un test de grossesse trois jours plus tard. Anne et sa mère n’ont que deux jours de décalage sur leur période ovulatoire et justement cela tombait la semaine d’après.

Le jour J, par une chaude journée, les femmes nues ont commencé à faire l’amour, histoire de se chauffer et de faire naître les désirs; ce n’était pas une partie de baise ou de troussages de trous, mais l’amour pur en vue de procréer; amour incestueux, certes, mais amour quand même. Les hommes nus aussi s’astiquaient le poireau en regardant les femelles gouiner. Il n’y a rien de plus beau que deux femmes qui font l’amour, soupirs, gémissements, hurlements, orgasmes clitoridiens, vulvaires et vaginaux, giclées de nectar divin, terminé par un 69 torride, les belles étaient prêtes pour les mâles en rut que sont le père et le fils, mais cela ne dispense pas les interminables et très jouissifs préliminaires, une femme a besoin d’être modelée entre les mains d’un homme qui fait jouer ses doigts sur la douce peau chaude comme de la braise.

Trois jours plus tard, les résultats sont sans appel, les deux salopes sont enceintes de leur homme respectif : mère/fils, père/fille, ils vont pouvoir maintenant échanger les femmes sans risque, les baiser et les enculer à couilles rabattues. Durant les six premiers mois, la baise est même recommandée, remplir de foutre le vagin n’est pas gênant, et jouer aux gouines bien salopes et cochonnes n’est pas non plus contre indiqué.

Le fils de Léa et de Bruno sera déniaisé par sa mère qui s’offrira à elle pour ses 18 ans, et Anne et Jean, une fille que son père déflorera aussi pour ses 18 ans, les deux enfants naîtront tous les deux à 10 minutes d’intervalle.

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