Deux jours déjà que je mettais mis à genoux devant Jules, le suppliant dabuser de moi. Le temps passé avait été trop long, le feu sétait installé entre mes cuisses, un feu que je ne pouvais pas détourner de mon esprit. Je voulais quil me prenne et il lavait fait sans peine. Il mavait fait jouir avec son doigt en quelques secondes seulement et ensuite par la sodomie, une sodomie violente comme jamais et ces choses quil moblige à faire à chaque fois, toujours plus sale… Jusquà me cracher dessus.

Mais je ne lui en voulais pas, il avait éveillé ma sexualité et comme jamais je ne laurais cru. Tout ce quil me faisait, jadorais le subir, même les humiliations les plus cruelles. Jules mon ami était devenu un redoutable maitre.

Après nos deux premières fois, il navait pas donné signe de vie, quatre semaine de feu intérieur et je savais que si jallais le voir, il aurait le feu vert pour mutiliser comme il le voulait, je deviendrais sa chose… Mais je navais pas tenu et jétais venue le supplier de me faire jouir me condamnant ainsi à lesclavage.

Pendant ses quatre semaines, javais tenté de trouver un homme et pas quun seul. Javais hésité à me présenter au bois, lendroit ou la prostitution était établie dans ma ville, pour me faire baisser par nimporte qui. Une nuit ny pouvant plus javais même fait la route, me garant sur le parking, prête à sortir pour me faire tringler dans le noir. Mais une voiture sétait installée à côté de la mienne avec le directeur de ma clinique au volant, jai faillit tout foutre en lair, toute ma vie pour un coup de bite… Cétait insensé, mais cela me revenait toutes les nuits, jétais en feu…

Il avait mis fin à ma torture, il mavait bien défoncé, javais joui, jétais rentré chez moi la bouche remplie de son sperme et javais fait ce quil attendait de moi. Cétait hier et déjà lenvie revenait.

Jai attendu bien moins longtemps avoir davoir de ses nouvelles, il menvoya un texto me demandant dentrer dans son garage, den refermer la porte et dy lire les instructions. Quallait til bien pouvoir me faire cette fois, jétais excité comme la première fois, une excitation si intense et si délicieuse.

Le lendemain, je me suis retrouvé devant la porte de son garage et je nai pas hésité une seule seconde à pousser la porte, les lumières était allumées, sa voiture était la et sur la vitre un mot. Je refermais la porte à clef et lu.

Mets les vêtements et le collier et descends dans la cave. Présentes toi devant moi et prononce ces mots : Je suis ta pute, fais de moi tout ce que tu veux

Il ny allait pas de main morte, Je connaissais sa cave pour lavoir visité il y a quelques années lorsquils ont emménagé, je pourrais crier, personne ne mentendrais. Elle était gigantesque avec de multiples recoins.

Les vêtements quil mavait préparé étaient très léger, un collant avec un trou allant du sexe au milieu du cul, de sorte que mes orifices étaient libres daccès, rien que de me voir ainsi vêtu je mouillais.

Le haut était un soutien gorge s’arrêtant sous mes seins pour les soulever, les chaussures était à talons très chic noir. Je nen portais jamais, je nallais pas être à laise.

Et je fini par regarder le collier, en cuir, me le mettre seul allait me faire passer un échelon de plus, il mavait transformé en salope, jétais une salope, une pute, une chienne et tout en pensant à tout cela javais mis, sans men apercevoir, le collier autour de mon cou… Et du collier pendait une laisse.

Me voir ainsi, me transformait littéralement, jétais une autre, prête à tout pour un cou de bite et cela me plaisait terriblement. Comment avais je pu ignorer cette partie de moi même aussi longtemps ?

Et je descendais les escaliers, un quart tournant pour me retrouver en bas, la cave était dans le plus totale obscurité et jy entrais en n’espérant quune seule chose, quil me pénètre rapidement, dans le noir ou en plein jour, de la manière quil voulait, mais vite.

Stop

Et jai prononcé ses mots : Je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux

Il était là, derrière moi, il me passa un bandeau sur les yeux et je sentis que la lumière sallumait, il me guida sur quelques mètres et je ne savais pas vraiment ou jétais mais jentendais des bruits

Baises moi, baises moi vite je ten supplie

Il avait maintenant lhabitude que je le supplie et je ne men privais pas surtout si cela pouvait faire avancer les choses.

Alors messieurs, je ne vous avais pas menti

Le salaud, il avait osé ! Faire venir dautres hommes pour abuser de moi. Au fond de moi même jétais effondrée, jai commencé à vouloir porter mes mains à mes yeux mais Jules mintima lordre de les remettre dans le dos, ce que je fis. Il avait la maitrise.

Une voix que je ne connaissais pas

Et elle accepte tout ?

Jules : Et bien plus, elle na pas de limite, elle nespère quune chose, se faire remplir de bite, cest une révélation pour elle

Jules avait raison, ce qui avait le plus dimportance pour moi maintenant cétait dêtre baisé.

Ils minstallèrent le ventre sur une petite table de sorte que ma tête et mon cul pendant de chaque côté, naturellement jécartais les jambes. Et là une voix qui me disais quelque chose mais que je ne reconnu pas tout de suite se fit entendre

la vache, elle nattend que ça en fait, jamais je naurais imaginé cela de toi Marie, mais cest un véritable enchantement

Merde, quelquun que je connaissais et surtout qui me connaissais et bien visiblement. Jules navais pas tenu compte de ma dignité, il voulait ma souiller de tout côté. Je pestais de me retrouver dans cette situation, mais une fois de plus cette résolution ne faisait pas le poids face à mon envie.

Allez baisez moi !

Jules : Il ne faut pas la faire attendre. Marie, nous sommes six ici, certaines personnes te connaissent, dautre non, mais à voir les visage de ses 5 messieurs et de la dame, tu leur plait beaucoup

Une femme ? Non ! Je ne suis pas lesbienne

Une claque sur les fesses vint me ramener dans le droit chemin

Tu es une chienne ici, cest tout ce qui compte

Il tenait le bout de la laisse et tirait dessus en même temps quil parlait.

Dailleurs, tu vas tout de suite gouter au minou de la dame

La femme Je ne suis pas encore prête, cest un sacré cadeau que tu me fais là, mais je reste un peu impressionné par la situation

Je connaissais cette voix féminine, cétait celle dune amie, Marjorie, elle aussi de longue date. Comment avait il fait pour la convaincre de venir et a écouter ses mots elle semblait avoir rêver de cette situation depuis longtemps. Je nai pas voulu montrer que je la reconnaissais, jétait honteuse de me retrouver ainsi, je narrivais plus à sortir un mot. Jattendais mon sort…

Mais déjà je sentais une queue toucher mon sexe et le pénétrer rapidement jusquau couille, cette queue était petite mais épaisse et la recevoir me procura un certains plaisir

Alexandre: Putain cest bon, baiser Marie, la hautaine Marie, jamais je nimaginais pouvoir le faire un jour, mais maintenant ce sera quand je veux nest ce pas Marie ?

Cétait Alexandre lun de mes collègues de travail, je ne lai jamais aimé et il me baisait à volonté. Lhumiliation était totale, je narrivais plus à ouvrir la bouche pour protester, jétais cassé. Ce salaud allait et venait en moi avec sa petit queue et il me faisait de leffet. Au point où jen étais, nimporte quoi me faisait de leffet, cest mon amour propre qui en prenait un coup aujourdhui.

Alexandre continuait de me prendre et une bite vint heurter ma bouche ce qui eu pour effet de me la faire ouvrir. Un gland énorme sy introduit prolongé dune verge spectaculaire, je ne voyais pas le propriétaire mais il avait une queue énorme. Javais la bouche pleine, la mâchoire distendue et je me faisait ramoner, mais jaurais trop aimé que ce soit linverse. Les deux hommes me besognèrent quelques minutes.

Alexandre: Je veux sa bouche, viens on change

On mavait entendu. Alexandre se retira et lénorme chybre qui envahissait ma bouche fit de même. Je me retrouvais vide pour quelques secondes, le temps que ces deux messieurs face le tour de mon corps et se réintroduisent. Alexandre mattrapa par les cheveux et sintroduisit dans ma bouche sans ménagement, sa petite queue large mécartait la mâchoire et je le suçais lui que je naimais pas.

Cest la deuxième queue que jattendais, une queue énorme que javais hâte de sentir au fond de ma chatte pour quelle me laboure. Elle se présenta à lentrée et sintroduisit, le gland était énorme et il traçait sa route à l’intérieur de mon corps, dans ma bouche je navais pas pu appréhender la longueur de la bite de mon assaillant et je ne savais pas non plus si elle appartenait à un quelquun que je connaissait, mais cette équation fut résolue assez vite

Jules: Amédée, la chatte uniquement, le cul tu passeras en dernier pour quon ait le temps de lapprécier

Je ne connaissais donc pas mon baiseur et à ce prénom, je me doutais quil devait être de couleur noir, tout sexpliquait. Pendant que je me faisais la réflexion, sa queue continuait de sengager dans mon sexe, toujours plus loin. Mais de quelles taille était elle ? En tout cas, cela commençait à me faire de leffet et je sentais le plaisir qui venait. Il donna un coup violent final pour sintroduire jusquà ce que son gland butte au fond de mon moi, la douleur qui me fit perdre la queue que javais dans la bouche.

Alexandre nétait pas content de linterruption et mattrapa par les cheveux, puis il me baisa la bouche sans retenue, il saccrochait à ma tête et me pilonait comme si je nétais plus quune poupée et Amédée commençait à en faire de même, jallais jouir.

Pas plus dune dizaine de seconde plus tard, je fus secoué par un violent orgasme du au moins autant à la situation quà la pénétration dAmédée, pour mon malheur cest le moment que choisit Alexandre pour se vider dans ma bouche…

La violente aspiration que me fit prendre lorgasme me fit avaler son sperme précipitamment et jai failli métouffer, ce qui gâta un peu mon plaisir.

Alexandre se retira, mais Amédée continuait de me pilonner et je ne le sentais pas mollir. Une autre queue vint sintroduire dans ma bouche sans me laisser trop de repis. Jétais toujours les yeux bandés et je me demandais une fois de plus si je connaissais le propriétaire de ce penis. Il était de taille normal, mais avait une forte odeur durine, le gout était horrible.

Probablement motivé ou excité par la hargne avec laquelle Alexandre mavait baisé la bouche, lindividu fit de même mattrapa les cheveux et se contenta de se servir de ma bouche pour son plaisir.

Amédée continuait ses vas et viens et cétait prodigieux, quel amant, il était dune régularité dhorloge dans ses mouvements et il faisait coulisser son merveilleux outil avec un parfait équilibre entre douceur et violence. A lui seul il donnait toute sa valeur à cette journée.

Marjorie: Je vais me mettre à laise, mais je vous préviens, je suis la pour Marie, personne ne me touche à part elle

Jai compris que Marjorie commençait à se déshabiller et la situation devenait compliqué pour moi, je navais vraiment aucune envie de lécher un sexe de femme, rien que limage minspirait du dégout. Comment est ce que Marjorie, mon amie pouvait rêver de cela ? Jamais je ne lavais même surpris à poser ses yeux sur moi de façon ambiguë.

Amédée: je vais jouir, apportez moi le récipient

Amédée se retira laissant un vide, alors que jallais jouir pour la deuxième fois. Jétais frustré, et lhomme dans ma bouche se retira également. Jentendais leurs râles de jouissance mais aucune goutte de sperme de mavait touché.

Jules tira sur la laisse, je lâchais mes fesses et me remis debout

Jules: A genoux et penches toi délicatement

Je me penchait, Jules me tenais pas la laisse et les cheveux pour positionner ma tête à un endroit précis. Jai senti une autre main sur ma tête prendre le relais et jai senti une odeur que je ne connaissais pas.

Marjorie: Fais moi jouir Marie et n’hésites pas à bien baver et introduire ta langue dans ma chatte .

Impossible, je ne pouvais pas faire cela. Jeu un mouvement de recul, mes mains se positionnèrent devant moi pour repousser l’éventualité qui m’effrayait tant, je ne voyais rien et jai touché les cuisses de Marjorie ouverte. Lodeur étrangère était celle de son sexe.

Jules : Cest terminé de faire la rebelle maintenant !

Jules lança ses mots fort et quelque chose est venu me zébrer les fesses, Jules sétait équipé dune cravache pour loccasion et jen faisais les frais.

Non, cest au dessus de mes forces

Marjorie : Tu verras, ce nest pas si terrible et cest Jules qui a tenu a te faire passer cette épreuve, jen rêvais depuis tellement longtemps que je nai pas su dire non. Comment Jules la su, impossible de le savoir, mais je le remercie davoir vu ça dans mes yeux

Non, cest dégoutant… Ouch

Les coups de cravaches pleuvaient.

Jules Tu ne crois tout de même pas que je vais te laisser refuser, LECHES LA TOUT DE SUITE !

Les coups de cravaches étaient de plus en plus violent et mes fesses devait commencer à se marquer. Comment est ce que jallais expliquer cela à Sergio ? Quoi quil ne me regardait plus depuis longtemps.

Javais toujours mes mains sur les cuisses de Marjorie et les coups me faisait descendre vers sa chatte parfumé. Jules avait lâché mes fesses pour frapper plus doucement mon dos et mes cotes, je sentais le sexe de Marjorie à quelques millimètre de ma bouche. Elle mis ses mains sur ma tête pour la relever un peu et ma bouche se mis en contact avec son intimité.

Jules : Fais la jouir et tu jouiras ensuite

Jétais consciente de ne pas vouloir la lécher mais mon inconscient capta ses mots, ma bouche souvrit et ma langue sorti pour entrer en contact pour la première fois avec un sexe féminin. Je commençais doucement des vas et viens.

Marjorie : Le rêve devient réalités, Aouu, cest trop bon, appliques toi sil te plait, sois gourmande autant que tu peux

Je léchais… Je léchais Marjorie. Une action absolument abominable. Je rentrais ma langue dans sa chatte qui dégoulinait dexcitation, tout le tour de ma bouche était souillé de sa mouillure. Elle me caressait la tête et je sentais son corps se raidir.

Derrière moi on sactivait et une queue est venue se plaquer sur mon anus et directement tenter la pénétration à sec. Laction que jeffectuait mavait contracté et mon anus était complètement fermé. Pourtant lindividu forçait tout ce quil pouvait pour y faire entrer son sexe, le sexe dun homme que je ne connaissais pas ?

Je continuais de lécher Marjorie de façon régulière sans aucune passion, de temps en temps jentrais ma langue dans son orifice, je sentais bien que cela lui faisais un gros effet et jai commencé à transposé, à me demander ce qui me plairait que lon me fasse et jai posé ma langue sur son clitoris pour mactiver avec des mouvements de langue de gauche à droite assez rapide. Leffet fut immédiat, elle se cambra et respira de plus en plus fort.

Jaurais continué mais lhomme derrière moi avait réussi à entrer, il me déchirait, la douleur était énorme. Sa queue était dune bonne taille, il saccrochait à mes hanches et il poussait de toute ses forces.

Lhomme: Tu mas couté cher, je vais tout faire pour entrer dans mes frais

Je nen croyais pas mes oreilles, Jules se faisait payer pour offrir mon corps, quel salaud ! Un homme que je ne connaissais pas était entrain de me détruire le cul à grand coup de reins tandis que je léchais le sexe dune amie… La situation était incroyable, mais ne manquait pas de mexciter. Se faire prendre le cul de façon aussi brutale, dans une cave et sous loeil dautres personnes…

Mes coups de langues eurent raison de Marjorie qui jouis avec force en saccrochant à ma tête. Mon visage était entièrement plongé dans son sexe et jétais couverte de ses sécrétions.

Lhomme derrière moi ne cessait de minsulter et de me claquer les fesses.

Sale pute, je vais bien te démonter ton petit cul, Sale pute ! Prends ça ! Prends ça !

Cela nen finissait pas, il me ramonait le cul. Jai posé le visage au sol et ouvert mes fesses avec mes mains. Javais remarqué que si je devenais excitante, cela prenait moins de temps.

Défonces moi, vas y !

Jules Craches lui à la gueule, elle adore ça cette pute

Lhomme ne sest pas fait prier , sest penché sur moi et ma laché un gros molard en plein visage. La situation a du lexciter au plus haut point car dans linstant il se vida dans mes entrailles. Je sentais la chaleur de son sperme se reprendre en moi.

Il mattrapa les cheveux pour me redresser et se plaça devant moi.

Nettoies moi sale pute

Après quelques secondes d’hésitation, jengloutissait sa queue couverte de mes excréments, Jeu un premier haut le coeur, puis un deuxième, mais lhomme nen avait que faire, il ne me laissait aucun répis et mobligeait à le sucer.

Une fois sa queue propre, il me gratifia dun Bonne pute, je reviendrai dès que possible

Jules me releva et me fit mallonger sur le dos sur la table. Mes fesses étaient bien posées mais ma tête pendait dans le vide. Jai senti un homme de bonne taille entre mes cuisses et une queue ma pénétré, cétait Amédée. Il était énorme, cétait trop bon ! Comme promis Jules Me faisait baiser par Amédée, jétait rempli de sa queue qui allait et venait en moi sans s’arrêter, avec une fois de plus la même régularité. Jallais jouir et vite, je commençais à me crisper; je sentais monter cette pulsion qui me plaisait tant. Je me relâchais complètement, javais la tête totalement relâché et la bouche ouverte.

Jallais jouir, mais une queue sintroduisit dans ma bouche, une nouvelle queue, très noueuse avec une forte odeur durine avait profitée de la situation… Elle était petite, mais très épaisse et me déformait la mâchoire.

Lhomme : On va voir si tu réussis à me faire jouir petite salope

Je découvrait enfin le dernier personnage de la pièce, un homme dun âge avancé que je ne connaissait pas et qui avait son sexe dans ma bouche. Je ne pouvais pas bouger et il devait sactiver seul, ses mouvements était lent et sa queue grossissait encore dans ma bouche au fur à mesure de ses vas et vient.

Amédée, le métronome continuait encore et encore son labourage en règle, je nattachais plus dimportance à ce qui se produisait dans ma bouche, le vieille homme mutilisait comme il le voulait. Je jouis une première fois, la bouche distendue mais Amédée continuait encore et encore de me pilonné tout comme lhomme dans ma bouche. Jeu limpression que cela durait des heures, jétait au paradis, remplis de deux sexe, dhomme que je navais jamais vu.

Cest le moment que choisit Jules pour enlever le bandeau de mes yeux. La cave était éclairé par des tubes néons et mes yeux mirent beaucoup de temps à shabituer. Javais les yeux à hauteur des couilles de lhomme dans la bouche. Après quelques minutes encore de ce traitement, le vieille homme se retira et il jouis dans un verre sous mon nez, un sperme épais coulait en abondance de son sexe. Je le voyais pour la première fois, il était vieux.

Le papi: Jai joui, jai joui, elle a réussi cette salope, cest merveilleux ! Merci !

Il ne sadressait pas à moi, mais à Jules.

Le papi: Je te donnerai le double si je suis sur de pouvoir encore en abuser, daccord ?

Jules : Pas de problème, jai dautre projet qui nécessiteront votre présence

Le papi : Je pourrait amener des amis ?

Jules : La liste dattente est longue, pas pour le moment

Jules me vendait, comme une marchandise, il vendait mon corps et encaissait largent, cétait un proxénète et jétais devenu une pute. Une pute qui attirait visiblement les clients.

Amédée allait jouir car il se retira. Curieusement, il ne demandait pas le verre. Il prit mes jambes au niveau des chevilles et les relevèrent. Ce qui eu pour effet de décoller mes fesses de la table puis je senti quelque chose appuyer sur mon anus… Amédée allait sintroduire dans mon cul, il était énorme et jallais souffrir. Il poussait doucement sur ma corolle qui était dilatée mais cela ne passait pas. Je me suis alors détendue au maximum, mais rien ny faisait son gland énorme narrivait pas à sintroduire.

Jules : Suffit maintenant, elle nest pas la QUE pour prendre du plaisir, défonces là, quelle morfle un peu

Et Amédée poussa de manière implacable. Mon anus céda dans la douleur, javais limpression quon mouvrait en deux. Je criais tout ce que je pouvais, mais là ou jétait personnes nentendais. Je tentait de me relever en maidant de mes mains mais Jules les saisit et les plaça au dessus de ma tête puis les menotta,

jétais piégé et je sentais Amédée glisser en moi centimètre par centimètre, cétait une sensation incroyable, javais limpression que mon corps souvrait entièrement. La douleur était énorme, je me faisait détruire. Amédée se laissait aller à son plaisir, le mien ne l’intéressait plus, il voulait se soulager avant tout et il utilisait mon cul comme un fourreau pour sa queue, un fourreau quil malmenait de toute sa puissance… Dans quel état est ce que jallais finir cette journée ? Je ne pourrais probablement pas marcher correctement après un tel traitement.

Je voyais quelquun sapprochait de moi. Les yeux dans les yeux, Marjorie me regardait, sa tête était à quelques centimètre de la mienne.

Marjorie: Jespère que tu ne men veux pas, que tu me verras toujours comme une amie malgré cette épisode

Le défonçage en règle de mon cul provoqua un rictus sur mon visage, un rictus qui pouvait ressembler à un sourire et elle du le prendre comme tel puisquelle me sourit, se releva et plaqua son sexe sur mon visage.

Elle en voulait encore, tout comme moi. Et jai recommencé à la lécher.

Marjorie: Je ne sais pas si je pourrai me passer de toi bien longtemps ?

Quest ce quelle croyait ? que jallais lui lécher la touffe dès quelle en aurait en vie, elle se gourait dans les grandes longueur.

Amédée mavait attrapé la pointe des seins quil pressait de toute ses forces, cétait insoutenable, il se crispait, il allait jouir. Il se retira de mon anus et la sensation de vide fut surprenante, je sentais que javais un trou béant menant directement à mes intestins. Et il jouis dans un grand verre presque plein dun liquide blanchâtre, du sperme.

Messieurs dame, la séance est terminée, merci dêtre venue.

Marjorie se retira de mon visage frustrée.

Marjorie: tu peux me dire quand est la prochaine séance

Jules : Rien nest programmé pour le moment

Marjorie: Je veux bien te donner plus dargent

Jules : On verra dans ce cas, je peux peut être torganiser une séance privée juste pour toi

Marjorie: Super, mais ne tarde pas trop

Jules : Restes avec moi, jai besoin de toi pour la fin de la vidéo

Il avait tout filmé ? Cétait surnaturel ! Jules mavait prostitué et il avait filmé ma prostitution.

Il me releva de la table, les quatre hommes dont Alexandre quittèrent les lieux en remerciant chaleureusement Jules alors que cest moi qui leur avait donné du plaisir. Il lui laissèrent un beau paquet dargent et neurent même pas un regard pour moi.

Jules me fit magenouiller au milieu de la pièce, il menleva les menottes pour passer mes mains dans mon dos et les attacher de nouveau. Je ne sais pas trop ce quil attendait de moi, mais lui ne mavait rien fait.

Allez Marie, le final, une gourmande comme toi va tout avaler

Le salaud, il voulait que javale le sperme dans le verre, jamais je ne pourrais le faire, il y en avait beaucoup trop.

Marjorie prend le verre et verse le délicatement dans la bouche de Marie, il ne faut pas quelle en perde une goutte

Jamais je ne pourrais tout avaler, cest immonde

Marjorie restait silencieuse.

Jules: Je suis prêt tu peux y aller. Marie tu as intérêt à tout avaler, tu as bien joui aujourdhui et tu jouiras encore si tu réussi cela !

Tu es un salaud tu mas vendu, tu mas prostitué

Jules Oui et jai adoré cela, mais peut être pas autant que toi

Il avait raison, javais adoré cela, jétais devenue une pute et cela mexcitait beaucoup, javais joui comme jamais, les pénétrations, la situation.

Moi, à genoux, au milieu de cette cave sale prête à avaler un verre entier de sperme. Celui de Amédée, mais aussi celui du vieux monsieur et des autres. Seul Alexandre sétait vidé en moi, ce salaud avait déchargé son sperme dans mon sexe.

Marjorie approchait avec le verre, javais la tête baissé, mais elle me prit les cheveux dune manière violente pour me les tirer en arrière. Elle prenait gout à me malmener.

Marjorie; Je dois bien avouer que javais envie de douceur avec toi au début, tu me fais rêver, tu me fais fantasmer depuis tellement longtemps… Mais maintenant que je viens de te voir te faire détruire, souillé… Cest bien plus excitant ! Ouvres la bouche en grand, chienne !

Jétais à sa merci, elle faisait de moi ce quelle voulait. Jouvrais la bouche en grand en sortant la langue. Jétais vaincu

Jules ; Enfin tu reviens dans ton role, ça fait plaisir de te retrouver tel que tu es vraiment

Marjorie pencha le verre à 10 cm au dessus de ma bouche et le liquide commença à couler sur ma langue puis à sinsérer dans ma bouche… Qui se remplissait. Jules était devant moi avec sa caméra il nen loupait pas une miette. Il avait du filmer toute la matinée, mes sodomies, les insultes, ces inconnus qui mont baisé la bouche à tour de rôle, Moi entrain de me faire enculer et léchant la chatte de Marjorie et là, le final.

Marjorie remplissait ma bouche, lodeur était horrible tout autant que le gout. Un premier haut le coeur montait, ma bouche était pleine, mais le verre ne sétait vidé que de la moitié.

Jules Regardes bien la caméra ! laisses ta bouche ouverte !

Je fixais lobjectif du regard, avec le recul je comprenais toute ma déchéance et les larmes ont commencé de mes yeux.

Jules Woua, cest sublime, tu nest plus quun réceptacle à sperme, Avales !

Je narrivais pas à refermé la bouche, un deuxième haut le coeur venait me secouer. En refermant ma mâchoire sur ma bouche pleine, je laissais séchapper quelques gouttes sur mon menton et je déglutis dans la foulée. tout ce liquide épais qui glissait le long de ma gorge, cétait la pire des choses qui soit. Je nen pouvait plus, je sanglotait de plus belle et je sentais que jallais vomir.

Jules Tu es merveilleuse, mais il reste encore une moitié de verre ma belle !

Je ne pourrais pas ! Cest trop !

Jules : Je te crois ! On va procéder autrement, laisses ta bouche et ta langue ouverte. Marjo, fait couler le verre en partant de son front, je veux voir son visage souillé de tout ce bon jus. Si tu penses pouvoir en avaler Marie, ne te prive pas et tu auras tout mon admiration.

Et Marjo nattendit pas une seconde avant de laissé couler le sperme sur mon front tout en me tirant un peu plus fort sur les cheveux. Elle était devenue impitoyable.

Je sentais le liquide épais couler sur mes yeux, les côté de mon nez et arrivé jusquà ma bouche, la contourner pour une grande partie tandis quun peu s’inséra dans ce qui nétait plus quun orifice. Ce liquide me dégouttait, mais pour contenter Jules et sa caméra je décidait davaler tout ce qui tombait dans ma bouche. Jai ensuite parcouru le tour de ma bouche avec ma langue pour récupérer un peu de semence et lavaler encore.

Jai regardé la caméra, ouvert la bouche pour la montré vide et jai souris à lobjectif.

Jules : Parfaite !

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