La suite de cette épreuve de passage va se dérouler ainsi : l’un des deux tire une question de ce sac et une fois que l’autre a répondu, vous faites une action qui est marquée derrière le papier. Ok ? Allez !
La prof descendit de l’estrade, nous laissant seuls sur « scène ». Miléna tira une question
Directement :
Raphaël, tu préfères le voyeurisme, l’exhibitionnisme ou aucun des deux ?
Légèrement dérouté, je répondis en bégayant :
Euh le, le voyeurisme.
Miléna retourna le papier. Elle se pencha et retira ses chaussures. Je posai une autre question :
Miléna, au lit, tu préfères un homme macho ou romantique ?
Romantique.
Je retirai à mon tour mes chaussures. Miléna enchaîna :
Trouves-tu excitant d’avoir un rapport sexuel dans un lieu public ?
Non.
Miléna enleva sa chemise, laissant apparaître un soutien-gorge rouge vif. Je pris une question.
Miléna, as-tu déjà fantasmé sur le fait d’être une prostituée ?
Non.
Je retournai le papier : « Assieds-toi derrière Miléna et embrasse-la sur la nuque 10 fois. ». Je m’effectuai. Pendant ce temps, Miléna enleva ses chaussettes. Je tira une autre question :
Est-tu capable de citer trois titres de films X ?
Euh non.
J’enleva mes chaussettes à mon tour. Miléna commençait à s’amuser et s’empressa de tirer un autre papier.
Raphaël, parmi ces quatre vêtements, lequel choisirais-tu pour moi : infirmière, écolière, policière, soubrette.
Soubrette, pour bien te soumettre.
Miléna retourna le papier : « En utilisant un de ses doigts, montres-lui comment tu suces bien. ». Elle sourit d’un air coquin. Elle attrapa ma main gauche et enfourna avec passion mon majeur. Elle fit tourner la langue tout autour de mon doigt, puis se mit à le sucer comme un bonbon. Elle continua pendant quelques instants, me laissant le temps de m’imaginer ce que ça ferait sur ma bite. A mon avis, je ne tiendrais même pas 2 minutes. Je décidai d’accélérer le rythme et retira mon short. Miléna enleva son soutien-gorge, libérant sa magnifique poitrine. Nous avions presque oublié le sac de questions, mais la prof nous stoppa.
Très bien ! On arrête ici le sac de questions !
Elle le jeta au fond de la salle et en sortit encore un autre de sa poche.
Celui-là contient encore d’autres papiers dont je vous laisse découvrir la nature
Et, elle se rassit au fond de la salle. Miléna plongea sa main dans le sac et lu : « Abaisse légèrement le slip de ton partenaire pour en sortir son pénis puis branle le en le regardant dans les yeux. Lorsque tu auras terminé, il remettra son caleçon correctement. ».
Miléna se tourna vers moi et me sourit à nouveau. Elle s’approcha de moi baissa légèrement mon pantalon pour en sortir mon membre déjà bien dur. Elle l’empoigna vigoureusement et commença à le branler lascivement. Elle leva la tête vers moi et me fixa intensément, comme si elle voulait me faire comprendre à quel point elle voulait ma bite en elle. La jouissance était encore loin, mais elle s’arrête et remonta mon pantalon. Elle me tendit ensuite le sac dont j’extirpais un papier : « Masse ses seins ». Si simple !
J’attrapai Miléna derrière la taille et l’amenai vers moi. Je la posai sur le bureau et commença un massage sensuel des seins. Toucher ses seins fraternels était pour moi étrange, même si j’en avais toujours rêvé. Apparemment, Miléna est très sensible à cet endroit là car elle se mit à se mordiller la lèvre inférieure. De plaisir, elle retira son string, révélant sa magnifique fente au grand jour. Elle me repoussa en riant et tira un papier qu’elle ne lu pas à haute voix cette fois.
Néanmoins, elle me força à m’allonger sur le dos et se plaça à quatre pattes au dessus de moi. Elle avait placé juste au dessus de mon visage son sexe reluisant de cyprine. Le mieux fût qu’elle se mit à se caresser doucement, insérant un doigt dans son trou. Elle fit durer le plaisir pendant quelques instants puis se retira. Elle s’approcha ensuite de mon pantalon et le retira doucement. Elle fit de même avec mon caleçon, permettant à ma poutre de se relever totalement. Elle me tendit un papier que je lus à haute voix :
Embrasses l’intérieur de ses cuisses pendant qu’elle se masturbe. Interdit de toucher son sexe !
Miléna s’allongea pendant que je me relevai. Elle commença à se masturber ardemment l’abricot. Je m’approchai de ses jambes et embrassa tendrement les cuisses lisses et musclées de ma sur. Elle gémit légèrement sous le contact de mes lèvres mais continua sa quête de plaisir. Je m’approchai légèrement de son sexe, humant le doux parfum des odeurs vaginales.
Je me relevai et tendit le sac à ma sur. Elle lu et s’approcha de mon pénis. Elle goba mes testicules doucement, mais sans jamais toucher à ma verge. Le plaisir monta rapidement en moi. Je ne savais pas qu’on pouvait jouir sans toucher la tige. Elle continua quelques secondes puis s’arrêta. Elle tira avant moi le papier, trop pressée de continuer.
Cette fois-ci, elle enfourna la totalité de ma bite dans sa bouche. Elle était en train de me faire une gorge profonde ! Elle resta 10 secondes ainsi mais fût obligée de respirer et stoppa la fellation. Je tirai un papier pendant qu’elle reprenait son souffle.
Faites une unique manche de « pierre, feuille, ciseaux ». Le vainqueur glissera le doigt dans l’anus du perdant.
Je souris intérieurement. Le cul de Miléna me faisait plus qu’envie, alors y glisser un doigt serait jouissif ! Miléna commença à compter :
Un, deux, trois, pierre-feuille-ciseaux !
Elle avait formé une paire de ciseaux, tandis que j’avais fait la feuille. Je regardais le résultat, dépité. J’avais perdu. Miléna sourit encore et me força à me pencher vers l’avant, le cul en l’air. Elle introduisit délicatement son index dans mon anus.
Je m’attendais à avoir mal, mais je ne ressentais aucune douleur. Ma sur commença à me masser la prostate doucement. Je pris alors conscience du plaisir que cela me procurait. Je ne l’arrêtai pas et elle continua sa pénétration pendant de longues minutes. Elle allait finalement se retirer, mais je sentis la jouissance arriver et lui intima de continuer. Elle força le passage avec un deuxième doigt et continua. Peu après, je jouis de toutes mes forces. Mon anus se contracta trois fois sur les doigts de Miléna qui laissa échapper un petit cri de surprise.
Une fois que ce fût fini, je m’écroulai de contentement.
Eh Raphaël ! Ce n’est pas fini ! Tu dois me pénétrer le nombre de fois égal à mon âge, c’est à dire 18 !
Elle avait déjà tiré le papier suivant. La perspective de pénétrer 18 fois le gouffre d’amour de ma sur si sexy me revigorai. Je la pris par derrière et força l’entrée de son vagin. A la première entrée, je sentis la chaleur du corps de Miléna sur mon membre. Je commençai un va-et-vient qui dura dix-huit fois, puis me retirai, dépité. Je tirai à nouveau un papier.
Installe-toi sur une chaise et laisses-toi chevaucher, face à face, pendant une minute.
Je me hissai sur le bureau et attendis que Miléna grimpe elle aussi. Elle lança un chronomètre puis commença à rebondir telle une cavalière sur son cheval au galop. Elle commençait à prendre réellement son pied et jouis sur la fin de la minute. Elle reprit ses esprits et tirai un papier.
Demande à ton partenaire un nombre entre 1 et 6, puis lance un dé. Si le chiffre coïncide avec sa prédiction, il devra t’enfoncer un gode anal dans le cul et le garder jusqu’à un gage contraire. Sinon, ce sera lui qui se fera défoncer l’anus.
Je répondis spontanément.
2 !
Elle prit un dé, posé sur la table, et le lança. L’objet roula lourdement sur le sol et s’immobilisa sur 2 ! Je lui souris.
La revanche !
Je saisis un gode dans la boîte spéciale de la prof et enfonça délicatement le chibre artificiel dans l’orifice de Miléna. Elle gémit doucement et serra les fesses. Elle se releva doucement, le gode toujours enfoncé.
Je saisis un nouveau gage.
Allonge-toi derrière elle et sodomise-la brutalement.
Je relevai la tête.
Je crois que tu peux enlever le gode !
Je m’allongeai et attendis. Elle était en train de retirer doucement le gode. Elle avait le visage crispé de crainte. Je la comprenais, j’allais tout de même la sodomiser ! Elle s’accroupit au-dessus de mon pénis et s’assit lentement dessus. Mon organe frémit au contact si serré de ce cul incroyablement sexy. Voyant qu’elle ne voulait pas commencer le va-et-vient, je la couchais fermement sur le côté et commençai à la prendre en cuillère. Je rentrais et sortais rapidement de son anus et elle criait de plaisir. Elle venait elle aussi de découvrir le plaisir anal. Je sentis le plaisir monter en moi et stoppa la pénétration. Miléna avait réussi à jouir plusieurs fois lors de mon entrée en force de son intimité. Je la laissais se reposer et tirai un papier pour elle. Je lu et lui répéta.
Miléna, mets-toi à genoux. Je vais te bander les yeux. Je vais ensuite me masturber et dès que je serais prêt à éjaculer, je pourrais choisir ta partie du corps que je souhaiterais arroser. Donc, tu découvriras mon chois que quand tu sentiras mon sperme chaud couler sur ta peau.
Miléna s’effectua et je lui bandais les yeux. Elle se mit ensuite à genoux et attendit. Pendant ce temps, je commençai une branlette. Je réfléchissais simultanément à l’endroit où j’allais lui cracher ma semence. Je sentis la jouissance arriver et choisis la facilité. Je m’approchai de son visage et éjaculai quatre longues giclées de sperme qui atterrirent sur sa bouche fine. Dès qu’elle sentit le liquide chaud, elle se lécha le contour de la bouche et avala le tout.
Nous avions fini. Stéphanie revint sur l’estrade.
Vous êtes admis ! C’était fort divertissant ! Je pense que vous n’aviez par remarqué l’ensemble des élèves qui se masturbaient ?
Euh non ! répondions-nous à l’unisson.
La prof rit doucement.
Parfait ! Le cours d’aujourd’hui est terminé ! Demain, rendez-vous à 10h30 !
