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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 17




Janey ne pouvait croire ce que sa copine faisait. Elle sentit une chair de poule hérisser le duvet de ses bras et un frisson parcourir son dos.

    A l’aide de ses deux mains, Lisa a lentement tiré sur le pantalon du pyjama de son frère. La région pubienne bien fournie apparut, ce qui rendait Bart irrésistiblement sexy. Ce que les filles mourraient d’envie de voir formait un renflement sous le tissu. Par derrière, ses fesses arrondies se retrouvèrent à demi-nues. Le cur de Lisa se mit à battre de plus en plus vite, tandis qu’elle dégageait le bas-ventre de son frère.

Son propre frère, se répéta Janey.

    Son pouls à elle s’accéléra. Ses yeux ne quittaient pas des yeux l’endroit où se cachait la nudité la plus intime du garçon. Et Lisa qui prenait tout son temps pour le déculotter. Janey sentit ses joues s’échauffer et, prise d’une peur panique, elle quitta le bas-ventre de Bart pour scruter un signe annonciateur d’éveil sur son visage. Ses paupières restaient closes, sa petite bouche boudeuse à demi entrouverte, les traits reposés.

    La culotte de pyjama glissa enfin le long des cuisses. Dès qu’il fut libéré, le pénis de Bart rebondit avant d’atterrir mollement sur son abdomen. Lisa ne s’en soucia pas et baissa consciencieusement le pantalon jusqu’aux chevilles. Janey n’avait jamais vu de sexe d’ado d’aussi près. Et que celui-ci appartienne à un garçon qu’elle connaissait plutôt bien la troubla agréablement. Elle osa s’approcher de l’endroit où reposait innocemment le gentil organe.

    Le robinet et le scrotum étaient très mignon, les boules qu’il contenait minuscules, le tout de la même couleur que le reste de la peau. Le zizi était un peu mince, mais vraiment long pour l’âge du propriétaire. Il atteignait les onze ou douze centimètres. Mais Lisa fut déçue de pas l’avoir dévoilé en érection. Pourtant, la vision suffit à exciter Janey. En se tournant un instant vers elle, la jeune Simpson vit sa petite copine, les yeux grands ouverts. Elle avait glissé sa main dans sa culotte de pyjama et jouait avec son clitoris.

    Lisa n’y résista pas et s’approcha dans le dos de Janey. Elle la débarrassa de sa culotte, déposa un baiser sur ses miches adorables. Elle plaqua le dos de Janey contra sa poitrine naissante et remplaça la main de l’adolescente par la sienne, entre ses cuisses ouvertes. La petite brune se laissa aller aux caresses de son amie, tout en continuant à regarder cette grosse quéquette qui ne présentait que guère d’intérêt.

    Lisa s’amusait avec les grosses lèvres du chat imberbe de Janey. Cette dernière était déjà tellement humide qu’un bruit de succion fut le seul son qu’on entendit dans la chambre. Les deux amies s écartèrent l’une de l’autre avant que la jouissance ne les submergeât.

    Enhardie, Lisa ouvrit la main et soupesa le scrotum fraternel.

C’est tellement soyeux…, souffla-t-elle à sa camarade.

    Janey s’approcha et, comme hypnotisée, caressa la peau douce qui contenait les deux petites couilles. Respirant difficilement, elle s’amusa à les faire rouler contre sa paume, les comparant à des arachides. Elle finit par s’aventurer jusqu’à la base du pénis. Lisa ne croyait pas ce qu’elle voyait. Sa copine, si timide, si réservée, qui n’était pas curieuse de voir le sexe de Bart et qui, maintenant, osait le caresser de l’ongle du pouce.

C’est un début, se dit-elle.

    La jeune Simpson vit l’organe de son frère trembler très légèrement sous la caresse. Elle se dit qu’en l’excitant un peu, Bart pourrait se montrer sous son meilleur jour. Elle savait comment s’y prendre. Mais comment Janey réagirait-elle en voyant sa copine se livrer à des actes sexuels sur son propre frère ? Après lui avoir proposé de le voir nu, l’avoir déculotté sous ses yeux, le masturber ou lui tailler une pipe n’était que la suite logique des choses.

    Lisa s’accroupit à la droite de Bart et saisit délicatement son zizi tout chaud. Il frémit au contact de la main et, secoué d’une secousse, se mit à durcir. La gamine recula le prépuce et le ramena sur le gland, une fois, deux fois, trois fois. La bite adolescente devint un peu plus épaisse et raide. Lisa souriait, contente de l’excitation qu’elle faisait naître chez son frère. Dans son dos, Janey l’observait, tétanisée. Pourtant, d’où elle était, ses cheveux blonds cachaient à demi sa main masturbant le bâton de chair. Il commençait à s’ériger, gagnant quelques centimètres, à chaque aller-et-retour du prépuce. Lisa avait trouvé le moyen de faire bander un garçon, et elle n’entendait pas être interrompue dans cet exercice qu’elle trouvait fort divertissant.

    La respiration de Bart se fit plus lourde, tandis que son sexe continuait à durcir, à grossir, à s’arrondir, à se dresser, à raidir et à atteindre des mensurations que sa petite sur lui avait déjà connu, quelques jours auparavant. Le fait de repenser à ce qui s’était passé dans cette même chambre la fit rougir. Elle abandonna le zob, au garde à vous, le prépuce retroussé, et invita Janey à s’approcher. Elle n’avait pas remonté sa culotte de pyjama et Lisa en profita pour lui tripoter le clitoris.

    Le gland du garçon était rubicond, percé d’un petit méat et surmontant une tige de bonne taille. Janey en avait le souffle coupé. Il n’y avait rien de comparable entre cette bite et la quéquette, un peu ridicule, qu’elle était encore quelques minutes auparavant.

Tu peux la caresser si tu veux…, murmura Lisa, la voix troublée.

    Janey ne se le fit pas dire deux fois. Elle hésita un court instant, juste le temps de vérifier que le sommeil de Bart n’était pas qu’apparent, et sa petite main enserra la jolie queue. Un grognement s’éleva de la bouche du garçon, mais retomba aussitôt. La petite copine de Lisa astiquait comme elle pouvait le prépuce, mais elle était trop précautionneuse. L’excitation du garçon commençait à retomber, et son sexe à perdre de sa superbe.

Il faut que tu le branles plus vite que ça, ma vieille ! lui reprocha un peu méchamment sa copine.

Mais je vais lui faire mal !

Ça risque pas ! rétorqua Lisa, d’un ton péremptoire.

    Lisa n en pouvait plus. Cette quéquette affriolante l’attirait irrésistiblement, et maintenant qu’elle y avait goûté, elle n’en avait plus peur. Janey avait assisté à l’impensable… et tant pis si Bart se réveillait à ce moment-là. Sa petite soeur contourna le lit, de façon à ce que sa copine ne ratât rien de la suite des opérations.

    Avec mille précautions, Lisa monta sur le lit. Elle s’installa à califourchon de part et d’autre des jambes de son frère et, appuyée sur les avant-bras, happa l’organe de Bart. Elle s’en enfonça une bonne moitié de la longueur dans la bouche.

    Janey sentit son cur s’accélérer. La vision était irréelle. Elle suivit attentivement les mouvements des lèvres de Lisa sur le bâton de chair tumescent, tout en se demandant ce qu’elle faisait de ses dents et de sa langue pendant la durée de toute l’opération. Elle étudia la façon dont la bouche glissait le long de ce sucre d’orge, les grognements de nez de Lisa pour ne pas étouffer. Ses yeux qui se fermaient, était-ce la preuve qu’elle y prenait du plaisir ? Ou parce que c’était plus facile pour ouvrir la bouche ?

    Toujours est-il que Janey avait pris du plaisir à toucher les bourses et le sexe tendu de Bart, mais ne se voyait pas le prendre en bouche, comme Lisa l’exigerait sûrement de sa part. Elle regarda ce sexe qui allait et venait entre les lèvres adolescentes qu’elle aimait embrasser. Puis, la petite suceuse cessa le pompage et se redressa. Son visage était couvert de sueur, des mèches de cheveux collées à son front par la transpiration.

Alors ? Comment tu la trouves, la bite de mon frère ? demanda-t-elle à sa copine.

Qu’est-ce qu’elle est grosse ! Comment ça fait pour rentrer dans notre trou ?

Comme un gros doigt ! Et puis, dans le bain, t’as bien vu que le trou s’élargissait ?

    Janey acquiesça silencieusement, attendant la volonté de Lisa. Toujours assise à califourchon, avec une vue imprenable sur la pine érectile de son frère, cette dernière commençait doucement à se masturber à son tour.

Lisa…, hésita Janey. Tu pourrais faire rentrer le zizi de Bart dans ton vagin, comme ça, pour voir…

    Lisa l’interrompit et elle fustigea l’audace de sa copine.

T’es folle ? Le branler ou le sucer, passe encore ! Mais c’est sûrement pas mon frère qui me dépucellera !

    Janey fut honteuse de son effronterie et baissa les yeux, l’air triste.

Allez, ma chérie ! Viens donner quelques coups de langue à mon frangin, tu l’as bien mérité.

    Lisa laissa sa place à sa copine, mais celle-ci se contenta se s’asseoir au bord du lit, à hauteur d’une bite qui ne débandait pas, gonflée come une outre. Elle tourna une nouvelle fois son regard en direction du visage apaisé du garçon.

Arrête de flipper comme ça ! Il va dormir toute la nuit !

    Janey saisit le sexe dans sa main, qui l’enserrait à peine. Elle surmonta son dégoût et déposa un baiser sur le bout sans peau. Elle fut ravie de ne pas sentir le goût de pipi, ce qu’elle redoutait. C’était une autre saveur, plus âcre, plus forte, plus enivrante : une odeur de zob et e sperme mêlés. Janey déposa une série de bisous le long de ta tige. Puis elle remonta sa bouche jusqu’au gland en donnant des petits coups de langue, comme on le fait avec une sucette trop grosse pour une petite bouche.

Sa copine la regardait faire et avait repris sa masturbation.

Oui, c’est bien, Janey chérie ! hoqueta Lisa qui sentait l’orgasme monter en elle. « Oh oui, c’est bon !

    La lumière jaillit soudain dans la chambre. En même temps, la porte s’ouvrit sur Marge, en chemise de nuit, les traits tirés, mais les yeux et la bouche ouverts de stupeur.

Mais quest-ce que vous faites ?

(à suivre…)

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