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Le manoir des perversions – Chapitre 1




« Toutes les familles ont un secret ».

Franchement, qui peut encore croire à ce genre de pseudo dictons de nos jours ? Tout le monde ou presque a un compte Twitter ou Facebook et tout ce qui est censé être privé ne le reste pas bien longtemps.

Oui, qui peut encore y croire.

Pas moi !

Du moins jusquà il y a deux ans. Quand jai découvert queffectivement ma famille gardait depuis ma naissance un secret vraiment très lourd ! Du genre à remettre en cause tout ce que je pensais clairement acquis et tout ce qui avait structuré ma vie depuis ma venue au monde.

Quand je lai découvert ?

Le jour de mes 18 ans. Vous savez, le fameux jour où on passe de l « enfance » à l « âge adulte » en un claquement de doigts.

Eh bien dans lâge adulte jy suis entrée de plain-pied

Mais je ne me suis pas présentée. Je mappelle Rachel, 1M75 pour 62 kg, yeux bleus, cheveux châtains assez longs et surtout un 95C dont je ne suis pas peu fière ! Jai maintenant 20 ans. Je poursuis des études de droit mais reviens de temps en temps au manoir familial. Bon un manoir modeste. Mais assez grand pour accueillir une dizaine damis et pour avoir été interdite de séjour dans laile Ouest pendant mes 18 premières années.

Et vous allez comprendre pourquoi.

Ce jour-là, mes parents et mes amis mavaient gâtée. I-phone, nouvel I-pad air et jen passe de la part de mes parents double gode , vibro, pince à seins et plug de la part de mes amisqui connaissent certains aspects de ma personnalité mieux que mes parents.

Enfin connaissaient

Il devait être 18H quand mes amis sont partis à ma grande déconvenue. Je pensais que nous allions passer la soirée au restaurant et la nuit en boîte, voire plus si affinité, comme dhabitude.

Mais mes parents en avaient décidé autrement. Sur le moment javoue leur en avoir voulu ! A 18 ans je pensais avoir plus de droits quà 17 et non le contraire ! Mais quand ils mont annoncé quils avaient prévu quelque chose de vraiment spécial pour moi, jai commencé à être intriguée.

Sans cérémonie, ils mont conviée à être apprêtée de la façon la plus glamour possible à 20h tapantes dans le hall dentrée.

Autant dire que jai passé les deux heures suivantes à choisir minutieusement mon maquillage et ma tenue.

Finalement, cest vêtue dune robe noire très près du corps, assez courte et surtout outrageusement décolletée, que je me suis présentée dans le hall à lheure demandée. Vu les yeux ronds qui mont accueillie, je nai pas jugé utile de leur préciser que je ne portais aucun sous-vêtement.

Mon père se pencha et effleura ma joue poudrée de ses lèvres. A 45 ans, svelte, yeux verts et chevelure de geai malgré quelques cheveux argentés, sa prestance et son charisme naturel font toujours se retourner les femmes, et même certains hommes, sur son passage. Et ce soir-là, en smoking, il en jetait encore plus que dhabitude.

Ma mère posa une main appuyée au bas de mes reins et membrassa sur le sommet de la tête. A 42 ans ses cheveux châtains lui tombaient en cascade sur les reins. En robe prune moulant sa poitrine généreuse et fendue sur le côté jusquen haut de la cuisse, elle était toujours aussi belle. Bien plus que moi. Raison pour laquelle quand nous nous promenons ensemble, les hommes nont dyeux que pour elle

« Où allons-nous ?

— Ce soir, répondit ma mère, nous ne sortons pas. »

Je restais interdite. Devant mon mutisme interrogateur, mon père jugea bon de compléter :

« Ce soir nous temmenons dans un endroit que tu nas jamais vu. »

Sourcils froncés, je ne mis pas longtemps à comprendre où nous nous rendions.

« Laile Ouest ? murmurai-je. »

Dans un sourire, mes parents posèrent chacun une main très au bas de mon dos et me poussèrent vers le corridor débouchant sur LA porte.

Docile, je les suivis.

« Pourquoi ce soir ?

— Parce quaujourdhui tu es une femme, répondit simplement ma mère. »

Je rougis.

« Nous savons tu sais, murmura mon père. »

Je me raidis.

« Vous savez quoi ?

— Que tu es déjà . une femme active. »

Ces mots, dans la bouche de ma mère, me mirent mal à laise. Jamais elle navait fait de tels sous-entendus !

« Ma puce, il va falloir te détendre si tu veux profiter pleinement de ce que nous avons prévu pour toi, continua mon père tandis que nous arrivions à la porte. ».

Cest fébrile que je marrêtai près de la porte. Ce quil y avait derrière, je nen avais aucune idée. Mais la conversation que nous venions davoir à mots couverts Non je me faisais sûrement des idées

« Ma chérie, reprit ma mère en me faisant face. Sais-tu pourquoi nous ne tavons jamais autorisée à pénétrer dans cette partie du manoir ? »

Je secouai la tête, muette.

« Parce quau-delà de cette porte.se cache le secret de notre famille. »

Jétais perdue.

« Un secret que nous avons découvert tous les deux au même âge que toi, continua mon père.

— Et grâce auquel nous nous sommes connus, rajouta ma mère.

— Mais cest quoi ce secret à la fin ?! »

La nervosité commençait à monter. Tout un tas de scénarii me remplissait la tête, tous plus extravagants les uns que les autres. Une salle de torture, les cadavres empilés de mes parents serial killers, un décor à la « Massacre à la tronçonneuse »tout sauf.

« Nous aimons le sexe. »

Cette phrase assénée par mon père coupa court à mon imagination. Et me coupa le souffle tout court. Je ne savais pas ce qui me choquait le plus. Que mes parents mannoncent ça tout à trac, sans préambule ni métaphore ou que le fameux secret réside dans ce simple penchant.

« Je daccord, réussis-je à murmurer. »

Ma mère sourit à mon père.

« Je crois que nous navons pas été assez clairs mon chéri, continua ma mère en se rapprochant de lui pour lui mettre la main aux fesses, ce qui me fit aussitôt rosir et détourner la tête. »

Je les savais amoureux, mais, jusquà présent, ils navaient jamais aussi démonstratifs.

Ce sont leurs rires qui me firent les observer de nouveau. Ils avaient lair plus jeunes, plus détendus. Presque des adolescents. Sans savoir pourquoi, je me détendis à mon tour. Cétait mes parents après tout. Si notre secret résidait dans ce penchant, finalement, où était le mal

« Tu as raison, reprit mon père. Il faut la mettre au courant.

— Mais pas de tout, il faut lui laisser la surprise de certaines spécialités.

— Oui, évidemment. Après tout, notre plaisir aurait-il était le même si nous avions tout su à lavance ?

— Non, bien sûr. »

Leurs corps sétaient imperceptiblement rapprochés. Les mains de mon père caressaient à présent les fesses de ma mère et son ventre. Ma mère, une main toujours posée sur les fesses de mon père, glissa lautre sur son bas ventre. La gêne. mais aussi une pointe dexcitation, formèrent une boule au creux de mon estomac.

Je ne détournai pas la tête.

Tout ce mystère commençait à mexciter. Honteusement. Malgré moi.

« Avant dentrer, reprit mon père, il faut que tu saches une chose : tu vas découvrir des plaisirs inconnus. Des plaisirs allant au-delà de ceux qui tu as pu tester avec tes amis. »

Le rouge me monta aux joues.

« Tu nas pas à être gênée ma chérie. Pas avec nous. Et pas au-delà de cette porte, continua ma mère sans cesser de caresser mon père plus bas cette fois. Quand nous aurons franchi cette porte, tous les tabous tomberont. Nous taiderons. Pour te faire découvrir ce que la chair peut offrir de plus beau. De plus excitant. De plus ardent. A une condition.

— Laquelle ? demandai-je dune voix faible mais déjà transformée par le désir interdit.

— Que tu nous fasses confiance, répondit mon père en me tendant la main.

— Tu nous fais confiance chérie ? demanda ma mère en me tendant la main à son tour. »

En guise de réponse, je saisis leurs mains. Ils mattirèrent à eux et membrassèrent chacun aux commissures des lèvres avant de sembrasser avidement devant moi. A quelques centimètres de mes lèvres.

Lorsquils consentirent à libérer les lèvres de lautre, ils se tournèrent vers la porte. Chacun posa une main sur mes fesses. Mon père ouvrit la porte.

De lautre côté, une luxueuse salle de restaurantvaste, aux ornements dorés. Digne dun château. Et au milieu, trônait une table. Immense. Autour de laquelle étaient rangées. seulement trois chaises.

Je jetai un regard à ma mère. Elle sourit et me poussa dans la salle.

Jentrai. Mes parents me suivant à quelques centimètres.

Mais quel rapport avec le sexe. ?

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