Le mardi fut une très longue journée. Il me tardait de retrouver Maelis chez elle le lendemain.
Je réfléchissais à la tenue à mettre : sexy ou classique … ou un mélange…
Enfin mercredi. Je décidais de m’habiller de manière assez sobre, une jupe rouge au niveau du genou, un chemisier en mousseline blanc et des escarpins rouges. Je me permis quand même des dessous sexy.
Fin de ma journée de travail ; j’arrivais à 18h00 chez Maelis.
L’immeuble était sympa et son duplex se situait au dernier étage où il occupait toute la surface. Je sonnais pour prévenir de mon arrivée et je composais le code d’entrée de la porte qu’elle m’avait transmis par SMS. L’ascenseur m’amena jusqu’au dernier étage et dès que je franchis la porte, Maelis était là, devant moi.
Waouh, qu’elle était belle ! Elle portait une robe transparente en dentelle noire laissant deviner qu’elle ne portait ni soutien-gorge ni culotte. Elle était pieds nus. Un collier ras du cou en cuir noir avec deux chaînettes en argent descendait entre ses seins et ajoutait à sa sensualité animale.
Elle s’approcha, me fit la bise comme si nous étions de vieilles amies et me fit pénétrer dans son antre. L’appartement était très grand et décoré avec beaucoup de goût.
Une grande baie vitrée donnait sur un immense balcon lequel était caché par des roseaux. J’y aperçus un spa et des bains de soleil qui devaient lui permettre de s’allonger au soleil sans être vue.
De grandes photos de belles femmes nues étaient accrochées aux murs, vous dilatant les pupilles et vous échauffant les sens dès le premier regard.
Alors Sophie, comment trouves-tu la décoration de mon appartement ?
D’emblée, Maelis s’était mise à me tutoyer, ce qui me déstabilisa un peu. Après un petit moment d’hésitation, je la complimentais en utilisant à mon tour le tutoiement.
Ton duplex est superbe et toutes ces photos sont magnifiques.
Ces jeunes femmes ont été photographiées par une amie qui arrive avec son il féminin à capter toute la sensualité des corps.
Mon regard était particulièrement hypnotisé par une photo d’une rousse aux cheveux longs prise de dos. On ne distinguait pas le visage, mais j’admirais ce dos avec un superbe tatouage qui descendait de la nuque jusqu’à l’amorce de la raie des fesses. C’était très érotique. J’avais des palpitations dans tout mon corps et je sentais ma chatte s’humidifier.
Est-ce que c’est toi sur cette photo ?
Oui effectivement, elle a été prise le mois dernier.
Elle est magnifique.
Maelis m’invita à prendre place dans un des fauteuils et me proposa un rafraîchissement que j’acceptais avec empressement pour faire redescendre la pression. Elle me servit un jus de fruits, se positionna en face de moi et entama la discussion.
Avant toute chose, j’ai besoin de mieux vous connaître Marc et toi. Je vais te poser quelques questions très intimes. Je te demande de me répondre avec franchise. Ne me mens pas, sinon notre marché est caduc et je te demanderais de t’en aller.
Je fus une nouvelle fois déstabilisée, ne m’attendant pas à cette entame de conversation, mais néanmoins lui répondis :
Je te promets d’être tout à fait honnête.
Alors, commençons par Marc. J’ai vu sa photo, il est bel homme. Quelle est la taille de son pénis et est-ce qu’il se rase les poils ?
Il fait environ 22 centimètres et 5 de diamètre et ne se rase pas.
Est-ce qu’il aime la fellation et le sexe anal ?
Oui, il aime les deux.
A-t-il les tétons sensibles ?
Je n’en sais rien !
A-t-il déjà eu une expérience anale, gode ou humain ?
Je ne sais pas. Si c’est le cas, ce n’est pas avec moi.
Est-il adepte des pratiques SM ?
Pas à ma connaissance et pas avec moi.
Accepte-t-il de se masturber devant toi ?
Euh… il ne l’a jamais fait pour le moment.
Est-ce que tu connais son ou ses fantasmes ?
Depuis peu, je sais qu’il voulait me voir le sexe glabre et je pense qu’il doit penser à la double pénétration.
Bien maintenant, passons à toi.
Est-ce que tu aimes lui faire une fellation et est-ce que tu avales ?
Oui pour la fellation et depuis peu pour ce qui est d’avaler.
Aimes-tu la sodomie ?
Moyennement. Je l’accepte pour son plaisir, mais ce n’est pas trop mon truc.
As-tu déjà été double pénétré ?
Euh non.
As-tu les tétons sensibles ?
Oui très.
Es-tu rasée ?
Oui depuis peu.
As-tu des piercings et où ?
J’en ai un au nombril.
As-tu déjà eu une relation avec une femme ?
Euh non pas à ce jour.
Serais-tu tentée par cela ?
Je ne sais pas, la situation ne s’est pas encore présentée.
Utilisez vous des sex toys et lesquels ?
Oui depuis peu. A son retour de sa formation vendredi dernier, il m’a offert un coffret contenant un plug et un gode.
Et les avez-vous déjà testés ?
Euh oui le plug.
Bien. Tu es une très belle femme, très attirante. Serais-tu prête à te dévêtir devant moi pour que je puisse t’admirer ?
Euh, tu veux me voir en sous-vêtements ?
Non, je voudrais te voir nue.
C’est assez gênant.
Ne t’inquiète pas, je vais me déshabiller aussi.
Et Maelis retira sa robe qui tomba au sol. J’avais bien deviné, elle ne portait aucun sous-vêtement et son corps était superbe. Le collier avec les chaînettes lui donnait un érotisme torride.
J’apercevais à chaque téton 1 piercing en forme d’anneau et les chaînettes du collier étaient attachées sur les piercings. Elle avait le sexe glabre et je devinais d’autres piercings au niveau de ses lèvres intimes.
Elle était magnifique.
A mon tour, je me déshabillais avec quand même une petite hésitation au moment de retirer mes sous-vêtements.
A l’enlèvement de mon soutien-gorge, je constatais que mes tétons étaient érigés à leur maximum comme vendredi dernier. Je me trouvais dans un état de sensibilité maximal.
Dès que je fus nue, Maelis vint vers moi et me fit tourner pour voir mon corps et me dit :
Tu as un corps admirable. Il appelle aux caresses… des hommes et des femmes.
Toi aussi, ton corps est splendide. Est-ce que les piercings avec les chaînettes ne te font pas trop mal ?
Non, au contraire, quand je mets les chaînettes, cela me maintient dans un état d’excitation permanente. Toi qui as, comme je le constate, les tétons sensibles, tu devrais te les faire percer. Je t’assure que cela décuplera ton plaisir.
Elle s’approcha un peu plus de moi et me demande :
Est-ce que la situation t’excite Sophie ?
Je ne pouvais pas lui mentir, le jus de ma chatte coulait maintenant le long de mes jambes.
Oui un peu. Tu es très attirante, mais je n’ai jamais eu de relation avec une femme.
Elle me prit la taille et m’embrassa d’un long baiser que je lui rendis avec délectation.
Viens avec moi sur le balcon. Profitons de cette douce soirée de septembre pour nous offrir un petit bain.
Elle me prit la main et m’entraîna jusqu’au spa. Son contact m’électrisa. Nous sommes entrés dans l’eau chacune d’un côté du jacuzzi. Je sentis les buses d’eau bouillonnante me masser le corps et… l’anus. Je rougis et n’osa regarder mon hôte. Nous profitions de ce moment de détente et la tension sexuelle retomba.
Après 20 minutes, il était temps de sortir. Maelis qui sortit la première alla nous chercher 2 peignoirs.
Il était 20h00 et nous sommes retournés au salon. Mon hôte avait sorti des plats avec des mets fins que nous avons mangés tout en discutant de choses et d’autres.
A la fin du repas, Maelis me proposa de prendre le café sur la terrasse. Nous nous sommes allongés sur les bains de soleil et avons profité de la douceur niçoise.
Le café bu, elle se leva vint vers moi et m’ouvrit mon peignoir. Elle pencha sa tête et vint caresser mes seins, sucer puis mordiller mes tétons qui bandaient.
Si tu veux te masturber, ne te gêne pas pour moi.
Je ne savais quelle attitude avoir. Excitée comme je l’étais, j’avais très envie de me donner du plaisir, mais j’avais honte de le faire devant elle.
Voyant que je ne réagissais pas, elle se releva et se recoucha sur sa chaise longue.
J’en avais envie. C’est un petit acompte dans l’attente de la soirée d’anniversaire.
J’étais frustré. J’aurais aimé qu’elle aille plus loin… Je n’osais rien dire…
Nous nous sommes relevés et une fois rhabillés, avons repris notre discussion pour élaborer le plan pour le 26 octobre.
Ce jour-là vers 20h00, je préparerais un bon repas pour Marc. Après avoir bu le café, je lui dirais que j’ai une surprise pour pouvoir lui bander les yeux et l’amener jusqu’à notre chambre. Je l’installerais sur le lit et lui demanderais de ne pas bouger. Ce sont des petits jeux que nous pratiquons de temps en temps, il ne résistera pas. A ce moment, tu entreras avec la clé que je vais te donner et tu prendras ma place. A partir de ce moment, tu as carte blanche avec mon mari. Je me contenterais d’être spectatrice. As-tu des questions à poser ?
Non Sophie, tout est clair. Je m’occupe à ma guise de ton mari le jour de son anniversaire et tu joues la voyeuse.
Bien, je vais rentrer chez nous. Tu as mes coordonnées en cas d’imprévu ou de questions.
Je pris mes affaires et saluais Maelis avant de partir. J’évitais son regard, consciente que cette soirée aurait pu se passer différemment.
Il était 23h00 quand je rentrais à la maison. Le match était terminé et les copains de Marc venaient de partir. J’étais très frustrée, mais aussi très excitée par ma soirée. J’avais une énorme envie de sexe.
Aussitôt au lit, j’entrepris Marc en lui faisant une fellation pour le mettre en forme puis je lui glissais doucement à l’oreille :
Mon chéri, ce soir, j’aimerais que nous étrennions ton deuxième cadeau.
Mets-toi à 4 quatre pattes mon cur, ce que je fis immédiatement.
Il me contourna et présenta sa queue devant ma bouche pour que je reprenne ma pipe.
En même temps, il se pencha sur mon dos, plongea deux doigts dans mon vagin et les présenta sur mon illet plissé. Il commença à me pénétrer et les fit tourner pour assouplir mon petit trou. Je me mis à penser que c’était Maeva qui était à ma place et ma chatte se mit à couler encore plus.
Une fois mon anus bien assoupli, Marc se dégagea de ma bouche et se plaça derrière moi pour me prendre en levrette, qui était notre position préférée. Il n’eut aucune difficulté à me pénétrer tellement je mouillais.
Puis il se pencha, prit le gode et le présenta à mes lèvres. Je l’embouchais et le fis coulisser dans ma bouche. Marc récupéra mon jus qui s’écoulait de mon sexe et reprit le massage de ma rondelle pendant qu’il me limait la chatte.
Au bout d’un moment, il me prit le gode, le présenta à mon illet et commença l’introduction qui me fit pousser un petit cri de surprise.
Ah mon salaud, quand je parlais d’étrenner le gode, ce n’est pas ce qui m’était venu à l’esprit. Tu sais que la sodomie n’est pas trop mon truc.
Tu veux que j’arrête ?
Oh surtout pas, je veux essayer, mais vas-y en douceur. Je repensais aux questions posées par Maeva et cela m’excita encore plus.
Il ressortit le gode, cracha sur le gland et sur mon anus et recommença à me sodomiser en douceur.
Oh oui, vas-y encule ta petite femme chérie pendant que tu me limes la chatte.
Marc commença des mouvements coordonnés dans mes deux trous.
Oh oui c’est bon. Continue, enfonce-moi le gode à fond dans mon fion et baise-moi plus fort.
Il s’en donna à cur joie dans mes deux trous en accélérant la cadence. Pendant cette double pénétration, je n’arrêtais pas de penser à la belle rousse et ses piercings. Mes tétons qui frottaient sur les draps étaient bandés au maximum.
Oh oui mon chéri plus fort, encore, encore plus fort, plus vite ouiiiiiiii je jouiiiiis.
Marc, excité par mes paroles, éjacula au fond de mon vagin en même temps qu’un orgasme aussi grand qu’une lame de fond me dévasta. Je tombais sur le lit prise de convulsions avant de perdre le contact avec la réalité.
Inconsciente quelques instants, c’est Marc qui me réveilla en me serrant dans ses bras.
Ça va ma chérie. Tu ne te sens pas bien.
Oh si mon amour, je ne me suis jamais senti aussi bien. C’est le meilleur orgasme que j’ai jamais eu. Merci mon cur.
Il me souleva et me déposa à ma place. Il se blottit contre moi pour nous endormir instantanément.
Le lendemain, je repensais à cette nuit de folie que nous venions de vivre. J’avais hâte d’arriver au jour de l’anniversaire de Marc……