Cette histoire est inspirée par des faits authentiques, qui se sont passés, il y a une quinzaine d?années. Pour les raisons que vous comprendrez, les prénoms ont été modifiés.

Ma femme, Annick et moi-même venions d?emménager depuis quelques semaines dans un douillet appartement situé dans le quartier de la place Sébastopol, proche du centre ville de Marseille.

Annick, qui s?apprêtait cette année-là à fêter ses vingt cinq ans, était enchantée d?habiter à proximité des commerces, cinémas et autres lieux de distractions.

Nous avions évidemment garder des contacts avec nos anciens voisins dont les bons souvenirs sont toujours présents à mon esprit.

Parmi ceux-ci, il y avait un couple, Joseph et Henriette qui partageait avec nous le sixième et dernier étage d?un immeuble avec vue sur la mer.

Annick s?était prise d?amitié avec cette femme qui avait presque l?âge de sa mère et qui l?entraînait dans des promenades insolites plusieurs fois par semaines.

Henriette était une belle femme. Elle avait gardé, malgré ses cinquante ans, des formes généreuses et ses décolletés profonds attiraient les regards de tous les hommes qu?elle croisait, moi y compris.

L?été, elles passaient ensemble leurs après-midi, en maillots de bain deux pièces, à se faire bronzer sous le chaud soleil provençal, tantôt au bord des plages, tantôt sur le grand balcon de cette voisine, sans vis à vis et face à la mer.

Je soupçonnais Henriette d?être un peu exhibitionniste pour l?avoir furtivement aperçu déambulant dans son appartement, les seins à l?air, vêtu uniquement d?un slip (la mode des strings n’avait pas encore fait ses ravages).

Un après-midi où je pus rentrer plus tôt au domicile je fus surpris (et elles aussi) de les trouver allongées complètement nues sur le carrelage du grand balcon à profiter des rayons chaleureux que distillait l?astre éblouissant.

Les trouver toutes les deux complètement nues me laissa sans voix et les mit dans une grande gêne.

Mon arrivée inopportune mit fin à leur exposition ce jour là, mais je restais interrogateur d?avoir vu Annick entièrement dévêtue en pleine journée. Elle, si prude et réservée m?avait étonné car je pouvais, jusqu?alors, compter les rares fois où j’avais pu la voir déhambuler complètement nue dans l?appartement

Annick m?avoua que cette chère Henriette appréciait le naturisme et qu?elle l?avait incitée et convaincue de dévoiler son corps

Le temps s?écoulait ainsi tranquillement agrémenté par les joyeux apéritifs du week-end auxquels venaient, parfois, se joindre Charles, le fils aîné d?Henriette.

Ceci nous ramène à ce nouveau logement?

Un vendredi, vers dix-huit heures, quelqu?un sonna à la porte. J?actionnais l?ouvre porte et attendais sur le palier le visiteur.

Surprise, c?était Charles, le fils d?Henriette qui nous faisait une dernière visite avant de quitter la région provençale.

Charles avait environ vingt ans ; c?était un grand gaillard à l?allure sportive qui vivait librement et aimait, aux dires de sa mère, l?alcool et les femmes.

Nous étions surpris mais heureux de sa visite. Après avoir échangé quelques civilités d’usage, nous bavardâmes tranquillemnt assis dans le salon tout en buvant l’apéritif.

Annick, qui était vêtue d?un chemisier en soie blanche, d?une jupe évasée et très courte, s?était assise à mes côtés dans le grand canapé alors que Charles avait pris place face à nous dans un fauteuil Voltaire.

Annick était une jeune femme très attirante; pas très grande, elle avait un jolie visage entouré de cheveux blonds avec de superbes yeux bleus, de fines jambes qui soutenaient un corps bien équilibré où dominait une fière paire de seins cachés par un soutien-gorge en 95 C.

De la position où il se trouvait, Charlie devait pouvoir admirer les cuisses largement découvertes d?Annick.

La musique était très forte tout comme les apéritifs alcoolisés qui nous déliaient les langues. Les sujets de conversation revenaient toujours autour du sexe.

Au bout d?un moment, les cigarettes vinrent à manquer et je me dévouais pour aller au ravitaillement dans le débit de tabac le plus proche.

Je quittais donc l?appartement après avoir passé une veste. Arrivé au bout de la rue, je me souvins que je devais poster une lettre urgente, aussi je rebroussais chemin pour prendre ce courrier.

La musique était toujours aussi forte lorsque j?entrais dans l?appartement. Je me saisis de la lettre restée sur le meuble d?entrée et me décidais à prévenir Annick et Charles du retard que j?allais prendre.

Lorsque je pénétrais dans le salon, Annick avait quitté sa place et me tournait le dos. Elle était maintenant assise sur les genoux de Charles qui lui pelotait les cuisses. Ils s?embrassaient bouche contre bouche avec tant d?ardeur qu?ils ne prirent pas conscience de ma présence.

Cette situation m?émoustillait mais je décidais, malgré tout de poster cette lettre et acheter des cigarettes.

Un quart d?heure plus tard, j?étais de retour.

Annick avait repris sa place sur le profond canapé.

Je remplis à nouveau les verres de whisky avant d?annoncer que j?allais chercher des glaçons dans la cuisine. Aussitôt arrivé dans le couloir, j?appelais Annick sous le prétexte de m?aider.

Lorsqu’elle me retrouva dans la cuisine, je lui annonçais que je les avais vus s?embrasser quelques minutes plus tôt. Elle n?était pas très fière d’elle et elle m?avoua avoir peur de ma réaction. Je la laissa dans le doute et la renvoya dans le salon. Elle retourna auprès de Charles et le mit au courant de mon aveu.

Celui-ci craignant également ma réaction, n?osait plus parler, ni bouger.

Je regagna ma place sur le divan et Annick vint se faire très câline auprès de moi.

Elle m?embrassait dans le cou et chercha ma bouche.

Je lui offris ma bouche dans un savoureux baiser : ma langue joua d?abord à se lover contre la sienne, puis je lui fouilla le palais à lui faire venir les larmes aux yeux.

En même temps, après avoir ôté les boutons les plus hauts de son corsage, je glissa une main par l?échancrure . Je pelotais ses gros seins et je les pressais avec fermeté.

Elle répondit à mon baiser et à mes caresses avec bonheur et gratitude : elle me caressait la nuque, me proposait ses lèvres humides et ne me repoussait pas malgré la présence de Charles.

Très rapidement, j?avais décidé de profiter de cette occasion pour amener Annick à satisfaire un de mes fantasmes.

Après avoir partager avec elle cette première étreinte, je lui dis d?aller embrasser Charles qui n?osait toujours pas bouger de son siège.

Elle se leva sans poser de question et échangea avec Charles un rapide et profond baiser, puis elle revint s’asseoir à mes côtés.

J?entrepris à ce moment de terminer le déboutonnage de son chemisier. Celui-ci fut très rapides malgré les quelques protestations étouffées d?Annick.

Le corsage, maintenant largement ouvert, me permit de mettre les seins d?Annick à l?air. Je les caressais d’abord à travers le tissu soyeux pendant qu?Annick me couvrais le visage et le cou de petits baisers sucrés.

Je bandais comme un âne.

Mes caresses ayant eu raison de la faible retenue d?Annick, je dégageais, un à un, les seins généreux des bonnets du soutien-gorge pour continuer mes savants effleurements sur les mamelons, titillant et pinçant les pointes érigées.

A la bosse que faisait son pantalon, Je voyais que Charles, lui aussi, bandait.

Je pris alors délicatement la jambe la plus proche d?Annick et la posa sur ma cuisse pour ouvrir le compas de ses jambes. Charles ne pouvait maintenant ne pas voir le slip blanc

Je plaquais ma main sur l?entrecuisse largement ouverte et lui massais le sexe par des mouvements rotatifs.

Le slip était humide, démontrant l?état d?excitation dans lequel se trouvait Annick.

Je poursuivais mes attouchements manuels en glissant mes doigts par l?échancrure du léger voile

Mes doigts pressaient ses lèvres intimes l?une contre l?autre puis les relâchaient, pressaient à nouveau et descendaient toujours plus bas

D’un index je força ses lèvres pour faire intrusion dans la fente béante qui suintait. Mes doigts, de plus en plus englués, parcouraient le chemin délimité en haut par le bouton clitoridien dressé pour finir à l?anus que je massais délicatement.

Annick ronronnait et laissait échapper des petits cris étouffés tout en continuant à m?embrasser le visage et le cou de ses lèvres mouillées.

Elle remuait de plus en plus le bassin, son sexe venait vers mes caresses.

Je fis signe alors à Charles de s?approcher et lui dis :

-Je suis sûr qu?Annick à envie que tu l?embrasses et que tu la caresses !

Charles, tout proche de nous, déposa ses lèvres sur la bouche d?Annick. Leurs langues se mêlèrent alors que leurs dents s?entrechoquaient.

Les mains de Charles parcouraient les seins fièrement dressés qui s’offraient à lui, procurant à mon épouse de fortes sensations .

Pendant ses embrassades, j?avais entrepris avec succès de débarrasser Annick de son chemisier et de son soutien gorge.

Charles quitta la bouche gourmande d?Annick pour s’occuper de sa poitrine. Ses lèvres parcouraient chaque sein, ses baisers excitaient les mamelons. Pendant que sa bouche s?occupait d?un sein, l?autre sein subissait ses attouchements manuels.

De mon côté, mes lèvres avaient pris d?assaut le cou d?Annick et ma main possessive sur son sexe continuait son travail destructeur.

L?alliance de nos caresses et de nos baisers eurent raison d?Annick qui eu un premier orgasme ravageur précédé de gémissements et de petits cris.

Nous la laissâmes reprendre son souffle quelques minutes, le temps de nous abreuver et avaler quelques nourritures.

Un peu plus tard, nous avions repris à peu près les mêmes positions pour continuer nos ébats là où nous les avions arrêtés. Annick caressait de ses mains la nuque de Charles pendant que la bouche de ma femme avait rejoint mes lèvres.

Au bout d?un moment, je retira ma main qui avait retrouvé sa place entre les cuisses de mon épouse pour, d?une pression sur la tête, faire comprendre à Charles que sa bouche devait maintenant s?attaquer au sexe d?Annick.

Le nez à la hauteur du pubis, il s’énivra du parfum de la chatte exitée. La bouche insatiable découvrit les trésors cachés et les embrassa d’abord au travers du slip. Ce dernier, passablement imbibé par les précédentes sécrétions n?était plus qu?un chiffon mouillé.

Je passa une main sous les cuisses d?Annick et aida Charles à ôter le fragile et encombrant vêtement. La jupe était troussée autour de la taille.

La bouche de Charles se vrilla au sexe juteux après en avoir écarté les lèvres charnues. Sans hâte, sa langue allait et venait de haut en bas.

Il aspirait entre ses lèvres le clitoris turgescent, le faisant durcir du bout de sa langue, l?abandonnant pour le reprendre, le lécher et le sucer, arrachant à Annick quelques gloussements.

La langue pointue, tel un petit membre, entrait et sortait dans le conduit humide. Elle fut furtivement remplacée par deux doigts qui commençèrent à branler le con gluant en cadence alors que la langue affolait le clitoris dressé hors de sa gaine.

Puis, d’un autre doigt, Charles a forcé le conduit anal, sans grande difficulté tant Annick était trempée et excitée.

Je jouais avec les pointes de ses seins pendant que nos bouches unies s?affolaient plaisamment.

La combinaison de nos efforts procurait beaucoup de plaisir à Annick qui eut coup sur coup deux nouveaux orgasmes.

Nos attouchements restèrent pressants jusqu?au dernier petit soubresaut d?Annick.

Le temps passait, la nuit était tombée.

Nous décidâmes une nouvelle pause pour prendre une petite collation, histoire de reprendre quelques forces.

Annick nous proposa ensuite de poursuivre nos ébats dans la chambre où un lit confortable et plus pratique nous attendait.

Nous nous dévêtîmes rapidement pour rejoindre Annick, qui, vu le peu de vêtement qu?elle avait encore sur elle, était déjà à nous attendre assise sur le bord du grand lit.

Je lui ai demandé alors de se mettre à quatre pattes sur la couche et lui ai présenté mon sexe. Celui-ci, de taille imposante, était près d?exploser lorsqu?elle le prit entre ses lèvres ourlées pour me faire une fellation .

Annick , dont la langue, était merveilleusement mobile et caressante, fit encore plus dresser et palpiter mon sceptre. Elle savait deviner l?instant où j?allais jouir pour arrêter instinctivement sa caresse pour me faire jouir au moment où elle en avait envie.

Derrière elle, Charles n?avait guère attendu pour la baiser en levrette avec son membre long et fin, s?enfonçant au plus profond dans la fente grande ouverte et mouillée de cyprine.

Quelques coups de reins plus tard, Charles déchargeait son plaisir en des jets saccadés qui inondèrent la chair intime d?Annick.

Vaincue sous les assauts de la bouche gourmande à mon tour je jouissais dans la gorge de ma belle.

Quelques instants plus tard, Annick était en proie à un violant orgasme : son visage et son cou étaient maculés et de son sexe et de sa bouche s?écoulaient les restes visibles de cette étreinte.

Charles ne débandait pas et Annick caressait tendrement sa queue pendant que sa bouche avait repris mon sexe flasque.

Dans la bouche d’Annick, ma queue retrouva vite fière allure. Je m?allongea et ordonna à Annick de se mettre à genoux au-dessus de moi, son sexe à la hauteur du mien.

Elle compris de suite mon envie, saisit mon membre pour le faire entrer dans la grotte béante. Je la limais un peu avant de dire à Charles quel chemin il devait prendre. Il présenta sa queue devant l??illet anal, écarta les fesses d?Annick en lui pétrissant légèrement la chair et força l?ouverture pour se frayer un passage. Il fit pénétrer son gland et attendit que le muscle sphincter se détende.

Pendant ce temps, j?avais cesser tout mouvement du bassin, mais mes mains attisaient le feu en étreignant les nichons.

Une fois l?anneau détendu, le sexe bandé s?enfonça jusqu?à la garde. Je le sentis à travers la mince cloison

Je décidais de précipiter les choses en remuant lentement mais aussi très intensément.

Charles calquait parfaitement son allure sur la mienne. Par moment, notre cadence s?accélérait pour ralentir un instant plus tard et recommencer. Ensuite notre rythme se précipita pour finalement foudroyer ma femme.

Annick tenta d?étouffer les cris du plaisir qui montaient du plus profond d?elle, mais sans y parvenir vraiment.

Mon pieu de chair baignait dans son jus. Celui de Charles n?avait plus aucune difficulté à cette sodomie. Nous la défoncions sans délicatesse et elle recevait avec plaisir et ivresse cette double pénétration qui lui procurait orgasme sur orgasme.

Annick semblait délirer sous la jouissance lorsque, ensemble, nous lâchâmes notre foutre après l?avoir pistonner de nos dures appendices.

Elle criait, griffait, semblant ne plus être consciente. Pendant quelques secondes, tout son corps se mit à trembler alors que des perles de sueur roulaient sur sa peau satiné.

Nous restâmes longtemps enfouis en elle, nos corps anéantis de plaisir et de fatigue.

Annick reprenait doucement vie et couvrait de baisers mon visage.

J?étais vidé, épuisé et je ne tarda pas à être vaincu par le sommeil.

Charles combla une dernière fois Annick dans un coït un peu plus classique.

Au petit matin Annick dormait encore profondément lorsque je déposa Charles devant la gare Saint-Charles où un train l?attendait.

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