Salut c’est votre folle de lycra.
Nous étions donc dans le village de Cloye sur le loir, je vous confirme qu’il faut connaître, cela se trouve dans le sud de l’Eure-et-Loir. En cette fin d’après-midi, nous ne savions pas trop quoi faire dans le village, nous étions donc montés dans notre chambre d’hôtel et Coralie était en train de me solliciter mon rectum avec trois doigts. J’étais un peu surpris par cette initiative, mais ma chérie me faisait un bien fou, en plus de ça elle me caressait le corps à travers la paire de collants et le bustier gainant. Elle et moi étions jeunes, j’étais innocent, je la croyais tout autant mais manifestement les dernières vacances l’avaient fortement dévergondée. Je lui étais totalement offert, je me laissais faire et je bandais comme un cerf, sous les caresses de ma chérie. Ce qui devait arriver arriva, je n’ai pas pu me retenir sous ses caresses rectales, j’ai éjaculé dans sa bouche. Elle et moi étions en train de découvrir de nouveaux plaisirs, il n’y a pas à dire, elle avait de l’avance sur moi.
Je pense sincèrement que je venais d’éjaculer, mais surtout de jouir, suite à l’intromission de ses doigts dans mon petit trou. Coralie n’avait pas cessé sa fellation après que je lui ai balancé ma liqueur, elle continuait à me vider de ma semence. Pendant qu’elle me suçait, elle me caressait les cuisses à travers mon collant fendu et cela me faisait un bien fou, du coup mon sexe ne débandait pas. Il est arrivé quand même un moment où sa succion devenait infernale, je n’avais pas le choix il fallait que je lui retire la tête de mon sexe. Il n’y avait pas à dire, elle avait laissé mon attribut masculin vidé, le pire c’est qu’elle était en train de se lécher les lèvres, il n’y avait pas plus érotique.
— Alors mon chéri, est-ce que tu as aimé la prestation.
— Je peux constater plusieurs choses, tu adores la douceur, tu adores le lycra, et tu as un petit cul très sensible.
— J’adore ton côté soumis.
— Je sens que nous allons très bien nous entendre au lit tous les deux.
Après ses confessions, elle s’est mise à m’embrasser avec passion, je pouvais vaguement retrouver le goût de mon sperme dans sa bouche.
Pendant que nous étions en train d’échanger ce long baiser, elle s’était remise à me caresser le sexe, ainsi que l’intérieur de mon entrejambe. Il n’y a pas à dire Coralie était insatiable, je vais vous avouer que de mon côté, j’aurais bien aimé me reposer un petit peu, histoire de reprendre un peu de force. En même temps la tenue que je portais, me mettait dans tous mes états et manifestement ma partenaire le savait.
— Bon, mon petit homme, il va falloir aller manger.
— Tu vas garder ce que tu as sur toi, avec en plus ma culotte toute juteuse que tu vas enfiler.
Je n’étais pas capable de dire non à Coralie et en même temps tout ce qu’elle me proposait m’excitait énormément. Au diable ma virilité apparente, j’avais un sexe bien dur dont ma chérie prenait soin. En même temps, comme d’habitude personne n’allait savoir qu’elle m’avait habillé en fille, sous mes vêtements de tous les jours. Au fond de moi je commençais à prendre l’habitude de porter les culottes de ma chérie, elles étaient toujours en lycra, et cela ne me laissait pas indifférent.
J’étais un peu gêné, car quand nous sommes arrivés au restaurant, je sentais très fort la femme ou plutôt la petite fille négligée. Ce petit plan déguisement avait l’air de beaucoup plaire à Coralie, à tel point que pendant le repas elle s’est discrètement débarrassée de sa culotte. Elle m’a donné cette dernière discrètement dans la main, je peux vous garantir que la culotte était trempée.
— Va dans les toilettes, tu changes de culotte et tu me ramènes l’autre.
Tel un automate je me suis exécuté, c’est ainsi que cinq minutes après, je revenais avec l’autre culotte dissimulée dans ma main.
Ce petit jeu avait tendance à me conserver une énorme érection, à tel point que mon sexe ne rentrait pas dans sa culotte. Heureusement que nous étions dans un coin calme du restaurant car Coralie ma caressait le visage avec la culotte que je venais de lui donner, cette dernière était encore bien humide et surtout odorante.
J’avais l’impression que ce soir Coralie était déchaînée, à ma grande surprise la culotte que je venais de lui donner, elle a été directement la coller dans son minou. – Quand elle sera à nouveau bien humide, je te la redonnerai à porter.
— Je veux que tu sentes la femme désireuse, la femme en chaleur.
— Si nous restons ensemble, je veux que tu prennes l’habitude de porter des dessous féminins souillés.
— Ainsi je serai sûre que pas une seule femme ne viendra te courtiser.
— Mes cousines m’ont appris énormément de choses pendant les vacances pour dominer un homme.
À la fin du repas, après avoir payé, Coralie m’a pris par la main et elle s’est mise à faire des portes de service dans l’hôtel. Elle a fini par en trouver une qui lui convenait, à savoir celle où étaient stockées la vaisselle mais surtout les nappes et serviettes. En cette période, il n’y avait pas grand monde, même au niveau du personnel de l’hôtel, il était réduit au strict minimum.
Elle m’a attiré dans ce petit cagibi, elle a fermé la porte à clé, nous nous sommes retrouvés dans le noir. Là elle m’a fait m’agenouiller devant elle, et elle m’a invité à ce que je lui fasse un cunnilingus sous sa robe. Comme d’habitude, je lui ai obéi et je me suis exécuté, en même temps cela m’excitait énormément. Pour commencer, il a fallu que je retire la culotte qu’elle avait littéralement glissée dans son vagin tout trempé. Ma chérie s’était légèrement baissée de telle façon à pouvoir bien écarter les jambes, je peux vous garantir que cela sentait bon sous sa robe.
— Tu n’as pas arrêté de m’exciter pendant le repas.
— Savoir que tu es habillé en femme sous tes vêtements de tous les jours, me fait mouiller comme tu n’imagines pas.
— Tu vas me nettoyer mon entrejambe et j’espère que tu réussiras à me faire jouir.
Coralie prenait de l’assurance, elle devenait directive voire autoritaire, j’aimais beaucoup. Voilà comment je me suis mis à lui lécher son clito, ainsi que son vagin, chacun de mes coups de langue la faisait sursauter ou soupirer. Je peux vous garantir que je prenais ma mission très à cur.
Elle devait être très excitée car il ne m’a pas été bien long à la faire jouir, mes mains étaient maintenant accrochées à ses cuisses et je sentais les siennes saisir ma tête et appuyer cette dernière contre son entrejambe.
— Je crois mon chéri que nous allons nous entendre à merveille.
— Tu arrives à me faire jouir n’importe où.
En même temps Coralie était trop chaude et il n’y avait pas besoin de beaucoup d’efforts pour lui faire tourner la tête. Quand elle s’est mise à crier, je ne savais plus où me mettre, heureusement il ne m’a fallu que quelques secondes pour me rappeler que nous étions dans une intendance, et il y avait des serviettes des nappes et des torchons à foison. J’ai pris ce qui ressemblait à une serviette pour lui coller dans la bouche et j’ai enfin réussi à étouffer son cri. Pendant qu’elle était en train de jouir en criant, elle m’a planté ses ongles dans le dos à travers ma chemise, mon t-shirt et surtout de bustier en lycra.
Vu la longueur de ses ongles et la douleur occasionnée, je pense qu’elle avait dû me laisser de grosses traces dans le dos. J’avais vraiment la sensation d’être à elle et qu’elle faisait ce qu’elle voulait de moi. Nous sommes restés encore quelques instants dans l’obscurité la plus totale le temps que ma chérie reprenne ses esprits avant que nous retournions dans notre chambre. Une fois notre domicile d’une nuit réintégré, je ne sais pas ce qui est passé par la tête de ma belle, mais elle a décidé nous allions nous coucher. Je pense qu’elle devait être fatiguée de sa journée et vu que moi je l’étais aussi, ne me suis pas fait prier ; nous nous sommes rapidement endormis dans les bras l’un de l’autre. Je pense que nous ne devions pas être bien nombreux dans l’hôtel cette nuit-là, car nous n’avons entendu aucun bruit. Je pense qu’en plus d’avoir un double vitrage, la chambre était bien insonorisée. Pour mon plus grand plaisir, et surtout pour mon réveil, j’ai eu le droit à une fellation dans les règles de l’art.
Il n’y a pas à dire Coralie avait rechargé les batteries et elle était prête à passer un dimanche sans doute encore porté sur le sexe. Après un petit-déjeuner à l’hôtel, nous avions réglé la note finale pour ensuite le quitter. Coralie désirait que nous retournions sur l’île, là où je lui avais fait prendre son pied avec mes coups de langue intimes, elle avait beaucoup aimé le cadre. Bien évidemment ma chérie m’avait demandé que je garde les vêtements de la veille, surtout sa culotte la plus souillée et la plus odorante, c’est bête à dire mais cela m’excitait de plus en plus. C’était une horreur car dès que nous mettions les pieds dans l’herbe, nous les mouillions, c’était de la folie comment la rosée était importante dans le coin. On avait l’impression que le soleil mettait le feu dans les cheveux de Coralie, plus je la regarde et je trouvais qu’elle ressemblait à sa mère. La directrice des études me plaisait énormément, et sa fille tout autant, dautant plus que cette dernière est vraiment très coquine.
— Alors cela te fait quoi de ressentir la douceur qu’une femme ressent quand elle porte un collant voile ou un haut en lycra.
Pendant qu’elle me parlait, elle me tenait le visage en me plaquant les cheveux en arrière. Il faut dire que je me laissais pousser les cheveux depuis quelque temps, et que j’arrivais à me faire un catogan depuis quelque temps, comme Zlatan.
— J’adore te mettre les cheveux en arrière, cela affine ton visage.
— Les cheveux sont fins et soyeux, j’adore.
Là je reconnaissais la fille qui s’était lancée dans un BTS coiffure. Maintenant Coralie m’avait bloqué contre un arbre, quand elle ne parlait pas, elle m’embrassait. Ma chérie était comme métamorphosée, nous avons dû passer deux heures dans le parc, elle n’a pas été du tout entreprenante ; que lui arrivait-il. À défaut d’avoir fait une balade axée sur le sexe, nous avons pris le grand air et c’était quand même agréable, d’autant que j’étais en compagnie de ma belle. Nous avons fait le chemin à l’envers pour retrouver notre voiture qui était garée toute proche de l’hôtel.
Nous avons décidé de manger un casse-croûte car mine de rien, il commençait à se faire tard. En fait, nous avons pris deux casse-croûte chacun et nous sommes partis nous asseoir sur un banc situé sur la place pour les manger, avec le soleil qui nous surveillait. Ayant eu les yeux plus gros que le ventre, Coralie m’a donné la moitié de son deuxième sandwich, que je lui ai mangé sans me faire prier. Depuis que nous avions quitté notre chambre ma belle n’arrêtait pas de communiquer par SMS avec sa maman me semble-t-il. Elle lui envoyait des romans et manifestement sa mère faisait de même, à tel point que par moments je me sentais en trop. Après le repas ma belle a décidé que nous allions prendre le chemin du retour, en même temps il était presque trois heures, cela nous permettrait d’éviter les bouchons des retours de week-end. Sur le retour nous avons pris le chemin des écoliers et pendant que ma belle conduisait elle était sans arrêt en train de me caresser le sexe au point de m’obliger à sortir ce dernier.
J’ai eu le droit d’être masturbé sur tout le parcours, elle s’y prenait tellement bien, que j’en avais même peur de balancer la purée sur les sièges de la voiture de sa mère. Régulièrement, elle se caressait le minou et me donnait ses doigts à sucer, je trouvais ça d’un érotisme torride. Elle lubrifiait tellement, que quand elle glissait ses doigts dans son entrejambe, on entendait des petits bruits de clapotis. Moi qui avais peur de balancer de la semence sur le siège passager, je pense que Coralie était en train de tacher le siège conducteur avec sa cyprine. En plus de ça, dans la voiture, cela commençait à sentir très fort la femme désireuse. Pendant qu’elle me masturbait, elle tirait sur mon prépuce toujours plus fort, il y avait une douleur mais le plaisir prenait toujours le dessus. J’ai commencé à être pressé que l’on arrive à la maison, pour que je lui saute dessus. Nous avons mis deux bonnes heures à rentrer, mais à ma grande surprise, elle ne m’a pas déposé chez moi, nous sommes allés directement chez elle, donc chez sa mère, chez la directrice des études.
Quel n’a pas été mon malaise quand elle m’a de nouveau présenté à sa mère, ce coup-ci elle ne m’a pas tendu la main mais la joue.
— Alors comme ça, tu m’amènes ton étalon à la maison.
— J’espère que tu as profité de lui ce week-end et que tu lui as vidé ses réserves.
Déjà que par son statut cette femme m’impressionnait, il y avait aussi sa beauté et maintenant c’étaient ses propos qui me faisaient perdre les pédales. Quand elle m’a pris par les épaules pour me faire la bise, j’ai eu la sensation que désormais je lui appartenais,à elle aussi. Tout de suite elle a voulu me mettre à l’aise en me débarrassant de mon manteau et me faisant visiter sa maison. Il y avait trois chambres, la sienne, celle de Coralie est une chambre d’amis. Il y avait un vaste grenier, au rez-de-chaussée il y avait un studio qu’elle louait à une étudiante de l’école. À ce niveau-là il y avait aussi le garage et deux autres pièces.
— Tu auras le droit de m’appeler Marie, mais uniquement ici.
— Tout ce qui se passe dans cette maison doit rester dans cette maison.
Avec de tels propos j’avais l’impression de rentrer à la CIA, pendant qu’elle me parlait, elle était toujours collée à moi, limite caressante. J’avais oublié en me présentant les chambres à l’étage tout à l’heure j’avais pu apercevoir une magnifique parure toute douce étalée sur son lit, sa fine robe devait être en viscose, voilà pourquoi cela avait attiré mon attention. Finalement Marie nous a laissés et je me suis retrouvé seul avec Coralie qui m’a emmené dans sa chambre. Quand on y entrait, on avait vraiment l’impression que c’était la chambre d’une élève studieuse, c’était effectivement le cas. Ma chérie avait envie que l’on fasse des choses mais en fait j’avais la trouille de me faire surprendre par sa mère d’autant que la chambre ne fermait pas à clé.
— Alors comment tu la trouves ma mère.
Je connaissais Marie en tant que directrice des études et elle était assez sévère, là, dans le privé, elle avait l’air très cool. Comme elle avait l’habitude de le faire maintenant dans mon petit studio, ma chérie m’a balancé sur son lit, j’aimais beaucoup sa façon d’entreprendre, mais vu le contexte j’avais du mal à me libérer. Je me suis laissé faire, j’ai une fois de plus, confié la direction des opérations à ma belle. Bien évidemment c’est à ce moment-là que sa mère est arrivée dans la chambre sans frapper. Sa fille avait déjà glissé sa main dans mon pantalon et mon sexe était déjà au garde-à-vous.
— Je vois que vous ne perdez pas de temps.
— Coralie m’a dit qu’elle était très satisfaite de vos prestations sexuelles.
— Il paraît que vous êtes un expert pour donner du plaisir avec votre langue.
— Vous savez ma fille et moi, nous ne nous cachons rien.
— Elle m’a même dit que vous étiez très soumis, docile et obéissant avec elle.
Le plus beau, c’est que pendant que sa mère parlait, Coralie n’avait pas cessé de me tenir le sexe devant elle, même si l’opération était dissimulée par mon pantalon. Les propos de la mère me déstabilisaient, mais les caresses de la fille m’excitaient au plus haut point. Quand Marie est venue s’asseoir sur le lit à mes côtés pour me caresser les cheveux, pendant que sa fille me masturbait, j’ai compris qu’il y avait quelque chose entre elles. J’aurais voulu m’enfuir, mais Coralie me faisait tellement de bien, de plus, les caresses de Marie commençaient à me faire de l’effet.
— Alors ma chérie montre-moi comment ton homme est beau dans les dessous que tu lui fais porter.
J’avais l’impression d’être tombé dans un traquenard, j’aurais voulu être une petite souris et disparaître sous un meuble.
— Tu sais Franck, la plupart du temps, les culottes souillées que Coralie te donne à porter, ce sont les miennes.
Là, j’étais en train de réaliser que toutes les culottes que Coralie m’a données, je les ai senties, je les ai humées, je les ai léchottées, je les ai goûtées, pour mon plus grand plaisir.
C’est comme si j’avais déjà brouté le minou de la mère de Coralie, en même temps cela justifiait les écarts d’odeur et de goût, que je pouvais constater de temps à autre. Pendant que Marie était en train de me parler, elle m’avait débarrassé de ma chemise et s’en prenait maintenant mon t-shirt ; bref elle était en train de me déshabiller. Je réalisai que quand elle allait me retirer mon t-shirt, elle allait tomber sur un bustier féminin en lycra. Je n’osais pas trop réagir, car Coralie me faisait un bien fou, d’autant qu’elle aussi, de son côté maintenant, elle m’avait retiré mon pantalon. Quand Marie a posé la main sur mon sexe, en remplacement de celle de sa fille, j’ai cru que j’allais éjaculer de surprise et de plaisir.
— Tu as raison ma chérie, ton homme est vraiment bien monté.
Maintenant ma chérie avait quitté mon pantalon pour venir m’embrasser, c’est sa mère qui avait pris le relais entre mes jambes. Pour l’instant elle me caressait le sexe mais surtout le reste du corps qui était recouvert de la douce culotte.
— Tu sais que tu sens la femme désireuse toi.
— Pour information, tu portes ma culotte avec mon odeur de minou en plus de celle de ma fille.
Je pouvais donc en conclure, que cela ne dérangeait pas Coralie de s’enfoncer la culotte souillée de sa mère dans le minou. Seul mon sexe dépassait de cette fameuse culotte, j’étais conscient que dans quelques secondes, ma directrice des études allait prendre mon sexe en bouche.
— C’est vraiment un plaisir que de tenir un chibre de cette taille en main.
— Tu sais ma fille, je ne vais pas pouvoir longtemps y résister, c’est bien beau de le tenir, mais il va falloir que je le pompe.
J’avais le droit à de grands sourires de ma chérie, pendant qu’elle m’embrassait, maintenant elle venait en plus me pincer la pointe des tétons. Je sentais la respiration de sa mère sur mon sexe, je n’attendais plus que ça, qu’elle vienne poser sa langue, puis ses lèvres et finalement sa bouche sur mon sexe.
Nous verrons ça dans le chapitre numéro 4
Bisous à vous