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" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! " – Chapitre 5




Cécile était sans défense, coincée entre ses deux voisins qui commençaient sérieusement à s’exciter, notamment Marco :

« Elle est quand même trop bonne cette salope, j’ai trop envie de lui ouvrir les cuissespeut-être serait elle consentante après tout ?

— Dis Marco tu crois vraiment que c’est une bonne idée ?

Moi je suis en contrôle judiciaire, toi tu as 5 années de sursisc’est la femme du commissairesi on se fait chopper on va prendre très cher là !

— T’es pas trop con pour une fois Kevinfaut que je réfléchisse ! »

Et Marco de quitter son fauteuil prés de ma femme et de se mettre à marcher dans le bus, en proie à une intense réflexion intellectuelle

Ma femme,devant le déroulement incongru des événements ne put retenir un grand éclat de rire :

«  Ouah ! Les gangsters ! Je me marre ils ont une splendide gonzesse à leur merci, sans culotte et leur chef se triture les méninges pour savoir ce qu’il va en faire si je résume la situation tu as deux choix :

 soit je suis bien la femme du commissaire, et tu as envie de te venger, mais tu ne peux pasaprès tout, qui te dit qu’il ny a pas un agent de mon mari en civil, prêt à intervenir au moindre appel, à partir du petit bouton que j’ai ici ?

(Et Cécile exhiba un petit boitier qui envoyait effectivement un message d’urgence direct au poste de police le plus proche avec géo-localisation)

 ou bien je suis une pute avec son micheton

Mais là où ça devient intéressant, c’est que tu ne peux vraiment savoir si je bluffe avec mon petit boitier d’alerte ?

Alors prendras-tu le risque Monsieur «  je suis en sursis » ?

— Elle a pas tort Marco, je la sens pas cette histoirej’ai pas envie de replonger moiTu te rends compte si tu commences à la chauffer et que des flics se pointentla femme du commissaire quand même, il aura aucune pitié !

— Ouais, il a raison Kevin, dit Mourad, en plus je la sens pas vraiment stressée.

Y a vraiment un truc qui cloche avec cette «  meuf ».

— Bon allez les gars, qui que je sois, pute ou femme de commissaire, j’ai envie de m’amuser un peu (en lançant une illade assassine à son fils.)

Alors on va faire un jeuje lance une pièce en l’air et on dit que le sort va designer la réalité.

Face : je suis une pute et je le prouve illico !

Pile : je suis la femme du commissaire, mais comme je suis aussi une petite salope en manque de sexe, je vous autorise à me chauffer un peu, comme tu dis si bien  »

Les membres de la bande de Marco, n’en croyaient pas leurs oreilles !

Cette petite bourgeoise était en train de leur proposer de se faire baiser par eux tous ! Juste pour le fun !

Adrien fasciné, ne pouvait lâcher des yeux l’entrejambe de sa mère chérie.

Quand l’un des gars apporta une pièce d’un euro, il retint sa respiration.

Sa mère ne pouvait se déjuger, elle devrait aller jusqu’au bout, ce qui impliquait qu’au moins les racailles la déshabillent avec son consentementil faut dire qu’elle les avait allumés à mort.

Adrien n’en avait pas cru ses oreilles quand sa mère, qu’il considérait comme une bonne mère de famille jusque là, avait prononcé les mots, « petite salope en manque de sexe ».

Il en avait honte mais il voulait que ça aille jusqu’au bout, qu’ils la foutent complètement à poil, avec seulement son porte-jarretelles et ses bas, la chatte à l’air, qu’ils la baisent, là, devant lui à 50 centimètres de ses yeux.

Sa mère était surexcitée, il le savait, il la voyait se mordre les lèvres de désir en pensant à ce qu’ils allaient lui faire, si la pièce tombait sur « pile ».

S’il ne faisait pas attention il sentait qu’il allait se jouir dessus, il avait l’estomac serré, son scrotum était crispé et sa bite tendue à mort le faisait souffrir.

Cécile de son coté se voyait offerte à cette convoitise masculine sauvage, fini les baises à «  la papa » de son mari, ici elle allait se faire baiser sauvagement, du sexe qui fait jouir, rire, pleurer à gorge déployée !

Comme une louve lubrique, elle se voyait hurler son plaisir de femme, et cela devant son fils avec qui elle avait tellement envie de baiser !

Et ces mecs allaient lui en donner l’occasion !

Oui mais quand même, il y aurait du public du bus dans peu de temps, attiré justement par ses ahanementsils n’interviendraient pas, nontrop lâches, mais tout le monde regarderait.

Elle imaginait la Une du journal local demain :

« « «   Madame Cousinet, femme du fameux commissaire s’est faite partouzée par des anciens «  clients » de son mari !

Mais par extraordinaire, en concordance avec tous les témoignages locaux, elle semblait consentante, et n’a cessé de prendre son plaisir, déclenchant une cacophonie de :

«  Ahhhh ! Mmmhhumm ! Ouiiii !! Nonnn !! Encooooore !! »

Elle aurait même supplié « ses tourmenteurs  » de continuer a lui «  limer sa chatte de salope » selon ses propres termes, les insultant presque parce qu’ils ne l’avaient pas sodomisée !

Il est à noter que son fils qui assistait à toute la scène, n’a esquissé aucun geste pour défendre sa mère (il est quand même ceinture noir 3° Dan de karaté , pilier du club de rugby local, 1,85 mètres pour 95 kilos de muscles !)

Qu’il a été emmené en ambulance le pantalon couvert de sperme ( le sien) ,son Smartphone avait enregistré toute la scène pornographique du gang bang de sa mère , et hurlant :

«  Putain ! Pourquoi, ils nous ont pas forcés, ma mère était d’accord elle attendait que ça ! »

Affaire très troublante s’il en est ?

D’autant qu’il ne fut retrouvé aucune drogue ou substance aphrodisiaque dans leurs sang !!

Alors : hystérie collective, hypnose ou nymphomanie ?

P. Ducourt, reporter au Matin du Sud .  » » »

Et puis merde, si ça tombait sur « pile », elle avait bien le droit de s’amuser un peuet si ça tombait sur « face », elle savait quoi faire

Elle prit la pièce, la lança en l’air, et la récupéra, la posa sur le dos de sa main gauche et laissa le suspense s’installer !

Tous les hommes avaient le regard fiévreux et rivé à ses lèvres :

«  – Face – je suis une pute !!

— Sans blague, je suis sûr que tu as triché, lâcha Marco très amer !

C’est pas possible, tu es bien la femme du commissaire ?! Ou alors je comprends plus rien ! Remarque…la femme du commissaire, sans culotte, à l’écart avec un type…c’est quand même bizarre …

— On ne peut rien te cacher ; à ton avis quand une petite bourgeoise s’habille classe avec la chatte à l’air, et qu’elle s’installe seule avec un beau mec à l’écart des autres c’est pour faire un tarot ?

T’as bien vu Marco, ce n’est pas mon fils, c’est mon amant et il est super bien monté

— Bon écoute ma belle, tu nous a assez pris pour des cons, on sait très bien que t’es pas une pute, mais la gonzesse du commissaire Cousinet et que lui c’est votre fils qui vient de se planter en bagnole.

T’as vu j’suis mieux renseigné que les keufs !

— Alors explique-moi pourquoi je fais ça ? »

Elle saisit la main de Marco et la porta à sa chatte, celui-ci commença a la doigter avec avidité, tandis que ma femme commençait a prendre son pied :

«  Oui vas y salaud, c’est bon ce que tu me fais oui encore ! »

Puis elle posa une main sur le bras de Mourad, elle réussit à se dégager et se jeta sur son fils qu’elle embrassa à pleine bouche.

Adrien surpris, sentit la langue de sa mère forcer le barrage des dents, et n’y croyant pas, il accompagna le baiser profond de cette dernière.

Mère et fils s’embrassaient à pleine bouche comme de vrais amants.

Mais non content de cela la Chatte déboutonnait la braguette de son fils chéri , en sortit une bite turgescente qu’elle s’empressa d’emboucher !

Adrien ne croyait pas à sa chance, en se faisant presque violer par sa mère qui lui taillait une pipe à cause de ces petites racailles.

Dégouté Marco se recula, et apostropha durement Kevin :

«  Hé petite merde, la prochaine fois ferme ta gueule ou achète-toi une paire de lunettes , c’est pas sa femme ! On se casse ! »

Goguenard en train de se faire sucer par sa mère Adrien leur fit signe de la main et leur dit à bientôt !

Cécile toujours en train de sucer son fils :

«  Maman tu peux arrêter ils sont partismaman tu m’entends ?

-Mhmmmmm ! Je finis »

Et effectivement Cécile en grande experte termina sa splendide fellation et son fils vint dans la bouche maternelle :

«  Oh ! Maman ! Maman c’est booonnn ! J’en peux plus ! »

Cécile se releva, rabaissa sa jupe et avala le restant de sperme de son fils.

«  Et bien voila mon chéri, tu viens de te faire sucer pour la première foisalors elle suce bien ta maman, quant à ça (en désignant sa chatte) ce sera pour la prochaine fois ! »

La journée se poursuivit sans problèmes, entre shopping, essayages et achats divers .

Cécile était rhabillée pour l’hiver sur les conseils de son fils chéri 

Le soir Patrice s’approcha de sa femme et lui demanda de faire le commentaire des évènements de la journée, Cécile lui répondit par un pied de nez :

«  Ah ! Mon chéri, je reconnais bien la, ton esprit policier

Oh, il ne s’est rien passé de spécial

Comme tu me l’avais conseillé, j’ai emmené notre fils faire les magasins pour qu’il se change les idées. Il a tenu à me refaire tout ma garde robe, vêtements etsous-vêtements.

— Ne me dis pas que tu as essayé de la lingerie fine devant lui, voyons Cécile, lui changer les idées ne signifie pas l’encourager dans son obsession amoureuse et sexuelle à propos de sa mère !

Rassure-moi, vous n’avez rien fait de spécial ?

— Qu’entends-tu par spécial ? Tu veux savoir s’il a déjà réussi à me tringler ? Aurais-tu peur du charme dévastateur de ton fils auprès de la Gente féminine ?

Rassure- toi la réponse est non, par contre j’ai été obligé de lui tailler une pipe (En parlant Cécile prenait le rouge aux joues et elle commençait à se caresser l’entrejambe par dessus son déshabillé).

— Quoi ?! Cécile tu te fous de moi ?

— Ben non ! Le problème vois-tu, c’est que je ne portais pas de culotte avec l’ensemble bas et porte-jarretelles qu’il m’avait choisi.

— Il te choisit tes sous vêtements, des porte-jarretelles, mon Dieu dis moi que c’est un cauchemar ? Et toi qui ne portes pas de culotte ?

Tu peux m’expliquer pourquoi ?

— Tu vois commissaire j’ai l’impression que dans 2 minutes tu vas m’envoyer avec 2 de tes sbires, au supplice de la baignoire pour me faire parler

Bon on était d’accord qu’il fallait absolument lui offrir des dérivatifs a son obsession de la mort, non ?

— Franchement si c’est pour la remplacer par l’obsession de ton corps et de ton sexe

— Tu es vraiment mesquin Patrice, je te rappelle qu’on a failli le perdre !

    – Bon d’accord, mais que s’est il passé alors ?

— Et bien durant l’essayage je me suis dit que j’allais l’allumer pour lui redonner goût aux femmes.

— Oui ! AUX femmes ! Pas A sa mère ! Bordel de merde !

— Bref j’ai eu l’idée de sortir du magasin sans culotte, pour voir s’il le remarquerait et il nous a conduit au sommet d’un bus à impérial

Je pense que des jeunes ont vu ma chatte et qu’ils m’ont reconnue, alors ils sont montés a 5, nous ont menacé, ont commencé à me caresser les cuisses

— Bon tu es pudique ! Tu veux dire qu’ils t’ont bricolé la chatte ? Non ?

— Ben oui un peu !! (Minauda-t-elle) c’est des hommes avant tout, alors j’ai eu l’idée de rouler une pelle à Adrien et de me jeter sur sa queue pour la lui sucer.

Et bien mon stratagème était le bon, ils ont pensé que nous étions un client avec sa pute !

( Humm c’était pas si loin ! Pensa Patrice) et ils sont partis. Tu es fier de moi non ?

(Patrice était toujours étonné par la naïveté manipulatrice des femmes, qui fait qu’elles parviennent toujours à leurs buts)

— Oui ma chérie, c’était très fin, mais avant que tu me dises que tu t’es faite sodomisée par lui pour éviter un tremblement de terre, je préfère qu’on stoppe nos grandes théories et tactiques.

Dorénavant tu ne sors plus en ville avec lui jusqu’à nouvel ordre !!

Ils entendirent un grand bruit dans le jardin et se précipitèrent dehors

Adrien ayant entendu toute la conversation, avait essayé de se pendre au cerisier mais par chance son poids avait cassé la branche !!

Cécile regarda son mari :

« Je crois au contraire qu’il va falloir mettre les bouchées doubles mon chéri, je crois que ta morale va en prendre un grand coup !

Ce qui signifie, que tu le veuilles ou non, que je vais coucher avec mon fils ! »

Et disant cela, elle ressentit ce petit frisson, ce basculement d’estomac qui signifiait un désir brulant et insatiable !

La mère se transformait en putain !!

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