Depuis nos ébats amoureux, ma relation avec ma mère était devenue plus claire, et en fait, je pense que sans le savoir, chacun de nous avait envie de ce qui venait de se passer. J’avais, dans mes souvenirs d’adolescent, des séances de masturbation intenses en pensant à elle, mais je croyais ces souvenirs enfouis définitivement ; je tenais un journal, et dans ce journal, j’y avais noté les cinq expériences sexuelles que j’avais eues avant ce jour où je le fis avec ma mère…C’était peu à mon âge, mais enfin, pas si courant à cette époque, car peu de filles "couchaient". De plus, entré à la fac à 17 ans, je ne pensais qu’à mes études, je dois bien le reconnaître.

Bien évidemment, ma position "d’immobilisé provisoire" interdisait toute autre variante sexuelle du fait des risques que je ne pouvais prendre en bougeant les jambes…Ma mère y veillait, me disant que d’ici dix jours, je pourrais sans doute me lever quelques minutes puis quelques heures le kiné d’ailleurs, devait passer demain pour évaluer mon état et me faire quelques manipulations passives.

En guise de kiné, ce fut une kiné qui vint me voir !

Suzie : une femme d’une trentaine d’années, blonde, dans les 1.70m, cheveux très courts "à la garçonne", plutôt fine, de type androgyne. Son visage assez pâle et romantique tranchait avec son allure volontaire, le style, un peu Amazone dans la démarche, laissait deviner une femme de conviction. Son pantalon et sa veste blanche ne pouvaient cacher un corps gracile et sportif façonné par des séances de fitness.

Souriante et très à l’aise, elle me dit qu’elle allait pratiquer sur moi de la kiné passive, à savoir que je ne devais pas du tout bouger par moi-même, mais bien "me laisser faire" qu’elle serait le moteur de mes jambes à ma place…

Ma mère, Julie, bien évidemment assistait à ce premier entretien d’un regard un peu inquiet d’une femme dont on va toucher le bébé… bébé de 18 ans passé néanmoins !

J’étais donc sur le dos, jambes immobilisées dans des gouttières sanglées, nu avec pour seule protection visuelle un drap de coton…

Elle tira un peu le drap sur mon ventre pour dégager mes jambes et les dessangler afin de les relever et les abaisser dans un mouvement lent et précautionneux ; ses doigts fins et frais recouverts d’une peau douce et glissante me faisaient du bien ; le but étant de faire travailler les muscles afin qu’ils ne s’engourdissent pas bien sûr…

Cette manipulation dura environ dix minutes seulement :

Pour une première fois, cela suffit, me dit-elle, je repasserai ce soir; et à raison de deux fois par jour, cela devrait être efficace d’ici moins que dix jours tu pourras te redresser sur tes jambes.

Le tutoiement de rigueur créa un lien, immédiatement plus rassurant, je me mis à penser qu’une fois sur mes jambes, je pourrais mieux m’occuper de maman…et cette malheureuse pensée fit faire un bond immédiat à mon sexe qui se mit à durcir.

Non sans l’avoir remarqué, Suzie remit le drap sur mes jambes et prit congé, le visage légèrement empourpré sous le regard souriant de ma mère qui la raccompagna vers la sortie.

Je ne pouvais pas bouger, néanmoins, j’avais une vue par une des fenêtres du salon et j’aperçus dehors ma mère parler à Suzie tout en lui tenant la main de manière qui me parut bizarre et lui frôler le visage avant qu’elles ne se séparent.

Ma mère revint à l’intérieur et vaqua à ses occupations pendant que je me reposais.

En fin d’après-midi, une nouvelle envie se produisant, ma mère dut m’aider pour un petit besoin qui se passait bien, comme si une routine s’installait entre nous; mais brutalement, après avoir terminé, le contact chaud de ses mains sur mon sexe déclencha une nouvelle érection et ma mère se mit à caresser ma queue gonflée de désir. Ses yeux troubles regardaient ma queue avec l’envie non dissimulée d’une femme en manque. La tension était intense, elle ôta prestement ses vêtements et apparut quasiment nue devant moi, conservant seulement son slip luisant dans la lumière…

Sa poitrine assez lourde bougeait quand elle se pencha en avant pour ôter son slip de satin noir, dévoilant un triangle sombre et légèrement poilu ; elle se pencha sur moi et la donna à téter en me disant : « vas-y, mon chéri, tète bien ta maman », tout en saisissant ma queue pour la masturber lentement.

Elle astiqua longuement mon sexe, caressant mes testicules au passage, pour faire monter le plaisir en me laissant dévorer ses seins fermes et lourds à la fois. Elle gémissait sous ma tétée et la caresse malaisée de ma main sur son sexe…le plaisir durait et durait encore jusqu’à ce qu’une énorme giclée de sperme vint lui inonder la main qui tenait fermement mon membre gonflé de plaisir. Je me sentais devoir lui rendre la pareille, mais je ne pouvais utiliser que ma main ou ma langue pour l’instant vu ma situation « semi-paralysé ».

Elle le savait bien aussi; enjambant le côté du lit, elle se mit sur moi, tête-bêche, position dite "69", cette fois, et me donna son écrin de plaisir à dévorer tout en reprenant ma queue demi-érigée dans sa bouche non sans m’avoir dit de manière assez crue :

vas-y, bouffe-moi la chatte; j’ai trop envie de ta langue sur mon clito…surpris, mais plutôt excité par ce langage peu commun, dans la bouche de ma mère, je lui laissais remplir sa bouche justement de mon sexe avide de plaisir.

Ses cuisses musclées bien écartées de part et d’autre de mon visage, son sexe chaud et humide sur ma bouche, je me mis à lécher avec soin tous les recoins de sa vulve odorante où suintait le plaisir, je caressais ses fesses bien douces et passais mon doigt dans la raie pour toucher un endroit que je savais sensible selon les encyclopédies que j’avais lues en cachette en me masturbant…je tétais le clito proéminent qui ne demandait que cela tout en caressant sa rosette chaude, ce qui la fit gémir encore plus alors qu’elle avalait ma grosse queue qui était redevenue énorme. Quand je rentrais légèrement mon doigt dans son anus, elle avalait encore plus intensément mon sexe goulûment…

Sa tête allait et venait sur ma queue et me donnait l’impression d’aller et venir dans son vagin sans jamais l’avoir fait, tant elle m’avalait profondément dans sa gorge.

Elle hurla d’un coup quand l’orgasme la saisit et serra ses cuisses sur mon visage en aspirant à fond mon sexe ; elle jouissait en gémissant la bouche pleine et avalait mes flots de sperme qui lui inondait la bouche à nouveau tout en serrant mes couilles dans ses deux mains.

Elle retomba sur moi, son corps chaud, et continuait de lécher toute la crème de plaisir qu’elle avait relâché ; elle se détacha de moi, et se remit dans mon sens avec précaution, car mes jambes avaient un peu souffert dans la bagarre…

Suzie passera tout à l’heure, je dois remettre de l’ordre sur ton lit mon chéri, car elle va avoir des doutes sur nos activités au vu des traces sur tes draps.

Je sortais de ma torpeur et constatais en effet les « dégâts » sur les draps !

Ma mère remit tout en ordre avec des draps propres et je me reposais non sans penser à la chatte de maman sur ma bouche…je me demandais si nous devions avoir honte ou pas de cette situation.

Un peu tard pour avoir des remords quand même; mais je me demandais si elle y pensait; bon, nous étions entre majeurs consentants et à notre domicile, donc elle ne pouvait rien craindre de personne, à part mon père s’il venait à l’apprendre, mais cela ne serait pas de mon fait bien évidemment.

Suzie débarqua vers 20 heures, j’étais « son dernier patient » annonça-t-elle…

Tu m’as l’air crevée, ma chérie, lui dit ma mère, tu veux prendre une douche ?

Ouf, je veux bien, car là, je suis vraiment crado tant certains patients ont une hygiène un peu relâchée si je puis dire ainsi !

Ma mère n’eut pas à lui indiquer la salle de douche, car elle y partit directement, ce qui m’intrigua néanmoins : j’ai un sens de l’observation assez aigu et je l’avais vue se laver les mains à la cuisine, mais elle n’était pas censée savoir avec précision où se trouvait la salle d’eaux.

Ma mère la suivit et resta un bon moment absente; je regardais la TV du salon distraitement en prêtant l’oreille, mais rien n’attira mon attention…

Cinq minutes plus tard, Suzie apparut souriante dans un peignoir « à sa taille », cheveux encore légèrement humides, et elle est plutôt très ravissante, il semble bien qu’elle n’avait rien entre le peignoir et sa peau.

Voyons un peu mon "immobilisé provisoire", dit-elle en posant ses mains fraîches sur mes jambes et relevant légèrement le drap à mi-cuisses.

Son peignoir bâillait légèrement lorsqu’elle bougeait et je pouvais voir la naissance de ses petits seins plutôt minuscules, par rapport à maman, mais très beaux, et plutôt angevins…j’essayais de regarder ailleurs pour éviter…trop tard, ma queue durcissait, je le sentais bien !

Le sang me montait au visage de crainte qu’elle voit et elle voyait bien sûr…Elle continuait néanmoins de manipuler mes jambes et commença un massage de mon bassin au travers du drap, mais elle me dit qu’elle allait me passer une crème décontractante et donc qu’elle allait ôter le drap…rouge de honte, que je devins, de voir ma queue, raide sur mon ventre.

Mon fils est en forme comme tu peux voir, dit ma mère en posant sa main sur mon torse.

Je vois; mais tu sais, je suis habituée à voir des patients qui manquent d’affection, donc cela ne me gêne pas, et puis quand c’est du beau matériel, au contraire je suis plutôt flattée !

C’est vraiment une belle affaire; je dirais un bon vingt et un par cinq, dit-elle sans se démonter en parlant à ma mère comme si je n’étais pas là !

Ça doit faire du bien quand ça passe dans ton ventre, rajouta-t-elle, en regardant ma mère d’un air équivoque et intéressé.

Je n’ai pas encore essayé vu son état, répondit ma mère en soupirant, j’attends que tu me donnes le feu vert, gloussa-t-elle, complice, et passant derrière Suzie, elle commença à lui ouvrir son peignoir en passant ses mains sur sa petite poitrine dont les tétons, déjà durs, pointèrent un peu plus ; elle continuait de masser doucement mes hanches en penchant sa tête en arrière et gémissant, son souffle s’accélérant légèrement.

Je voyais le bas-ventre de Suzie parfaitement lisse sans aucun duvet…ma queue devint encore plus dure s’il était possible…

Tu n’as jamais vu de femmes qui se caressent, mon fils, hein ?

Non, balbutiais-je…

Regarde mon chéri, me dit-elle.

Suzie se retourna vers elle, saisissant sa langue à pleine bouche et lui caressant ses gros seins. Sous mes yeux, je voyais comme dans un film porno, ma mère se caressant avec une autre femme. Deux femmes de physique totalement opposé et d’âges différents qui se touchaient et s’embrassaient en gémissant de plaisir…

Pourquoi est-ce que brutalement, mon esprit remerciait le livreur en camion qui m’avait mis dans cette situation ?

S’il pouvait deviner le bon service qu’il m’avait rendu…

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