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Vacances en camping-car – Chapitre 7




La semaine qui suivit nos ébats fut des plus agréables. Nous alternions piscine du camping, balades dans la région et farniente dans le camping-car, et tout ça avec un soleil de plomb, bref, des vacances parfaites.

Quant à nos parents, ils n’avaient rien remarqué d’étrange dans leur chambre lorsqu’ils étaient rentrés de leur soirée au restaurant. Nous avions pourtant souillé leur matelas avec notre transpiration et surtout avec la mouille de Marion mais, visiblement, tout avait séché très rapidement, et c’était tant mieux.

Malgré notre promesse, il m’arrivait quand même de laisser traîner une main dans le duvet de Marion pendant la nuit, voire même sur son maillot de bain quand nous étions à la piscine et que j’étais persuadé que personne ne nous regardait, mais elle me repoussait toujours avec délicatesse. À mon avis, elle aussi devait bouillir de l’intérieur, et j’étais persuadé que nos retrouvailles dans la capucine du camping-car allaient être… chaudes !

Pour calmer mes ardeurs en attendant ce moment, il m’arrive plusieurs fois de profiter du fait que je prenne ma douche dans les sanitaires du camping pour me branler en repensant à tout ça, et ça ne m’étonnerait pas que Marion en fasse autant de son côté. Je l’imagine donc nue sous la douche, la tête en arrière, en train de se caresser l’entrejambe d’une main, et la poitrine de l’autre. Bref, quand j’ai ces images dans la tête, généralement, il ne me faut que quelques minutes pour cracher la purée dans la bonde de la douche.

À la veille de notre départ, c’est avec la boule au ventre que nos parents nous annoncent que nous partirons tôt le lendemain matin. Ma mère est celle qui est la plus triste étant donné que c’était elle qui rêvait de ce voyage en Andalousie depuis des années.

Avec Marion, nous sommes également peinés que ces vacances en famille se terminent déjà mais, quand nos regards se croisent, nous savons très bien qu’intérieurement, nous étions aussi contents de reprendre la route, ce qui était un sentiment qui était assez difficile à cacher à nos parents. Aussi, nous préférons ne pas nous étendre ce sujet et feignons tous les deux d’être très tristes de quitter ce charmant camping.

Quand nous nous retrouvons dans la capucine le soir même, une fois les rideaux fermés, nous profitons du fait que nos parents fument une cigarette dehors pour échanger quelques mots à voix basse.

— J’ai hâte d’être à demain, ma jolie !

— Moi aussi…

Elle me dépose un rapide baiser sur les lèvres puis elle s’écarte pour enlever son tee-shirt et sa petite jupe. Elle se retrouve aussitôt en sous-vêtement en dentelle blanche devant moi, et je n’ai qu’une envie, me jeter sur elle pour la bouffer de haut en bas.

— Qu’est-ce que t’es belle…

— Je fais ça pour te faciliter la tâche demain, tu devrais en faire autant.

— OK…

Quelques secondes après, à mon tour de me retrouver en boxer devant ma sur et, en la voyant regarder mon entrejambe avec envie, j’ai l’impression qu’elle aussi meurt d’envie de se jeter sur moi.

— Je vais me régaler, dit-elle.

— Et moi, je vais te dévorer !

— C’est ce qu’on verra…

Elle se glisse aussitôt dans son duvet, et j’en fais de même, avant d’éteindre la lumière de la capucine. Je ferme aussitôt les yeux et part à la recherche du sommeil que je trouve assez rapidement.

Cependant, après quelques minutes de sommeil, je sens un morceau de tissu atterrir sur ma tête. Je me redresse aussitôt et rallume la lumière pour voir de quoi il s’agit. La salope, c’est la culotte que portait Marion quelques secondes plus tôt !

— Comme ça, ce sera encore plus simple, murmure-t-elle en me regardant avec malice.

Elle est donc nue dans son duvet et, lorsque je la vois glisser ses longues mains à l’intérieur, je m’imagine mille et une choses qui me donnent aussitôt une gaule d’enfer.

— Éteins la lumière, me demande-t-elle, ce serait con que les parents te voient avec ma culotte dans les mains.

J’obéis aussitôt et glisse la culotte dans mon duvet. Veut-elle que j’en fasse autant avec mon boxer ? Alors que je m’apprête à lui poser la question, la porte du camping-car s’ouvre, et nos parents font leur entrée. Tant pis, je me contente donc de frotter mon sexe avec culotte de Marion pendant quelques secondes puis je finis finalement par me rendormir.

xXx

Aux alentours de six heures du matin, après une nuit fraîche peuplée de rêves érotiques, le camping-car démarre et nous quittons le camping. Comme d’habitude, notre père a décidé de prendre la route pendant notre sommeil, et je lui en suis très reconnaissant car, sinon, Marion et moi ne pourrions pas batifoler à l’abri des regards indiscrets dans l’exiguïté de notre capucine.

Je me redresse légèrement et constate que Marion dort encore. Elle a une jambe qui dépasse de son duvet et, comme nous sommes têtes bêches, son pied est à quelques centimètres de mon visage. Je trouve cette position très sexy et je meurs d’envie de lui embrasser chaque parcelle de cette jambe, de remonter jusqu’à sa cuisse, puis le haut de la cuisse, puis l’entrejambe, puis…

Il faut que je me calme. De toute façon, aujourd’hui avant la fin de la journée, je m’occuperais d’elle, donc il faut juste que je prenne mon mal en patience. Cependant, je décide de faire comme elle, et je m’extirpe de mon duvet avant de m’allonger sur le ventre. De cette façon, Marion aura une jolie vue à son réveil, et je suis sûr qu’elle ne sera pas insensible.

Je ferme à nouveau les yeux et me rendors, au rythme des secousses provoquées par les routes espagnoles brinquebalantes.

Je rêve à nouveau de Marion. Elle est devant moi, dans un body transparent et se caresse les seins. Je m’approche d’elle, la retourne, et je la mets à quatre pattes. Elle se laisse faire et, quand je la fesse, elle me regarde avec un grand sourire, comme si elle était en train de me dire « j’en veux encore ! ».

Je continue donc cette douce torture jusqu’à ce que ses fesses deviennent bien rouges puis, je me mets à genoux derrière elle, et je lui bouffe le petit trou.

Elle se met aussitôt à pousser des petits cris de plaisir et, plus je la mange, plus je ressens moi aussi du plaisir. Beaucoup de plaisir, même, voire même trop de plaisir ! Tellement trop de plaisir que j’ai l’impression que quelqu’un est vraiment en train de…

Je me réveille brusquement, et je sens aussitôt deux mains enserrer mes fesses. J’essaye de me redresser, mais Marion est nue, à califourchon sur moi et elle me tourne le dos, m’empêchant ainsi de pouvoir bouger.

— Qu’est-ce que tu fais ? Je demande.

— À ton avis ?

J’arrive tout de même à me retourner, et constate que mon boxer est descendu jusqu’à mes mollets, et que Marion a sa bouche entre mes fesses. Je sens aussitôt quelque chose de chaud s’activer autour de mon petit trou. Mon Dieu, elle n’est quand même pas en train de…

— Tu me bouffes la rondelle ? Je demande.

— Oui, ça te dérange ?

— C’est-à-dire que…

— Allez frangin, fais pas ta prude ! Tu me l’as fait à moi, donc je vois pas pourquoi je te le ferais pas !

Elle plonge à nouveau sa langue dans mon orifice et le lèche dans tous les sens. J’ai beau être choqué par cette intrusion, il faut dire ce qui est : cette caresse buccale n’est pas si désagréable que ça, finalement. Je m’attendais à tout sauf à ça, surtout venant de ma petite sur qui ne cesse décidément pas de me surprendre mais, finalement, c’est plutôt une bonne surprise.

Je me remets convenablement sur le ventre et pose ma tête sur mon oreiller avant de fermer les yeux. Du moment qu’elle n’essaye pas de me mettre un doigt, je ne vois pas pourquoi je lui demanderais d’arrêter de faire ça. En plus, les petites décharges électriques que cela provoque chez moi me donnent une gaule d’enfer.

— Alors, frangin, ça te plaît ? Me demande-t-elle.

— Oui, c’est… bon !

Elle active aussitôt la cadence de ses coups de langue, et écarte même mes fesses pour pouvoir s’y glisser encore plus. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne fait pas les choses à moitié ! Moi qui rêvais quelques secondes plus tôt que je m’occupais de la rondelle de ma sur, c’est finalement l’inverse qui est en train de se produire.

Cependant, après quelques minutes de ce divin massage buccal, je me dis qu’il serait temps que moi aussi je participe.

— À mon tour, dis-je…

Marion cesse aussitôt de me manger la rondelle et se couche sur le dos. Quelques secondes après, je suis sur elle, l’embrasse goulûment, et le contact de ses lèvres sur les miennes m’électrifie de haut en bas. Ça faisait tellement longtemps que j’attendais ce moment que j’ai envie de le savourer, et je fais durer ce baiser pendant de longues secondes.

— Ça m’avait manqué, dis-je à Marion.

— Pareil…

J’embrasse ensuite la naissance de son cou, puis je redescends doucement jusqu’à sa gorge et, arrivé à sa poitrine nue, je m’attaque à ses seins. Je les malaxe, les embrasse, lèche et mordille ses tétons, puis je remonte jusqu’à sa bouche pour l’embrasser à nouveau. Je suis le même trajet à plusieurs reprises : la bouche puis la poitrine, puis à nouveau la bouche, puis encore une fois la poitrine, et je prends un malin plaisir à la faire languir.

— C’est tout ce que tu sais faire ? Finit-elle par me demander.

— Madame s’impatiente ?

— Non, madame espérait mieux…

— OK…

Aussitôt, ma main droite se dirige vers son entrejambe et se pose sur son clitoris, avant de le frotter dans tous les sens. Dix secondes à peine s’écoulent avant que je sente Marion se cambrer de plaisir, et je me régale de cette sensation.

— Arrête, s’il te plaît, me dit-elle, haletante.

— Pourquoi ?

— Parce que tu…

Tout d’un coup, elle ne peut s’empêcher de pousser un gémissement plus haut que les autres, et je lui couvre aussitôt la bouche de ma main. Nous attendons quelques secondes en silence, espérant que les parents n’ont pas entendu, mais visiblement non.

— C’était quoi ça ? Je demande après quelques secondes.

— T’as failli me faire jouir !

— Déjà ? Il t’en faut peu…

— Il m’en faut peu, ah ouais ?

Aussitôt, Marion me repousse et, après m’être cogné la tête contre le plafond bas de la capucine, c’est à mon tour de me retrouver sur le dos, et elle sur moi. Nous recommençons aussitôt à nous embrasser fougueusement, et mes mains se posent sur sa poitrine que je pétris au rythme de nos langues qui se frottent. J’avoue, j’ai connu pire, comme situation !

Après quelques secondes, Marion interrompt son baiser, m’embrasse dans le cou puis, doucement, sa langue descend jusqu’à ma poitrine, puis mon nombril, et enfin, jusqu’à mon sexe qu’elle prend aussitôt en bouche.

Je ferme aussitôt les yeux et je me laisse faire. Putain que c’est bon ! Par contre, quand la main de Marion empoigne mon sexe et qu’elle me branle en même temps qu’elle me suce, je vois très clair dans son petit jeu. Elle qui a failli jouir quelques minutes plus tôt, elle essaye d’en faire de même avec moi histoire de me rendre la pareille car je lui avais dit qu’il lui en fallait peu. Elle veut jouer à ça ? OK, alors pour faire durer le plaisir, j’essaye de me vider la tête et de penser à tout autre chose que le moment que je suis en train de vivre.

Seulement, comme cela faisait longtemps que j’attendais nos retrouvailles, au bout de deux minutes, je sens que je vais bientôt venir, ce que Marion remarque aussitôt.

— Alors, pour toi aussi il en faut peu ? Me demande-t-elle, interrompant aussi sa caresse buccale.

— On dirait, oui…

Sans que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit d’autre, mon sexe se retrouve coincé entre les seins de Marion qui, sans me lâcher des yeux, se met à me prodiguer une branlette espagnole. Une fois de plus, j’essaye de retarder l’instant fatidique en pensant à autre chose mais, très vite, je sens que la sauce commence à monter, et j’ai du mal à tenir en place. Constatant ça, Marion ralentit aussitôt le rythme, me lèche le gland du bout de la langue, et continue de me branler avec ses seins.

— T’aimes bien ? Me demande-t-elle.

— Oh que oui…

— Tant mieux !

Aussitôt, elle accélère à nouveau le mouvement et, une fois de plus, il me faut peu de temps avant d’être à deux doigts de cracher la purée. Cette fois-ci, plutôt que de me retenir, je décide de changer un peu la situation.

Je repousse gentiment Marion, l’embrasse à nouveau puis, une fois qu’elle se retrouve sur le dos, la tête sur son oreiller, je me remets tête-bêche, et à califourchon sur elle. Nous nous retrouvons donc en position de soixante-neuf, et je me jette aussitôt sur son sexe que j’ai envie de dévorer, et elle, sur ma bite qu’elle prend aussitôt en bouche.

Alors que je suis en train de titiller son petit bouton du bout du doigt, j’imagine la tête de nos parents si jamais ils ouvraient le rideau de la capucine et qu’ils nous découvraient dans cette position, chacun la tête entre les jambes de l’autre et, je ne sais pas pourquoi mais cette idée de se faire surprendre à quelque chose qui m’excite davantage.

Je continue donc de bouffer la minette de Marion, jouant avec ses jolies lèvres charnues, lui titillant et lui suçotant le clito, léchant toute la mouille qui dégoulinait de son antre humide que je me mets à fouiller avec deux doigts. Bref, elle a l’air d’aimer ça, et moi aussi.

Soudain, nous sentons le camion ralentir. Aussitôt, nous nous défaisons de cette position puis, après un dernier baiser rapide rempli de rires, nous nous rhabillons à la va-vite. C’est au moment où j’enfile mon boxer que le camion s’arrête et, quelques secondes après, le rideau de la capucine s’ouvre, laissant apparaître le visage de notre mère.

— C’est l’heure du petit-déjeuner, les enfants !

¤¤¤

Après un petit-déjeuner sur une aire d’autoroute durant lequel Marion et moi eûmes du mal à nous remettre de notre début de partie de jambes en l’air et à faire comme si de rien nétait en compagnie de nos parents, nous rejoignons à nouveau le camion pour reprendre la route.

J’avais très envie d’en finir avec elle et de la baiser, tout simplement, mais le fait d’avoir été interrompus brutalement avait calmé nos ardeurs.

Cependant, quand je vis Marion remonter dans la capucine alors que le camion venait de redémarrer, je décidai de la suivre quand même mais, arrivée là-haut elle me stoppa aussitôt.

— Je te préviens, je vais dormir…

— Tu rigoles j’espère ?

— Non, j’ai envie de dormir, pas toi ?

— Non, j’ai juste envie de toi…

— Et ben ça devra attendre, mon mignon !

Elle me dépose un rapide baiser sur le coin des lèvres puis elle se glissa aussitôt dans son duvet. Vexé par son comportement, je redescends aussitôt de la capucine et m’installe sur la banquette, ma console de jeux portable à la main.

J’avais très envie de retourner dans la capucine et d’insister mais, si tel était son choix, je devais le respecter, tant pis. Après tout, ce n’était que partie remise.

Je me concentrai donc sur ma console de jeux, tout en regardant de temps en temps les paysages qui défilaient par la fenêtre. Nous étions encore sur le territoire espagnol, et notre père nous avait dit que nous ne retrouverions la France qu’à partir de demain après-midi, voire peut-être après-demain, à l’aube. Tant mieux, cela nous laissait donc du temps à Marion et à moi pour ébattre dans la capucine dès que madame se sentirait disposée. Avec les préliminaires que nous avions vécus tout à l’heure, j’avais hâte de pouvoir passer à l’action.

Pour le moment, ma partie de FIFA sur ma console me distrayait en attendant les retrouvailles avec ma sur. Je n’aime pas trop le foot en général mais je dois dire qu’en jeu vidéo, c’est un très bon défouloir, et c’est très divertissant.

Je commence donc à disputer un match contre les Girondins de Bordeaux puis, à la treizième minute de jeu, un bruit de tissu m’interrompt dans ma partie.

Je relève aussitôt la tête et constate que le rideau de la capucine est grand ouvert, et que Marion me regarde en souriant. Je m’apprête alors à me lever pour aller la rejoindre, pensant qu’elle était prête à passer à l’acte, mais elle m’interrompt aussitôt en me faisant un signe de la main, et me demande de rester assis.

Évidemment, j’obéis sans la lâcher des yeux. Je la vois ensuite s’extirper de son duvet, et je constate aussitôt qu’elle ne porte qu’un soutien-gorge, mais pas de culotte. Elle se caresse alors les cuisses de ses longs doigts puis elle se met ensuite à se tripoter les seins, tout en me regardant avec provocation.

La petite salope ! En fait, elle n’était pas fatiguée tout à l’heure au moment où elle a refusé que j’aille avec elle là-haut, c’est juste qu’elle avait un autre plan en tête, et elle avait donc fait en sorte que je reste en bas pour pouvoir passer à l’action ensuite !

Je regarde du coin de l’il nos parents. Ma mère a le nez plongé dans une carte routière, et mon père regarde la route, concentré sur le trajet. Personne ne semble avoir remarqué ce qui se passe à quelques mètres d’eux, et c’est tant mieux.

Je relève la tête. Marion est toujours en train de se tripoter les seins en se mordant les lèvres. Après quelques secondes, ses mains passent derrière son dos, et elle dégrafe son soutif qu’elle balance ensuite dans un coin de la capucine. Elle recommence ensuite à jouer avec sa poitrine. Elle se passe ensuite les mains sous les seins, et les relève de quelques centimètres pour pouvoir prendre ses propres tétons en bouche. Je la vois donc les lécher et les mordre, tout ça sans me lâcher des yeux, et j’ai aussitôt une gaule d’enfer.

Je vois ensuite Marion plonger sa main dans un coin de la capucine, puis elle en ressort un stylo bille qu’elle met aussitôt dans la bouche avant de le sucer, comme s’il s’agissait d’une glace, voire même d’une bite. Je suppose qu’elle l’a récupéré tout à l’heure avant de retourner dans la capucine, et j’ai une idée assez précise de ce quelle va faire avec. La petite salope !

Tout en continuant de jouer avec son stylo, son autre main glisse vers son entrejambe, et elle commence aussitôt à se caresser, toujours en me regardant et en fermant de temps en temps les yeux. Mon Dieu que ce spectacle est beau ! Elle se met ensuite un peu plus sur le côté pour que je la voie mieux jouer avec sa petite chatte, et je vois ses doigts s’affairer sur son petit bouton, puis caresser ses lèvres, avant de finir dans sa fente. Tout en gardant son stylo dans la bouche, sa deuxième main rejoint également son entrejambe, et je la vois se caresser la chatte avec ses deux mains. Elle finit aussitôt par se remettre sur le dos et se cambre de plaisir. Quant à moi, j’ai très envie de me branler en la regardant faire, mais je suis trop près de mes parents pour ça.

Après quelques secondes de plaisirs solitaires, Marion se remet sur le côté, et je me rends aussitôt compte que sa chatte est trempée. A-t-elle joui ? Je n’en sais rien mais, à mon avis, elle ne devait pas en être loin. Elle prend alors son stylo du bout des doigts, le lèche à nouveau puis, toujours en me regardant, elle le glisse dans son entrejambe, avant de l’enfoncer doucement dans son sexe, comme je m’y attendais. Elle entame ensuite une série de va-et-vient avec le stylo et, avec son autre main, elle caresse son petit bouton de chair. À voir l’expression crispée de son visage, je devine qu’elle se retient de pousser des petits gémissements de plaisir, tout comme moi je me retiens de baisser mon froc pour me branler face à ce spectacle.

En fait, je réalise seulement à l’instant qu’elle est en train de me provoquer, en faisant ça ! En se refusant à moi quelques minutes plus tôt pour pouvoir ensuite se branler devant moi, c’est même plus que de la provocation, c’est… mais putain, elle m’allume, cette salope !

Malgré tout, je continue quand même de la regarder jouer avec son stylo-bille avec qui continue d’aller et venir dans sa jolie minette. Plus ça va, plus elle accélère le mouvement, et plus j’ai envie de remplacer ce stylo par ma bite. Après quelques minutes, Marion retire le stylo de son sexe, me le montre puis, elle le met dans sa bouche et le suce à nouveau, toujours en me regardant avec appétit. Décidément, elle semble vraiment bien s’amuser, la coquine !

Voyant que j’ai du mal à tenir en place, Marion arrête tout d’un coup ces plaisirs solitaires puis, d’un mouvement de l’index, elle me propose de venir la rejoindre.

Bizarrement, je n’hésite pas une seconde, seulement, j’ai envie de savoir du temps que l’on dispose pour pouvoir faire nos cochonneries. J’éteins donc ma console, me lève de la banquette, et m’approche de mes parents.

— Je vais finir ma nuit, leur dis-je en haussant la voix pour me faire entendre.

— D’accord, répond ma mère en me regardant.

— On s’arrête dans combien de temps ?

— On s’est dit avec ton père qu’on s’arrêterait par ici, déclara ma mère en me montrant un point sur la carte.

— OK, ça veut donc dire à combien de kilomètres ?

— Environs 200, voire peut-être un peu plus…

— En gros, t’as largement le temps de finir ta nuit ! Rajoute mon père en souriant.

— OK, super !

Je fais rapidement le calcul dans ma tête. 200 kilomètres, ça voulait dire que nous avions environ deux heures de tranquillité devant nous avec Marion pour pouvoir faire des cochonneries. Super !

Je range aussitôt ma console dans un placard puis, je grimpe sur la banquette et rejoins la capucine avant de fermer le rideau. Enfin un peu d’intimité !

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