Je suis allongé à côté de mon homme, on est censé nous préparer pour sortir, mais au lieu de ça, on se prélasse dans le lit. Je le regarde, il est allongé sur le dos, à côté de moi. Il est tellement beau avec sa peau bronzée et son corps athlétique. Il est un peu moins musclé que moi, parce que j’avoue que je porte peut-être trop d’importance à mon physique, je fais de la musculation, et de la boxe. J’aime les tatouages, et j’en arbore sur tout mon corps, même mon visage a le droit à quelques inscriptions. Je ne vois pas ça comme de la superficialité, mais plutôt comme un art.

Bon, revenons-en à l’homme couché à côté de moi. Regardez ses courbes me donne tout de suite envie de sexe, et je m’enflamme comme une allumette qu’on viendrait de craquer. Ma respiration se fait plus profonde, ce qui fait tourner la tête de mon homme vers moi. Nos regards se croisent, et il a tout de suite compris à quel point j’ai envie de lui. Il sait très bien comment me rendre fou, il fait glisser sa main sur son torse nu jusqu’à toucher son sexe qui, je le vois à travers son jogging, est gorgé au possible. Il commence à faire quelques va-et-vient sur sa verge que je sais parfaite. Je l’imite aussitôt. Pour être plus à l’aise, je retire tous mes vêtements, et une fois désentravé, je continue mes caresses. La main d’Alanzo vient attraper la mienne, et je lui dis:

— J’ai trop envie de toi.

Il me sourit, et me répond:

— Alors viens travailler bébé.

Je me mets à quatre pattes, et j’avance vers lui pour prendre son sexe tendu en bouche. Il est doux et chaud, et le sentir dans ma gorge m’excite encore davantage. Il passe sa main ferme sur mon dos, pour arriver jusqu’à mon cul. Je m’arrête pour venir l’embrasser, et je reprends sa bite en bouche. Je l’entends s’humecter le doigt, et avec, il vient visiter mon intimité. Je laisse échapper quelques petits gémissements de plaisir, lui aussi soupire. Il se fait plus brusque, et abandonne mon cul pour m’attraper la tête, et m’enfoncer son pieu encore plus profond dans la gorge. Il me repousse brusquement, et se positionne derrière moi. Pendant que je repends mon souffle coupé par cette fellation trop profonde, il m’écarte les cuisses avec une fougue qui lui est propre, et pose ses mains sur mes fesses qu’il malaxe. Il finit par plonger sa tête dedans, et lèche mon cul comme jamais. Je m’accroche aux draps, et me cambre pour lui faire comprendre que je suis tout à lui, que j’en veux plus, qu’il faut qu’il se dépêche de venir me prendre, sinon je vais finir comme ça, sans l’avoir eu en moi. Il me dit:

— Arrête avec tes gémissements plaintifs, je ne tiens plus.

— Putain, mais baise-moi alors !

Il se redresse, positionne sa queue à l’entrée de mon trou, et m’attrape fermement les hanches. Je gémis plus encore à la perspective de ce qui va arriver. Je l’entends cracher sur son membre déjà juteux, et tout d’un coup, il rentre en moi. Je pousse un cri de douleur, et je me mets sur les coudes pour pouvoir supporter la suite. Il attend que mon corps se fasse à lui, et se penche pour m’embrasser. Il rentre sa langue dans ma bouche, son corps pèse sur le mien, et petit à petit, je me retrouve sur le ventre, toujours le cul offert à lui. Il recommence à bouger tout doucement, et à chaque mouvement, s’enfonce un peu. Le plaisir m’envahit, et ça me donne envie de me branler, j’attrape ma queue, et là, Alanzo m’en empêche, en retenant mon geste, et me dit:

— Je vais te faire jouir avec ton cul.

Il me maintient les bras dans le dos, et repose de tout son poids sur moi. Je sens son souffle dans mon coup, je sens sa verge qui me lime. Il se fait plus brusque, et à chaque coup, je pousse un gémissement de plus en plus fort, au rythme de mon plaisir. Je n’en peux plus, je lui demande:

— Branle-moi.

Il remonte mon cul pour avoir accès à ma bite prête à exploser. Il pose sa main dessus, et là, dans un cri, je laisse jaillir mon plaisir, tachant nos draps propres. Je sens Alanzo se contracter à plusieurs reprises, et me remplis de son sperme chaud, et épais.

On reste quelques instants comme ça, l’un sur l’autre, essoufflé et plein de sueur, puis on s’est enfin décidé à aller se doucher. On doit aller au restaurant avec des amis, et si on ne se dépêche pas, ils vont nous attendre.

Alanzo est assis sur le canapé, et pianote sur son téléphone en m’attendant. J’arrive devant lui, et je le trouve tout de suite magnifique. Il porte une chemise planche, avec un costume gris anthracite qui fait ressortir ses yeux verts. Il me regarde, pose ses yeux sur mon entrejambe, et se met à rire juste avant de me demander:

— Tu as encore envie ?

— Trop.

— Eh bien, tu attendras qu’on rentre du resto.

— Non…

J’ai horreur qu’on me résiste, surtout quand je suis aussi chaud, je tente de lui donner envie, en m’agenouillant devant lui. Je le regarde dans les yeux, et je lui dis:

— Je te fais juste une petite pipe.

Il se laisse faire, comme je l’escomptais, et je commence à sucer son sexe qui se durcit petit à petit dans ma bouche avide de foutre. Il lâche un léger râle, et ça me donne envie d’encore plus. J’arrête tout, je baisse mon pantalon juste sous mon cul, et je m’installe les jambes écartées, accouder au dossier du canapé. Il me sort:

— Il m’en faut plus.

Je me déshabille entièrement, je ne garde que mon jockstrap, et je commence à me doigter le cul tout seul, dans l’attente qu’il me prenne. J’ai besoin de son corps, j’ai besoin qu’il me remplisse, qu’il me souille. Je le regarde se branler devant le spectacle de mon trou qui s’ouvre de plus en plus pour accueillir tout entier son sexe épais. Il ne tient plus à m’observer sans participer. Il m’attrape la cuisse, et me fait comprendre qu’il veut que je m’empale sur lui. Avant de le faire, je le suce une dernière fois, pour lubrifier son sexe dressé. Je me le cale doucement, et il glisse facilement en moi. Alanzo m’ordonne:

— Baise-toi.

Je fais des va-et-vient sur sa queue qui me remplit le cul de manière divine. Il me regarde faire, en laissant échapper quelques râles de plaisir. Il m’attrape la verge, la sort de mon jockstrap, et commence à me branler. Je gémis sous ses caresses, et l’embrasse à pleine bouche pour me mélanger encore davantage avec lui. Il presse tout son corps contre le mien, enroule ses bras puissants autour de mes épaules, et me serre fort. Il enfonce sa bite plus profondément en moi, ce qui a pour effet de me faire crier. J’arrête de bouger, et je le laisse faire. Il en profite pour buriner mon cul que je lui donne volontiers. Je lâche un:

— Putain c’est bon !

Je ferme les yeux pour laisser le plaisir m’envahir. Ma queue toute mouillée est pressée contre son torse, et je sens que je suis en train de tacher sa chemise blanche. Je lui dis dans un souffle:

— J’ai souillé ta chemise.

Il regarde les traces de liquide séminal que j’ai laissé, et il me dit:

— Moi, c’est toi que je vais souiller.

En une demi-seconde, je me retrouve allongé à plat dos sur le canapé. Il m’ordonne:

— Ouvre la bouche, et branle-toi.

Je m’exécute, et il commence à s’astiquer la verge juste devant ma bouche prête à accueillir son foutre. J’écarte les jambes, et il glisse un doigt dans mon trou en même temps que je me branle. Je sens que ça vient, et lui aussi, il me gicle dans la bouche, et sur une partie du visage. Pour nettoyer son gland encore plein de sperme chaud, il me l’enfourne dans la bouche, et je le suce goulûment. Je me laisse submerger par le plaisir, et je jouis dans un râle de plaisir. Il récupère avec sa main tout le foutre qui fait luire mon torse, et me le met dans la bouche avant de venir m’embrasser.

Bien sûr, on est arrivé en retard, parce qu’on a dû se redoucher, et se changer, mais ça en valait vraiment la peine.

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