J’avais décidé de changer de vie, de ville et de travail suite à une rupture amoureuse. Mon petit ami avait décidé de me quitter alors je quittais tout à mon tour.
En répondant à la petite annonce pour faire partie d’un personnel de maison, je me disais que je ferais le ménage pour quelqu’un mais je gagnerais de l’argent en étant nourrie, blanchie et logée.
J’avais pris le train pour cette petite ville de campagne et quand j’avais dis au taxi que je me rendais au Manoir, il avait juste sourit en me disant qu’une nouvelle petite jeune arrivait. Je n’avais pas relevé.
La vieille cuisinière, Rosa, qui m’accueillit me précisa que le dimanche, tout le monde était sorti. Elle me montra les étages et me lança :
"- La chambre est au 3ème, la porte est ouverte. Repas à 20h pour les domestiques".
Je montais et trouvais une petite chambre, avec un lit deux personnes poussé contre un mur, une petite salle de bains fonctionnelle et un bureau avec une armoire. Le minimum mais je me sentais déjà bien. Tranquille et loin de toute l’agitation de ma vie amoureuse passée. Mon uniforme était posé sur la chaise : une paire de bas, une robe noire et un tablier blanc… C’était tellement cliché que j’aurais pu en rire. Mais je me décidais à ranger ma valise, prendre une douche et me préparer pour le repas qui aurait lieu dans 3h.
C’est ainsi qu’a 20h, je rejoignis la cuisine ou je trouvais Rosa en compagnie d’une jeune femme. Pas très grande, assez ronde, elle se tourna vers moi en me faisant un grand sourire. Son visage était magnifique, de jolis yeux verts légèrement en amande, une petite bouche charnue et des cheveux miels qui tombaient jusqu’à ses fesses. J’avais rarement vu une fille aussi pulpeuse et sensuelle… mais ce qui attira mon regard, ce fût surtout sa poitrine magnifique et énorme moulée dans un débardeur blanc tout simple. Cette fille débordait de sensualité et je l’enviais un peu, moi qui manquais de confiance en moi.
Rosa me présenta Mylène, la jeune femme étant chef des domestiques. Mylène, me regarda et me demanda :
"- Et toi, c’est quoi ton nom ?"
— Je m’appelle Eva
— Sympa, tu verras, tu t’intégreras bien ici. Ce soir, nous ne sommes que deux mais en temps normal, il y a deux autres domestiques pour gérer le manoir, Charlotte et Clémence mais elles sont en congés jusqu’à demain. Ceux qui gèrent l’extérieur sont des saisonniers, sauf Jérome qui vit aussi ici. C’est le neveu de Rosa. Et puis bien sur, tu rencontreras Madame et Monsieur aussi… Enfin, quand ils le demanderont.
— Ok, super et toi, tu es chef mais tu fais quoi ? Et moi, c’est quoi mon poste ?
— Moi, je suis un peu organisatrice des événements, je crée des divertissements si tu veux… et toi, on verra selon tes compétences. Allez, viens manger maintenant"
Le repas terminé, je décidais d’aller faire un tour dans le parc. Je n’avais jamais vu une si grande demeure ni un terrain si impressionnant, je devinais un bois au loin et me dit, qu’a défaut de beaucoup de temps libre, je pourrais courir dans le parc en lieu et place de mon entrainement en salle de sports.
Quand je rentrais dans le manoir, tout était plongé dans le noir. Je montais rapidement jusqu’au 3ème et passait devant plusieurs portes closes. Une seule pourtant, hormis la mienne, était légèrement entrebâillée. Je décidais de passer sur la pointe des pieds pour ne pas gêner la dormeuse (Rosa m’avait expliqué que seules les domestiques filles dormaient à cet étage), j’entendis un très léger bruit, comme un pleur étouffé.
Prise de doute, je décidais de risquer un oeil au cas où la personne serait en train de faire un malaise. Je poussais légèrement et là, je vis Mylène, allongée sur le lit, légèrement adossée contre deux oreillers et totalement nue en train de se donner du plaisir.. Je me sentis rougir très fort et voulus me reculer aussitôt. Pourtant, une pulsion en moi me poussa à regarder quelques secondes de trop… Ses seins énormes, dont les tétons pointaient fort étaient laiteux et semblaient prêts à exploser. Les bouts étaient gros comme des pointes de crayons. Elle avait les yeux clos et elle tirait d’une main sur le bout de ses seins en ouvrant la bouche comme une assoiffée. Ses cuisses étaient largement ouvertes sur sa chatte intégralement épilée… de sa main libre, elle remuait un vibro dont j’entendais le doux vrombissement. Elle remuait énergiquement comme pour se faire jouir vite…
Soudain sa main quitta son sein et se plaqua sur son clito qu’elle tripota en cadence avec le vibro… elle allait jouir, je pouvais sentir l’odeur sucrée de sa chatte qui venait me prendre les narines. Je me sentis me mettre à mouiller comme une folle et je n’avais qu’une envie : me faire jouir aussi. Je voulais quitter mon poste de voyeuse et partir dans ma chambre mais j’étais comme vissée à sa chatte et à sa jouissance, elle enfonça alors dans de longs va-et-vient le vibro puis elle le sortir de sa chatte humide et je la vis le frotter contre son clito qui grossissait encore… elle ouvrit grand la bouche et se mit à gémir un peu plus fort en poussant un petit cri.
Je décidais alors de quitter la porte et de foncer dans ma chambre avant qu’elle me voit et surtout, je voulais me soulager. Je n’avais jamais fantasmé sur une fille mais pour la première fois de ma vie, j’avais eu envie de toucher une chatte. Je me mis rapidement au lit et décidait de me masturber aussi… Quand je commençais à me chercher des doigts, je fermais les yeux et l’image de Mylène vint me frapper. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier, mais en frottant fort mon clito, je ne mis que quelques minutes à jouir tant elle m’avait excité.
Il faudrait que je sois prudente car je voulais rester loin de toutes ces considérations sexuelles et je ne pouvais pas me permettre de fantasmer sur mes collègues de boulot. Si j’avais su à ce moment que toutes mes bonnes résolutions ne tiendraient pas….
