Un bruit, j’ai ouvert les yeux. J’ai vu Madame se diriger vers la salle de bain. Je l’ai entendue faire son pipi matinal, je ne sais pas pourquoi, mais cela a trempé ma vulve. J’étais excitée comme une puce, je venais de passer une douzaine de jours sans elle, elle me manquait terriblement. Je restais là, sans bouger, attendant le signal de Madame pour lui obéir. Elle est sortie dans le couloir habillé d’une grande robe de chambre qui lui donnait un air dominateur.

Lève-toi, va faire pipi et prends une douche. Revient à la cuisine pour me faire mon déjeuner, ne traîne pas.

Oui, Madame.

Je me suis immédiatement levée et je me suis dirigée vers la salle de bain. Arrivée à la hauteur de Madame, elle m’a mis une gifle que je vais me rappeler longtemps.

Lorsque tu te déplaces en ma présence, je veux que tu le fasses toujours à quatre pattes et sans que les genoux ne touchent pas terre, compris ?

Oui, Madame.

Lorsque tu arrives à l’endroit désigné, tu te mets à genoux et tu te relèves. Lorsque tu as fini, tu te remets à genoux avant de repartir à quatre pattes. C’est clair ?

Alors, j’ai continué mon chemin vers la salle de bain, comme elle me l’avait demandé. Ma tête était plus basse que mon cul et mes fesses étaient légèrement écartées de cette façon, Madame pouvait voir sa soumise dans une posture vraiment indécente. Ma partie la plus intime se dandinait sous ses yeux et c’était vraiment humiliant pour moi, mais j’aimais cela. Revenue à la cuisine, elle s’était assise à la table de la salle à manger. Elle m’a ordonné de lui préparer deux ufs crevés, deux toasts au pain de blé entier, beaucoup de morceaux de fruits et un café. Je lui ai tout préparé et je lui ai apporté à table.

C’est alors qu’elle m’a obligé à monter sur la table, à me coucher sur le dos, replier mes genoux vers moi et les retenir avec mes bas dessous. Elle a alors commencé à déguster son petit-déjeuner. De sa place, elle ne pouvait pas voir mon visage, mais elle avait une vue imprenable sur mon cul. Moi qui pensais que le fait de marcher à quatre pattes sans que les genoux ne touchent le sol était indécent. Des chaleurs intenses parcouraient mon corps à la pensée que Madame regardait à loisir ma vulve et mon sphincter. Je n’étais qu’un objet, qu’une chose dont on dispose. J’avais terriblement honte, mais à ma grande surprise, je mouillais comme une fontaine. Malgré ma gêne, j’étais excitée comme jamais. Ce sentiment d’être possédée au plus profond de son âme et d’y trouver un plaisir. Toutes ses émotions qui me parcourraient, me transportaient comme dans un autre monde. D’après mes recherches sur le Net, je crois que l’on peut dire que c’est le sub-space.

Je m’apercevais que j’éprouvais vraiment du plaisir lorsque Madame me procurait de la douleur et de l’humiliation. Je savais à présent que j’étais vraiment masochiste et que mon désir le plus profond était de servir et d’obéir sans retenue à cette femme à qui j’appartenais maintenant. Mes réticences du début se sont envolées. J’étais à présent certaine de la place que j’occupais dans cette aventure de soumise. J’étais certaine de la place que j’avais auprès d’elle. Je n’entendais même plus le bruit que faisait Madame en mangeant. Le monde s’était arrêté.

Salope, salope… Hé petite pute, écoute-moi…

Heu… oui Madame…

Relève-toi et viens prendre ton petit-déjeuner.

Je suis sortie comme d’un rêve. Madame avait terminé de manger, plus rien sur la table, puis j’ai remarqué qu’elle avait posé son assiette à moitié terminée sur le sol près du mur et elle avait placé juste à côté, un bol qui contenait, me semble-t-il, du café. Elle avait posé son assiette par terre, était allée chercher un bol dans mon armoire pour y verser son restant de café et je ne m’en étais même pas rendu compte.

Je me suis accroupie devant ma pitance et j’ai tout avalé comme une vraie salope pour plaire à ma propriétaire. Une fois terminé, je suis restée devant mes plats, accroupie, sans bouger, attendant un ordre à exécuter. Madame était à la salle de bain, je l’entendais se brosser les dents et faire sa toilette. Après quelques minutes, elle est revenue à la cuisine et m’a demandé de ramasser tout ce qui traînait, de me brosser les dents et de m’habiller pour une sortie. Evidemment, j’ai dû mettre une jupe noire, une blouse blanche, mes baskets et tout cela sans soutien-gorge ni culotte.

Nous sommes descendues au garage et Madame m’a obligé à lui ouvrir la porte de derrière, côté passager de ma voiture. Ensuite, je me suis assise au volant et je devais suivre ses instructions pour nous diriger je ne sais où…

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