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Première partie carrée – Chapitre 1




J’avais rencontré Jocelyne depuis bientôt quatre mois, je venais de fêter mes 22 ans récemment et lui avait menti en lui répondant 24 quand elle a demandé mon age. Elle m’avait répondu que je pouvais multiplier par deux mais elle ne voulait pas entendre la réponse. Elle était divorcée depuis 3 ans et sortaint d’une relation qui avait durée 21 ans… Nous avions une relation que l’on appelle un plan cul, sans tabou, elle était très demandeuse et je ne voulais que la satisfaire. Nous nous voyions deux à trois fois par semaine chez elle, à Toulon. J’étais logé par mon travail et ne pouvait donc pas la recevoir. Je satisfaisais mes fantasmes avec une femme beaucoup plus agée mais une fois en action le sexe et le plaisir l’emportaient. Pour la décrire, elle mesure 1m71, brune, cheveux mi-longs, yeux noisette, peau mate (elle est d’origine espagnole). Ces seins lourds et ses tétons marrons commençaient à tomber dans son 95 D, des fesses bien faite et une chatte charnue, bien grassouillette dans laquelle ma langue passait un temps fou tellement j’aime le cuni. Je la faisais jouir par cuni et elle adorait çà…J’étais pour ma part beaucoup plus fin à l’époque, 1m89 pour 76 kg, chatain aux yeux bleus, et ma queue circoncise et fine de 16 cm l’amusait comme elle me répétait souvent.

Tout cela jusqu’à un jour de septembre ou elle me demande, pendant que nous faisions l’amour, si çà me disait de faire çà avec un autre couple. Je lui réponds naivement, comment çà faire çà avec un autre couple, à quatre ? Elle me dit, oui baiser avec un autre couple qui est échangiste, d’excellents amis de longue date. Des gens super sympa, de son age mais très jeunes d’esprit. Elle me dit de suite que sa copine est bien foutu et un peu en chaire. Je lui réponds que cela ne me dérange pas…

Une semaine et demi passe, elle me prévient que son couple d’amis viendra prendre l’apéritif le samedi soir à son appart. Nous étions mardi et j’étais super impatient d’y être.

Le jour J arrive, j’étais stressé à l’idée de me retrouver nu devant d’autres personnes. La sonnette retentit, j’avais le coeur qui battait fort et en même temps une folle curiosité m’envahissait. Je me lève et suit Jocelyne vers la porte pour accueillir nos invités. La porte s’ouvre et je me réjouis immédiatement. Une femme de petite taille avec une mine joviale, une fausse blonde coupée au carré, bien maquillée, des joues rondes, et une poitrine très généreuse ,au vu de son décolleté, avec les fesses qui vont avec. Elle était vêtue d’une robe vert anis qui la boudinait une peu. A ses côté un homme du même age environ, cheveux bruns légérement dégarnis, quasiment de la même taille que moi, chemisette à carreau orange et blanc et jean, habillé cool. Nous nous saluons et Jocelyne fait les présentations. Christiane et Jacques, un couple remarié de 52 ans pour madame et 47 ans pour monsieur (ce sont des détails que je saurai plus tard). Nous nous dirigeons vers le séjour et nous installons sur le canapé et un des fauteuils. Pour poser la scène, Jocelyne est donc assise sur un fauteuil à ma droite dans l’angle de la pièce, étant pour ma part assis au bout du canapé de cuir marron foncé, Christiane est à ma gauche et Jacques à côté de sa femme. Jocelyne effectue le service nous parlons de choses et d’autres. Les verres remplis, nous trinquons à notre rencontre, l’atmosphère est détendue, Christiane annonce sans retenue que Jocelyne lui raconte qu’elle passe du bon temps avec moi et qu’elle avait envie de me connaître plus intimement. Jacques précise en rigolant à moitié que depuis qu’il entendait parler de moi, il voulait me rencontrer et que l’on passe du bon temps ensemble. Je rougis à moitié et Jocelyne me dit de me sentir à l’aise que ce sont des amis sincères de longue date avec qui elle a déjà partagée des moments coquins et que nous n’allons pas nous ennuyer. Je ne suis pas très loquace effectivement et cette différence de génération me chamboule un peu. Etre en intimité avec Jocelyne ne me dérange pas mais là c’est différent. Jacques me redit qu’on va bien s’amuser et que je ne dois pas être gêné parce qu’un autre homme est là. Sur ces paroles, Christiane commence à le caresser et me prend la main puis la pose sur ses cuisses en m’empressant de l’embrasser. Je regarde Jocelyne qui me fait un signe positif de la tête. Nous nous embrassons, je ferme les yeux pour les rouvrir quelques secondes plus tard averti du bruit de la ceinture de Jacques qui est défaite et se levant, baisse son pantalon et son boxer noir, laissant sortir un gros boudin qui a le prépuce qui pendouille en recouvrant le gland et un paire de bourse bien pendante. Je suis surpris, je n’en n’ai jamais vu de ce genre. Christiane le décalotte et le masturbe, son pénis grossit peu à peu pour bander pleinement en quelques secondes. Il doit être sensiblement de la même taille que la mien mais plus gros par sa largeur. Jocelyne s’approche de lui et repoussant les verres de la table basse, s’assis et commence à le sucer. Je bande à fond ayant déjà commencé à peloter un sein de Christiane, je suis super excité. Elle me demande à mon tour d’ôter mon pantalon, ce que je fais immédiatement.

Elle s’exclame de suite : Toute raide et lisse ! Dans la foulée, elle avale mon chibre et commence à la sucer goulument. Il faut dire que ces bonnes lèvres et joues sont dimensionnées pour du gros et qu’il y a largement de la place pour la mienne. Jacques me lance un "alors on est pas mal", je ne lui réponds pas et souris en regardant Jocelyne le pomper.

Christiane me lèche à partir du bas des couilles jusqu’au gland, sa grosse langue me badigeonne le tout, de temps en temps elle arrive jusqu’à l’anus. Je lui demande alors de se déshabiller car j’ai envie de ses seins qui paraissent de plus en plus impressionnant (c’est peut être le fait de les avoir en gros plan). Elle se redresse et s’exécute en ôtant sa robe anis et son soutien gorge par la même occasion et laissant découvrir son corps. J’ai au niveau des yeux une grosse paire de nichons à tétons rosés qui commence à tomber, un ventre avec quelques bouées et des hanches qui permettent de bien se tenir. Je les empoigne et la fais tourner afin de contempler son cul, assez gros et un tanga qui délimite les fesses, je les malaxe au passage et croque la gauche. Jocelyne s’est déshabillée également et a gardé ses sous vêtements. Jacques lui embrasse le ventre et descend jusqu’à la culotte qu’il étire afin de passer la langue sur la minette. Je retire de ce fait le tanga de Christiane et me lève. Je la fais assoir à côté de Jacques. Je bande comme un taureau ! Je me mets à genoux, je prends les grosses cuisses pour les lever et je plonge la tête dans la forêt humide de Christiane. Comme Jocelyne, une grosse chatte aux lèvres épaisses et un clito qui va avec mais rose comme ses tétons. Je m’active à lécher, sucer son con et déjà les gémissements se font entendre et quelques "Vas y c’est çà, lèche moi bien le minou. "

Jocelyne est sur le canapé à quatre patte et pendant qu’elle embrasse Christiane, Jacques lui broutte la chatte par derrière. Tout le monde lèche à ce moment là !

Christiane me demande de me relever et appelle Jacques. Jocelyne s’assied à côté de Christiane, nous retrouvons nos partenaires d’origine pour une pipe de courte durée. Les femmes nous disent qu’elles vont s’occuper de nous et de nous laisser faire. Jacques rigole et répond "à votre service mesdames". Jocelyne se relève pour s’asseoir sur la table basse, nous sommes debout face à face avec Jacques, de profile par rapport à ces dames (Christiane est toujours sur le canapé. Jocelyne nous caresse les fesses et à ma grande surprise, Christiane attrape nos bites et commence à les branler l’une contre l’autre. Jacques me demande si çà ne me dérange pas, avant de lui répondre je sens la langue de Christiane me lècher, rejoint par celle de Jocelyne. C’est une première pour moi, et j’avoue que c’est très agréable. Je ne suis pas gay mais dans l’action, avoir le contact d’une autre verge ne me dérange pas. Elles frottent nos queues qui s’entrelaçent, je vois glisser le prépuce de la bite de Jacques. Il a une main sur l’épaule de sa femme assise et sur la mienne, il commence à raler de plaisir et dire ne pas aller trop vite, qu’il prend du plaisir. Me concernant, on ne me demande rien mais j’aimerai bien jouir. Jocelyne lui demande s’il veut éjaculer et que toute façon ce n’est que le début de la soirée. Il est vrai que dans l’histoire, çà fait déjà une bonne heure et demie que nos amis sont arrivés.

Christiane réponds que l’on va nous soulager pour ne pas jouir trop vite en elles si on les prenait dans la foulée. Les coups de langue se précise, les glands sont sollicités, elles nous refrottent la bite et je commence à sentir monter la sève, Jacques rale et je sens sa main se durcir sur mon épaule, il jouit, son foutre gicle de son gros gland, ce qui me fait jouir également dans la foulée, nous recevons du foutre sur nos ventres, nos spermes dégoulinent le long de nos bites, çà coule ! Nos femmes lèchent ce qu’elles peuvent attraper et continuent à nous frotter les queues l’une contre l’autre. Je râle aussi de plaisir car je m’étais gardé depuis le mardi soir. Elles nous prennent alors la queue en bouche et nous pompe comme des furies, nous continuons à râler de plaisir Jacques et moi pendant quelques minutes.

Que ce fût bon, quelle explosion de plaisir ! Nous revoilà assis l’un à côté de l’autre ruisselant de sueur et le pubis trempé. Jocelyne et Christiane sont ravies, elles se lèchent les lèvres et se retournent vers nous en nous demandant comment nous allons. Je soupire profondément et dis que c’était très bon. Jacques comme à son habitude rigole un peu et lâche un "elles nous ont bien astiquées". Les femmes rigolent également et Christiane me demande si çà m’a plu de me frôter à Jacques, je lui réponds que c’était une première et que çà m’a plu mais que je ne suis pas gay. Elle me répond qu’elle était sur que j’allais dire quelquechose de la sorte.

Nous nous essuyons avec le sopalin de service et Jocelyne nous sort un "il fait soif les amis".

Elle nous ressert à l’identique en plus d’un bon verre d’eau qui étanche la soif de chacun. Nous replaçons correctement le drap de bain qui évite de tâcher le canapé. La discussion se rengage sur nos fantasmes, les envies de chacun, les partouzes auxquelles Christiane et Jacques participent une fois par mois avec d’autres couples rencontrés par les petites annonces ou à la plage de Hyères qui était une plage nudiste et d’exib à l’époque.

Christiane revient me voir et commence à me branler, les choses ne trainent pas ! Elle me redit que je lui plais et Jacques me dit également que je suis très agréable et poli, que çà change de certains minets qui ne se prennent pas pour de la m…. Je les remercie et leur dis qu’ils me plaisent aussi, qu’ils sont très sympas comme m’avait prévenue Jocelyne. Je rebande de plus belle, c’est le privilège du jeune age, Jacques est encore en version molle et pendante. Christiane me propose un 69 que j’accepte aussitôt en lui rétorquant que j’adore cette position. Nous nous installons sur le canapé. Jocelyne commence à sucer Jacques. Il est assis sur la table basse est Jocelyne sur le canapé à côté de ma tête enfouie dans le gros cul de Christiane. Il est énorme, sa grosse chatte m’écrase le visage et je lèche comme je peux, elle suce ma queue goulument comme auparavant. Cà gémit, çà râle de plaisir. Je ferme les yeux et appécie ce moment de plaisir. Christiane demande à Jocelyne quelle se mette devant elle pour alterner entre ma queue et sa chatte. Par la même occasion, elle demande à son homme de la prendre de suite. Je relève ses fesses lourdes pour me dégager le visage mais elle me demande de continuer à la lècher. Elle se redresse un peu et me dis de prendre un coussin pour hausser la tête et continuer à donner des coups de langue. Elle lâche un "Qu’est ce que tu fais Jacques, j’attends". Jocelyne couine de se faire lécher, Christiane alterne un coup de langue entre ma bite et la chatte de Jocelyne. Jacques se met à genou au niveau de ma tête, un jambe sur le sol et l’autre à genou sur le canapé, il frotte sa queue dans la raie de Christiane. Je lui demande s’il veut la pénétrer de suite, il me dit "avec plaisir m’sieur", je bascule la tête en arrière et me retrouve avec la vue du gros boudin de Jacques qu’il décalotte pour glisser entre les grosses lèvres de Christiane. Il rentre quasiment jusqu’aux couilles. J’ai à environ 15-20 cm au dessus du visage sa queue qui coulisse et ses bourses qui sont encore plus prêts. Vision irréelle, odeur de sexe omniprésente. Je n’ai jamais fait çà mais çà m’excite. Christiane me dit qu’elle ne sent plus ma langue et que j’attends quoi pour continuer parce qu’elle continue à lécher ma bite. Je lèche comme je peux le devant de sa fente, le clito et au passage, ma langue passe sur un bout de bite de Jacques, je dis que ce n’est pas pratique. Jacques me dit qu’il va se mettre les pieds sur le canap en se relevant et fléchir ses jambes. Effectivement je n’ai plus sa queue sur mon nez mais dans cette position la bite ressort plus souvent et je me retrouve à nouveau avec sa queue sur le visage. Tout cela m’excite fortement. Je dis à Christiane que je veux la baiser de suite. Elle sort la queue de Jacques qui bande mou et la retrouve une fois de plus sur le visage. Le temps de s’extirper de cette position, je passe des coups de langues sur la fente béante de Christiane et le gland de Jacques en reçoit deux ou trois par la meme occasion. Nous nous redressons un peu, je me rallonge correctement pour accueillir Christiane sur moi. Jocelyne lui ouvre un préservatif qu’elle déroule et elle engouffre mon chibre direct dans sa chatte. Ses gros seins pendent devant moi et j’en mors un au passage et suce le téton de l’autre dans la foulée, je repose la tête et observe la queue de Jacques qui bande toujours mou, il fait coulisser son prépuce mais débande de plus en plus. Jocelyne lui dit qu’elle va le remotiver, il lui explique qu’il a voulu durer trop longtemps avec sa femme auparavant et qu’il s’est retenu. Il lui faut un peu de temps, mais il nous observe et nous rassure en disant que ce qu’il voit l’excite beaucoup et que çà va repartir.

Jocelyne le caresse et l’embrasse, elle le branle et l’approche de Christiane qui est en train de se faire baiser par mes soins. Et rebelote, je me retrouve avec le boudin et la grosse paire de couille au dessus de la tête, Christiane lui lèche le bout de la bite et il rebande. Mes mains sont agrippées aux nichons de Christiane, je les pelote à volonté mais Jocelyne me prend la main droite et la dépose sur la queue de Jacques en me disant de la branler. Ma main droite fait coulisser le prépuce de Jacques, ce dernier me dit qu’il apprécie beaucoup. Jocelyne se lève et se met à genou entre le corps de Christiane et moi, elle lui lèche les tétons, vient me lécher les lèvres, va sucer le bout de la queue de Jacques qui lui glisse quelques doigts dans la fente. Tout le monde s’active, s’énerve, je sens la queue de Jacques bien raide, Christiane crie de plus en plus fort, elle embrasse son mari, je lui dis que je ne vais pas tarder à jouir dans son cul alors que je suis dans sa chatte mais c’est ce qui me passe à l’esprit à cet instant. Elle me dit de l’inonder de jouir tant que je peux, elle râle, des vas y, vas y et je lache tout en criant un "oui, je jouis oh oui" (on n’est pas toujours des plus original dans ces moments) j’ai laché la queue de Jacques pour me réagriper aux hanches de Christiane. Quelques secondes plus tard, c’’est Jacques qui expédie quelques giclées de foutre que je vois passer au dessus de la tête et qui atterrissent sur le torse et le ventre. Jocelyne le suce goulument pour lui faire donner un maximum de plaisir. Jacques dit qu’il a la main trempée de mouille de Jocelyne et Christiane se dégage de moi et s’empresse de retirer la capote et me suce pendant quelques secondes avant de me remercier pour lui avoir donner du plaisir. Elle est sur moi, elle m’embrasse, Jocelyne quitte la queue de Jacques pour nous embrasser, nous lécher. La verge ruisselante de Jacques débande au dessus de nos visage, il se penche et sa femme la prendre par la main et la suce puis la frotte sur les lèvres de Jocelyne et moi. Je lèche, je m’en fous à ce moment, j’ai joui, je n’en reviens toujours pas que je viens de faire une partouze dans laquelle j’ai pris mon pied comme je ne l’ai jamais pris alors oui, je tête le bout du gland de Jacques et le repasse à mes voisines jusqu’à ce qu’il rétrécissement encore. Il se lève et dit qu’il faut qu’on fasse de meme avec moi. Sa femme se lève (ce qui me soulage car son poids m’a enquilosé). Jocelyne commence par me sucer, ma queue est encore un peu raide, puis Jacques et Christiane qui m’essorent. Je les remercie et leur dis qu’il me font beaucoup de bien. Nous nous redressons et nous ressuyons avec le sopalin. Nous sourions tous et nous retrouvons nos places initiales, Christiane s’eclipse aux toilettes, nous rebuvons un verre et nous détendons…

Cette soirée s’est terminée vers une heure du matin, nous avons encore joui deux fois pour moi et une fois pour Jacques. Ils ont pris une douche puis nous ont quittés. Nous nous sommes revus 15 jours plus tard et avons recommencé cette fois chez eux (je le raconterai dans un prochain récit). En nous couchant avec Jocelyne, nous en avons parlé pendant quelques minutes en nous promettant de recommencer, elle me demandait si j’avais apprécié, je lui ai répondu oui et tout apprécié. Nous nous sommes endormis tranquillement. Je garderai un souvenir indélébile de cette première fois.

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