Chapitre 2
Ce vendredi soir, cela faisait maintenant deux semaines que nous avions réalisé notre petite séance chez Florence et Bernard. Jattendais ma femme avec impatience car, après une semaine sans décharger, javais très envie de jouir en elle et davaler mon sperme. Cathy rentra bien plus tard quà lordinaire et je vis au premier regard quelle avait une idée derrière la tête. Cependant, elle ne me dit rien, nous dînâmes tranquillement et je débarrassai la table et fis la vaisselle. Je la rejoignis au salon. Elle sirotait un verre de vin. Dune tape sur le coussin du divan elle me demanda de venir me mettre à genou en face delle. Dès que je fus en position, elle me dit : « Florence ma appelé tout à lheure et elle aimerait que nous passions chez elle ce soir vers 10 heures. Elle a quelque chose à nous montrer. »
Mon estomac se serra. Je sentais que jallais encore faire les frais de la surprise et subir une nouvelle humiliation publique. Bien sûr, lexcitation prit le dessus et je commençai à bander.
Cathy : « Elle nous passera un coup de fil quand nous devrons y aller. En attendant, va vérifier ton rasage et prendre une douche. Pour ta tenue, ce sera la même chose que la dernière fois, à poil et ton collier autour du cou.»
Je mexécutai et revins au salon nu et rasé de près. La douche navait pas calmé mes ardeurs et ma queue battait contre mon ventre. Je repris ma position à genoux devant ma chère Cathy. Le téléphone ne tarda pas à sonner. Bien sûr, cétait Florence et après une brève conversation ma femme me dit : « Ils sont prêts à nous recevoir, en route ! »
Le voyage se passa sans encombre. En arrivant, Florence ne nous attendait pas mais la porte était entrouverte. Nous entrâmes et Cathy prit un petit mot qui nous attendait sur la console de lentrée.
« Bonsoir vous deux ! Enlevez vos chaussures et descendez au sous-sol sans faire de bruit. Je préfèrerais que Bernard ne se doute pas de votre présence. Je crois que lon va bien samuser ce soir encore. Merci dêtre venus. Florence. »
Ma femme retira ses chaussures. Comme jétais nu, je neus pas besoin de le faire. Nous descendîmes lescalier en essayant dêtre le plus silencieux possible. Florence avait été prévoyante et de la musique provenait de la seule pièce éclairée et était suffisante pour couvrir de petits bruits éventuels.
Nous rentrâmes dans la pièce. Nous vîmes Bernard nu au milieu de la pièce, il était entièrement rasé. Il se tenait jambes écartées. Ses bras étaient attachés chacun à un crochet au-dessus de sa tête. Il bandait. Florence lui avait bandé les yeux avec un de ses vieux collants et avait surmonté le tout dun masque que lon distribue dans les avions pour dormir. Il était dans le noir complet.
Florence se tenait à côté de lui. Elle ne portait quun soutien-gorge et une culotte de dentelle noirs, laissant apparaitre ses formes généreuses. Elle nous sourit et continua à soccuper de la bite de Bernard quelle devait torturer depuis un bon moment déjà vu les traces dongles qui marquaient sa tige. Elle se concentra sur son gland et y enfonça ses ongles avec un plaisir non dissimulé. Bernard gémissait et donnait des coups de reins comme pour faire cesser le supplice et déplacer les ongles vers une partie de son anatomie moins sensible. Florence eut pitié de son gland et entreprit de lui tirer sur les couilles en les tordant jusquà ce quil crie. Bernard débanda sous leffet de la douleur. Florence passa alors derrière lui et soccupa de ses seins et de ses tétons en les malaxant, les tirant et y enfonçant des ongles. Bernard ne tarda pas à réagir à ses tourments et rebanda fermement. Florence sassura du résultat par quelques tapes sur la queue. Elle revint face à lui et lui dit :
Florence : « Mon petit Bernard, tu as été bien sage et je crois que tu as mérité ta récompense. Tu es resté toute une semaine sans jouir et tu tes bien comporté ce soir. Jespère que tu as apprécié. »
« Oh oui, Maîtresse Florence ! » répondit-il dans un souffle. « Ce fut la plus belle semaine de ma vie. »
Florence détacha les mains de Bernard et lui fit mettre dans le dos.
Florence : « Maintenant, mon petit mari chéri va demander à sa femme vénérée de faire ce dont nous avons convenu samedi dernier. »
Bernard : « Mais ma chérie, nous étions daccord, pourquoi faut-il que je te le demande ? »
Cette réponse valut à Bernard une claque magistrale sur le sexe qui le fit crier de douleur.
Florence : « Jattends, Bernard chéri ! »
Bernard : « Maitresse Florence, sil vous plait, autorisez moi à jouir et à avaler mon sperme. »
Florence : « Voilà ! Ce nétait pas si difficile ! »
Florence se mit à genoux devant Bernard et entreprit de lui faire une pipe denfer.
Quand Florence sentit que Bernard arrivait au bord de léjaculation elle lui lâcha la bite, se mit debout et lui dit : « Tu vas te finir à la main et tu gicleras ton sperme dans le verre que je mettrai en face de ta bite pour ne rien en perdre. Attends que je te donne lordre de te branler.»
Florence alla chercher le verre quelle avait préparé et revint vers Bernard.
« Vas-y ! Branle toi, soulage tes couilles et que ça jute ! »
Bernard ne se le fit pas dire deux fois et entreprit sa branlette. Bien échauffé par la pipe de Florence et son abstinence dune semaine, il jouit rapidement. Florence recueillit sa semence dans le verre et lui fit sentir.
Florence : « Tu aimes cette odeur de sperme, nest-ce pas mon cochon de mari ? »
Bernard : « Oui Maitresse Florence et maintenant jaimerais bien y gouter. »
Florence : « Il va falloir que tu attendes un peu mon chéri. Avant ça, jai une surprise pour toi. »
Florence retira le masque et le bandeau de Bernard. Sa surprise fut totale quand il nous vit, Cathy et moi. Il devint rouge pivoine et répéta un nombre considérable de fois « Oh mon Dieu, Oh mon Dieu ! »
Pendant tout le spectacle, Cathy me branlait pour maintenir ma bandaison et mon excitation à un bon niveau de façon à ce que je puisse jouir rapidement après que Bernard ait giclé. Elle alla chercher un verre à son tour et me dis : « Tu sais ce qui te reste à faire ! »
Je pris ma bite en main et après quelques allers et retours jéjaculai dans le verre que Cathy tenait devant mon gland.
Cathy : « Cest bien les garçons, vous avez bien juté. Maintenant, vous allez boire chacun la moitié de votre verre de foutre et vous finirez le reste du verre de lautre. Exécution ! »
Je mavançai près de Bernard et nous commençâmes à boire chacun notre sperme puis nous échangeâmes nos verres et avalâmes le reste.
Cathy : « Cest bien ! Nettoyez bien les verres avec vos langues. Il ne doit rien rester. »
Les verres furent bientôt léchés.
Florence et Cathy séloignèrent au bout de la pièce et tirent un long conciliabule. Elles revinrent vers nous et Florence prit la parole :
« Vous êtes vraiment de bons bouffeurs de jus et nous avons décidé que vous alliez échanger ce qui vous reste de sperme dans la bouche en vous roulant une pelle bien baveuse. »
Bernard et moi eurent chacun un mouvement de recul mais nos femmes avaient prévu notre réaction et étaient venues se positionner derrière nous. Elles nous projetèrent lun contre lautre et accompagnèrent leur geste dune violente claque sur les fesses. Nous nous sommes donc retrouvés collés lun à lautre, peau contre peau, bite contre bite. Contre toute attente, je sentis que je bandais et que la situation nétait finalement pas si désagréable. Je passai mes bras dans le dos de Bernard et le serrai contre moi. Une de mes mains descendit vers ses fesses et de lautre je plaquais son visage contre le mien et entrepris de lui rouler la pelle exigée par nos maitresses. Au bout dun moment je sentis que sa bite avait durci aussi. Cest alors que nos femmes nous ont séparés et ont pu constater à nos raideurs que nous y avions pris un certain plaisir.
Florence : « Non mais Cathy, regarde-moi ça ! On dirait que nos maris tournent pédés! On a peut être joué avec le feu.»
Cathy : « Ils vont avoir besoin dune bonne reprise en main. Mon Francis va le sentir passer en rentrant.»
Florence : « Mon Bernard va avoir sa dose aussi. »
Et elles éclatèrent de rire.
Nous nous fîmes la bises et mirent fin à cette soirée mémorable en se promettant quil y en aurait dautres.
Nous sortîmes dans la cour. Cathy me dit « Cest toi qui conduit, pédé ! »
Je minstallai au volant et ne la voyant pas monter, je me penchai du côté passager. Je vis alors quelle était en train de se déshabiller. Quand elle fut nue, elle monta, plaça ses jambes sur le tableau de bord offrant sa chatte humide à tous les regards.
Cathy : « Ça ma trop excité cette soirée, jai la chatte en feu et elle a besoin dair frais. Allez roule, tu vas avoir du travail cette nuit pour me calmer. Et il ne sera pas question que tu jouisses, tu las déjà fait ce soir.»
Francis : « Oui Maitresse Cathy! »
Cathy : « Cest la première fois que tu mappelles Maitresse. Jaime bien finalement. Il faudra que tu continues. »
Francis : « Maitresse Cathy ! Puis-je me permettre de vous demander de quoi vous avez discuté en fin de soirée avec Florence ? »
Cathy : « En plus de vous faire rouler une pelle, on a envisagé que vous pourriez peut-être vous abreuver de sperme directement à la source et dautres choses encore. Il faut quon en rediscute. »
Je ne pensais pas que ma femme était aussi perverse mais finalement jaimais ça.
Fin