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Elles s'appelaient toutes Marguerite – Chapitre 3




Chapitre 3, le Shooting :

Dans ma voiture, 11h :

« Quand jai vu Margueritte, me suis dit quel prénom étrange puis cest pas vraiment la saison à faire lamour dans les champs . Moi mon cur est gris sans tain et mon âme est triste Margueritte cest pas la bonne mais putain quelle est bonne, presque aussi bonne que Marie en un peu moins putain aussi. Jen ferais bien ma religion, jen ferais bien mon horizon, cest sûr que jpeux mourir demain tant quelle mhabite entre ses reins »

Jarrive devant chez Léa, le ciel est gris, il pleut. Je sonne à sa porte, cest sa sur qui mouvre. Sa sur est blonde, très belle est a une poitrine très joliment développée (95D-E). Elle appelle Léa qui arrive. On se fait une innocente bize, elle prend son sac, embrasse sa sur et clape la porte.

Dans ma voiture, on écoute à fond Damien Saez, notre chanteur favori.

« Encore un jour se lève sur la planète France et je sors doucement de mes rêves, je rente dans la danse comme toujours »

On discute quelque peu, on se réjouit dy être enfin, après deux mois dattente !

On arrive sur place, il tombe des cordes. Je lui passe les affaires militaires que javais prévues à cet effet. Le pantalon militaire lui fait un superbe cul, que je ne peux mempêcher de complimenter. Elle me répond que ça commence bien pour un shooting avec un clin dil complice.

Nous descendons tranquillement la pente glissante à cause de la pluie. On arrive sur le site vers 11.50.

On monte au sommet du bâtiment du puits n°1, dans le donjon du château fort.

Après une série de nombreux escaliers, on arrive dans la salle de la machinerie, perchée à une petite 30 aine de mètres du sol. Dans cette salle, un antique et monumental moteur électrique manuvrait à une autre époque les cages dascenseurs qui gisent quelques étages plus bas. Cest à côté de cet énorme vestige que nous avons décidé de poser notre pique-nique. Il y avait de lorage, ce qui rajoutait une dimension lugubre à ce bâtiment abandonné et vide.

On a alors sorti les boissons et la bouffe de nos sacs. On a commencé par trinquer à cette journée avec deux Hoegaarden rosées, petit plaisir de Belges. Lorsque lon eut fini les sushis, on se rendit compte quelle avait oublié les fourchettes pour sa salade de pâtes. Du coup, pas grand-chose sur lestomac mais des bières à vider On siffla encore deux bouteilles avant de commencer les photos.

Les premières furent simples et sans grand intérêt pour les lecteurs de ce site ;).

Au bas de la tour, je lui demandai si elle voulait bien défaire sa chemise, elle refusa, à ce moment-là, jentrevus un shooting banal où les invisibles ne seraient que fantasme On monta ensuite dans les anciens bureaux, là où les vieux livres trainaient lamentablement un peu partout dans la pièce.

Là je lui demandai si elle voulait bien changer de tenue et enfiler sa robe. Pendant quelle se changeait, je la matais allègrement. Elle découvrit dabord son soutien-gorge, noir, en dentelle très fine, une beauté. Sa peau satinée, légèrement hérissée par le froid ambiant était vraiment sublime.

Elle enleva ensuite son pantalon noir pour découvrir un dessous de la même couleur, assorti au soutien-gorge elle enfila sa robe qui, en contraste avec ses Palladiums haute ressemblant à des bottes rabattues, donnait un air qui mexcitait assez fort. La robe étant à la limite de sa taille, ses seins nen étaient que mieux présentés. Après avoir fait les photos en robe dans le bureau, nous sommes monté jusquau dernier étage, les douche. Cet étage se situe sous les toits qui étaient constitués de grandes verrières brisées depuis longtemps. Par les baies béantes laissées par la disparition du verre, la pluie, les plantes et la terre sinfiltre au gré du vent et du temps. Les douches sont donc teintées selon les couleurs du soleil, lheure et les plantes qui y pousse ce qui en fait des serres naturelle sublimes. Là-haut, dans la cage descalier protégée de la pluie, nous avons décidé de poser nos sacs et de reboire deux bières. On décida alors de faire une photo de nous deux en train de valser dans ce grand espace vide ouvert au vent par les grandes fenêtres ogivales dont les carreaux ont disparu depuis longtemps. On se serra donc lun contre lautre pour la photo. Pour prolonger cet instant, javais mis 10 secondes de retardateur. Pendant ces dix secondes, elle samusa à se serrer plus fort contre moi en moffrant une vue plongeante dans son décolleté, ce qui automatiquement me fit bander. 321 clic, trop tard, fini malheureusement Cependant, elle eut bien le temps de sentir ma queue tendue dans mon jeans. Il me sembla pendant une fraction de seconde que sa main effleura même le renflement de mon jeans, mais je naurais pu le jurer. On continua ensuite notre visite et là, quand on sorti du bâtiment, à notre surprise, il ne pleuvait plus. Arrivés dans la lampisterie, où de longs comptoirs avec guichets permettaient à lépoque de dispacher les mineurs et de leur donner leur matériel, lenvie me prit de la voir couchée sur lun deux. Elle sinstalla donc sur un des guichets, les jambes en lair, en robe décolletée, la tête penchée vers moi laissant libre vue sur son décolleté et son soutien-gorge. La robe légèrement transparente laissait voir lintérieur de ses cuisses. Dans son regard quelle voulait celui dune allumeuse, un brin de perversion.

On recommença lopération dans les escaliers métalliques de la tour dextraction du puits n°3, elle couchée sur les escaliers et moi prenant la photo au dessus.

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