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Contes sexuels – Chapitre 5




Je regardais mon amante se faire lécher de façon sauvage le clitoris, auquel s’ajoutait un traitement agressif par des doigts fins de ses lèvres et de l’intérieur de son vagin. Elle mouillait tellement que sa partenaire avait les lèvres brillantes, comme un gloss épais et sale mais excitant, j’aurais voulu les rejoindre mais j’avais promis ce soir-là de ne rien faire et de laisser le corps de ma compagne être l’objet des fantasmes d’un couple de femmes. Un des nombreux pactes sexuels que nous avions conclus.

Nous nous étions rencontrés il y a une dizaine d’années, une soirée avec beaucoup de drogues et naturellement d’alcool, pour ma part un mélange des plus forts breuvages pour me faire oublier le vide qui m’habitait.

Lorsque je la vis : elle venait d’entrer dans la pièce et j’ai senti immédiatement son aura sexuelle, je devais me la taper et vite si possible. Elle était plus jeune mais me regardait d’un air fier et prétentieux, j’avais envie de la dresser en la faisant crier de désir pour après la pénétrer comme bon me semblait. Je regardais ses épaules fines, on devinait ses petits seins fermes sous sa robe noire assez transparente ainsi que des fesses musclées, que je voulais agripper et fesser sauvagement. Elle était venue vers moi et m’avait dit en souriant :

— Vous me payez combien de verres pour me baiser en partant ? Avec un clin d’il qui me fit me demander si je ne l’avais pas confondue avec une professionnelle.

Mais comme si elle lisait dans mes pensées elle dit :

— Je sais que je te plais, et t’inquiète pas, je suis juste un peu vénale haha…

On avait ensuite parlé quelques heures, on s’entendait finalement assez bien : elle s’appelait Lana et me dit d’emblée adorer le sexe sauvage, la sodomie puis embraya sur une discussion passionnée sur la peinture impressionniste, je la trouvais étonnante -même si elle pensait que c’était car j’étais Scorpion et qu’elle les avait toujours attirés, quelle blague. Mais elle était trop belle pour que je ne fasse pas semblant de m’intéresser à son discours farfelu : j’avais finalement réussi à la prendre en levrette contre un lavabo des toilettes, lui tirant les cheveux et lui tenant la bouche. J’avais éjaculé rapidement mais je voulais surtout me vider à cet instant et voir si elle avait le potentiel pour devenir ma nouvelle chienne. Oui, je n’avais pas encore mentionné mes préférences, à savoir la domination et l’éducation de jeunes femmes. J’aime les attacher pour les pénétrer par tous leurs orifices, j’aime les voir offertes à genoux écartant elles-mêmes leur beau cul, j’aime par-dessus tout les uniformes et les menottes – je crois que j’ai presque baisé, depuis mes 18ans et j’en ai 35, que des filles menottées haha… Elle n’avait pas joui mais m’avait regardé d’un air gourmand quand je lui avais dit d’aller chercher un mec pour le ramener ici et se faire pénétrer devant moi. Elle avait accepté et dix minutes après je regardais ma nouvelle esclave se faire prendre par un homme qui aimait lui pincer les tétons, si fort qu’elle avait eu du mal à ne pas crier. Après cela, nous avions rédigé et signé un contrat stipulant les conditions encadrant ce jeu sexuel. Elle avait accepté de venir chez moi deux fois minimum par semaine, je l’avais initiée depuis près d’un an quand je lui proposais la soirée de plan à trois avec un couple lesbien. Je voulais la pousser dans ses retranchements car jusqu’alors je l’avais seulement offertes à des hommes. Elle semblait contente, en tous cas très curieuse de leurs exigences – qui étaient à peu près toujours les mêmes, épilation intégrale et aucune MST.

Le jour J, elle me regardait sans appréhension, mais vraiment avec un désir affirmé. Elle essaya même de me sucer dans la voiture qui nous amenait à notre soirée, mais je la recadrais vivement et lui infligeait une punition : je l’obligeais à se mettre en sous-vêtements -balconnet sexy en dentelle et string, porte-jarretelles – mais en gardant ses talons, lui attachant les mains derrière le dos avec des menottes en cuir. Elle était heureuse je le savais, je la vis sourire un peu pendant que je la tirais sans ménagement par le bras pour la faire avancer dans le chemin de cailloux. Elle vacillait à cause de ses hauts talons de cuir noir, ainsi que de ses mains attachées dans son dos, j’étais deux pas derrière pour admirer le spectacle déjà très appétissant de cette belle esclave presque nue, avançant vers une soirée pleine de perversion. Elle marchait assez lentement pour ne pas tomber, ses hanches se balançant sensuellement – j’avais envie de la prendre là, à genoux dans ce gravier qui la blesserait mais j’avais signé un contrat ce soir et j’allais m’y tenir. Le couple nous attendait, j’imagine avec impatience, sur le perron de l’immense manoir de pierres de taille, entouré du parc que nous avions nous-mêmes traversé pour atteindre notre soirée. Je les vis sourire et une des deux chuchota quelque chose à sa femme, j’aurais voulu être à leur hauteur pour les entendre. Ma captive arriva finalement devant celles qui allaient en disposer pour la nuit, elle s’arrêta et se tint bien droite mais en baissant les yeux comme je lui avais appris.

— Elle est très belle, dit celle qui avait de longs cheveux noirs, Maria, en portant la main sur le sein gauche de son joli jouet

Mais pourquoi est-elle attachée ? Je la croyais obéissante, dit-elle me regardant et caressant le sein, puis pinçant le téton de Lana.

Celle-ci ne bougeait pas, attendant sagement les ordres comme je lui avais enseigné lors de nos longues séances. J’espérais être fier d’elle ce soir-là.

Oui, elle a voulu commencer les préliminaires sur le chemin, sans l’autorisation de ses maîtresses et je vous ai réservé le droit de la punir, dis-je en lui tirant violemment les cheveux, ce qui la fait sursauter et gémir. Kendra, la deuxième femme du couple, qui elle a les cheveux blonds et courts ainsi qu’une poitrine très impressionnante – dommage pour moi qu’elle ne me laisse pas m’en approcher – rit et s’approche de Lana, l’embrassant goulument avec la langue en lui tenant fermement le menton. Maria lui pinça encore le téton et on entendit ma soumise gémir. Kendra arrêta son baiser étouffant et la prit par un bras, tandis que sa femme prit l’autre et elles entrèrent dans le manoir : elles encadraient leur captive et lui malaxaient également à tour de rôle les fesses et les lèvres en marchant, je les suivais et voyais des doigts qui s’introduisaient déjà dans ses orifices tandis que les trois femmes entrèrent dans la pièce qui allait accueillir nos ébats.

La pièce immense était peu éclairée, on distinguait surtout un grand futon recouvert de soie rouge où elles firent asseoir leur esclave.

— Écarte les cuisses, dit Maria, prenant un petit objet ovoïde que lui tendit Kendra.

Elle se baissa et introduisit un oeuf vibrant dans le vagin déjà mouillé de Lana

— Ça rentre tout seul chérie rit Kendra.

Celle-ci s’était positionnée derrière Lana, à qui elle empoignait les seins et pinçait sensuellement les tétons pendant que des ronronnements électriques et les gémissements de ma soumise se faisaient entendre. Je m’étais installé sur un fauteuil, opportunément situé face au futon et n’en perdait pas une miette. Maria avait donné la télécommande à sa femme pour aller enfiler ce que je vis être un imposant gode ceinture, pendant ce temps celle-ci excitait leur petit jouet sexuel en s’occupant de ses tétons et de son vagin. Lana fermait les yeux et criait presque, elle ne vit donc pas sa tortionnaire mieux membrée qu’un homme se positionner face à son joli anus – que j’avais d’ailleurs fait saigner quelques fois au début – mais elle comprit assez vite ce qui allait lui arriver et essaya de s’avancer. Malheureusement pour elle, Maria fut rapide : elle lui tint fermement les hanches en la mettant à genoux et commença à s’enfoncer doucement en elle en disant :

— Bébé, non seulement ce soir tu nous appartiens, de même que ton beau petit cul que je suis en train de pénétrer, mais tu as également besoin d’être punie pour avoir désobéi, tu connais la règle donc ne crois pas que tu as ton mot à dire. Ne te fatigue pas à essayer de t’échapper"

Et à la fin de sa menace elle était rentrée entièrement dans le fondement de Lana. Celle-ci gémissait et grimaçait, je vis une larme couler sur sa joke gauche et je sentais sa soumission totale – j’étais hyper excité. On entendait toujours l’oeuf ronronner, Kendra regardait sa femme en sodomiser une autre d’un air ravi et on voyait qu’elle voulait tester la chose aussi. Après quinze minutes d’une sodomie profonde et lente, où les râles de Lana se mêlaient à ceux de Kendra qui se masturbait devant le spectacle, tout comme moi, ce fut à sa femme d’enfiler le gode ceinture. Elle avait un style plus impulsif, elle retira tout d’abord d’un coup l’oeuf vibrant du vagin de leur prisonnière – le passant à sa femme pour qu’elle le mette, ce qu’elle fit – puis commença par la pénétrer vaginalement en la forçant à se cambrer : elle était si belle et désirable, toujours en sous-vêtements sexys et déjà transpirante, ses seins dressés et pointus de désir. Elle adorait la levrette et je crois que Kendra la baisait bien car elle hurlait de plaisir, mais sa maîtresse décida de changer inopinément d’orifice, heureusement déjà ouvert par sa femme. Le gode lubrifié par son vagin rentrait et sortait en rythme, c’était un magnifique spectacle et j’allais bientôt éjaculer. Mais Lana ne devait pas jouir maintenant semblait-elle penser en se retirant et en la faisant se tourner vers le dos, cuisses écartées crument, exposée vers moi. Maria vint s’agenouiller près de ses jambes et s’avança pour commencer à la lécher.

Voilà où nous en étions avant que mes pensées se perdent, en général après un orgasme je m’écroule de sommeil. J’avais éjaculé alors que Kendra était monté sur le lit et s’était assise sur le visage de ma soumise, qui la léchait sûrement vu ses gémissements et ses mouvements de bassin. Je fermais les yeux en écoutant les soupirs et gémissements de ces trois déesses du sexe.

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