Les jours puis les semaines passaient et même si je voyais régulièrement ma voisine, rien ne transparaissait dans son comportement de nos ébats passés. Les "bonjour" se succédaient donc et je commençais à me dire que prise de remords vis-à-vis de son mari, elle ne donnerait plus suite.
Les vacances de Noël arrivaient et je me disais que ça aura été sans lendemain. Ravi d’avoir réalisé ce fantasme de longue date, mais frustré du fait que ça ne dure pas.
Cependant, durant ces vacances, ma mère me dit que Valérie aurait besoin d’aide car son mari est parti en vacances quelques jours avec les enfants et qu’elle a un souci de PC qu’elle est incapable de m’expliquer. De plus, elle aura besoin d’aide car elle va bientôt faire les soldes. Ne souhaitant pas afficher mon enthousiasme, j’acceptais, mais préférais dire, sarcastique, qu’elle avait besoin d’un porteur pour ses courses.
Le problème de PC s’avéra être simplement quelques mises à jour à faire, mais aussi l’occasion de me demander si j’étais disponible le lendemain pour la journée. Bien sûr que j’étais disponible. Nous aurons toute la journée tous les deux.
Je pensais donc être occupé, et ravi de l’être pour le premier mercredi des soldes, pourtant, j’appris rapidement que notre escapade était prévue pour le lendemain. Un peu d’incompréhension donc, mais rien de bien méchant.
Le premier jeudi des soldes donc, Valérie sonna chez mes parents. Elle discuta un petit peu puis je fus "convoqué" en tant que porteur.
"Et essaye de parler un peu" me lança ma mère avant de partir.
Une fois dans la voiture, Valérie me dit : "Oui, c’est quoi cette mine boudeuse ?"
"Tu veux rire ? Ça fait des semaines que tu ne m’adresses plus la parole et toi qui es si élégante d’habitude, tu ressembles à un sac à patate avec tes baskets. Pourtant je sais ce que tu caches en dessous"
"Merci pour le sac à patates, mais bon, ce qu’il y a en dessous te remercie quand même."
Nous nous mîmes en route, mais pas dans la direction vers laquelle je pensais.
"On va où ?" demandais-je.
"Chez mes parents, j’ai laissé les courses faites hier dans leur garage. Ce sont des vêtements pour les petits. Aujourd’hui, c’est ma journée"
Une fois arrivée, elle me demanda de l’attendre. Aucun souci pour moi, même si cette annonce restait pleine de mystère. Je pensais qu’elle en aurait pour quelques minutes, pourtant c’est seulement au bout de presque une demi-heure qu’elle revint.
Elle était comme transformée. Le sac à patates devenu Cendrillon.
Elle portait un magnifique tailleur bleu deux-pièces avec une veste. Le haut était bien décolleté et la jupe lui allait à mi-cuisse. Elle portait également de magnifiques escarpins blancs à bride avec des talons d’une bonne dizaine de centimètres et je pus apercevoir la lisière de ses bas lorsqu’elle monta dans la voiture. Elle était magnifique, élégante et sexy, mais pas du tout vulgaire. La femme parfaite.
"Tu es sublime !" lui dis-je.
"Merci, je préfère ça"
"Alors, où va-t-on ?"
"Eh bien, faire les soldes mon jeune amant, mais aujourd’hui je m’occupe de moi et je compte sur toi pour m’y aider"
"Je suis tout à ton service ma belle."
"Oh arrête avec ça."
Si elle savait dans l’état dans lequel j’étais. Je crevais d’envie de passer ma main sous sa jupe pour voir si elle portait un porte-jarretelle. Je voulais la prendre tout de suite sur la banquette arrière.
Elle continuait à conduire, imperturbable, me lançant juste des regards coquins, remontant, volontairement ou non, sa jupe lors des arrêts aux feux rouges.
Quelques minutes avant d’arriver, elle s’arrêta en bordure de forêt et longea ma cuisse en remontant avec ses mains fraichement manucurées.
"Et bien ! Quelle vigueur !"
Elle caressa alors ma verge délicatement. Je me sentais si serré. Elle le sentit et entreprit de défaire mon pantalon. Je l’aidais dans son ouvrage.
Je me retrouvais alors le pantalon au niveau des chevilles. Elle me suçait avec tant d’application que j’eus l’impression qu’elle avait attendu ça avec autant d’impatience que moi.
Sa langue faisait de lents va-et-vient le long de ma bite et elle gobait régulièrement mon gland.
Au bout de quelques minutes, je la prévins que j’allais venir. Elle me prit alors presque entièrement en bouche pour que je vienne. Elle n’en perdit pas une goutte.
"Voilà une belle entrée en matière." Me dit-elle en remettant du rouge à lèvres.
"Maintenant je suis prête."
Le parking du centre commercial était bien sûr bondé, mais on trouva tout de même une place.
Une fois garés, nous marchions côte à côte, mais je ne pouvais m’empêcher de me mettre un peu en retrait pour l’admirer. Elle était flattée et me lançait de charmants sourires. Je la pris par la taille et descendit le long de sa fesse.
"Oui, tu sens bien une jarretelle mon coquin."
J’étais aux anges.
Nous enchainions ensuite les magasins de lingerie ou en tout cas en proposant : Darjeeling, Rouge Gorge, Aubade … Elle choisit trois paires de bas chez Wolford : des bas classiques noirs avec et sans couture et deux paires de bas blancs, classiques et autofixants.
J’étais ravi de ses choix, mais elle me paraissait contrariée. Effectivement, même si ses formes me comblaient, il n’est pas évident de trouver de la belle lingerie quand on fait du 105D (Internet n’était alors pas ce qu’il est aujourd’hui).
Puis nous nous arrêtâmes chez Lise Charmel. Pour les connaisseurs (et les autres) la gamme Eprise, propose de magnifiques modèles en grande taille. Elle trouva une longue nuisette fendue, deux parures et surtout une magnifique guêpière blanche. Elle prit ensuite d’autres parures au hasard.
Elle chercha ensuite une vendeuse pour lui demander où étaient les cabines d’essayage. Je remarquais alors que les magasins où nous allions étaient bien moins fréquentés que le reste du centre commercial.
Une fois arrivée devant la cabine, elle passa la première puis le dit :
"Reste là un instant."
Quelques minutes plus tard, elle entrouvrit le rideau et me fit entrer. Elle était superbe. Elle portait la guêpière blanche, les bas blancs Wolford et ses escarpins. Sa chatte était fraichement taillée. Elle me dit alors tout doucement :
"Assieds-toi sur le tabouret"
Je m’assieds. Elle s’avança vers moi, son sexe humide à hauteur de mon visage et je pus commencer à la lécher. Ma langue passait doucement entre ses lèvres. Je souhaitais aller doucement et y mettre autant d’application et de tendresse qu’elle dans la voiture.
Son bassin faisait de petits mouvements et elle mit ses mains derrière la taille pour rester plaquée contre moi. Je craignais qu’on soit découverts, mais je retournais vite à d’autres pensées. Ma belle Valérie commença à gémir et je sentais son entrejambe s’humidifier de plus en plus. Elle me caressait les cheveux en plaquant ma tête contre son humidité.
Elle prit ensuite un peu de recul, mis son doigt sur sa bouche et me dit :
"Viens, prends-moi par derrière."
Je passais alors derrière elle. Elle posa son escarpin sur le petit tabouret et je commençai à la pénétrer. Elle était trempée. Je ne sais quels sentiments la traversaient : l’excitation de mon cunnilingus, la cabine d’essayage où l’on pouvait être surpris à tout moment, le fait de tromper son mari, qui plus est avec le voisin …
Je n’avais pas encore remarqué, mais la cabine disposait d’une glace, et je pus alors voir son visage. Le plaisir la débordait, mais elle essayait de le contenir. En me voyant la regarder, elle me fit un large sourire et je pus lire sur ses lèvres.
« Prends-moi plus fort, défonce-moi »
Je ne me fis pas prier et accentuait les coups. J’étais tellement excité de la prendre comme ça, en guêpière, par derrière et en plus presque en public. Son visage parachevait ce sentiment de plénitude. Le fantasme que je gardais depuis tant d’années était enfin réalisé. Je sentais sa chatte si douce contre mon membre, elle était trempée et je pouvais en profiter comme bon me semblait. Je la sentis soudain se contracter et ralentir dans ses mouvements. Je ralentissais moi aussi et jouis en même temps qu’elle en essayant de faire le moins de bruit possible.
Nous laissions échapper un soupir de contentement et reprîmes nos esprits. Je sortis discrètement de la cabine pendant qu’elle reprit les parures qu’elle avait choisies et remis la guêpière sur son cintre. Nous avions repris notre souffle et nous dirigions vers la caisse. Elle demanda à la vendeuse où remettre les parures qui ne lui allaient pas.
« Vous pouvez me les laisser, je les rangerai »
Elle regarda la première et dit avec un large sourire complice :
« Effectivement, le 85 B ne devait pas vous aller »
Elle nous avait effectivement en orientant les autres clients vers les cabines qui se trouvaient à l’autre bout du magasin.
Valérie se mit à rire, mais elle était rouge pivoine. La voir aussi gênée m’amusa alors qu’elle semblait si sûre d’elle depuis ce matin.