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L'Internat du sexe – Chapitre 3




En gémissant, Marc éteignit le réveil qui venait de le tirer de ses rêves. Il resta encore quelques instants, allongé, avant de chasser sa couette et de se relever. Comme toujours, une bosse déformait son bas. Il se surprit à penser comment son sexe pouvait encore avoir des forces après la soirée qu’il venait de passer.

Il prit la direction de sa très exiguë salle de bain et se rinça le visage, puis le torse, n’épargnant aucune partie. Ses mains effleuraient avec rapidité des muscles transpirants, qui avaient fait la joie de Manon.

L’adolescent allait commencer à se changer quand la sonnette résonna. Intrigué, il se dirigea vers la porte qu’il entrouvrit. L’individu força le passage et se jeta sur lui, les bras autour de son cou. Marc poussa un soupir de soulagement quand il comprit qu’il s’agissait de Manon.

Tu vas bien beau garçon ? Je n’ai pas pu m’empêcher de te rejoindre ce matin.

Un sourire illumina le visage de Marc et les deux amants se regardèrent, se dévorant des yeux l’un et l’autre. Sensuellement, elle vint faire glisser son doigt dans le creux de son épaule, déclenchant une vague de frisson dans tout le corps du jeune homme.

Ce serait un honneur pour moi de t’habiller, glissa-t-elle, avec toujours le même sourire coquin en coin.

Ce serait un honneur pour moi d’accepter ta demande, princesse.

Marc la reposa sur le sol, et Manon s’élança vers sa garde-robe. Elle chercha quelques instants, avant de revenir avec un petit tas d’habits qu’elle déposa sur le lit. Elle contempla longuement le corps d’athlète qui s’offrait à elle, et s’attarda vers le short noir qui lui cachait son intimité. Doucement, elle posa ses mains sur les bords du vêtement, et doucement, elle vint le tirer vers le bas, dévoilant à ses yeux le sexe à demi gonflé de son amour.

Elle posa une main chaude sur cet attribut d’un dieu de l’Olympe, prête à lui redonner de la vigueur.

Une autre fois, sursauta Marc à son oreille, on a pas trop le temps.

Déçue, elle arrêta son travail et lui fit enfiler un boxer blanc, puis un pantalon élégant noir qui était assez serré. Elle adorait. Elle alla à la quête d’un baiser qu’elle réussit avant de saisir un polo bleu. Elle admira une dernière fois ce torse de dieu de l’Olympe, puis referma les derniers boutons. Quelques secondes, elle observa son travail, et fut satisfaite.

Les deux jeunes gens prirent la direction de la sortie. Manon sentit une main se poser délicatement sur ses fesses pour la pousser vers la sortie. A son tour, une vague de frisson l’envahit. La tension sexuelle était à son comble, et elle ne pensait pas qu’elle tiendrait jusqu’à ce soir, si soir en commun il y avait.

Ils prirent le petit-déjeuner ensemble. Les autres élèves s’étonnèrent de leur soudaine complicité. Au détour d’un couloir, un de leurs amis les adressa un clin d’il étrange qui semblait lourd de sens. Oubliant cet instant, ils se rendirent en cours.

Les équations de succédaient au tableau, les calculs également. Au fond de la salle, le long du mur, les deux amants étaient sensiblement à l’écart. L’ennui devenait de plus en plus grand, l’un et l’une n’avait que de pensées pour l’autre.

Manon sourit quand elle sentit une main insistante se poser au niveau de son entrecuisse. Les doigts cherchèrent la fermeture éclair.

Manon relâcha un soupir d’excitation, et se mordit sensuellement la lèvre inférieure, sous les yeux amoureux de Marc. Il la dévorait du regard. Ici, en plein cours, il ne pouvait rien faire. Il ne pouvait pas l’embrasser fougueusement, la prendre dans ses bras. Discrètement, ses doigts firent coulisser sa fermeture de pantalon. La tension était à son comble. Il effleura la culotte humide de son amante et continua son aventure dans l’intimité de Manon. N’y tenant plus, il passa sa main sous le sous-vêtement et atteint son entrejambe bouillonnant. Manon recouvrit de sa main froide le poignet de Marc, et lui fit accélérer son geste. Elle laissa s’échapper un gémissement, un peu trop fort.

Immédiatement, Marc s’arrêta dans son geste, et scruta les autres élèves. Personne ne semblait l’avoir entendu. Mais leur voisine de devant se retourna et fixa avec étrangeté les deux amants. Manon avait les jours pourpres et paraissait essoufflée. Les yeux de la jeune fille suivirent le bras de Marc et s’arrêtèrent sur sa main posée sur la cuisse de Manon. Cette scène d’une extrême gêne s’arrêta lorsque la sonnerie résonna. Manon se leva rapidement, rangea ses affaires, et s’enfuit en courant, sûrement en direction des toilettes. Seul, Marc contempla Élisa se rapprocher de lui. Il ne savait ce qu’elle allait dire. Cependant, il était persuadé qu’elle pourrait le faire chanter dorénavant.

Vous avez l’air de très bien vous entendre, dit-elle avec un sourire sur les lèvres.

Marc effectua une moue approximative du visage et sentit la chaleur lui monter au visage. Élisa se rapprochait toujours plus et posa une de ses mains sur le bas du torse du jeune homme.

Cela serait dommage que toute la classe soit au courant…

Marc avait vu juste, et il pesta intérieurement. Effaré, il observa la main de la jeune fille se glisser sous son haut et venir caresser les bosses de ses abdominaux.

Cela serait encore plus dommage de ne pas profiter d’un beau garçon comme toi…

L’adolescent recula un peu et repoussa délicatement le bras d’Elisa. Mille pensées l’assaillaient. Et si Manon le trouvait dans cette position avec une fille presque collée à lui ? Il ne préférait pas y penser. Cependant, il ne put s’empêcher de faire glisser son regard vers le décolleté plongeant d’Elisa qui la rendait si désirable malgré son amour inconditionnel pour Manon.

J’aurai un service à te demander, commence-t-elle en repassant une de ses longues mèches blondes derrière son oreille gauche. J’aurais besoin d’un photographe…

Pour ? réussit à articuler Marc.

Je fais du Nud’Art. C’est-à-dire, je pose et je prends des photos excitantes de moi, puis je les retouche, pour obtenir le cliché parfait.

Et tu penses que je vais accepter ça ? s’injuria Marc, ahuri.

Seule, c’est difficile. A vrai dire, tu n’as pas trop le choix.

Après un dernier clin d’il coquin, elle s’en alla. A travers son jogging moulant, Marc admira ses fesses s’agiter. Il avait une envie irrésistible de poser ses mains sur ses hanches, mais il ne pouvait pas faire ça. Son esprit s’en retrouvait torturé : que faire ? Devait-il en parler à sa belle ? Devait-il garder cela pour lui ? Il se sentit honteux quand il découvrit la bosse qui déformait son bas. Cela n’allait pas être facile de résister à la tentation de prendre en photo ce corps. Et qui sait ? Il pourra peut-être faire des clichés de Manon aussi ?

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