Je passai un coup de fil à mes parents. Ils furent heureux de savoir que j’avais trouvé du travail et un logement. Ma mère me demanda des nouvelles de sa sur. Je lui répondis que je ne la voyais que rarement.
Ces quelques mensonges supplémentaires furent nécessaires au regard de ma situation.
La réalité fut tout autre.
J’alternai entre mon studio et la maison de ma tante.
Je fus manager junior dans ma boîte d’électronique. Parlant anglais couramment, mon directeur France évoqua la possibilité de migrer aux states comme on dit pour y devenir superviseur.
Il me laissa le temps d’y penser.
Mais auparavant, un souvenir frappant me revint en tête.
Mon anniversaire !
Ce fut un vendredi et le jeudi, je dormis chez ma tante. Le lendemain matin, je me levai de bonheur, Nice étant à une trentaine de km de Sophia.
Je descendis habillé et ma tante m’accompagna dans le couloir. Nous nous embrassâmes comme d’habitude puis Chantal ôta sa robe de chambre, tout en gardant sa nuisette.
Sur le moment, je ne compris pas.
— Mon chéri, je te souhaite un bon anniversaire !
— Merci mon amour.
Puis elle s’agenouilla et déboutonna mon pantalon en me regardant, tout sourire. Étant sur le point de partir, mon sexe n’afficha pas une forme resplendissante.
Chantal ne se gêna pas.
— Eh bien, je vais avoir du travail…
Elle baissa mon pantalon et me caressa les cuisses pour habilement diriger ses doigts fins vers mes testicules. Elle approcha sa bouche somptueuse pour sortir sa langue et souleva mon membre en léchant mes parties.
— C’est divin ce que tu me fais.
— C’est mon cadeau, laisse-moi faire.
Très vite mon sexe se montra impatient, mais Chantal poursuivit vers le bas. Ma tante se leva et m’entraîna vers la cuisine pour m’installer sur une chaise, le sexe dressé face à elle, à nouveau accroupie.
J’écartai bien les jambes et cette fois, Chantal pencha sa tête pour me suçoter le gland. Sa langue virevolta autour, instant délicieux. Elle posa sa joue sur ma cuisse et à grands coups de langue, elle me lécha mon membre désireux de connaitre la saveur de sa bouche.
Chantal le sut très bien et mes mains l’invitèrent à subvenir à cette requête pressente.
— Jean, c’est mon cadeau et je veux te faire un grand plaisir.
Je ne répondis pas laissant les commandes à ma charmante compagne. Le temps nous fut compté et ma tante s’en rendit compte.
Sans se précipiter, elle débuta par d’amples caresses inédites en faisant glisser mon sexe le long de sa joue, tout en l’effleurant au passage avec ses lèvres humides. Mon sexe se dressa et ma tante ressentit mon désir lorsque ma main vint se poser sur son front pour la décoiffer dans la foulée.
Elle plaça sa bouche en face de mon gland, pour cette fois-ci engloutir dans son palais mon pénis friand de sa tiédeur.
Elle se redressa en me fixant amoureusement et sans me quitter des yeux, ses lèvres recouvrirent ma verge en y déposant sa salive suave.
Elle me suça avec une douceur infinie, observant le plaisir engendré par sa langue tournant autour de mon gland, bien introduit au fond sa bouche délicieuse.
Je quittai la notion du temps, savourant la chaleur de la cavité buccale de ma tante, suçant mon sexe sans relâche. Puis mon pénis ressortit à l’air libre, ma tante jouant avec la pointe de sa langue au bout de mon gland, le frottant contre la douceur de ses lèvres.
Je ne fis que la regarder, admiratif de la fellation royale qu’elle m’offrit. Chantal fut réceptive et eut le ressenti que son adresse buccale porta ses fruits.
Je pris sa tête entre mes mains, lui caressant le menton pour l’amener à hauteur de mon sexe. Chantal y appliqua ses douces lèvres et creusa ses joues pour m’offrir sa bouche, mon sexe s’y engouffrant sans hésitation. Elle me suça telle une partition musicale classique, du grand art.
— Oh t’es une reine !
— Tu me l’as dit. Dit-elle gardant mon sexe au contact de ses lèvres humides.
— T’aimes bien me sucer, pas vrai ?
— Oui j’adore te sucer mon chéri, j’aime te sentir dans ma bouche. Ajouta-t-elle en me faisant cette fois des baisers sur ma verge.
— N’arrête pas.
— Mais j’y compte bien mon chéri. Dit-elle en suçant par alternance mon gros sexe, comme s’il lui appartenait.
La conversation finie, mon sexe s’engouffra dans la jolie frimousse de ma tante. Elle me suça avec lenteur pour mieux ressentir mon membre à l’intérieur de sa bouche, le sentir glisser entre ses lèvres sensuelles.
Sentant ma semence arriver, Chantal entreprit d’accéler le rythme en me caressant les cuisses.
Je sentis à l’intérieur de sa bouche, sa langue tournoyer autour de mon gland.
Voir mon sexe pénétrer dans le doux visage de Chantal aux lèvres si bien dessinées se transforma en une jouissance ultime. Chantal continua son va et vient avec ma verge avec lenteur, devenant un véritable métronome diabolique.
Mes spasmes arrivèrent, une première vague déferla dans la bouche de ma sublime tante imperturbable. Elle en avala ma semence sans mot dire, me pompant irrésistiblement. Telle une gloutonne, elle aspira mon sexe qui n’en finit pas de jaillir en elle. Je la vis reprendre son souffle, ingurgitant ma liqueur pour reprendre sa fellation.
Elle suça ma verge avec vigueur d’une seule traite, pour la faire ressortir en se délectant à nouveau et se la remettre en bouche. Ses lèvres charnelles épousèrent mon sexe, se mirent en applique sur mon gland, la pointe de sa langue se glissant dans mon méat.
Elle m’engloutit plusieurs fois pour récolter le fruit de son travail admirable jusqu’à la moindre goutte.
Le bonheur prit fin et je vis les lèvres langoureuses de Chantal se détacher de mon sexe avec regret, quelques baisers accompagnèrent ce départ. Elle s’essuya discrètement la bouche.
— Tu as aimé ? Me dit-elle les yeux brillants.
— Fantastique ma chérie.
— Alors tu peux aller travailler. Ajouta-t-elle dans un sourire complice tout en tapotant mon sexe une dernière fois contre ses lèvres.
— Je te dois une revanche !
— Oh je ne m’inquiète pas avec toi.
— Alors à ce soir et fais-toi encore plus belle.
— Compte sur moi, je serai en deux pièces avec des talons !
— Wouah !
Sous un soleil radieux, la journée se déroula idéalement avec une idée en tête, retrouver ma tante le soir. Je quittai le travail à 17 heures pour une soirée fort excitante en perspective.
Je n’arrivai que vers 19 heures, pris dans les embouteillages des vacanciers. Je vis ma tante sur la terrasse, assise dans un fauteuil.
— Bonsoir Chantal.
— Bonsoir mon chéri, j’ai mis du champagne au frais.
— C’est cool, j’amène deux coupes.
Ma tante avait tenu parole, j’arrivai avec le plateau m’installant face à elle.
Elle portait un soutien-gorge et un slip échancré de couleur blanche, ultra sexy. Bronzée, sa chevelure blonde lui apportait un charme indéniable. Elle croisait ses jambes pour mieux les décroiser.
— Et ta journée ? Me demanda-t-elle très décontractée.
— Ca était et toi ?
— Je n’ai fait que penser à toi mon neveu adoré.
— Moi aussi et surtout depuis ce matin, c’était fabuleux et je crois que tu aimes vraiment me le faire.
— Je t’ai déjà répondu ce matin mon chéri et je t’ai dit que j’aimais te le faire.
— Tu ne peux pas savoir la sensation que tu me procures.
— Eh bien figure-toi que moi aussi et puisque tu souhaites en parler, quand je te suce ton beau sexe, ça me rend folle de le sentir à l’intérieur de ma bouche, je mouille quand je suce mon neveu !
Elle me fit un petit sourire et porta la coupe à ses lèvres. Aussitôt je me levai, étant en caleçon, et je me mis face à elle, sortant mon sexe bien droit.
Ma tante ne se dégonfla pas et après une gorgée de champagne, elle porta ses lèvres face à mon gland pour s’y coller amoureusement. Je sentis sa langue venir furtivement tournoyer puis elle reprit sa coupe.
— Satisfait chéri ?
— Pas mal !
— Alors ne bouge pas.
Chantal vida sa coupe, la posa sur la table et déposa de multiples baisers sur la longueur de ma verge, tout en la caressant avec ses doigts fins.
— Oh ma Chantal à moi.
— C’est mieux ?
— Pas encore !
Ma tante prit tout son plaisir à m’embrasser mon pénis en feu, ce fut diablement excitant. Ses lèvres humides vinrent à la rencontre de mon membre et Chantal l’engloutit dans sa bouche somptueuse. Ses va et vient commencèrent et je vis les yeux de ma tante se fermer sous le plaisir qu’elle se procurait.
J’en déduisis que ma tante était une excellente suceuse et qu’elle aimait me le faire.
Elle ralentit puis se recula.
— Jean, tu es le seul homme que je suce avec autant de plaisir et je ne l’ai pas fait souvent, je voulais que tu le saches.
— Chantal, c’est mon anniversaire ?
— Oui mon chéri.
— Alors suce moi pendant tout l’apéro.
— Mon neveu exagère !
— Mais ma tante en raffole.
— Ouii. Avoua-t-elle.
Je remplis la coupe de ma tante et lui la tendit, tandis que sa main caressa mon sexe, en attente de sa fellation.
Chantal but coup sec et me regarda avec insistance. Mes doigts essuyèrent ses lèvres puis ma tante saisit mon index pour le mettre dans sa bouche. Elle aspira mon doigt avec insistance mais mon sexe s’impatienta.
Je pointai mon membre à hauteur du nez de ma tante.
— C’est vrai que tu es comment dire, bien monté.
— Tu ne t’en plains pas. Lui dis-je d’un ton assuré.
— Bien au contraire mais Jean, je te suce mais ne m’oublie pas !
— Fais toi plaisir, suce ma Tatie, suce ton neveu.
Chantal n’y alla pas par Quatre Chemins, elle appliqua ses lèvres douces contre mon gros sexe pour l’engloutir au fond de son palais. Elle reprit sa fellation royale de la matinée. Toujours ce va et vient méthodique allant au fond de sa bouche, pour ressortir à l’extrémité de ses lèvres sensuelles. Une fois mon sexe rentré dans sa bouche, sa langue habile vint câliner mon gland.
Je ne me lassai pas de ce spectacle.
Ma tante fut infatigable, elle me suça sans relâche un bon quart d’heure. Mais la nature reprit ses droits, je sentis mon excitation grandissante.
— Suis moi Chantal.
En se levant, je la serrai contre moi et l’emmenai dans la chambre. Je m’allongeai sur le lit, le sexe dressé au plafond.
— Déshabille-toi doucement.
— Ah je suis devenu ton gâteau d’anniversaire !
— Exactement et je veux le déguster.
Ma tante prit soin d’ôter son soutien-gorge pour voir apparaître deux belles poires bien mûres, puis ce fut le slip. Un beau triangle blanc apparut avec l’effet du bronzage. Mon cur se mît à battre la chamade quand Chantal se mît pieds nus.
Mon gâteau fut face à moi.
Chantal monta sur le lit et vint se mettre à genoux, son intimité au-dessus de mon visage.
— C’est moi qui commande maintenant mon petit neveu !
— Approche ton triangle blanc…
Ma tante se dévoila au fur et à mesure de notre relation. Réticente voire un peu coincée au départ, elle se lâcha littéralement autant dans les mots que dans les gestes. Je ne fus guère habitué à voir ma tante se comporter ainsi et je conclus que mon attitude envers elle y fut pour beaucoup.
— Ah ah ! on veut déguster le triangle de sa Tatie, mais il faut lui demander gentiment !
— T’en meurs d’envie, approche.
— Alors on va déguster lentement la belle chatte de sa tante adorée !
Ce langage cru ne me déplut pas, Chantal se trouva dans une confiance, une sérénité totale avec moi. Notre différence d’âge disparut avec son attitude quelque peu joviale. Je saisis ses hanches, approchant sa belle intimité au bord de ma bouche. Chantal se dressa majestueusement.
Je commençai la dégustation de ma tante, ma langue vint se plaquer contre ses lèvres trempées, mes mains englobèrent sa poitrine étincelante.
La tête haute, le buste en avant, elle balança son bassin pour finir par s’accroupir, cédant aux affres du plaisir. Perdue dans cette jouissance naissante, ma tante me prit les mains comme pour mieux se sentir désirée, aimée. Je la regardai savourant son plaisir et je pensai à un vieux proverbe indien.
"J’ai été contaminé par ton Etre,
Une partie de toi y vit et y grandit".
Je ne sus lequel des deux avait contaminé l’autre, mais dans l’instant présent une partie de moi contaminait ma tante.
Mes lèvres, ma langue, ma bouche toute entière firent tous les caprices de Chantal, affolant son point culminant, enflammant l’intérieur de sa vulve.
— Tu me rends complétement dingue Jean !
— Je sais ma douce Tatie.
— Oh la vache, tu me fais jouir quand tu veux !
En effet, une liqueur abonda de son intimité aux lèvres diaphanes, je consommai ma tante, je bus son excitation. Totalement décomplexée, Chantal se mit à se mouvoir d’une manière érotico-sensuelle, me laissant dévorer son triangle blanc en plein visage.
N’y tenant plus, elle s’allongea sur moi en se laissant glisser pour m’allouer ses lèvres, désireuses des miennes.
Ma tante s’improvisa patronne, je n’eus que le temps de rejoindre ses fameuses lèvres qu’elle y introduit sa langue avec une adresse diabolique. Nous fûmes loin d’échanger un baiser romantique, certainement plus proche d’une pelle ou d’une galoche.
Qu’importe, Chantal en eut terminé qu’elle s’allongea sur le dos en me caressant les épaules.
— Viens me prendre mon beau neveu.
— Ah il faut demander gentiment ! Lui dis-je en souriant.
— Baise-moi mon amour s’il te plait.
— Vraiment ?
— Oui baise ta tante adorée, pénètre-moi en profondeur…
Chantal écarta ses jambes et creusa son ventre.
Nom de dieu ! Qu’elle était belle à regarder, belle à baiser, à pénétrer, à faire jouir, à couvrir de baisers, que sais-je encore…
Mon sexe répondit présent à cet ordre venu de ma tante, elle me regarda fixement les yeux brillants.
Mon sexe s’enfonça goulûment dans le vagin de Chantal, ma pénétration lente se fit sans va et vient, je vis mon sexe se perdre dans la plastique irréprochable de ma tante qui continua de me fixer.
Nous vécûmes un instant magique, nos regards se soudant, nos corps en fusion. Nous savourâmes sans mot dire notre accouplement incestueux faisant place à la jouissance de se sentir l’un dans l’autre.
Mon sexe arriva au plus profond de l’intimité de ma tante, je donnai un coup sec puis un deuxième ce qui arracha un cri étouffé de Chantal. Elle en pinça mes cuisses de plaisir, aussi je commençai dans les règles mon travail de sape. Ma belle ennemie s’agrippa au combattant que je fus et usa de règles pour que le combat ne cesse. De longues caresses dans le dos et des mots tendres étouffèrent mes ardeurs.
— Jean, je n’en peux plus de toi.
— Tout comme moi.
— Qu’est-ce que j’aime te sentir en moi. Me dit Chantal avec une voix apaisée.
— Tu préfères te faire sauter ou me sucer ?
— Que tu es bête ! Les deux mon ami…
J’embrassai ma tante de plus belle et mes coups de reins ravageurs portèrent leurs fruits. Mon sexe ressortit de son vagin pour y entrer à nouveau, Chantal me fit des baisers torrides dans le cou et j’entendis un clapotis du fait de mes va et vient perpétuels.
Elle se mit à jouir à tout rompre, m’entourant avec ses jambes pour mieux sentir mon membre logé au plus profond d’elle-même. Je continuai pour l’emmener avec moi, pour lui faire atteindre les étoiles, l’inaccessible étoile chère au poète.
Je voulus atteindre un idéal indépassable, une sorte de Graal, oscarisée ma tante pour le meilleur orgasme qu’elle ait connu. Une sorte de quête vers l’infini, vers le plaisir absolu.
Chantal respira de manière saccadée, son orgasme devint imminent, je collai mes lèvres aux siennes pour que nos langues s’entremêlent.
— Viens en moi, viens… Dit-elle en chuchotant.
Le déclic se fit ressentir, l’impression me fut donnée d’avoir un sexe hors du commun, j’entrai dans ma tante comme bon me semblait. Elle fut ma chose, mon fantasme à moi, ma beauté intemporelle.
Je l’enveloppai dans mes bras et ma semence déferla en elle, inonda son bas ventre, le temps s’arrêta une nouvelle fois.
— Oh ouiiii Jean !!!
— Tu es à moi.
— Ouiii je t’appartiens. Continue ! Continue…
Je n’arrêtai plus, je baisai ma tante comme un sauvage, en véritable damné du sexe et Chantal en redemanda.
Elle suffoqua du plaisir reçu, tortilla son corps prisonnier de son orgasme puissant. Elle n’eut plus la force de contracter son vagin, je continuai mes ruades dans le corps splendide de ma bien aimée.
Chantal se libéra, s’abandonna toute entière par des mots venus de son for intérieur.
— Ouiii c’est bon, comme tu sais la baiser ta tante !
— Tu adores te faire sauter ma Tatie, je te connais par cur. Luis dis-je relativement essoufflé.
— Oui j’adore, j’adore te sentir en moi, j’adore tout ce que tu me fais, enfin bref je t’aime Jean.
— T’es ma douce Chantal.
— Oh la la, tu me fais craquer ! Donne-moi encore des frissons, continue de me baiser comme une déesse !
Je me redressai et ma tante mît ses mains derrière la tête. Je repris mon va et vient bien lentement, histoire de savourer le corps de ma tante, de bien la pénétrer tout en puissance même si mon sexe accusa sensiblement le coup.
Bien que Chantal m’excitât au plus haut point, je ne fus plus à la hauteur de ses espérances. La solution de repli s’avérant impérative, je me retirai d’elle en lui suggérant qu’un brin de toilette avant de passer à table serait bien utile.
Ma tante, toujours gourmande de sexe me fit un baiser et se dirigea vers la salle de bain entièrement nue, ce qui au passage me permit de voir son petit derrière toujours aussi ravissant.
Je la rejoignis dans la cuisine mais cette fois, elle fut vêtue de sa nuisette la plus transparente. Affairée dans sa préparation culinaire, elle ne rechigna pas lorsque je lui caressai ses fesses à la peau claire, des fesses bien fermes, bien vigoureuses.
— Jean, c’est prêt, nous pouvons nous mettre à table.
— Tu as pensé à un gâteau ?
— Oui, ce sera ta surprise !
— C’est toi que je dois déguster ?
— Plus tard mon chéri, d’abord à table. Me dit-elle sur un ton maternel.
Le chant des cigales nous accompagna lors de notre dîner, ma tante ayant tout prévu. Nous dînâmes avec une bougie en guise d’éclairage donnant un cadre romantique avec l’aide de la piscine aux eaux scintillantes. Ma tante prit le soin de me servir, aussi je remarquai son maquillage mettant en valeur ses yeux et ses lèvres à croquer.
Le repas terminé, ma tante revint avec un gâteau avec 23 bougies. Dans l’action, je ne sus si ce fut de voir ma tante avec ses jambes si fines, si désirables mais je me posai la question de savoir s’il me fallait goûter le gâteau ou croquer ma tante.
— Souffle mon chéri !
— Je souffle…
Et les bougies se firent discrètes puis ma tante me tendit un paquet.
— Une montre ! Qu’elle est belle.
— Ca te fait plaisir ?
— Elle est magnifique, viens par-là que je te remercie.
Chantal approcha et nous échangeâmes un doux baiser. Le dessert fini, nous reprîmes du champagne et ma tante me proposa de le boire près de la piscine.
Je m’assis confortablement, Chantal restant debout. Elle vit mon visage quelque peu surpris.
— Tu voulais un autre cadeau de ta tante ?
— Avec joie ! Lui dis-je tout en regardant cette nuisette fort transparente.
— Alors regarde bien.
Ma tante leva ses bras au ciel en ayant attrapé sa nuisette et me dévoila son physique avantageux.
Chantal, entièrement nue, se mît sur la table basse et écarta ses cuisses me montrant ainsi son sexe à l’air libre. Elle prit son majeur, le porta à sa bouche et le suça avec délicatesse, rendant mon sexe fou de jalousie.
Elle se caressa le clitoris, de mon côté je savourai autant mon champagne que le spectacle de ma tante.
Elle introduisit son doigt dans son intimité et commença à se masturber.
— T’es pas croyable ! Lui dis-je un brin provocateur.
— Ca ne te plait pas ?
— C’est complètement dingue, voir la sur de ma mère à poil devant moi en train de se masturber !
— Avec toi j’oublie les interdits, je prends mon pied avec mon neveu et qu’importe si c’est incestueux quand tu me fais l’amour ou quand je me masturbe devant toi !
— Bien dit ma Tatie, alors continue ton spectacle.
— Je vais avoir besoin d’aide…
— Continue à te donner du plaisir.
Ma tante exauça mon vu, elle se trémoussa en faisant des va et vient avec son majeur, sans oublier de le lécher d’une manière quasi-obscène. La table devint son terrain de jeu, elle s’allongea tout en oscillant son bassin, elle se caressa les seins, puis avec des mouvements amples, elle promena ses mains du haut de sa poitrine pour descendre le long de son ventre parfait. Ses manuvres n’eurent qu’un but, provoquer une intense excitation chez son neveu.
Elle me fit des sourires coquins, des clins d’il aguicheurs. Elle se retourna et se positionna en levrette sur la table, bien cambrée, son profil fut admirable.
Passionné de voitures, je vis ma tante de profil et la comparaison fut inévitable. Je restai contemplatif devant les formes de ma tante, ses seins bien fermes et sa croupe admirable avec ses fesses rebondies à la peau si claire, dessinée par les formes du maillot absent ce soir (j’évite des métaphores hasardeuses concernant le capot, les ailes voire le pot d’échappement…).
Quel design !
J’en oubliai qu’elle fut ma tante, je la perçus comme une créature venue de nulle part à la plastique de rêve.
On dit qu’un ange nous accompagne toute notre vie pour nous guider. Et bien le mien avait de la suite dans les idées (!), me proposer ma tante en cadeau pour mon anniversaire, je n’aurais pas rêvé mieux.
Mon guide s’occupa de tout…
Chantal attrapa une fraise du gâteau et vint se rallonger pour la poser entre ses lèvres intimes, tout en arborant un large sourire complice. Elle écarta à nouveau ses jambes, fière d’arborer son sexe reluisant à souhait.
— Voilà, tu peux venir déguster ta tante !
— Ca m’a l’air bien appétissant.
— Goûte, tu verras bien ! Me dit-Chantal impatiente de se faire savourer par son neveu.
— Toi tu as une énorme envie que j’approche mes lèvres de ta rivière à diamants.
— Oh comme c’est poétique, ma rivière est en crue mon cher ! Il faut que tu interviennes.
— Tu veux que je te fasse jouir ma belle Tatie.
— Ouiii viens me lécher la chatte mon amour. Me dit Chantal en se caressant son sexe.
— Quel vocabulaire ma chère tante devant votre neveu !
— Tu voulais que je me lâche…alors viens me baiser.
— Et comment !
Je pris la fraise entre mes dents en effleurant ses douces lèvres pour l’exciter davantage. Ma bouche s’empara de sa vulve et ma tante ne put se retenir en m’incitant à la lécher plus profondément. Elle saisit un coussin pour le mettre sous son bassin.
— Cette fois tu es bien installée ! Lui dis-je.
— Oui et tu peux aller où tu veux. Répondit-elle en écartant les jambes.
— Ma Tatie d’amour a une grosse envie de sexe avec son neveu.
— Oui, avec toi je m’abandonne.
Elle ferma les yeux, impatiente de sentir ma langue sur son sexe. Je regardai ma tante les yeux clos, son sexe tendu vers moi avec les jambes ouvertes, je sus à cet instant que je pouvais faire ce que je voulais d’elle.
Sans rentrer dans des détails, je me mis au-dessus de ma tante et nous pratiquâmes ce que l’on appelle un bon vieux 69. Ma tante ne se fit pas prier et je sentis immédiatement la chaleur de sa bouche envahir mon sexe, de mon côté, je m’occupai de la charmante rivière de ma tante.
Puis elle prit l’initiative d’interrompre cette pratique pour se mettre assise sur la table, les fesses à l’air.
Devant cette croupe affriolante, ma tante tourna légèrement la tête et me lança.
— Allez, baise-moi avec amour mon chéri.
— Je vais le faire.
— A quoi penses-tu ? Dit-elle intriguée.
— Que tu as encore l’âge de faire un bébé !
— Enfin Jean…tu es sérieux ?
— On pourrait en faire un beau.
— Jean, tu baises la sur de ta mère dans le cas où tu l’aurais oublié, donc pas de bébé issu d’un rapport incestueux.
— Bon alors on va faire semblant. Lui dis-je en rigolant.
— C’est ça, entraine-toi avec ta tante ! Dit-elle à son tour sur le ton de la rigolade.
Donc je débutai ma partie d’entrainement en approchant mon sexe des somptueuses lèvres intimes de ma tante, sage comme une image, bien cambrée sur la table. La vision de sa paire de fesses, de ses hanches mit le feu à mon sexe, désireux d’approfondir le corps d’exception qui lui fut présenté. Chantal dandina son beau derrière, se comportant telle une femelle appelant à copuler.
Mon sexe ne fit qu’une bouchée de cet orifice si accueillant. Ses lèvres petites ou grandes se frottèrent contre mon membre imposant, Chantal consomma son plaisir brut en gémissant.
— Que tu es fort, comme je te sens bien !
— Contracte un peu ton vagin.
— Je n’y arrive pas ! C’est trop bon de t’avoir en moi.
— Tu m’aimes ? Lui dis-je avec un grand coup de rein.
— Oh oui je t’aime Jean.
— Tu veux un bébé de moi ? En imposant des coups saccadés dans les profondeurs de son orifice.
— Je ne sais plus… Répondit Chantal au bord du plaisir ultime.
— Ca n’est pas une réponse ! Tu aimerais un enfant de moi ? Tout en caressant son bas ventre, je pétrifiai un de ses seins.
— On verra mon chéri mais continue.
Ma tante m’implora de continuer à la baiser, aussi je sais ses hanches tel le mâle pratiquant un coït sur sa femelle, de manière ferme. Je me fis pressant, Chantal adorant cette pratique nouvelle voire quelque peu sauvage. Mes aller-retours se terminèrent en un aller simple. Je restai au fond de son intimité accompagné de mouvements courts mais à chaque bien profond.
Le bonheur de ma tante ne tarda pas.
— Oh Jean…
Chantal ne finit pas sa phrase, un orgasme s’empara de son corps tout entier, je la vis trembler, sursauter et enfin jouir avec mon sexe en elle.
— T’es un génie du sexe !
— Allons ma chérie, tu t’égares.
Je ne m’oubliai pas au passage et ma tante sentant mon bonheur arriver se cambra davantage. Je la pénétrai au plus profond d’elle-même, son âme m’appartenant. Ma tante se délecta de mon membre enfoui en elle, mais elle prit conscience qu’une vague soudaine, dévastatrice submergea mon esprit et mon corps.
Ce fut un raz-de-marée pour ma tante, surprise de la violence de mes spasmes profonds et lents.
— C’est fantastique Jean !!
— Ouii… Lui répondis-je en plein déferlement.
Encore un terme quelque peu barbare, mais je pilonnai Chantal hurlant sa jouissance mêlée à la mienne. Son orifice trempé, dilaté, réclamant mon sexe devint son nid douillet.
Chantal dans un état second se mît à geindre du plaisir reçu. Puis dans mes derniers spasmes, je pris ses seins au mamelons tendus, je les palpai, je les pétris avec vigueur, avec tendresse. Leur peau si douce, si lisse au toucher fut un régal de caresse, Chantal se tortilla légèrement, signe que mes mains collées à ses seins ne lui furent pas insensible.
J’éprouvai une sensation magique durant cet instant, la sensation que ma semence chaude se répandait dans le corps de ma tante, dans ses chairs intimes, qu’elle naviguait pour atteindre ses cellules du cerveau. Je pensai devenir fou quand Chantal se retourna brièvement.
— C’est trop bon Jean, je n’en peux plus avec toi !
— Je te donne tout mon amour.
— Oh oui…Toi tu sais me faire jouir !!
Bien que Chantal fût ma tante, notre étreinte ressembla à celle de deux amants ordinaires, d’un couple uni, d’un binôme fusionnel. La rencontre du positif et du négatif se rencontrèrent, j’en fus persuadé comme si deux amants-aimants se collés à jamais.
Cette impression me revint sans cesse, je pensai que ma tante était faite pour moi, tant sur le plan physique que sentimental.
Aucune dispute entre nous, toujours des sourires, le rêve d’être avec une femme, avec ma tante.
— Ca va mon chéri ?
— Je pensais à nous.
— Jean mon amour, on va peut-être arrêter ?
— Oui. Lui dis-je toujours pensif en restant en elle.
Je me retirai avec lenteur, regardant ses lèvres intimes se détacher de mon sexe.
Ma tante ne bougea pas et je ne pus m’empêcher de caresser sa vulve, une caresse ample remplie de tendresse.
Une fois assis, Chantal vint se lover contre moi.
— A quoi pensais-tu ? Me demanda-t-elle, posée sur mes genoux.
— A notre avenir. Lui dis-je en promenant ma main sur son sein désireux de sa présence.
— Et puis ?
— Chantal, on me propose en fin d’année un poste situé à Sacramento, c’est une sorte de stage mais en réalité, il s’agit de savoir si je suis à la hauteur pour gérer une équipe à l’international.
— Et si tu refuses ?
— Je stagne ma chère tante.
— Et moi ?
— C’est toute la question, je ne peux pas me séparer de toi.
— Donc tu aimerais que je parte avec toi aux États Unis ?
— Tu pourrais changer de job ?
— Oui Jean, je peux mais j’ai peur que tes parents soupçonnent notre relation et pire, si ta mère l’apprenait, je n’oserais plus la regarder en face.
— Quoi, le fait que sa sur adore se faire baiser par son fils, qu’elle jouit comme une folle et qu’elle est raide dingue de lui ?
— Jean arrête !
– C’est faux ce que je dis ?
— Mais non et tu le sais, j’adore faire l’amour avec toi mais alors comment fait-on ?
— Je pars en premier et un mois plus tard, tu me rejoins si tu as une mutation ou autre chose.
— C’est jouable mon chéri mais il faudra être sur nos gardes…
En janvier 2000, mon manger me proposa mon fameux stage à Sacramento, capitale de l’Etat de Californie.
J’en avais discuté avec mes parents en décembre et même si ma mère fut enthousiasmée, l’idée qu’elle ne me verrait plus la rendue quelque peu mélancolique.
Je glissai dans la conversation qu’un ancien copain de l’école de commerce s’y trouvait sur place, donc aucune inquiétude, je ne partirai pas en terrain inconnu (pur mensonge).
Fin janvier, la veille de mon départ, mes parents firent un saut dans le sud pour me voir une dernière fois. Ils logèrent chez ma tante et nous nous retrouvâmes le soir, tous les quatre.
— Tu sais maman, j’aurais certainement des allers-retours à l’antenne de Sophia à faire pour des comptes rendus et je monterai sur Paris vous voir.
— Oui, j’espère que tu te plairas et toi Chantal, le boulot, ça va ? Ajouta ma mère (Annie de son prénom).
— La boîte explose et la direction veut créer un poste en Amérique latine pour l’export, ils m’ont déjà fait une proposition mais j’hésite.
— Pourquoi donc ? Dit mon père.
— C’est à Sao Paulo en Argentine, ça ne m’enchante guère maintenant, il y a un poste qui se libère près de Los Angeles, mais je ne sais pas si je serai à la hauteur.
Ma tante se montra bien habile pour embrouiller les cartes, nul poste en Argentine et encore moins à Los comme on dit.
Mais elle avait gardé un contact sur la Côte Ouest des States et sut fort bien qu’elle trouverait un job facilement avec ses capacités. Elle me fit un petit clin d’il sentant la réaction de mes parents qui ne se fit pas tarder.
— Mais Chantal, tu ne vas pas hésiter entre Sao Paulo et Los Angeles !
— Attends Annie, il s’agit d’un poste très élevé et puis je me sens bien ici. Insista ma tante d’une façon éhontée.
— Mais ça ne se refuse pas ! Prends le poste de Los Angeles et en plus ce n’est pas éloigné de Sacramento ! Répondit mon père en s’emportant.
— Vous avez peut-être raison. Répondit Chantal d’une voix faible.
— Ah décidément, toi et ton neveu, vous êtes inséparables !
Je vis ma tante prendre des couleurs, pensant sans doute à notre relation tante-neveu, une relation incestueuse établie depuis 4 bonnes années. Il me fallut réagir au plus vite, venir à sa rescousse.
— Inséparable est un grand mot, depuis que je suis ici, on a dû se voir 4 ou 5 fois !
— Oui, je ne vois pas souvent mon neveu avec son boulot et puis, il y a sa copine. Rajouta ma tante de manière inopinée.
— Tu connais quelqu’un ? Demanda ma mère curieuse.
— Oui, ça dure mais ça n’est pas sérieux et elle est mariée.
Ce fut une pure invention de ma part mais je n’eus guère le choix. Rajoutant que ma fameuse conquête fut mariée mit fin aux spéculations de mes parents qui restèrent stupéfaits sur le coup.
— Tu étais au courant Chantal ?
— Vaguement, tu sais Jean n’est pas très bavard sur sa vie privée.
— Oui mais vous êtes très liés depuis son séjour chez toi en Angleterre. Insista ma mère lourdement.
— C’est mon neveu, enfin sans oublier son petit frère et puis si j’accepte ce poste, je vous donnerai de ses nouvelles plus souvent.
— Oui et puis il nous trouvera une belle petite américaine ! Dit mon père sur un ton détaché.
Je vis la tête de ma tante s’assombrir après ces paroles. Sans doute pensa-t-elle à nos vingt ans d’écart.
Je raccompagnai mes parents à l’aéroport de Nice en leurs promettant de leurs envoyer des nouvelles dès mon arrivée. Puis je filai chez ma tante pour programmer nos retrouvailles sur les terres de l’oncle Sam.
Très vite elle engagea la conversation sur l’allusion de mon père concernant une jolie américaine. Elle me fit une crise de jalousie, prétextant que ca ne fonctionnerait pas entre nous à de notre différence d’âge.
— Chantal ! C’est ridicule ce que tu dis !
— Ah oui et je pourrais être ta mère si tu as oublié !
— Tu n’es pas ma mère, tu es juste sa sur pour laquelle je ressens une grande attirance mutuelle.
— Oui bon…ça ne te pose pas de problème de me sauter en tous cas !
— Enfin, je ne te force pas, c’est la meilleure celle là !
Ma tante ne répondit pas, elle fit comme si de rien n’était et partit dans sa chambre. Pour notre dernière soirée, la situation devint compliquée. Je préférai partir, assez énervé du comportement puéril de Chantal.
Je cherchai mes clefs pour ouvrir la porte quand j’entendis.
— Alors, on ne dit plus au revoir à sa chérie ?
Je me retournai pour voir ma tante en deux pièces blancs, accoudée au mur avec une main sur la hanche.
Elle sut fort bien que sa tenue ultra sexy me ferait craquer.
Ce fut le cas…
Je partis le lendemain via Paris, New York, Los Angeles et enfin Sacramento.
La boîte m’alloua un bel appartement en centre-ville et je m’adaptai au mode de vie américain.
Février passa puis mars, ma tante désespéra de ne pouvoir me voir. Son contact ne put rien pour elle, donc pas de boulot, pas de venue aux states.
Mon manager très satisfait de mon travail depuis deux mois, me fit une proposition pour migrer à Los Angeles.
Dans la foulée, étant français, il me demanda si je ne connaissais pas une personne de mon entourage de mon âge, parlant anglais et ayant des connaissances de management avec un esprit. Je lui répondis sans hésiter que ma sur, fraîchement divorcée et résidant à Nice pourrait correspondre au poste (!).
Je n’eus pas d’autre choix que de mentir concernant ma tante puisqu’il cherchait un collaborateur de mon âge.
Aussitôt j’appelai Chantal pour l’encourager à me rejoindre, afin de postuler pour le poste.
— Tu es devenu complètement fou Jean ! Me faire passer pour ta sur !
— Et tu as une autre solution ? Ils veulent une jeune et comme tu en parais 30…
— Bon c’est n’importe quoi, c’est non !
— Je te paie le billet et tu viens la semaine prochaine.
— Laisse-moi réfléchir.
Je réservai un billet d’avion et mis ma tante devant le fait accompli.
Je parlai de ma tante à mon boss, très séduit qu’elle fut ma sur. Tout se décida rapidement, début avril j’emménageai – à nouveau – dans un appartement spacieux avec vue sur mer, grand standing. Je fus augmenté dans la foulée ce qui me permit d’acquérir une voiture.
Aussi, je cherchai ma tante à l’aéroport pour son entretien d’embauche avec mon nouveau boss, fort sympathique au demeurant.
Chantal me fit un baiser "léger", anxieuse pour ce genre d’entretien, tout en se remaquillant durant le trajet. Je la détendis comme je pus et nous arrivâmes devant l’entrée de la société.
— Jean, ça reste n’importe quoi et tes parents, qu’as-tu dit ?
— Mais que tu avais trouvé un job ! Bon allez Tatie, ne traine pas ma sur !
Chantal ne put s’empêcher de pouffer de rire mais je la mis en garde sur l’esprit américain. En façade, très décontracté, mais le staff restant attentif aux compétences du candidat.
Je présentai ma tante au manager et deux autres cadres l’accompagnèrent pour débuter l’entretien.
Deux bonnes heures plus tard, ils sortirent de cette réunion, Chantal plaisantant avec mon boss. Je vis à sa mine radieuse que son entretien d’embauche s’était bien déroulé.
Mon boss s’adressa à moi.
— Jean, tu ne m’avais pas dit que tu avais une grande sur aussi ravissante !
— C’est à elle qu’il faut lui dire ! Lui dis-je en lui mettant une tape dans le dos – à l’américaine (!).
— Eh bien je peux te dire qu’elle va faire partie de notre équipe.
— Tu m’en vois ravi mais je t’avais dit que ma sur était compétente.
— Il se fait tard, je vous laisse vous retrouver, vous devez avoir plein de choses à vous dire ; bonne soirée entre frère et sur !
— Bonne soirée à toi et à demain.
Nous partîmes et j’emmenai ma tante à dîner dans un restaurant italien réputé La Dolce Vita situé dans Beverly Hills, histoire d’épater Chantal. Effectivement, elle fut épatée en arrivant, bougies sur les tables avec nappes, ambiance feutrée, ma tante fut immédiatement conquise.
— Jean, je ne pouvais rêver mieux et dire que j’ai encore ma valise dans le coffre !
— Oui et cette fois je t’invite et tu dors chez moi.
— Mais j’ai une question à te poser pour le job.
— Je t’écoute ma chérie.
— Si je comprends bien, tu vas devenir mon boss puisque tu diriges la section développement et ressources.
— Exact et ca te fait peur ?
— Non, je trouve ça excitant d’être dirigée par mon mec !
— Tiens tiens…et maintenant dînons.
— J’ai faim mon petit frère !
Ma tante se fit rire elle-même sous mon il amusé.
J’adorai cette nana, pétillante, de bonne humeur, souriante.
Elle s’absenta un moment, je vis sa silhouette gracieuse, ses mollets fins et ces quelques mots de Balzac me vinrent à l’esprit.
"La femme est l’être le plus parfait entre les créatures…elle est une créature transitoire entre l’homme et l’ange".
Cette citation seyait parfaitement à cette femme s’éloignant momentanément.
Notre dîner terminé, nous arrivâmes chez moi et Chantal admira la vue sur mer. Je la mis tout de suite à l’aise en lui indiquant la salle de bain.
Il fut 23 heures et nous décidâmes de nous coucher, fatigués l’un et l’autre par cette journée stressante.
Un long baiser accompagna le début de notre nuit mais mon sexe en décida autrement.
Je me mis à couvrir de baisers ma tante tandis que le drap s’évapora par un tour de magie. Mes baisers atteignirent sa poitrine et Chantal redressa son buste, laissant pointer ses seins dans ma direction. Je perçus chez elle une disposition à faire ce que bon me semble de sa poitrine, affamée de plusieurs mois de diète. Je palpai son sein resplendissant, je pinçai avec légèreté son téton, je crus sur l’instant que du lait maternel allait s’échapper de ce mamelon si désirable.
Je ne fis que presser la pointe de ce sein et aussitôt, Chantal se fit câline à souhait en me caressant les cheveux, les épaules, mon corps.
— Oh tète-moi mon chéri, j’en ai tellement envie. Me dit-elle avec un air suppliant.
J’englobai ce sein avec ma main en le pressant délicatement et portai sa pointe vers mes lèvres. Ma langue fit le tour de son auréole et l’effet fut instantané. Chantal se mit à gémir en me susurrant que c’était fabuleux, que je pouvais faire d’elle ce que je voulais, qu’elle était à moi, qu’elle m’appartenait. Je mordillai son téton durci à souhait tandis que ma main se faufila entre ses jambes, qui au passage se dispersèrent pour mieux câliner son intimité.
Chantal m’attira vers elle, nos bouches se rejoignant, mon corps contre le sien. Ma tante saisit mon membre, ses doigts si fins me firent d’amples caresses et avec adresse, elle dirigea mon sexe en elle. Je la couvris de baisers à l’idée de retrouver sa chaleur intime.
Je pénétrai ma tante belle à en crever, ses yeux se fermèrent sous le plaisir de ressentir mon membre l’envahir, sa bouche s’entrouvrît quand