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Soirée à quatre – Chapitre 3




Pat et Pierre nous regardent, assis, nus, en face de nous. La main de ma femme, posée sur la verge de son voisin, le caresse lentement. Lui, une main passée dans son cou, lui frôle la poitrine. Sophie ouvre les yeux et nous regarde en souriant :

— Comme pousse-café, j’ai rarement connu mieux !

— J’ai préféré ta liqueur à n’importe quel grand crû.

— Au fait, mon chéri, il me semble que tu n’as eu le plaisir de déguster ton digestif ?

— C’est vrai ! Tu permets Pat ?

— Avec plaisir !

Ma chérie s’allonge et Pierre commence par lui embrasser les jambes. Il remonte lentement, n’oubliant aucune parcelle de peau. Au fur et à mesure de sa progression, les jambes s’écartent et, quand il arrive en haut des cuisses, c’est un coquillage béant qui lui est offert. Il l’ignore un instant, embrassant le ventre de Pat. Puis, sa bouche se pose enfin sur la fente de Pat qui l’accueille d’un soupir. La langue s’insinue entre les lèvres et agace le bouton. La respiration de Pat s’est accélérée, ses tétons sont tout durs. Elle tend son ventre, plaquant son sexe contre la bouche de son amant. Pierre cesse alors ses caresses. Sa bouche vient gober un sein pendant que sa main caresse l’autre. Dans cette position, sa queue tendue appuie sur le bouton de Pat. Elle s’en s’empare et se caresse avec. Pierre, pas décidé à la laisser prendre la direction des évènements, reprend ses jeux de langue.

— Oui? c’est bon? Pascal, il me fait du bien avec sa langue ! Oh, oui, Pierre, continue?

— Tu aimes te faire brouter le minou, n’est-ce pas ? Demande Sophie.

— Oh, oui ! J’adore me faire lécher la chatte. Je vais jouir ! Oh? Pierre, n’arrête pas? je viens? ah?

— Elle est superbe ta femme quand elle jouit, tu aimes la voir ainsi ?

— C’est la première fois. D’habitude, je suis à la place de ton mari et je ne vois rien. Tu es belle ma chérie? vas-y? laisse-toi aller? prend ton pied !

— Ah? oh? oui? c’est trop bon? je lui jute dans la bouche?

Son orgasme est puissant et la laisse inerte. Pierre se relève, le visage plein de mouille et embrasse tendrement Pat.

— C’était super ! déclare t-elle.

— Moi, je suis d’accord avec Pascal. Vos liqueurs sont délicieuses !

— J’espère que je pourrai la goûter aussi, s’inquiète Sophie. Tu serais d’accord, Pat ?

— Pourquoi pas ! Il est dit que cette soirée est celle des découvertes. Après le plaisir que je viens de prendre, je suis prête à tout.

— Dis, Pierre, on dirait qu’on vient de convertir Pat au libertinage.

— En effet?Et toi, Pascal, que pense-tu de tout cela ?

— Vu l’état de sa queue, il ne me semble pas particulièrement malheureux?

— Tu as raison, Sophie, je passe une excellente soirée?

— Qui n’est pas terminée, enchaîne t-elle, j’ai bien envie, après ta bouche, d’accueillir autre chose entre mes cuisses. Tu veux bien ?

— Quelle question ! Je peux, chérie ?

— Bien sûr. J’ai très envie de te voir baiser une autre femme?

— Trêve de bavardage, passons aux actes !

Elle s’installe sur mes genoux, empoigne mon sexe et le dirige vers sa grotte. Les yeux clos, elle descend doucement, savourant la pénétration. Quand je suis entièrement en elle, elle reste un instant sans bouger. Pierre lui demande alors :

— Alors ma puce ? Tu es bien ?

— Humm? je le sens bien? il me remplit bien.

— Tu aimes, hein, une belle queue dans la chatte ?

— Oh oui ! Et celle de Pascal est comme je les aime.

Elle commence à aller et venir sur ma bite. J’empoigne ses seins que je malaxe avec vigueur, lui tirant de longs soupirs. Elle tend sa poitrine vers moi, m’invitant à l’embrasser, ce que je fais avec gourmandise. Mes mains caressent ses fesses, les écartent ; un doigt appuie sur sa rondelle et s’enfonce sans résistance. Elle jouit une première fois dans un cri, s’écrasant sur moi. Je sors d’elle, l’allonge sur la banquette, les fesses au bord et la réinvestit d’une seule poussée. Pierre s’approche et dirige sa queue vers la bouche entrouverte. Sans hésiter, elle le gobe et le suce avec énergie. Je jette un ?il vers Pat qui ne perd pas une miette du spectacle, la main négligemment posée sur son pubis. Je vois ses doigts bouger et nous échangeons un sourire. Pierre, qui a retrouvé toute sa vigueur, lui fait alors signe d’approcher. Elle s’installe comme Sophie et je vois bientôt le membre de notre ami forcer les lèvres de ma femme et s’enfoncer fermement en elle. Superbe vision !

Nous baisons nos femmes de longues minutes, notre jouissance précédente retardant le plaisir. Je ne peux m’empêcher d’admirer ma femme qui se fait défoncer à grands coups de queue. Qui aurait cru cela ce matin ?

Elles jouissent toutes les deux presque ensemble. Je sens les muscles intimes de Sophie me masser la queue et il me faut faire un effort pour ne pas venir. Pierre me propose de changer de place. Je m’enfonce donc dans le ventre de Pat et la laboure, lui arrachant des cris de plaisir. Elle écarte ses lèvres, faisant saillir son bouton qu’elle branle sans ménagement. Elle, plutôt calme d’habitude, exprime son plaisir :

— Mon chéri, c’est bon ! Tu me bourres bien ! J’aime ta queue ! Vas-y? défonce-moi bien? oui? c’est bon? baise ta cochonne de femme? hmmm? je vais venir?oui.. continue?

— Tu es une vraie salope ce soir, ma chérie. Tu suces un autre mec, il te baise et tu aimes ça? tu vas voir comme on va encore te faire jouir?

— Oh oui !! C’est vrai? je suis la dernière des salopes et j’adore ça. Enfonce-toi bien à fond? je jouis? oui? je viens? ah? c’est trop bon !’

Elle prend son pied dans un cri. Son corps, couvert de sueur, se tend comme un arc. Je ne cesse pas mes va-et-vient et un nouvel orgasme la terrasse. Jamais je ne l’ai vu prendre autant de plaisir en aussi peu de temps. Je sors d’elle, la queue luisante de mouille et admire sa chatte. Le clito est saillant et les lèvres gonflées par le plaisir. Sa mouille coule jusqu’à son petit trou. Je m’agenouille, la lèche puis enfonce délicatement un doigt entre ses fesses. Elle n’est pas très attirée par la sodomie. Si je l’ai prise une fois par derrière, au début de notre relation, c’était plus pour me faire plaisir que pour le sien et depuis nous n’avons pas renouvelé l’expérience. Je suis donc étonné quand elle tend ses fesses, allant au devant de ma caresse. Ma langue se pose sur son ?illet. Je force un peu et sens ses muscles s’assouplir, la langue s’enfonce dans cet endroit encore inexploré. Pat tire alors ma tête en arrière et me force à me relever. Elle me tend ses lèvres et m’embrasse. Je comprends alors que je vais ce soir avoir le plaisir de l’enculer. Elle saisit ma bitte et la pose contre son petit trou. J’appuie un peu et sens qu’elle pousse pour faciliter l’introduction. Sophie et Pierre se sont arrêtés de baiser et nous regardent. Pat a saisi ses fesses et les tient écartées, ce qui offre une superbe vue de ma pénétration à nos amis. Sophie s’approche de Pat et l’embrasse gentiment sur le visage pendant que sa main court sur la poitrine et le ventre de ma femme. Je baisse les yeux et vois mon gland qui tente de s’introduire, non sans mal. Sophie parle doucement à Pat :

— Décontracte-toi? pousse encore un peu? comme si tu allais à la selle?tu vas voir? tu n’auras pas mal !

Je sens ma chérie faire ce qu’on lui conseille, mon gland s’enfonce lentement. Pierre pose la main sur la chatte de Pat et la caresse doucement. Je regarde mon amour et lui demande si elle veut que je continue.

— Oui? tout doucement que je m’habitue.

Après quelques minutes, mon gland a investi son cul. Le plus dur est passé. Je reste sans bouger afin de la laisser s’habituer. Je me penche sur son visage et l’embrasse tendrement. Pierre et Sophie la caressent toujours et je sens que sous ces caresses, l’excitation reprend ses droits. Pat me dit alors :

— Enfonce-toi en entier maintenant, je veux te sentir tout en moi.

Je continue donc ma progression, très lentement mais sans m’arrêter. Bientôt mes couilles sont contre ses fesses et je lui dis :

— ?a y est ma chérie, je suis tout au fond, je t’encule.

Je reste fiché au fond de son anus, immobile. C’est Pat qui remue le bassin et m’indique qu’elle veut maintenant que je la baise. Je ressors donc presque entièrement puis m’enfonce en elle d’une seule poussée. Un cri de plaisir sort de sa bouche. J’entame de lents va-et-vient qui lui plaisent de plus en plus :

— Mon chéri ! Tu me baises le cul ! Je suis une enculée ! C’est bon ! J’aime ta bite dans mon trou ! N’arrête pas !

— Tu vois, lui dit Sophie, je t’avais promis du plaisir !

— Oh oui? c’est génial une bite dans le cul. Pourquoi je n’ai pas essayé avant ? C’est trop bon ! Hé vous deux, continuez vos caresses, faites-moi jouir tous les trois !

Elle est vraiment déchaînée ce soir. Je l’encule maintenant bien à fond. Mes couilles tapent contre ses fesses. Sous ma pénétration et les caresses de nos amis, Pat parvient à l’orgasme dans un cri. Son cul serre ma queue et mon plaisir arrive, salué par Pat :

— Oh oui, Pascal, inonde-moi? je sens ton jus dans mon cul? jouis mon chéri?

Je me vide en elle en longs jets. J’ai l’impression que mon plaisir ne va pas s’arrêter. Pourtant, tout a une fin et je sens ma queue dégonfler. Je sors du cul de ma chérie et l’embrasse amoureusement. Elle me dit alors :

— Chéri, c’est la première fois que je jouis aussi fort. Merci !

— Merci à toi pour avoir accepté que je prenne ton cul?

— Tu dois me trouver plutôt salope ce soir ?

— Oui? et j’adore cela !

— Je t’aime?

— Et moi donc !’

Nous nous tournons vers nos amis. Sophie, à quatre pattes, subit les assauts de son mari qui la baise avec beaucoup de vigueur. Pat s’approche d’eux et, s’allongeant face à notre amie, lui offre son minou à lécher. Sans hésitation, Sophie plonge la bouche vers la fente ouverte et déguste ma femme. Je regarde cette scène avec beaucoup de plaisir et sens mon sexe reprendre de la vigueur. Je rejoins ma femme et lui lèche les seins, mordillant les tétons. Elle ferme les yeux, se laisser totalement aller à nos caresses. Sophie me fait signe de lui tenir les jambes levées. J’offre alors à notre amie une vue imprenable sur l’intimité de Pat. La fente totalement écartelée et son anus fripé sont alors les cibles de la langue de Sophie. Elle va du bouton qu’elle aspire entre les lèvres au petit trou qu’elle pénètre du bout de la langue. Pat pousse un long râle et jouit une nouvelle fois sous nos caresses. Son plaisir déclenche celui de Sophie qui, sous les coups de boutoir de Pierre, cède à l’orgasme. Pierre continue à la pistonner et lui demande :

-’Ma chérie, tu n’as pas envie de réaliser ton fantasme ?

— Lequel, répond-elle dans un souffle.

— Te faire prendre en même temps devant et derrière.

— Hum? oui? pourquoi pas ?

— Tu es partant, Pascal ?

— Et comment !

— Si tu veux, je te laisse son cul?

— Avec joie !

Pierre s’allonge, Sophie s’installe sur lui, saisit son mandrin et se l’enfonce dans la chatte. Il la lime un peu puis l’attire sur lui. Je me mets derrière elle et lèche son anus afin de le préparer. Je demande à Pat de me sucer un peu, ce qu’elle fait avec gourmandise. La queue lubrifiée, j’appuie sur la rondelle de Sophie qui s’ouvre sans problème. Au contraire de Pat, elle semble avoir l’habitude de se faire enculer. Parvenu au fond, je laisse Pierre donner la cadence. Nous baisons alors Sophie sans retenue, sous les yeux excités de Pat qui nous dit :

— Baisez-la bien à fond ! Défoncez-lui la cramouille et le fion ! Faites la bien reluire ! Vous êtes beaux tous les trois !

— Ma chérie? si tu savais comme ils me bourrent bien? hum? c’est trop bon deux queues ensemble? ah?

Pierre, qui baise sa femme depuis déjà un moment, ne tient guère longtemps et je sens bientôt, à travers la fine paroi, sa queue de raidir. Son orgasme déclenche celui de Sophie qui crie son plaisir.

Pat va-t-elle à son tour essayer le sandwich ?

(à suivre)

Christian

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