Jeudi matin, mon PC retentit. J’ai installé une alarme à chaque fois qu’un message arrive.

Je me demande bien qui peut me jeter un mail dès huit heures et demie. C’est Charlotte.

Je vous le livre tel quel.

" Bonjour mon Maître,

Je viens vous conter ma première rencontre avec mon Maître provisoire.

Dimanche, après avoir quitté votre appartement, nous sommes revenus dans notre région. Maître FX habite à une trentaine de kilomètres de chez moi. Il m’a demandé de venir passer la soirée de mercredi chez lui afin de me faire connaître sa demeure. Il m’a précisé de venir avec les objets de soumission que je possède. Mercredi matin, je quitte la maison avec deux sacs : l’un avec des vêtements classiques, l’autre avec des vêtements sexys et cuir ainsi que des objets habituels que tu m’as offerts.

Je quitte mon travail vers 18 heures. Excitée, je prends la direction du château de Maître FX. Il m’a expédié par mail un itinéraire détaillé afin que je ne perde pas et surtout pour que je sois avant 19 heures chez lui. J’arrive vers 18 heures 30 face à un portail métallique. De hauts murs partent de chaque côté du portail. Je suis ces murs depuis quatre à cinq kilomètres. Je n’attends pas quinze secondes que le portail s’entrebâille. Un homme de stature imposante me fait signe d’avancer. Il est vêtu d’une chemise canadienne et d’un pantalon de velours vert foncé. Le portail entièrement ouvert, j’ai le souffle coupé par la beauté du site. Une allée gravillonnée de petits cailloux blancs, bordée de chênes laisse deviner au lion un bâtiment imposant. L’allée est barrée d’une chaîne entre deux bornes. L’homme me fait signe de me stationner auprès de la maison du gardien. Il s’approche de ma voiture. Je descends la vitre.

— Bonjour Monsieur, j’ai rendez-vous avec Maî… avec Monsieur François-Xavier de…

— Bonjour, Madame… Je m’appelle Georges et je suis le gardien du château. Monsieur François m’a signalé votre venue. Mais aucune voiture ne doit circuler sur l’allée. Il y a une lettre de Monsieur François dans la loge pour vous. Venez…

Je descends et extrais mes sacs de mon coffre. Je franchis à la suite de Georges les quelques marches et pénètre dans la pièce. La loge est une pièce presque unique. Dans un coin, un évier et une cuisine aménagée à l’américaine. Dans une alcôve sur la droite, la chambre à coucher est visible. Deux portes en face doivent dissimuler la salle d’eau et les WC. Une grande table de ferme occupe la pièce. Tout est parfaitement rangé. La table est cirée et sur un tapis de broderie, un vase contenant un bouquet champêtre éclaire la pièce. Une missive blanche tranche sur le bois ciré.

— C’est pour vous

— Merci…

J’ouvre le pli. Maître FX me donne les consignes à suivre impérativement. Je dois :

— Me changer dans la loge du gardien et en sa présence,

— Mettre un serre-taille et des bas résille,

— Mettre mon collier de cuir noir et ma laisse métallique,

— Mettre des chaussures noires à talons hauts,

— Mettre mes poignets de cuir,

— Me laisser attacher les mains dans le dos.

Je commence à exécuter tous les ordres donnés. Georges me regarde. Il prend mes vêtements et les range soigneusement dans une armoire ancienne. Une fois en tenue, j’avance vers lui et lui tourne le dos. Je mets mes bras dans le dos. Georges accroche mes poignets de cuir entre eux par un mousqueton. Puis il accroche une petite chaîne des poignets au collier. Mes mains se retrouvent au niveau de mes coudes. Je suis obligée de me cambrer pour que le collier ne m’appuie pas trop sur la gorge. Pivotant sur mes talons, je m’adresse à Georges :

— Je suis prête, conduisez-moi auprès de Maître FX.

Georges saisit la poignée de la laisse et me guide vers la sortie. Il ferme à clé la porte de la loge. Je frissonne sous la fraîcheur de l’air. Ma peau se couvre de chair de poule. Georges siffle entre ses dents. Un son uniforme doux et calme. De loin un animal arrive. C’est un gros chien, un Rottweiler… J’ai un peu peur… Georges me rassure, il n’est pas méchant, bien au contraire, il adore la compagnie des femmes… Nous franchissons la chaîne et déambulons sur l’allée gravillonnée. La marche n’est pas aisée sur les cailloux. Je tortille des fesses pour me maintenir bien droite. Je surveille le chien du coin de l’il. Il nous suit gentiment. Je continue ma marche. Georges se tient à ma gauche. Il tient ma laisse, sans la tendre. La situation est particulièrement surréaliste. Je suis dans une tenue très érotique, menée en laisse sur une allée qui me conduit à un château que je commence à deviner splendide. Je suis excitée. Je sens mon sexe s’humidifier. Soudain je sens un souffle sur mes fesses.

C’est le rottweiler. Il est là qui me suit. Il me sent. Je serre les fesses et me projette en avant. Georges s’est rendu compte de mon attitude.

— Je vous ai dit qu’il aime les femmes…

— Il ne me fera rien ??

— Non rien du tout, enfin rien de méchant…

Je ne suis toujours pas très rassurée. Le chien s’approche toujours de moi. Il me suit de plus en plus près. Son souffle chaud sur le bas de mes fesses me surprend. Je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit que la truffe froide se glisse entre mes cuisses au ras de mes fesses. Il sent la femelle excitée que je suis.

— Georges, votre chien…

— Je sais, il vous sent le sexe…

— Oui, il a mis sa truffe…

— Je sais, il aime les femmes, alors les jolies comme vous…

— Merci du compliment, mais cela me gêne un peu…

— Laissez le faire… marchez en écartant les pieds… il va se lasser…

Je suis les conseils de Georges. Son chien ne bouge plus. Il renifle ma mouille. Cette situation m’excite. Jamais je n’ai été reniflé par un animal. L’allée est longue. Le château finit par se montrer. C’est un grand corps de bâtiment flanqué de deux tours carrées imposantes. Deux ailes perpendiculaires reviennent sur l’avant. Un autre portail métallique ajouré ferme la cour. A côté un petit portillon. Je vois Maître FX venir au-devant de nous. Il ouvre le portillon.

— Merci Georges de m’avoir amené ma nouvelle chienne…

— De rien Monsieur François, ce fut un plaisir…

— Je vois que ton chien est content lui aussi…

— Il est incorrigible, Monsieur François…

Maître Fx se tourne enfin vers moi et daigne m’adresser la parole :

— Bienvenue au château, chienne… je vais te présenter mes gens… tu connais déjà Georges…

— Oui Maître…

— Remercie-le de t’avoir conduit jusqu’ici…

— Merci Monsieur Georges…

— Ce n’est pas ainsi que je t’ai appris à remercier… à genoux et suce-le…

Maître FX me saisit la nuque et appuie de toutes ces forces. Je tombe à genoux face à Georges. Sa grande main calleuse descend la fermeture éclair de sa braguette. Il extrait une matraque de chair digne de son gabarit. Maître FX m’appuie sur la tête. J’ouvre la bouche et gobe la queue qui se tend vers moi. Les bras attachés dans le dos, je ne peux pas être très mobile. J’écarte les genoux pour être plus stable. C’est à cet instant que le rottweiler de Georges se glisse entre les pieds de son maître. Couché, il peut poser son museau entre mes cuisses ouvertes. Le froid de sa truffe me fait frissonner. Maître Fx parle au chien :

— Toi aussi Rex tu veux en profiter de cette chienne… tu es un bon chien, tu y as droit toi aussi ; vas-y…

Rex a compris le message. Il ouvre sa gueule et de sa longue langue lape ma mouille. De plus, il a l’air d’apprécier et j’avoue que la langue râpeuse ne me laisse pas insensible. Je suis surpris de ne pas montrer de rébellion. Mon Maître provisoire m’oblige à sucer son gardien et tolère que son chien le lèche la chatte. Soudain, absorbée par le manège de Rex, je n’ai pas suivi l’évolution de l’excitation de Georges. Je reçois dans ma bouche, des giclées nombreuses de sperme épais et acre. Il ne doit pas dégorger tous les jours son poireau, l’ami Georges. Consciencieusement, comme vous me l’avez appris, j’avale la semence masculine. Ensuite je nettoie le sexe. Je le recrache. Georges s’adresse à moi :

— Merci Mademoiselle, vous sucez comme une reine… et merci pour Rex, je suis sûr qu’il se rappellera de vous… bonne soirée, Monsieur François…

— Bonne soirée à vous aussi Georges, fait de beaux rêves…

Georges siffle son chien et reprend l’allée. Maître FX ferme le portillon, saisit la laisse et, tout en me tirant, m’explique le château : à gauche, les locaux du personnel, appartement au premier et garage au rez-de-chaussée et à droite, les écuries. Maître FX me conduit vers les écuries. Le portail central est ouvert. Une odeur chevaline nous assaille. Nous entrons. La voix d’un homme retentit dans les stèles. Maître FX se rapproche de la voix. Dans le box un bel étalon noir tourne et piaffe. Il est très excité. Un homme vêtu d’un pantalon de cheval noir de bottes et d’une chemise noire aussi. Il maintient l’animal.

— Bonjour, Henry… Que lui arrive-t-il ?

— Bonjour Monsieur François… il a senti Blanche qui est en chaleur, alors…

— Henry, je vous présente Charlotte, ma nouvelle chienne…

— Bonjour Mademoiselle…

Depuis que je suis face au box, mon regard s’est fixé sur le sexe de l’étalon. Sorti de son fourreau, c’est une trique de trente à quarante centimètres et de sept à huit centimètres de diamètre qui bat entre les postérieurs et le ventre de la bête. Maître Fx remarque mon regard :

— Cela te plaît une trique pareille… les juments ont plus de chance que les chiennes… Henry, je vois que tu es occupé… nous te verrons ce soir à la présentation.

Nous sortons de l’écurie. Nous traversons la cour pavée et montons au château par l’un des bras de l’escalier. La porte s’ouvre. Un major d’homme en livrée s’efface pour nous laisser le passage.

— Monsieur François, Mademoiselle…

— Winston, je vous présente ma nouvelle chienne…

— Bien Monsieur… je vais prévenir Virginie…

Winston nous précède et ouvre la double porte du salon. Le bâtiment est magnifique. Les meubles sont de style. Maître FX s’assoit dans un fauteuil de cuir club de couleur fauve. Je suis et reste debout près de lui.

— Tu peux te mettre à genoux.

Je m’exécute.

— Chienne que je n’ai plus à te le répéter… écarte largement tes genoux… ton sexe doit être libre d’accès… compris ?

— Oui Maître, je m’excuse, j’écarterai au maximum mes cuisses la prochaine fois…

— A la bonne heure…

Un doigt énergique frappe à la porte. Maître FX accède à la demande sonore. Une jeune femme entre. Elle est vêtue comme une soubrette du début du vingtième siècle : petite robe noire très courte et en corolle, très large décolleté plongeant, bas noirs, chaussures hautes noires et pour couronner le tout un petit tablier de dentelle blanche. Elle est très brune avec des cheveux courts.

— Bonjour, Monsieur François

— Bonjour Virginie… Je te présente ma nouvelle chienne…

— Bonjour, Mademoiselle, bienvenue au Château…

— Virginie, sers-moi un cognac tonic…

— Bien Monsieur…

Elle fait le travail demandé et sort de la pièce. Maître FX met un CD de Brahms sur sa chaîne et sirote son long drink. Pendant une heure, pas un bruit, pas une parole ne sera prononcée. L’horloge égraine vingt coups. Maître FX se lève. Il prend ma laisse et tire brutalement. Je me lève difficilement et le suis. Une porte et nous nous trouvons dans la salle à manger. La table est mise : Un seul couvert. Virginie est là dans un coin. Elle attend. Maître Fx s’installe. Je m’agenouille en prenant bien soin d’écarter largement les cuisses. Il me regarde et sourit. Dès qu’il est installé, Virginie vient auprès de lui :

— Ce soir nous avons, melon au pineau rosé des Charentes, chiffonnade de jambon de Parme et ananas en dessert…

Je la vois qui se dandine d’un pied sur l’autre. Je regarde discrètement. Maître FX a passé sa main sous sa courte jupe et lui pelote les fesses.

— Cela te plaît petite salope de te promener fesses nues pour faire le service…

— Oui Monsieur…

— Alors laisse-toi faire…

Je la vois sursauter. Il faut dire que Maître FX vient d’un mouvement violent de remonter son bras. Le connaissant un peu, son majeur a dû perforer l’anus de Virginie. Des larmes coulent sur ses joues rondes et roses.

— Que tu es douillette, Virginie, demande à Chienne si elle n’endure pas d’autres tourments…

Virginie reste muette… L’autre main plonge dans le décolleté. Elle tire vers le bas le tissu. Un sein s’échappe. L’index et le pouce saisissent la pointe et la tordent. Virginie a un mouvement de recul.

— Dis merci et commence le service petite salope…

— Merci Monsieur François…

Virginie commence le service. A chaque passage auprès de maître FX, elle a droit à une main chaude ou une main dans le décolleté. Le repas est assez vite expédié. Il ne m’a jamais proposé de manger. Maître FX avale son dessert et demande à Virginie de servir le café dans le salon. Nous repartons dans l’autre pièce. Il reprend la même place qu’avant le dîner. Virginie avance avec le plateau d’argent sur lequel trône une tasse. Elle pose la tasse sur le petit guéridon. A cet instant, Maître Fx lance sa main sous la jupe et lui pince méchamment le gras de la fesse. Virginie sursaute et renverse un peu de café dans la soucoupe.

— Virginie, tu sers comme une souillon… va chercher le martinet…

Elle s’en va en pleurant. Elle revient tenant l’objet de la punition. Elle tend le manche à Maître FX. Il s’en saisit et attend. Elle se retourne, appuie ses coudes sur la banquette et relève sa jupette. Elle expose son postérieur nu.

— Chienne, tu vas lécher cette petite salope…

Il tire sur ma laisse. Je m’approche du cul offert. Je plonge en avant et commence à rechercher l’entrée de la grotte secrète de Virginie. Je la lape et très vite, le cul se lève et vient au-devant de la caresse. Virginie jouit très vite en poussant de petits cris plaintifs. Maître FX me tire en arrière.

— Cela suffit… Virginie tu vas rosser Chienne…

— Oh non Monsieur…

— Si tu vas le faire sinon je te donne à dresser à Henry…

Je ne sais pas ce que fait Henry, mais aussitôt, Virginie saisit le manche du martinet.

— Tourne-toi…

Je m’exécute. Je pose mon visage sur le tapis et me dispose à genoux. Mes fesses sont hautes. Virginie, n’hésite pas une seconde. Je reçois une dizaine de coups. Mes fesses sont brûlantes.

— C’est bien Virginie, tu peux partir et toi chienne reste comme tu es…

Je n’ose pas bouger. Maître FX se lève, prend le martinet et presse le bout du manche sur ma rondelle culière. Je me détends. Je pousse pour faciliter l’entrée. Maître FX pousse d’un seul coup. Je crie. Il me claque les fesses. Les lanières frottent mes cuisses.

— Debout et viens te coucher…

Nous prenons l’escalier pour accéder aux pièces de l’étage. Nous entrons dans une chambre. Il me montre la descente de lit.

— Tu coucheras là…

Je m’assois et m’allonge. Il va vers la salle d’eau. J’entends les bruits de ses ablutions. Je n’ai pas pu me nettoyer ni me restaurer. Maître FX revient, se couche et éteint la lumière. Je cherche à me mettre dans une position la plus confortable possible. Je réussis à m’endormir. Il fait nuit noire lorsque l’on me secoue.

— Debout chienne…

Je me lève difficilement. Il m’entraîne dans les escaliers. L’horloge de l’entrée affiche une heure du matin. Nous sortons par le perron. La fraîcheur de la nuit me fit grelotter. Maître Fx me guide dans la nuit. Nous arrivons près des écuries. Il ouvre une porte et me pousse dans le local. La lumière blafarde me fait cligner des yeux. Il me tire vers un box. J’entre. Il extrait le martinet de mon cul. Je ne sais pas ce qu’il attend de moi. Je suis plantée au milieu du local. Il libère mes mains. Mais aussitôt il les regroupe de nouveau face à moi. Il attrape un crochet au mur et le verrouille entre mes mains. Il tire la corde. Mes bras sont tirés vers le haut. Je m’installe vite sur la pointe des pieds pour soulager la traction. Il attache chacune de mes chevilles avec une corde à des anneaux scellés au mur au ras du sol. J’ai les jambes largement écartées. Il sort et ferme la porte du box. Il éteint la lumière et s’en va. Je reste seule dans le noir. J’ai peur. Tous mes sens sont en alerte.

Chaque bruit, chaque frôlement font augmenter mon rythme cardiaque. Des bruits arrivent. Des pas avec des halètements… un homme des animaux… des chiens… Le verrou de la porte claque. Les gonds grincent légèrement. Je sens des présences autour de moi. Des touches froides sur mes cuisses. Ce sont des truffes froides de nez de chiens. Puis brusquement une lumière violente sur moi. Un projecteur puissant éclaire le box. En effet deux dobermans sont là autour de mes cuisses à me renifler. Je frissonne de peur. Puis la voix de Maître FX :

— Alors ma chienne, te voilà en bonne compagnie… ce sont mes deux préférés… je vais les laisser avec toi…

— Non, s’il vous plaît Maître…

— Tais-toi…

Les chiens commencent à me sentir. Ils glissent leur truffe froide entre mes cuisses largement ouvertes. Je ne peux pas les serrer. J’essaie de les écarter en me secouant comme un insecte au bout d’une toile d’araignée. Aussitôt, ils grondent.

— Laisse les faire sinon ils risquent de te mordre…

Je cesse de bouger. Ils me lèchent le sexe et le cul. Ils me nettoient de la mouille que j’ai produite lorsque Virginie m’a rossé. Le manège dure une bonne demi-heure. Maître FX entre dans le box. Il descend la corde. Je me stabilise sur mes talons hauts. Il décroche mes poignets pour aussitôt les verrouiller de nouveau dans mon dos.

— Je te laisse avec tes compagnons !

Le verrou claque. Je suis de nouveau, seule avec les deux molosses. Ils me poussent. Je finis par tomber sur le côté. La paille du box a amorti ma chute. Les chiens me lèchent partout. Je me mets en chien de fusil. Les chiens eux tournent autour puis se calment. Ils se couchent près de moi. Leur chaleur me permet de ne pas avoir trop froid. Je m’endors.

Il est six heures. Maître FX arrive. Il sort ses chiens. Il revient et me libère. Il saisit la laisse et me guide vers le portail. Georges est là.

— Bonjour, Georges. Je te confie ma chienne. Ramène-la à l’entrée. Il faut qu’elle embauche à l’heure…

— Bien Monsieur François.

Georges m’a conduit à l’entrée. Il m’a proposé sa salle d’eau pour me doucher. Habillée classique, je remonte dans ma voiture. Le portail s’ouvre. Je rejoins le monde civilisé.

A bientôt Maître adoré.

Ta chienne Charlotte"

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