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L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère…Journal d'une bourgeoise delaissée. – Chapitre 4




J’étais là, nue devant ces mecs et l’un d’eux me rendait ma robe pour me rhabiller !

Mon cauchemar prenait forme, je ne leur plaisais pas, ils ne me baiseraient pas, je ne connaîtrais jamais l’orgasme !!

Je n’ai plus qu’à me pendre ou me jeter sous un camion !!

J’ai des hoquets, je pleure, je bafouille :

– Mais pourquoi ? Josh avait dit que vous me trouviez mignonne Je suis pas mal pour 38 ans, non ??

— Oui t’es pas mal, ce n’est pas ça le problème c’est LES POILS ! me dit Brice.

— Quoi les poils ???

— Désolé chérie, moi je ne lèche pas une femme touffue, c’est dégueulasse !! dit Josh.

— Désolé de te dire ça, mais c’est vrai que ça fait débander ! Elles te l’ont pas dit tes copines ?? Tout le monde le sait pourtant !!

— Attendez !! Vous êtes en train de me dire que vous n’allez pas me sauter parce que je n’ai pas la chatte rasée !!(je suis en fureur, je perds le contrôle) Vous vous foutez de moi !! Bande de petits trous du cul de merde, pauvres cons, fils de putes, je vais vous les bouffer moi, vos couilles.

Et telle une furie, incontrôlable, je me jette sur Brice, le massacre à coups de pieds, de poings, je le griffe, le mords

Brice est un champion de Krav maga, comme ses potes, il pare les coups, mais mon dernier coup de pied lui a quand même touché les testicules ; il a mal.

Je continue mon combat désespéré en me jetant sur Josh, il essaie de me saisir les poignets, mais ne peut éviter lui aussi mes tentatives de coups de pied, il me soulève du sol, nue et gesticulante.

Jonathan arrive derrière moi, me fait une clé autour du cou, et avec un point d’appui sur la jugulaire, me fait tomber dans les pommes.

4 minutes plus tard, réveillée par de petites tapes sur les joues, je réalise l’ampleur du désastre

J’ai honte, je me remets à pleurer comme une fontaine.

David me regarde, rouge de colère :

– Bon t’es calmée maintenant ??? C’est la première fois qu’on nous fait un coup comme ça !! Tu prends ta robe et tu te casses !!

— Attends David, moi elle m’attendrit (Jonathan me prenant doucement le menton, et me relevant le visage). Comment tu t’appelles Mme marquez ?

— Rebecca

— Rebecca très joli prénom, c’était celui de ma grand-mère

— Écoute on va faire un deal David et moi on va te baiser, et te faire découvrir ce que tu es venu chercher aujourd’hui. J’estime que chaque femme qui en a envie, et y met un peu du sien, doit avoir la chance de connaitre le plaisir féminin ! Brice et Josh, ont une «  petite dent contre toi » donc ils regarderont ou partiront. Mais ne t’inquiète pas, on saura te faire monter au 7° ciel !!! Par contre tu vas me jurer quelque chose Demain tu vas voir Déborah Epstein, c’est une amie de ma mère, elle est coach en séduction pour les quadras comme toi. Elle va te dire comment te fringuer, modifier tes attitudes, faire une petite remise en forme qui vont effacer tes petits bourrelets , là ( me désignant mes hanches un peu dodues) t’apprendre à te maquiller, style salope.

Bref si tu suis ses conseils, tu reviens dans quatre mois, jour pour jour, et tu seras une bombe atomique et là je te promets qu’a nous quatre, on va te faire « le jour de l’Armageddon ! » 

Parce que tu vois, tu m’émeus, je vois que tu es paumée, que ton mari se fout de toi et tu ne le mérites pas. De plus je suis sûr que Déborah saura te rendre à ta beauté profonde.

Par contre elle est un peu chère, mais tu feras payer ton conard de mari. Ça marche ??

— (essuyant mes larmes) oui, tu es un mec bien Jonathan !!

Et je lui serrai la main, un vrai deal de mecs !! Alors les deux me firent les déshabiller mon dieu, des éphèbes grecs, des putains de beaux mecs, le torse puissant, les abdos et les pecs bien marqués

Arrivée au boxer, qui présentait une bosse impressionnante, je me sentis toute petite, comme si j’allais me faire dépuceler !

Je mis Jonathan nu et me jetant à genou, à ses pieds, je lui prit les testicules d’une main et caressai sa tige de l’autre.

Relevant les yeux vers lui, je vis qu’il se mordait les lèvres et fermait les yeux. Sa respiration s’accélérait

Alors prise d’une envie soudaine, je lui gobais le sexe en érection et commençais à lui tailler une pipe du tonnerre.

Je laissais faire mon instinct, parce que c’est quelque chose que je n’avais jamais fait auparavantj’étais arrivée vierge au mariage, et mon conard de mari n’avait jamais eu le courage ou l’envie de me demander cette caresse !

Je le pompais comme une dératée, je sentais d’instinct comment lui donner du plaisir, et à quelle vitesse activer ma bouche sur son dard

Mon ventre était en ébullition, je ressentais déjà une jouissance sourde monter en moi !

Mon entrejambe me démangeait, je sentais la cyprine s’écouler le long de mes cuisses, d’ici peu j’allais avoir un orgasme, tant mon excitation était grande !

La sienne aussi d’ailleurs, doucement il sépara ma bouche de son sexe et me dit :

— Rebecca tu es une fellatrice hors pair ! Tu ne nous aurais pas raconté des conneries ?? Tu es une pro du sexe ! Il fallait que je t’enlève, j’allais jouir dans ta bouche et j’ai encore du plaisir à te donner !

— Merci, ça me touche ce que tu me dis, mais je te jure c’est la première fois que je suce un mecet ta queue est divine, j’en suis folle !

Alors Jonathan me fit me relever et me roula un palot du feu de Dieu, nos langues s’épousaient dans nos bouches, jamais un homme ne m’avait embrassée comme ça

Quand il s’interrompit, j’avais des étoiles plein les yeux, j’étais au bord de la jouissance.

Il se mit alors à prendre mes seins dans ses mains puissantes et me les caressa et les trituraj’adorais celapuis il mit sa bouche sur mes pointes et les suça.

Cela déclencha une série de gémissements que je ne pus réprimeril savait y faire le petit salop !

Pendant ce temps David s’était rapproché de moi et me pelotait les fesses, j’adorais cela

Puis il m’enlaça et je me retrouvai prise en sandwich par ces deux beaux mâles nus

La vision qu’aurait pu en avoir un observateur extérieur devait être idyllique

Une main sur mes fesses, il me mit deux doigts devant ma bouche que je m’empressai de mordiller.

Il fouilla littéralement ma bouche pendant que de son autre main il commençait à s’intéresser à ma rondelle

Bientôt je sentis un doigt inquisiteur fureter dans mon intimité anale.

Je m’ouvris sans complexe devant cette intrusion et le doigt me pénétra avec facilité.

Les deux mains de Jonathan sur les seins, les doigts de David dans ma bouche et un autre doigt dans mon petit trou, je me sentis comblée et commençai à gémir sourdement

Quand Jonathan força le passage entre mes cuisses et pénétra ma vulve avec ses doigts, un orgasme destructeur s’empara de mon être !

Je me mis à jouir comme une salopeje ne pus retenir des cris de jouissance, mon dieu que c’était bon cette jouissance qui fait crier (je ne pus m’empêcher de penser à ma lecture de " l’amant "   de Marguerite Duras.)

Alors les deux me firent me coucher sur un banc de musculation, et pendant que Jonathan s’introduisit entre mes cuisses, David me présenta son sexe en érection devant mon visage.

Je pris très vite cette belle verge entre mes mains, commençai à la branler et me mis à la sucer.

Pendant ce temps Jonathan m’écarta doucement les lèvres et caressant mes nymphes, moites de jouissance, il introduisit son mandrin dans mon sexe avide.

Je poussai un plainte déchiranteinquiet Jonathan me demanda :

— ça va Rebecca ??

— Ouuiiiii, continue tu me fais trop de bien, vas y baise moi, fais moi jouir encore !!!!

Alors commença une séance de baise comme je n’en avais jamais connu avec mon crétin de mari

Jonathan me pilonna comme les canons allemands sur Verdun, le premier jour de l’offensive, un 21 février 1916

Son offensive fut néanmoins plus pacifique, mais non moins violente

Tout mon corps était secoué par ses assauts frénétiques, j’en avais presque du mal à garder le sexe de David dans ma bouche.

Ce que je ressentais était au-delà du réel, mon sexe était investi par ce membre puissant, ses pulsations et ses vaet-viens me tiraient à chaque fois de gémissements étouffés par le chibre de David dans mon gosier

Ces deux sexes qui avaient investi mon corps de femelle, en manque de jouissance, me procuraient des plaisirs au delà du concevable

J’étais divisée en deux partiesma partie charnelle encaissait les mouvements de la chair et y prenait plaisiret d’un autre coté, je me sentais partir vers des rivages lointains de plaisirs exquisla petite mortje comprenais à présent ce que cela voulait dire.

A un moment la tension fut trop forteje ressentis les pulsations de la verge de Jonathan, qui expulsait son sperme en moicela me déclencha un orgasme foudroyant qui me laissa pantelante

Je hurlais ma jouissance sans aucune pudeur, ayant expulsé la verge de David hors de ma bouche.

Celui-ci excité par la situation, se mit à gicler des jets de sperme sur ma bouche, mon visage, mes seins

Au delà de tout contrôle, je me mis à lécher ce sperme si chaud sur mes lèvres, et ayant un peu récupéré je le repris en bouche pour le finir

Puis je m’affalais sur le banc de muscu, comblée, heureuse, repuej’avais joui comme jamais je ne l’aurais cru possiblej’étais enfin FEMME !!

— Hé bien, tu cachais bien ton jeuon peut dire que tu es une sacrée jouisseuse Mme marquezsuis mon conseil, va voir l’amie de ma mère et dans 4 mois ce sera tous les 4 !!

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