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Stéphanie, chirurgienne et salope – Chapitre 13




Lundi matin, je suis ravie de partir au travail après ce joli week-end d’orgie où j’ai pu m’affirmer en tant que dominatrice auprès des femmes de mes deux patrons. Elles se sont prêtées à tous nos jeux les plus pervers, et ces deux chiennes en ont redemandé. Comme à mon habitude, j’entre dans mon bureau et je me mets en tenue de travail; nue sous ma blouse de chirurgienne. Je mets en route mon ordinateur et je trouve un mail de mon boss :

Rendez-vous de travail à 12H30 dans mon bureau.

Je serai présente, à ce midi.

Je passe ma mâtinée en consultation et je dois avouer que la dernière a été vite expédiée, tellement j’avais hâte de me retrouver dans le bureau de Pierre. Dès ma dernière consultation achevée, je me précipite vers le bureau de mon chef de service sans oublier de dire à ma secrétaire que s’il y a un souci, il faut me contacter dans le bureau du professeur. Fébrile, je frappe à la porte et j’entre après y avoir été invitée. Pierre me demande de fermer la porte à clef derrière moi, ce que je fais sans réfléchir. Je devine ce qui m’attend et ma petite chatte commence à s’humidifier. Franck est présent, il est assis face à Pierre et ce dernier me demande de prendre place sur le fauteuil près de lui. En guise de réunion de travail, mes deux patrons me décrivent avec précision leur week-end avec Alexandra et ne tarissent pas d’éloges sur ses qualités de jeune femme soumise.

Tous leurs récits me mettent en émoi et je ne cesse de croiser et décroiser les jambes, jusqu’au moment où Pierre me demande :

Et toi, comment s’est passé ton week-end?

Pour tout vous dire, j’ai profité de votre absence pour inviter vos femmes à la maison ! J’espère que vous ne m’en voulez pas ?

Bien sûr que non !! me répondent-ils en cur.

Vous ne souhaitez pas savoir comment s’est passé notre week-end ? dis-je sur un ton espiègle.

Bien évidemment !! répondent-ils de concert.

J’ai des choses à vous montrer, mais il va falloir me promettre de ne pas vous fâcher et surtout de ne pas leur en vouloir !!

C’est grave à ce point ? s’inquiète Franck.

Non, rien de bien méchant, ne t’inquiète pas !! dis-je en lui souriant tout en faisant le tour du bureau de Pierre.

Je connecte mon téléphone à l’ordinateur de Pierre et je demande à Franck de venir nous rejoindre. Lorsque tout le monde est derrière l’écran, je lance la première vidéo. Franck découvre alors sa femme, Anne, enchaînée par les poignets se faisant caresser et embrasser par cinq hommes. Il regarde cette scène avec attention tout en glissant une main sous ma blouse. Puis, les scènes s’enchaînent et chacun de mes patrons découvre sa femme prise par tous les trous par d’énormes chibres. Ils hallucinent en les voyant se faire démonter le cul par d’énormes queues, mais ne se privent pas de me doigter la chatte et le cul. Je termine cette séance vidéo avec la grosse queue de Pierre dans mon cul et celle de Franck dans la bouche. Une fois qu’ils se sont bien vidé les couilles en moi en regardant avec intérêt les ébats de leurs femmes, Pierre me demande sans ambages :

Si j’ai bien compris, elles font tout ce que tu leur demandes ?

Oui, absolument tout !! Comme je le fais pour vous, professeur !! Elles feront tout ce que je leur demanderai !!

Si Franck est d’accord, j’aimerais que tu fasses quelque chose pour nous, déclare Pierre en se rhabillant.

Je vous écoute, professeur, lui dis-je en rajustant ma tenue.

Je vais organiser un dîner samedi soir à la maison avec Franck et Anne. Je veux que tu viennes avec Anthony et les hommes que j’ai vus sur ces vidéos. Je veux que tu fasses aussi venir Alexandra à cette petite soirée. Je t’enverrai un message juste après dîner pour que vous vous présentiez à la porte de la maison. J’attends de voir la tête que vont faire nos femmes en vous voyant débarquer dans le salon.

Cette idée me plaît beaucoup ! déclare Franck.

Et que se passera-t-il ensuite ? dis-je en me projetant déjà vers ce week-end.

Nos femmes ne vont sûrement pas se trouver très à l’aise et, après avoir joué de cette situation, je te laisserai carte blanche pour les emmener dans notre pièce du plaisir, et les obliger à nous servir de jouet. Leur soumission à ton égard ne fait aucun doute et je pense que nous allons bien nous amuser.

Je pense pouvoir vous faire vivre une soirée très excitante, professeur ! lui dis-je avec enthousiasme.

Je compte sur toi ma petite salope !! me dit Pierre en me donnant une tape sur les fesses avant de me congédier de son bureau.

En sortant du bureau de mon patron, je pense déjà à ce que je pourrais faire pour le remplir de joie. Cependant, en regagnant mon bureau, je me mets à penser à mon dernier rendez-vous de la journée. En effet, c’est aujourd’hui que je reçois en consultation le patient que j’ai sucé dans sa chambre, et je sais que je vais devoir le recevoir en présence de Julien, l’infirmier qui m’a surprise en pleine action avec les deux patients de la chambre. Il m’a demandé la semaine dernière quand je devais recevoir mon patient bien membré et je lui ai dit de se tenir prêt pour aujourd’hui, 18h00. Le reste de l’après-midi passe très vite, mais j’ai tout de même un petit mouvement de surprise en voyant Julien devant la porte de mon bureau alors que je sors pour faire entrer mon prochain rendez-vous. Je regarde ma montre et je m’aperçois qu’il est déjà 18h00. Un bref regard dans la salle d’attente me confirme que c’est bien mon dernier rendez-vous.

Mon patient me regarde avec un grand sourire et, un peu confuse, je l’invite à me suivre. Nous entrons dans mon bureau, suivis par Julien qui prend soin de fermer la porte à clef derrière lui. Mon patient ne s’est aperçu de rien et s’installe face à moi alors que j’adresse un regard sévère à Julien. Ce dernier m’adresse le plus exquis des sourires et je sens déjà mon entrejambe s’humidifier. Je ne peux avoir aucun doute sur les intentions de l’infirmier du service et je dois admettre que la perspective de me donner sous ses yeux m’excite beaucoup. Après un grattement de gorge, je me remets dans mon rôle de chirurgienne.

J’ai demandé à l’infirmier du service de venir me seconder, car il est possible que nous ayons besoin de faire quelques manipulations et je ne suis pas sûre de pouvoir les faire seule.

Il n’y a pas de problème, docteur, répond brièvement mon patient.

Je lis une sincère déception dans son regard et, pour donner le change, je consulte les radios récentes de mon patient pour déterminer la consolidation. Après une brève explication des clichés, je demande à mon jeune patient de venir s’allonger sur la table d’examen. Il s’approche avec ses béquilles et s’assoit sur la table. Maladroitement, il tente de retirer son jogging. Je me mets à genoux devant lui et j’entreprends de l’aider à retirer son vêtement. C’est à ce moment que je sens la main de Julien se poser sur ma tête et que j’entends sa voix retentir dans mon dos :

Votre patient à l’air un peu tendu, docteur ! Peut-être devriez-vous l’aider à se détendre !!

Tu crois ? dis-je en le regardant droit dans les yeux.

J’en suis sûr, docteur ! me répond-il en poussant ma tête vers l’entrejambe de mon patient.

Ce n’est plus le moment de reculer, mais en ai-je vraiment envie ?

Tout au fond de moi, je sais qu’il y a trois semaines que j’attends ce moment. Je l’attends depuis que Julien est venu dans mon bureau, et qu’il m’a caressée, en me laissant frustrée de ne pas m’avoir baisée. A cette seule pensée, je sens ma chatte s’inonder. Je regarde mon patient dont le regard s’illumine au moment où je pose ma main sur sa bite que je sens grossir à travers son caleçon. Je place mes mains de part et d’autre de son sous-vêtement et je le fais glisser le long de ses cuisses. Sa bite imposante se révèle à moi, aussi belle que dans mes souvenirs, et je me penche pour la prendre en bouche. Je me mets à la sucer avec passion et, très vite, je la sens prendre du volume dans ma bouche. La main de Julien vient de quitter ma tête et entreprend de soulever ma blouse. Très vite, elle glisse entre mes cuisses et vient caresser ma vulve déjà ouverte de désir.

L’une des mains de mon patient vient de remplacer celle de Julien sur ma tête et commence à imprimer le rythme de la fellation. Il pousse de plus en plus sur ma tête et, en bonne salope que je suis, je le laisse s’enfoncer de plus en plus profond dans ma bouche. Les doigts de Julien s’activent sur ma fente trempée et je les sens s’insinuer entre mes lèvres. Il commence à me pistonner la vulve de deux doigts et mon esprit se met à vagabonder alors que je pousse des gémissements de plaisir. Je pense à Anthony et j’imagine qu’il aimerait sûrement voir sa salope de femme se faire baiser par deux inconnus. Il faut qu’il sache, il faut qu’il voie ! J’interromps ma fellation et je demande à mes deux nouveaux amants de me donner quelques minutes. Julien proteste, mais il sort ses doigts de ma vulve pour me laisser me relever et me diriger vers mon bureau. Folle d’excitation, je saisis mon portable et j’appelle Anthony en Visio.

Coucou mon chéri ! Je te dérange ?

Non mon cur, je viens de terminer avec mon dernier patient et je m’apprêtais à rentrer à la maison.

Ne bouge pas, j’ai quelque chose à te montrer et j’espère que tu vas adorer !! lui dis-je, tout excitée en me rapprochant de mon binôme d’amant.

Je m’arrange comme je peux pour fixer mon téléphone sur une potence et je règle le tout pour cadrer la scène qui va bientôt s’offrir aux yeux de mon mari. Je contourne la table d’examen et je me remets à genoux devant mon patient. Je prends sa grosse queue en main et j’approche ma bouche de son gland violacé par l’excitation. J’ouvre la bouche et reprends la fellation là où je l’avais laissée. Comme s’il n’y avait pas eu d’interruption, mon patient repose sa main sur ma tête et imprime de nouveau le rythme qu’il souhaite donner à la pipe que je suis en train de lui prodiguer. Julien passe ses mains sur ma poitrine et ouvre les trois premiers boutons pression de ma blouse faisant ainsi jaillir mes seins. Ses mains s’emparent de ma poitrine, et très vite, il fait rouler mes tétons, m’arrachant quelques gémissements de plaisir.

Ça a l’air de te plaire de te donner en spectacle devant ton mari !! déclare Julien dans mon dos alors qu’il vient de rapprocher son bassin de mes fesses.

J’ai fait d’elle une vraie salope, et j’aime la voir se donner à d’autres hommes, ou femmes à l’occasion !! répond Anthony sachant que je n’ai pas le droit de parler la bouche pleine.

Parce qu’en plus, tu te fais aussi des nanas !! s’étonne Julien en me claquant une fesse. J’ai un mouvement de surprise, mais je poursuis ma fellation en gémissant de plus belle.

Elle ne déteste pas lécher un joli petit minou en se faisant défoncer le cul par une bonne queue, ma petite salope de femme !! Allez, messieurs, faites-la jouir, elle n’attend que ça !! s’enthousiasme Anthony, au comble de l’excitation.

Julien arrache littéralement ma blouse et il découvre mon porte-jarretelles en dentelle rouge et mes jambes gainées de bas noir. Sans plus de cérémonie, il glisse deux doigts dans ma fente qui commence à déborder de mouille. Je cambre les reins pour lui présenter mes fesses et l’inciter à plonger ses doigts plus loin en moi. Le fait de me donner en spectacle devant mon mari décuple mon désir et je m’applique à faire la plus belle des pipes à mon patient. J’avale cette belle queue en jetant des regards langoureux vers mon téléphone. Je suis sûre qu’Anthony se branle en regardant sa salope de femme aux prises avec deux hommes dans son bureau de l’hôpital. Derrière moi, Julien écarte mes fesses d’une main et je sens sa langue glisser sur mon petit illet qui se met à palpiter d’excitation. Peu à peu, la langue inquisitrice se darde et me pénètre le cul, m’arrachant un profond gémissement.

J’ai très envie de sentir ces deux belles queues en moi, et de ma main libre je cherche la pédale de commande de ma table d’osculation. Je finis par la trouver et, sans arrêter ma fellation, je la fais descendre au plus bas. Je me retourne vers Julien et lui demande de me laisser un peu de liberté. Il cesse de me lécher le cul et sort ses doigts à regret de ma fente. Je constate son air dépité et je lui dis avec un sourire espiègle :

Ne fais pas cette tête, je vais t’offrir mon cul de salope !!

Je n’attends pas sa réponse et j’entreprends de me placer à califourchon au-dessus de la bite de mon patient. Je saisis la queue bien tendue et je la présente à l’entrée de ma grotte dégoulinante de désir. Je regarde mon téléphone, et je me laisse descendre sur la grosse bite avide de me remplir. Le gros membre écarte mes chairs et je me laisse lentement envahir jusqu’à venir poser mon pubis contre celui de mon patient. J’entame un lent va-et-vient alors que Julien retire ses vêtements dans mon dos. Je viens poser ma poitrine contre celle de mon patient et, de mes deux mains, j’écarte les deux lobes de mes fesses afin de présenter mon petit trou à l’infirmier. Je veux montrer à mon mari qu’il a fait une vraie salope de moi et qu’il comprenne, si ce n’est déjà fait, que j’ai envie de me faire prendre pour son propre plaisir. Julien a très bien compris mon invitation et se place derrière moi sur la table d’examen. Il me saisit par les hanches et place son gland sur ma rosette.

Il exerce une lente poussée jusqu’à ce que son gland passe la barrière de mon rectum, puis il me pénètre d’un seul coup, m’arrachant un cri mêlé de douleur et de plaisir. Julien est bien monté, mais il est loin d’être aussi gros que les grosses queues que j’ai prises dans mon cul. Rapidement, mon rectum s’habitue à cette présence et je commence à exprimer mon bonheur d’être ainsi comblée :

Hummm, oui !! C’est bon vos queues !!

Tu aimes te faire défoncer tes trous de bonne salope !! me lance Julien dans mon dos.

Oui, ouiiiii !! Défoncez-moi avec vos bonnes queues !! dis-je en regardant mon téléphone pour exciter mon pervers de mari.

Mon patient me prend par les cheveux et approche mon visage du sien. Il tente de m’embrasser, mais je me dérobe, et ses lèvres ne font qu’embrasser ma joue. Julien qui a vu ce qui vient de se passer me saisit à son tour par les cheveux et retourne mon visage vers le sien. Il approche ses lèvres de ma bouche et me dit :

Quand on est une bonne salope, on se laisse embrasser !! Espèce de petite pute !!

Oui, comme tu veux !! lui dis-je en lui tendant mes lèvres.

J’aime ta soumission, ma petite chienne !! me répond-il avant de m’embrasser à pleine bouche.

Maintenant, tu vas lui donner ta bouche, ma petite pute !! me dit Julien après un profond baiser sensuel où nos langues se sont mélangées de façon très perverse.

Folle d’envie de me livrer complètement, je me laisse tomber sur le torse de mon patient et je lui tends mes lèvres. Il place sa main dans mes cheveux et les tord avant d’attirer ma bouche vers la sienne. Totalement inhibée, j’ouvre mes lèvres et je laisse sa langue prendre possession de ma bouche. Nos langues se trouvent et se mélangent dans un profond baiser. J’aime tellement ce contact, que j’en oublie la présence virtuelle de mon mari et je m’abandonne totalement à mes deux nouveaux amants.

Oui, ouiii, c’est trop bon !! Défoncez-moi comme une pute !!

Continue à l’embrasser, ça évitera que tout l’hôpital t’entende gueuler, salope !! me crie Julien en repoussant ma tête vers celle de mon patient.

Les deux queues s’activent en moi, et très vite, je sens une chaleur m’envahir le ventre. Je pars dans un profond orgasme et mes gémissements de plaisir sont étouffés par le baiser pervers que je donne à mon patient. Mes deux amants se vident en moi et je ressens les décharges de sperme dans mes orifices. Je retombe, vidée de jouissance, sur la poitrine de mon patient et il se passe de nombreuses minutes avant que je reprenne mes esprits. Julien me donne une claque sur les fesses après s’être retiré de mon cul et me dit :

Maintenant, ma petite pute, nous sommes quittes et tu peux rentrer chez toi.

Incapable de répondre, je me libère de l’étreinte de mes partenaires et, dans une torpeur habituelle après une telle jouissance, je me change pour rentrer chez moi sans même faire attention à mes deux amants du moment. Les deux hommes m’embrassent sur la bouche avant de quitter mon bureau et, dans un état second, je quitte l’hôpital après avoir récupéré mon portable. Anthony avait coupé la Visio depuis un petit moment, mais ce détail ne me perturbe pas. Je sors de l’hôpital et je rejoins le métro pour rentrer chez moi. Comme d’habitude, à cette heure de pointe, le métro est bondé. Je me retrouve très vite entourée d’hommes qui ne se gênent pas pour se frotter à moi. Ils sont trois autour de moi et, très rapidement, je sens entre mes fesses une forme qui ne me laisse aucun doute. Une nouvelle station; et le métro se remplit encore. Les corps se serrent contre moi et je sens une main se glisser entre mes cuisses.

L’homme qui se trouve à ma droite libère son bras et vient poser sa main sur mes seins. Le soupir que je lance dans le brouhaha ambiant ne fait qu’encourager les trois hommes qui se sentent impunis dans ce vase clos que représente le métro. Je ne cherche pas à savoir si des regards se posent sur nous et je m’abandonne à ces mains qui veulent me faire du bien. Je ferme les yeux au moment où je sens des doigts soulever le tissu de ma robe légère, et se poser sur mes lèvres intimes, gonflées par le désir que me procure ce nouveau contact. Il faut dire que je suis toujours dans l’excitation de ce qui vient de se passer dans mon bureau et je m’abandonne volontiers à ces caresses furtives. J’ouvre de nouveau les yeux, car j’ai envie de voir le visage des hommes qui me tripotent sans vergogne. L’homme qui me caresse les seins est un Maghrébin d’une trentaine d’années et lorsqu’il croise mon regard, il me pince un téton, m’arrachant un gémissement.

L’homme à ma gauche qui a maintenant ses doigts dans ma chatte est un homme d’une soixantaine d’années vêtu d’un costume comme ceux que portent les hommes du quartier financier de La Défense. Il a l’âge d’être mon père, et de sentir ses doigts dans ma chatte m’excite beaucoup. Je tourne difficilement la tête et je ne peux qu’apercevoir une partie du visage de celui qui colle sa queue entre mes fesses. C’est un black qui semble avoir la quarantaine, mais ma position n’est pas assez confortable pour que je puisse en voir plus. Lorsque mon regard revient vers le Maghrébin, je croise le regard d’une femme derrière lui qui ne manque rien du spectacle. Ses yeux expriment une espèce de désapprobation mêlée de jalousie. C’est une grande femme brune qui semble avoir la cinquantaine. Plus je la fixe et plus j’ai l’impression qu’elle aimerait être à ma place, mais son regard sévère finit par me faire baisser les yeux. La rame ralentit et les mains de mon Maghrébin quittent ma poitrine.

Je le sens s’écarter de mon corps à regret, mais la grande brune, poussée par le flot humain, vient prendre sa place. Son corps se retrouve collé contre le mien et elle peut sentir la main du sexagénaire s’agiter entre mes cuisses. Le flot de personnes qui entre dans la rame de métro la colle encore plus à moi et j’en profite pour placer ma main entre ses cuisses. Elle porte une jupe courte, et ma main atteint très vite sa chatte dissimulée sous le simple tissu d’un string. Très vite, j’écarte la fine étoffe, et je glisse mes doigts sur les lèvres déjà humides de sa chatte en la regardant droit dans les yeux. Nos regards se croisent un bref instant avant qu’elle ne ferme les yeux, totalement abandonnée dans la caresse de mes doigts qui se frayent un passage entre les lèvres humides de sa chatte. Je glisse ma joue contre la sienne, et je lui murmure à l’oreille :

Tu aimes ça salope ?

Hummmm !! est la seule réponse que j’obtiens.

Je sens ses mains remonter et venir prendre possession de ma poitrine alors que sa joue frotte la mienne dans une caresse terriblement sensuelle. Le black derrière moi s’est arrangé pour sortir sa queue de son pantalon et, d’un mouvement de hanche, il me l’a glissée entre les fesses. Il se branle lentement dans mon sillon alors que mon sexagénaire active ses doigts de plus en plus vite entre les lèvres trempées de ma chatte. Il faut que je fasse vite, car je descends dans deux stations. Je viens de prendre du plaisir et je veux donner à cette femme le plaisir que je ressens en me livrant ainsi à des inconnus. Le métro ralentit, et j’en profite pour saisir la main du sexagénaire et l’obliger à sortir ses doigts de ma fente. Au moment où le métro s’arrête, et que le mouvement humain reprend dans la rame, je retourne ma partenaire et je la livre aux hommes qui s’occupaient de moi.

Elle se retrouve à ma place, et je sors mes doigts de sa chatte pour saisir la main du sexagénaire pour la replacer là où était la mienne.

Je descends à la prochaine et je te fais ce cadeau !! lui dis-je avant d’approcher mes lèvres des siennes pour l’embrasser.

Nos langues se mêlent sans aucune pudeur dans une complète abstraction du monde qui nous entoure. Le métro a repris sa folle course et son ralentissement sonne le moment de mon départ. Je me détache de ma partenaire et l’observe quelques secondes. Je lis dans son regard un sentiment de gratitude et elle referme les yeux au moment où je me détache d’elle, totalement livrée aux assauts des mâles qui l’entourent.

Encore toute bouleversée par ce qui vient de se passer, je monte dans le RER et je me perds dans mes pensées à tel point que j’en oublie presque de descendre à la gare. En montant dans ma voiture, je pense à mon petit mari qui doit être terriblement excité par ce que je lui ai montré dans mon bureau. Je ne croyais pas si bien penser, car il m’attend derrière la porte d’entrée. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue alors que sa main droite plonge directement entre mes cuisses. Il remonte ma robe légère et me plonge directement deux doigts dans la chatte m’arrachant un profond soupir qui se perd dans sa bouche. Il interrompt notre baiser et ressort ses doigts de ma chatte avant de me retourner et de ma plaquer à nouveau contre le mur. Sa main gauche retient ma nuque alors que la droite remonte carrément le bas de ma robe, afin de mettre à nu mon petit cul. Il me donne deux claques sur les fesses avant de replonger deux doigts dans la chatte, et de me murmurer à l’oreille :

Tu as bien pris ton pied dans ton bureau, ma petite salope !!

Hummm, oui c’était bon !! lui dis-je dans un souffle.

Ça te plaît de te faire défoncer sous les yeux de ton mari, hein petite salope !! me dit-il en enfonçant plus profondément ses doigts dans ma chatte qui suinte de plaisir.

Hummm, oui car je sais que tu aimes me voir ainsi. Je l’ai fait pour toi, car je suis ta petite salope de femme.

J’ai une petite surprise pour toi ! me dit-il en retirant ses doigts de ma chatte avant de me guider vers le salon.

Là, je découvre Eric et Marc qui m’attendent assis sur le canapé. Ils sont déjà nus et se lèvent pour m’embrasser. Je tends d’abord mes lèvres à Eric qui m’embrasse à pleine bouche alors que Marc se place derrière moi et commence à me caresser les fesses. Après un long baiser au grand black, je me retourne pour embrasser le stagiaire de mon mari. Nos lèvres se collent, et sa langue entre dans ma bouche pour aller à la rencontre de la mienne. Nos langues se mêlent dans un baiser très suave qui me fait fondre. Je dois avouer que j’aime particulièrement me sentir au contact de ce beau jeune homme à la musculature impressionnante. Eric en profite pour descendre la fermeture éclair de ma petite robe, et il fait glisser les fines bretelles sur mes épaules. Ma robe tombe à mes pieds, et je me retrouve nue, juchée sur mes hauts talons entre les deux hommes. Tout en poursuivant son baiser, Marc m’attire à lui, et ma peau vient se coller contre la sienne.

Ce contact me donne des frissons et je sens sa queue qui commence à durcir entre nos deux corps. Eric me caresse les fesses et fait descendre ses doigts vers le compas de mes cuisses. J’écarte les jambes pour lui faciliter la tâche, et je sens ses doigts glisser sur ma fente. Je sais qu’Anthony nous observe et je suis très excitée par cette situation. Soudain, sa voix retentit derrière nous :

Allez-y les gars, elle est à vous. Faites-la bien jouir, ma petite salope de femme !!

Compte sur nous, on sait qu’elle aime ça !! dit Eric en appuyant sur mes épaules pour me faire mettre à genoux.

Je me retrouve face à Anthony qui s’est déshabillé et qui se caresse lentement la queue, assis dans un fauteuil. Je lis dans son regard qu’il se régale de la situation et qu’il attend de moi que je me donne pour lui à ses deux comparses. Marc et Eric se sont placés de part et d’autre de moi, et leurs deux queues se dressent fièrement au niveau de ma bouche. Marc me caresse doucement la joue et m’invite à le prendre en bouche. Docilement, j’ouvre les lèvres et je commence à passer ma langue sur son gland. Je place mes mains sur chacune des deux grosses bites et je commence à les branler lentement. J’ouvre la bouche et je fais coulisser mes lèvres sur le membre tendu de Marc. Je regarde mon mari droit dans les yeux et je m’efforce de lui montrer à quel point j’apprécie le cadeau qu’il vient de me faire. J’aime être sa salope et agir selon son bon plaisir. Ma bouche passe maintenant d’une queue à l’autre et les dards s’enfoncent de plus en plus loin dans ma bouche.

Je veux offrir à mon mari le plus beau des spectacles : sa femme qui s’offre sans retenue aux hommes qu’il a choisis pour elle. Je veux satisfaire ses envies et me donner comme une bonne petite salope aux plaisirs qu’il m’offre. Alors que je m’applique à pomper le nud d’Eric, Marc se cale au fond du canapé et me demande de venir m’empaler sur sa queue toute luisante de ma salive. Obéissante, je place mes genoux de part et d’autre de ses hanches, je lui saisis la queue et je guide son gland vers l’entrée de mon petit volcan en fusion. Les lèvres de ma chatte s’ouvrent et je me laisse descendre lentement sur la belle bitte de Marc. Il m’attire à lui et je goûte une nouvelle fois avec délectation le contact de la peau du jeune homme contre la mienne. Si un jour j’avais dû tromper mon mari, je pense que je l’aurais fait avec ce genre d’homme, jeune et musclé, mais je n’en ai nul besoin, car mon mari sait me combler en m’offrant à de tels hommes.

Lorsque le gland est entré en moi, je tourne la tête pour regarder Anthony et je m’empale littéralement sur la bite chaude et tendue à l’extrême de son stagiaire, en poussant un long soupir de satisfaction. Eric, de son côté, m’écarte les fesses et entreprend de me préparer la rondelle avec ses doigts. Mon petit trou est déjà prêt à le recevoir, mais il ne le sait pas. Il entre un puis deux doigts sans difficulté et il s’en étonne.

Ta femme a le cul bien ouvert, Anthony !! Tu lui dilates tous les jours ou quoi ?

Non, cette petite salope vient de se faire défoncer par deux mecs dans son bureau sans me prévenir. Elle s’est déjà fait dilater le cul et je pense que tu peux la prendre comme la bonne chienne en chaleur qu’elle est.

Hummm, oui !! Prends-moi !! lui dis-je avant de poser ma bouche sur celle de Marc.

Au moment où je plonge ma langue dans la bouche de Marc, je sens l’énorme gland d’Eric se frotter à ma rondelle qui palpite d’excitation. Marc passe ses doigts dans mes cheveux et m’embrasse avec fougue alors que l’énorme chibre d’Eric commence à s’enfoncer dans mon fondement. Je sens les trente centimètres de chair s’enfoncer lentement en moi et je lâche la bouche de Marc pour pousser un long râle de bonheur quand je sens les hanches d’Eric me toucher les fesses. Son énorme queue est entrée tout entier dans mon cul, et je sens les deux queues s’activer de part et d’autre de la fine paroi qui sépare mes deux orifices.

Oui les gars, c’est bien !! Faites-la bien crier ma petite pute de femme !! Tu aimes ça ma petite salope ? me lance mon mari.

Hummm, ouiiii !!! C’est trop bon mon amour !!

Dis-moi ce que tu veux ma petite chienne !! me demande Anthony.

Je veux qu’ils défoncent ta petite salope de femme, mon amour !!

Dis-leur ce que tu veux, mon cur !! m’encourage Anthony.

Hummm, j’aime vos queues !! Faites-moi crier !! Défoncez-moi le cul et la chatte !! Je veux vous sentir jouir en moi !!

Tu veux qu’ils te prennent comme une pute ? me demande mon mari.

Oui, je suis à eux !! Hummmm, oui, je veux qu’ils me prennent comme une chienne en chaleur !! Ooooh oui…Déchire-moi le cul avec ta grosse queue de black, et toi, défonce-moi ma petite chatte de salope devant mon mari !! dis-je avant de plonger ma langue dans la bouche de Marc.

Mes deux nouveaux amants se mettent à me limer de toutes leurs forces et je ne suis plus qu’un jouet entre leurs corps musclés. Je sens les deux queues coulisser en moi, et mon ventre entre en fusion. L’orgasme monte en moi et je ne vais pouvoir plus le retenir plus longtemps. Je relève la tête et j’aperçois Anthony qui s’est rapproché du canapé.

Vas-y; jouis, ma petite pute !! me dit-il en se caressant la queue.

Hummm, oui, ouiiii… c’est trop bon !!! Hummm… donnez-moi vos jus !! Remplissez votre petite pute !!

Ouiiii, on va te remplir tes petits trous de chienne !! me crie Eric.

Tiens, prends tout dans ta petite chatte de salope !! hurle Marc en me remplissant la chatte de son jus.

Je hurle ma jouissance au moment où je sens Eric se déverser par longs jets saccadés dans mon cul. L’orgasme est tellement violent que je me laisse retomber sur le torse de Marc. Il me faut plusieurs minutes avant de reprendre mes esprits tant l’orgasme a été violent. C’est mon mari qui m’aide à me libérer de mes deux amants et il prend soin de m’allonger sur le canapé pour que je puisse reprendre mon souffle. Lorsque je sors de ma torpeur quelques minutes plus tard, je me retrouve seule avec mon mari. Il a gentiment congédié les deux hommes pour rester seul avec moi. Avec beaucoup de délicatesse, il me conduit vers la salle de bain où un bain chaud m’attend. Je réalise que je suis restée inconsciente plus longtemps que je ne l’aurais cru, mais j’apprécie à sa juste valeur la petite attention de mon mari. Je me prélasse longuement dans mon bain et, après avoir passé ma petite nuisette en dentelle noire, je rejoins Anthony qui m’a préparé un bon petit repas.

Comme si rien ne s’était passé, nous échangeons sur nos journées respectives et j’en profite pour lui parler du projet de mes patrons. Il prend la nouvelle avec enthousiasme, et me dit qu’il va alerter tout le monde dès le lendemain. Après le repas, nous nous retrouvons sur le canapé du salon et Anthony m’embrasse en glissant une main entre mes cuisses. Après la journée que je viens de passer, je suis très chaude et j’ai envie que ce soit enfin lui qui me caresse. J’ouvre mes jambes, et ses doigts prennent immédiatement possession de ma chatte. Il caresse avec lenteur les lèvres de ma chatte qui se lubrifient sous la caresse subtile. Il interrompt son baiser et me murmure à l’oreille :

Tu aimes être ma petite salope ?

Hummm…oui mon chéri !!

Ça te plaît de te faire baiser devant moi ?

J’aime me faire prendre devant toi parce que je sais que c’est ce que tu veux !!

Ça t’excite ?

Oui, je prends encore plus de plaisir quand je sais que tu me regardes me faire prendre par d’autres hommes que toi.

Tu aimerais être ma petite pute ? me demande-t-il en m’enfonçant deux doigts dans la chatte.

Hummm, je ne vois pas bien où se trouve la subtilité mon chéri !! Hummm, oui… tes doigts !!

Je pourrais te livrer à des inconnus. La relation ne serait pas payante, mais tu pourrais faire comme si tu étais ma pute.

Tu ne veux tout de même pas me mettre sur le trottoir !! dis-je, offusquée en retirant sa main d’entre mes cuisses.

Je ne permettrais pas, tu vaux bien mieux que ça, ma chérie !! me dit-il en prenant son ordinateur portable posé sur la table basse du salon.

Il ouvre l’ordinateur et je suis face à une fenêtre qui semble être un site de rencontre. Il m’explique brièvement que c’est un site où les gens s’inscrivent pour des plans cul et que nous pourrions y trouver ensemble des partenaires potentiels pour moi et pour son plaisir. Mon mari m’explique que jusqu’alors, il m’a vue entre les bras des gens que nous connaissons et qu’il aimerait me voir prise par des inconnus. Face à ma moue, il fait défiler les pages et s’arrête sur certains profils qu’il a sûrement sélectionnés à l’avance. On y trouve des couples qui cherchent un couple, des couples qui cherchent plusieurs hommes pour satisfaire Madame, des groupes d’hommes qui cherchent une femme pour une nuit; une femme qui veut se faire prendre devant son mari par deux hommes, etc.

La lecture de tous ces profils ne me laisse pas indifférente et je m’imagine déjà me faire baiser par des inconnus devant Anthony. Je lui attrape la main et je la glisse entre mes cuisses pour la poser sur ma chatte humide. Il me regarde avec étonnement et me dit :

Ça te plaît, ma chérie ?

Je ne suis pas très sûre, mais j’avoue que l’idée de m’offrir à des inconnus pourrait être envisagée.

J’aime quand tu me parles comme ça ma chérie !! Regarde, je t’ai déjà préparé un profil ! me dit-il en ouvrant une nouvelle page.

Tu avais déjà tout prévu !! lui dis-je en lui donnant une claque sur l’épaule.

Pour tout te dire, il y a déjà plusieurs mois que j’y pense, mais je n’osais pas t’en parler. Les événements de ces dernières semaines m’ont encouragé à t’en parler enfin.

Ses doigts s’enfoncent plus profondément dans ma chatte alors que je commence à lire le profil qu’il a créé : femme mariée, 32 ans, cherche relation très discrète avec deux ou trois hommes (25, 35 ans) pour satisfaire un fantasme. Je ne peux recevoir, mais je peux me déplacer. Hygiène et protection de rigueur. Je pratique déjà la sodomie avec mon mari, mais il ne voudra jamais inviter un autre homme dans notre couple (il est trop jaloux). Mon mari est souvent en déplacement et je peux me libérer facilement. Le profil se termine par trois photos qu’Anthony a effectivement prises il y a quelques mois. La première me montre allongée sur notre lit avec ma guêpière en dentelle rouge et noire, j’ouvre largement les cuisses, et mon majeur glisse entre mes lèvres intimes. Sur la deuxième, je suis dans la même tenue, mais je suis prise de dos, et ma position de levrette offre mes orifices à la vue du lecteur.

Sur la troisième, je suis dans la même position, mais mon majeur caresse ma petite rondelle. Il a bien pris soin de flouter mon visage pour que je ne sois pas reconnue. Je regarde Anthony et je lui dis :

Si je comprends bien, tu ne seras pas là !! Tu vas me livrer seule à deux ou trois inconnus !!

Je ne serai jamais loin. Je connais un hôtel où l’on peut louer des chambres communicantes. Il suffira de guider nos clients dans ce sens.

Ta petite pute dans un hôtel de passe !! lui dis-je en riant.

C’est un peu l’idée, mais, toi, tu le feras pour notre plaisir et pas pour le fric !!

Il y a tout de même quelque chose qui me gêne dans ce profil.

Dis-moi, je change tout ce que tu veux, ma chérie.

J’aimerais que tu changes la tranche d’âge de mes amants potentiels.

Ah !! Et laquelle voudrais-tu ?

Pour prendre moins de risques, j’aimerais des hommes beaucoup plus mûrs. Disons 55 65 ans.

Il pourrait tous être ton père !! me répond mon mari, étonné par ma proposition.

Il paraît qu’à cet âge-là, ils sont plus performants et qu’ils peuvent te faire l’amour pendant des heures. Et qui te dit que je n’aimerais pas me faire baiser par mon père !!

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, car je viens de lui sauter dessus et je l’embrasse à pleine bouche. Je l’enjambe et je m’empale sur sa queue tendue d’excitation. Je le chevauche avec vigueur en repensant à ce que je viens de dire sans réfléchir. Soudain, l’image de mon père me vient à l’esprit, et je me revois ce jour où je l’ai surpris en train de prendre en levrette maman dans le salon. Ils n’ont jamais su que je les avais vus, mais l’image qui vient de se former dans mon esprit se transforme, et je vois ma mère tourner la tête vers moi. Au moment où le visage me fixe, ce n’est pas le sien que je vois, mais le mien. C’est moi que mon père est en train de besogner en levrette. J’étais adolescente à l’époque et je me souviens que je m’étais fait jouir le soir dans mon lit en revoyant mon père prendre ma mère. Cette image ne s’efface plus, et je me mets à jouir comme une chienne en chaleur sur la queue de mon mari.

A suivre

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