Je dînais un soir avec mes 2 meilleures amies dans un bar restaurant branché de la ville, celui où tu travailles. Comme d’habitude notre conversation tournait autour de l’éternel sujet qu’est le sexe. Il faut bien dire qu’en ce moment nous sommes assez torrides, peut-être est-ce du à l’approche de la fin de l’été qui finalement n’a pas été si chaud que ça et dans tous les sens du terme d’ailleurs, enfin toujours est-il que plus la conversation avançait plus je me sentais excitée. Nous nous racontions chacune à tour de rôle nos expériences sexuelles les plus récentes de la manière la plus détaillée. Bien que nous n’ayons jamais rien fait ensemble, nous aimons bien nous chauffer verbalement et parler de nos fantasmes ainsi que de ceux que nous sommes arrivées à réaliser, les unes influençant les autres. Nous avons toutes les trois un physique plutôt agréable et pas mal de succès auprès des hommes ce qui facilite la mise en oeuvre de ces fantasmes. En ce qui me concerne, je suis petite mais très bien proportionnée. La plupart des mecs me disent que j’ai de belles jambes et un beau cul. Quand à mon visage, je reconnais attirer systématiquement les regards. D’ailleurs j’adore qu’on me regarde…
A la fin du repas, après être allée aux toilettes pour me refaire une beauté, j’ai rejoins mes deux amies au bar pour prendre un verre et c’est à ce moment là que je t’ai vu derrière le comptoir. Tu avais du me remarquer puisque tu t’es précipité vers moi pour me tendre des allumettes quand tu as remarqué que je n’avais pas de feu pour allumer ma cigarette. Lorsque j’ai posé mes yeux dans les tiens, il s’est passé en moi quelque chose d’inhabituel, un flash, un déclic, une étincelle. Ton sourire était splendide et ton regard pénétrant, troublant même. Pendant cette fraction de seconde, j’ai eu terriblement envie de sentir tes mains sur mon corps, de te sentir contre moi. Tu as proposé de m’offrir un verre mais j’en avais déjà un. Tu m’as demandé de te prévenir quand je l’aurais fini mais tu veillais. Tu venais souvent à ma hauteur pour vérifier que j’ai toujours quelque chose à boire en me gratifiant à chaque fois du plus beau des sourires que je n’hésitais pas à te rendre d’ailleurs. Je me rendais bien compte que je te plaisais aussi et j’espérais que tu me proposerais de me revoir ailleurs et c’est ce que tu as fais. J’ai bien cru que mes jambes allaient se dérober sous mon corps.
L’heure de la fermeture approchait, alors je t’ai donné mon programme pour la soirée, tu m’as promis de me rejoindre et je suis partie très émoustillée à l’idée de qui pouvait se passer entre nous. Quelques heures et quelques verres plus tard je ne t’avais toujours pas revu. Après avoir envoyé balader tous les dragueurs qui tentaient de m’approcher, un peu déçue, je me dis que c’était sûrement trop beau pour être vrai et je décidai de partir. Arrivée à quelques mètres de la porte, je ne sais pas trop pourquoi mais je me suis retournée et tu m’est apparu. J’étais comme dans un rêve, un très beau rêve. Nous avons discuté pendant quelques minutes, tu m’as expliqué rapidement que ta vie n’étais pas simple, que tu ne pouvais pas rester et tu m’as dit dans le creux de l’oreille que tu avais très envie de me revoir, je t’ai répondu que j’en avais très envie moi aussi, puis tu m’as embrassé longuement et passionnément. Tout mon corps parlait pour moi, j’étais électrique. Tu m’as pris par la main et entraîné vers les vestiaires afin que je te donne mon numéro de téléphone. Je t’ai demandé de rester, tu m’as dit que tu regrettais de ne pas pouvoir mais que c’était partie remise. Puis sans trop savoir comment, je me suis retrouvée enfermée dans les toilettes avec toi, je me suis complètement abandonnée. Tu m’as plaqué contre le mur, tu as fait glisser les bretelles de mon petit haut que j’avais voulu très suggestif ce soir là, j’ai senti mon coeur s’accéléré, tu l’as baissé au niveau de ma taille et tu as commencé à embrasser et lécher mes seins puis ta langue est descendu sur mon ventre , je ne pus m’empêcher de gémir, mon corps tremblait mais il t’appartenait. Tu t’es agenouillé devant moi, tu as soulevé ma jupe, enlevé mon string et j’ai senti ta bouche approché de mon sexe comme un courant d’air chaud. Ta langue a commencé à titiller mon clitoris puis elle s’est glissée au plus profond de mon intimité. J’ai failli pousser un cri tellement j’aimais ça, une vague de chaleur m’envahissait, j’avais envie de me laisser aller, de m’offrir à toi, de t’appartenir.
Tu t’es relevé pour m’embrasser me faisant partager de ce que tu venais de déguster entre mes jambes, j’ai adoré ça. Ma main est descendue vers l’objet de mon désir qui menaçait de faire craquer ton pantalon. C’est allé tellement vite que je ne sais plus j’ai défait ta braguette ou si c’est toi qui l’a fait, non en fait je crois que c’est moi. J’ai pris ta bite dans ma main, elle était exactement comme je l’aurais imaginé si j’en avais eu le temps, parfaite, et si dure. Je n’ai pas pu m’empêcher de me baisser pour la prendre dans ma bouche. Elle avait si bon goût que je l’ai léché avec gourmandise. Tu semblait adorer ça, ta tête s’est renversée vers l’arrière et à cet instant j’ai adoré l’expression de ton visage, presque comme si c’était la première fois que tu te faisais sucer. Ca ma beaucoup excitée, ma petite chatte devenait de plus en plus chaude et humide. Je me relevée, tu m’as retournée, face au mur et je t’ai senti me pénétrer, ca m’a rendu folle de désir mais je n’avais pas envie de faire l’amour dans les toilettes d’une boite alors à regret je t’ai demandé d’arrêter et je t’ai dit que je voulais qu’on fasse ça bien. Nous nous sommes rhabillés et nous sommes sortis des toilettes serrés l’un contre l’autre. Tu as promis de m’appeler et nous nous sommes quittés. Ce soir là tu m’as laissé dans un drôle d’état. Depuis je ne pense plus qu’à toi. Ca fait 2 jours. Finalement, tu as tenu ta promesse, tu m’as appelé et nous avons convenu de nous voir demain chez moi, j’en frémis d’avance….