Chapitre 1 : Négociations
Éloïse vient d’arriver dans un nouveau lycée à l’autre bout de la France. Elle a réussi à convaincre ses parents de la laisser rejoindre sa meilleure amie, Marie, qui a déménagé l’année passée. Si l’argument scolaire (être avec Marie pour mieux réussir sa Terminale) n’a pas fonctionné, le chantage affectif intense a finalement réussi. Tout semble parfait pour la jeune demoiselle, elle va rejoindre sa meilleure amie pour leur dernière année de lycée.
Nous sommes à la mi-Septembre. Les cours ont déjà repris mais Éloïse les a suivis par correspondance. Elle arrive donc chez Marie un Samedi après-midi. Une femme dans la quarantaine lui ouvre la porte. Elle reconnaît instantanément la mère de sa meilleure amie qu’elle connaît depuis toujours, sa deuxième maman.
Oh, Éloïse ? Bonjour ma chérie ! S’exclama-t’elle d’un air surpris
Bonjour Charlène ! Marie n’est pas là ?
Elle ne t’a pas dit, c’est donc pour ça que tu es là Nous nous sommes disputés à la fin des vacances et Marie est partie à l’internat du lycée.
Surprise par la nouvelle, Éloïse se demande pourquoi Marie ne l’a pas prévenue. Charlène l’invite à s’installer chez elle, mais Éloïse préfère rejoindre sa meilleure amie à l’internat. Ainsi, Charlène conduit la demoiselle au lycée pour qu’elle s’inscrive à l’internat. Elle arrive à l’accueil administratif et explique qu’elle aimerait intégrer l’internat.
Vous vous y prenez tard mademoiselle, je ne suis pas sûr qu’il reste de la place Allons voir ensemble le responsable de l’internat.
Éloïse suit donc la réceptionniste jusqu’à un grand bâtiment.
Voilà notre internat. L’aile Ouest est réservée aux filles, et l’aile Est aux garçons.
Arrivées dans le hall du bâtiment, la réceptionniste se retire. Éloïse est accueillie par un jeune homme, sûrement un surveillant, dans un bureau. Il lui explique que malheureusement, l’aile Ouest est pleine à craquer, et que le lycée a dû refuser des demandes d’internat pour les filles lors des inscriptions.
Oh non, ce n’est pas possible ! Je dois absolument loger ici, je n’ai aucun autre moyen de logement
La jeune fille prend un air désolé et exagère au maximum pour faire craquer le surveillant. Elle ment, car évidemment, elle pourrait loger chez sa meilleure amie, mais elle veut pouvoir être avec elle un maximum de temps.
Je vous en prie, je dormirais même dans une chambre de bonne, ou dans l’internat des garçons, mais je dois rester ici !
Elle décide alors de tenter une autre approche. Éloïse sait qu’elle est bien foutue. Petite d’environ 1m60, blonde bouclée aux fesses bien rebondies et à la poitrine généreuse (85D), les mecs la qualifient souvent de bonne. Ses seins plus développés que la moyenne ont toujours attiré les regards, et ce depuis longtemps. Éloïse décide donc d’allumer le surveillant pour qu’il accède à ses requêtes. Après tout, elle aime allumer les mecs depuis toujours et adore voir leurs yeux descendre sur ses décolletés. Les beaux jours sont toujours là et elle est habillée légèrement : shorty à mi-cuisse et débardeur sans manches. Elle se cambre vers l’avant en essayant de chercher quelque chose dans son sac à ses pieds, mettant ainsi en valeur ses seins se balançant doucement. L’effet semble prendre car le jeune surveillant rougit et semble mal à l’aise :
Mademoiselle, le règlement interdit les chambres mixtes
Je suis sûre qu’on peut s’arranger, lance la petite blonde d’un air langoureux tout en remontant son shorty étonnamment descendu un peu bas
Le surveillant sassoit sur sa chaise et fait semblant de fouiller dans ses papiers pour détourner son regard du corps provocateur d’Éloïse. La jeune fille profite de ce moment d’inattention pour passer de l’autre côté du bureau et susurrer à l’oreille du surveillant :
Je suis persuadée que nous allons trouver un arrangement
Elle se met alors sur les genoux et déboutonne le pantalon du jeune homme paniqué.
Arrêtez mademoiselle ! Je vous répète qu’il n’y a plus de place dans l’internat des filles et que les chambres mixtes sont inter- oooooh !
Le surveillant est coupé dans sa phrase par la langue d’Éloïse qui s’enroule autour de son gland. Éloïse lèche sensuellement du sommet du gland jusqu’aux testicules la bite du jeune homme. Elle descend son pantalon jusqu’à ses pieds et enfourne la bite chaude dans sa bouche. Elle pompe, caresse les testicules, fait tournoyer sa langue habituée autour du sexe de sa proie.
Mademoiselle On pourrait nous surprendre, arrêtez …
Éloïse arrête sa fellation et prend la bite en main pour branler énergiquement le surveillant.
Ne dites pas n’importe quoi, vous n’avez pas envie que j’arrête. Êtes-vous vraiment sûr qu’il n’y a pas de place pour moi, même chez les garçons ?
Elle reprit sa fellation.
Oooh ! Il y a bien des places mais Oh oui c’est bon Mais c’est interdit, j’encours des oooh oui des sanctions si mon supérieur est mis au courant !
Perchonne ne chaura, che chera notre checret, répondit Éloïse la bouche pleine.
Elle stoppe de nouveau sa pipe pour branler le chanceux.
Alors, c’est d’accord ?
Le jeune homme ne répond pas. Éloïse accélère le rythme.
Dépêchez-vous de prendre une décision, car dans 5 secondes j’arrête tout ! Je ne vous plais pas, c’est ça ?
Éloïse reprend sa fellation tout en continuant de branler activement la bite du surveillant désemparé.
Vous ne voulez pas éjaculer sur mon visage ? 4
Je vous en prie, arrêtez !
Le jeune homme est à bout. Il peine à se retenir de jouir.
3
Mademoiselle !
Le surveillant ne peut plus résister. Il se lâche dans un grand râle de plaisir. Éloïse retire le sexe de sa bouche et continue de branler le jeune homme pendant son éjaculation. Plusieurs longs jets de sperme viennent tapisser le sol du petit bureau. Éloïse lèche doucement le gland pour en extraire les dernières gouttes de sperme, qui viennent tâcher son joli visage immaculé.
C’est donc un oui, j’imagine, dit-elle en récupérant les gouttes de sperme sur son visage une par une avec son doigt qu’elle lèche sensuellement
Mademoiselle, vous êtes si douée C’est d’accord, vous aurez une place dans une chambre de l’internat des garçons. Mais je veux quelque chose en échange. Je veux que vous veniez dans ce bureau à ma demande pour satisfaire mes besoins avec votre bouche habile.
Vous pensez vraiment être en position de réclamer quoi que ce soit, pervers ? Je vais porter plainte pour viol, dire que vous avez abusé de votre position par rapport à moi !
Le surveillant se met à paniquer et s’excuse mille fois devant Éloïse. Il lui garantit qu’il est à son service et qu’il ne lui réclamera jamais rien. La jeune fille exulte. Elle contrôle totalement le pauvre homme.
Si vous êtes sage Peut-être que je reviendrai vous voir, lui dit-elle avec un clin dil. Bon, où est ma chambre ?