Je viens de comprendre qu’il veut maintenant se la faire enculer par le molosse ; elle aussi a compris et elle se débat fortement maintenue sur le pouf. Lourdement le chien pose ses antérieurs sur son dos et essaie de la pénétrer ; elle hurle de peur et gesticule pour éviter le sexe qui cherche le passage ; Marie est restée bien ouverte. Nul besoin de guider le mandrin, d’une seule poussée, profitant de cet orifice béant et providentiellement offert, il s’engouffre dans le cul de la jeune femme et frénétiquement commence la saillie.
Elle hurle de douleur, car le sexe lui défonce le passage ; elle se débat, mais rien n’y fait ; sûr de sa force, il la pénètre par de rapides et puissants mouvements ; cette fois-ci les deux boules du nud entrent directement et complètement en elle.
Sentant qu’il vient de se coller à sa femelle, l’animal ralentit presque immédiatement ses mouvements frénétiques.
Marie sent le nud enfler et grossir inexorablement jusqu’à ce qu’elle se retrouve totalement verrouillée par le cul.
Elle semble y prendre son pied avec ce mandrin planté entre ses fesses elle ne se débat plus, bien au contraire, ses gémissements deviennent des râles de plaisir, elle jouit sous le joug de la bête.
— Aaah Mon Dieu ! Que c’est bon Il me remplit maintenant, je sens déjà son sperme se rependre dans mon derrière et il y a aussi une grosse boule qui a gonflé dans mon cul ; c’est énorme, il me déchire, je jouis !!!!!!!
Une fois bloqué, Bijou ne bouge presque plus, ne donnant que de petits coups secs, très rapides et très puissants.
Abdou nous explique que la bite du chien par contre, elle, ne cesse de se gonfler toutes les deux ou trois secondes et envoie des jets quasi continus qui font ruisseler un liquide chaud.
— Tu vois Fred, mon chien pompe ta femme par l’intérieur. Il gonfle et expulse sa semence. Ce genre de coït peut durer jusqu’à une demi-heure et comme il sait qu’il la tient bien il ne va pas tarder à la forcer à se balader dans tous les coins de la pièce.
Comme s’il avait compris, c’est à ce moment précis que l’animal se retourne et les deux se retrouvent à quatre pattes, cul à cul. Aussitôt, le Pitt commence à se déplacer, il fait le tour de la pièce obligeant Marie à marcher à quatre pattes à reculons derrière lui.
Pour son plus grand plaisir, des flots de foutre animal continuent à se répandre dans son cul, c’est ce qui la fait gémir de plus belle.
Abdou s’adresse maintenant à nous tous.
Devant le spectacle, nous avons, l’un après l’autre, ouvert la braguette, pour sortir notre queue. Marie nous regarde, visiblement satisfaite de l’effet qu’elle produit sur les cinq hommes présents et elle aussi se met à décrire ses sensations.
Marie : « Aaaah, que c’est bon de le sentir. Il est dur et c’est chaud. »
Abdou : « Il lui a tout mis dans le derrière à cette salope, elle a une boule grosse comme une orange dans le cul en plus de tout son gros zob. 25 cm au total. Croyez-moi, elle n’est pas prête de l’oublier. La femme de Fred appartient à mon chien, les gars. C’est sa chose, il peut en faire ce qu’il veut. Il la tient par le cul, au propre comme au figuré. Regarde Fred, il commence à la balader dans la pièce ta femme. Si nous étions en ville et que j’ouvre la porte il pourrait même la faire sortir dans la rue à quatre pattes derrière lui et elle ne pourrait rien faire. »
Marie : «Oui, oui, iI me tient et il m’a tellement enfoncée que maintenant, je sens ses deux boules contre ma peau. C’est comme avec un homme. » Joignant le geste à la parole, elle coule une main par en dessous et agrippe les deux couilles. Elle les presse au rythme des giclées de l’animal qui la possède. En même temps, elle se les frotte contre le sexe en essayant de se les faire rentrer dans la chatte.
Nazim et Houmam se sont mis nus jusqu’à la taille. Ils ont toujours leur mobile à la main. Ils bandent comme des ânes et ils filment la scène en riant et en l’insultant. Malik toujours derrière sa caméra a lui aussi baissé son pantalon. Sa paire de couilles est vraiment énorme. Deux boules de pétanque. Marie ne le quitte pas du regard. Sans s’en rendre compte, elle a sorti sa langue et se lèche les lèvres. Le plaid sur son dos a glissé depuis longtemps et elle n’a toujours sur elle que sa guêpière et ses bas tendus par ses jarretelles.
Abdou qui est venu s’asseoir à côté de moi a sorti sa bite et commence à se branler devant le spectacle. Sa queue est toujours aussi énorme. Trois fois plus grosses que la mienne. Je me lève et enlève à mon tour slip et pantalon.
Le gros chien la bourre sans faiblir et ses seins ballotent divinement, je me mets à genoux à côté d’elle et entreprends de les lui torturer, de lui tordre les bouts, de les malaxer, de les faire balloter encore plus fort.
La salope a vraiment l’air d’apprécier les traitements conjoints de son amant à poils et de mes mains sur ses belles mamelles. Son visage est déformé par le plaisir et elle gémit comme une malade.
Malik qui a délaissé sa caméra s’est également approché. Lui aussi veut lui toucher les nichons. Abdou s’est levé pour maintenir Bijou qui recommence à s’agiter.
— Tu les as vues mes grosses couilles salope ? Tu crois que je ne t’ai pas remarqué en train de les mater. Et bien, tu vas me les lécher mes grosses burnes en attendant que la place soit libre et que je te les vide au fond de ta matrice.
Marie fait ce que dit Malik, elle tire la langue tant qu’elle peut, par petites touches, elle s’amuse à les faire osciller puis elle commence à les mordiller. La langue de la jeune femme sur ses bourses poilues a pour effet de le faire encore plus bander. Il l’a maintenant presque aussi grosse que celle d’Abdou. Il prend sa queue en main et en frappe Marie sur les joues et le front.
— Ah! la vache! Allez dis-le que tu es une cochonne qui aimes bouffer les couilles des Arabes. Allez, dis-le petite salope.
— Euh OuiLes couilles, c’est bon ! Je suis Slurp ! Slurp !
— Tu es une pute dis-le : je suis une pute.
— Non pas une pute !
— Bon, ça suffit comme ça, maintenant tu vas me lécher le cul.
Malik a compris comment il fallait s’y prendre avec Marie. Il se tourne, lui présente son derrière et aussitôt elle lui enfile sa langue dans le trou du cul.
— Aaah c’est bon. Elle sait y faire la chienne. Allez, vas-y, mange-moi le cul maintenant.
La scène est un peu surréaliste : ces trois-là, Bijou, Marie et Malik sont à quatre pattes. Les deux mâles ont leur cul tourné vers la femme au milieu. Elle s’active et se trémousse entre eux deux.
Cela n’échappe pas à Abdou.
— On peut dire que ta femme s’y entend question cul. Une véritable aubaine. Allez Malik, laisse-moi un peu la place, je suis sûr qu’elle va aimer nous lécher le cul à tous les cinq en attendant que mon Pitt la finisse
Décidément, Abdou est intarissable. Il a en main la caméra délaissée par Malik et même en retrait de l’action, il continue ses commentaires en s’adressant systématiquement à moi, le mari, supposé complice et témoin de son cocufiage. Malik quant à lui, cible directement Marie qu’il veut humilier et dominer.
Il vient de traiter « ma femme » de pute et maintenant j’ai peur qu’Abdou confirme que trois des participants l’ont bien payée pour l’avoir. De fait, deux mâles s’activent avec elle et quatre autres, nus à partir de la taille, sont en pleine érection et la regarde faire en attendent leur tour
Malik vient de s’écarter et de reprendre sa caméra. Un dernier réglage et il la repositionne sur son trépied. Il bande de plus en plus. C’est le moment que choisit Abdou pour revenir à la charge.
— Une petite putain, oui, voilà ce que tu es . Figure-toi que je me fais du pognon avec ton cul et regarde comme tu nous fais tous bander Alors ?
Marie semble ou fait semblant de ne pas avoir entendu cette nouvelle insulte, elle est toute concentrée sur ce qui se passe dans son derrière. Bijou qui n’est plus maintenu s’est remis à avancer et une fois de plus elle doit le suivre à reculons en tortillant du cul.
Abdou jubile. Une occasion de plus pour me dévaloriser auprès des autres mâles qui font cercle autour de celle qu’ils pensent être mon épouse.
— Et voilà, c’est reparti, tu vois Fred, ta femme ne t’appartient plus et elle est devenue non seulement ma maitresse, mais aussi celle de mon chien ; tu ne seras plus jamais celui qui la fait jouir même si tu la possèdes plus tard. Maintenant, si je les laisse faire il va l’amener dans mon arrière-cour.
Effectivement, Marie suit. Elle est toujours aux anges.
Abdou explique encore qu’il y a deux degrés de différence de température corporelle entre le chien et la femme.
Marie confirme et déclare ressentir parfaitement le liquide chaud qui continue toujours de s’écouler par à coups et à gros bouillons bien profond dans son cul. Cela fait maintenant plus de 15 minutes que le Pit l’encule. Il n’a pas débandé et c’est ainsi qu’il la conduit jusque dehors.
L’arrière-cour, de plain-pied, est partiellement carrelée. En partie protégée par un auvent elle ressemble plutôt à un débarras, un vieux canapé à moitié éventré, une grande table en bois, des fauteuils en mauvais état et une tonne de bouteilles vides. Elle est entourée par plusieurs immeubles assez proches qui sont autant de vis-à-vis. Marie comprenant qu’elle peut être vue essaye de freiner le mouvement, mais rien à faire. Bijou l’entraîne.
Nous sortons tous dans la foulée, aussitôt accueillis par de furieux aboiements en provenance d’un minuscule local de fond de cour.
Avec un sourire vicieux Malik qui n’attendait que ça, fait coulisser la barre de fermeture et libère enfin son dogue allemand.
L’animal qui était resté totalement silencieux jusqu’à présent se contente de quelques grognements et nous rejoint.
Il se plante devant Marie et s’assoit calmement. Assis sur ses pattes arrière et avec sa taille de 80 cm, il la domine largement. Il doit lui paraître énorme. Calme et mesuré il ignore superbement Bijou toujours collé à elle.
Très vite de grandes trainées de bave coulent au sol. Il regarde fixement Marie qui visiblement n’en mène pas large, puis il s’approche, l’enjambe et vient baver dans son cou et sur son dos. Par moment, son ventre vient frotter sa chevelure. Il avance encore un peu et se penche pour venir lui lécher le haut des fesses. La tête de la jeune femme est maintenant entre les pattes arrières de l’animal qui commence à s’exciter sérieusement. Puis il s’écarte pour refaire face à la jeune femme qui lui sourit. Un grand coup de langue lui arrive sur le visage enlevant une partie de son maquillage avec toute sa bave. Tétanisée, elle ne réagit plus. C’est là qu’il s’accroupit et fourrant brusquement son gros museau sous elle, il se met à lui lécher ses nichons pendants. Puis, Il progresse vers l’arrière et c’est maintenant à grands coup de langue baveuse que le molosse lui lèche le haut des cuisses faisant vibrer les jarretelles à chaque passage. Il se redresse légèrement et vient flairer la chatte de Marie qui recule brusquement.
Malik s’approche et maintient son chien, Abdou en fait de même avec bijou tout en intimant à Marie de ne pas bouger.
Elle ne se fait pas prier pour accepter la langue du molosse. Toujours écartelée par la grosse pine de Bijou, sa chatte est béante et il n’a aucun mal à la lécher ; Le Danois s’en donne à cur joie. Il faut dire qu’en plus des effluves, les sécrétions qui la remplisse excitent la bête; la langue la fouille, elle écarte les cuisses, s’offrant un peu plus à la langue agile ; le molosse se délecte et soudain sous l’effet de l’excitation son gros ruban rouge apparait tout palpitant sous son ventre. Il s’écarte alors et vient une nouvelle fois enjamber la jeune femme pour repositionner son arrière-train au-dessus de sa figure. La tige rose et pointue ressort aussitôt du gros fourreau de poils et passe le long du visage, ses grosses boules lui balayent le front, Marie un peu rassurée semble sensible au désir qu’il a pour elle, gardant appui sur une main, elle se saisit de son fourreau de poil, la tige qui en sort longue pointue et renflée à la base fait plus de 20 cm. La jeune femme s’en est saisie et excite encore l’animal en l’agitant lentement, très vite elle provoque la sortie d’une énorme boule à la base de sa tigevoyant cela Malik intervient :
— Salope, trainée, tu as excité mon chien, maintenant il faut le finir, tu vas voir.
Et il lui colle devant le visage la tige du molosse.
— Suce-le maintenant !
Marie ouvre sa bouche et se retrouve avec un glaive de chair contre la glotte.
Elle se recule jusqu’à ce que la pine sorte entièrement, respire puis donne de petits coups de langue sur l’extrémité de la pointe avant de la reprendre en bouche.
— C’est bien, continue beauté. Dis Malik.
Elle accélère ses va-et-vient puis subitement s’interrompt et fait ressortir la pine. À peine dégagée, un petit jet transparent arrive sur ses lèvres. Elle goûte, semble surprise et aussitôt reprends la tige frémissante dans sa bouche.
— Tu sais chérie, Zeus peut gicler une demie heure, tu vas bien te régaler.
Les deux molosses sont maintenant parfaitement immobiles, tous les deux couvrent Marie et continuent de se vider tranquillement en elle sous les regards envieux des cinq hommes en pleine érection.
Pendant une bonne dizaine de minutes Zeus éjacule dans la bouche de Marie qui avale tout en déglutissant bruyamment. Elle s’applique et insensible aux insultes qui fusent dans toutes les langues elle presse régulièrement les grosses couilles du dogue qui bave de plus belle sur le bas de son dos. Le tout lui coulant dans la raie des fesses, cela semble beaucoup l’exciter et elle tortille son beau cul blanc dans tous les sens.
Ce petit manège dure encore cinq bonnes minutes, décidément Zeus en a dans les couilles. Mais une fois que Marie les lui a bien vidées, il se retire sans faire d’histoire et part s’allonger dans un coin pour se mettre à lécher consciencieusement tout son attirail.
Insensible à tous ces événements Bijou, lui, reste toujours verrouillé à sa femelle.
Malik est aux anges.
— Bravo, ma Chérie, on peut dire que tu t’es bien débrouillée avec mon chien. Tu sais, tu es la première femme qui lui fait ça, je crois qu’il a aimé. Bien, bienDécidément ma salope, le chien d’Abdou ne veut plus te lâcher ; cela doit bien faire une demi-heure qu’il t’encule ; bon, bon, en attendant refourre moi ta langue de petite salope bien profond dans le trou du cul. On aime tous les deux ça non ?